Dossier médicalNom & Prénom- Northfell Lily
Sexe- Féminin
Âge-24 ans
Traits physiques- Soyons objectif, je vous passerais les complexes que je n'ai pas. Trompeuse, déjà dans mes traits, pauvre de vous. Je suis petite et bien mince, mais n'allez pas vous imaginez une quelconque faiblesse. Vous seriez surpris de voir à quel point les nerfs font tenir quelqu'un debout. On peut dire que je suis musclée, très légèrement, encore une fois ne vous trompez pas. Ah, je suis une femme, oui ma silhouette anguleuse vous enduit encore en erreur. Vous 'navez pas finit de vous faire de fausses idées sur moi si vous commencer à me juger d'après mon physique. Ma poitrine est discrète, mes hanches légères, je n'aurais aucun mal à devenir quelqu'un d'androgyne si j'avais envie de travailler une quelconque image.
Pour m'habiller je prend ce dans quoi je suis bien. Toujours mon manteau de marin, abîmé aux pieds, mais franchement ici on s'en fou. Au niveau couleurs je suis brune, un joli brun flamboyant, mes yeux sont vert. Souvant on les aime, les gens aiment les yeux clairs, j'avou aimer mes iris, ajoutons à cela qu'ils sont naturellement cerlcé d'un liserait gris. Mon regard en est d'autant plus intense. Lorsque je me maquille on ne voit plus qu'eux, j'aime le contraste entre mes joues plate et ces yeux qu'on dirait posé par erreur. Posés au dessus de cernes, bien souvant j'affiche de grosses cernes. Ça serait peut être un complexe ça, j'ai toujours l'air malade ou droguée sur des photos, ces foutue cernes.
Enfin pour allumé cette images ternes de mon corps, un éternel sourire, changeant. Moqueur, amusé, sincère, immense. Je ris, souris juste dans mes yeux, de petites rides prématurées ont percés ma peau au coin de mes yeux. Nombreuses sont les larmes de rire qui auront coulé au bord de mes yeux d'occidentale. Occidentale à la peau blanche et sèche, je bronze difficilement, d'ailleurs je m'en fou.
De toute façon de moi ça n'est probablement pas le physique que vous retientrez. Cet air malicieux, celui d'une petite peste joyeuse, peut-être vous marquerat.
Taille- 1.60
Poids-47
Maladie ou handicap physique- Je suis consciente de tenir debout par la tension nerveuse, alors parfois je m'écroule. Mon corps ne suit pas toujours ce que je lui demande, il est trop faible pour mon esprit.
Autres- /
Dossier psychologiqueQualités- Alors là ! Je trouves profondément prétencieux d'énnoncer ses propres qualités. Vraiment. En plus c'est relatif, certain trouveront que ma franchisse est une qualité lorsque d'autre la trouveront trop poussé. Enfin je vais faire un effort... Par quoi commencer ? Ma franchisse donc ? Bien. Je ne mâche pas mes mots, je suis entière, trop certainement. Souvant de très bonne humeurs, la roue peut pourtant tourner vite. L'entièreté de mon caractère probablement. Ce trop plein d'émotions me fatigue souvant. Je suis profondément rêveuse, on pourrait dire que j'ai l'âme poète, l'âme seulement. D'après certains médecins je suis enfermée dans l'imaginaire de mon enfance. Ils ne comprennent pas que j'ai réussit ce qu'ils ont perdu : Garder l'émerveillement de l'enfant et sa spontanéité. Je suis spontamnée donc. Amusante par cette caractéristique, je crois, amusante et gênante. Je sais aussi écouter ceux que j'aime, ceux que j'aime. Je suis profondément loyale, je ne connais aucune limites à l'amour que je porte à mes amis.
Défauts- Tellement de ceux là sont la seule conséquence de mon exéssivité. Je suis exessivement loyale, aimante et entière. J'étouffes de tout ça. Si un mot devait ma cractériser se serait celui-ci, exessive. Je ne supporte pas la trahison, suis profondément jalouse. Parfois je parviens à me contrôler, mon problème est que si les nerfs me font avancer ils sont accompagnés de mes trop fortes émotions. Emotions qui me portent et pourraient si bien me briser. J'en suis consciente. Je m'y résoud, je ne peut pas changer cet aspect de mon caractère. Par amour j'ai déjà fait des choses stupide, comme faire mal à la personne aimé. La colère est un pêché d'après certains, heureusement pour moi je ne suis pas croyante. Je ne sais pas réguler ces crises de colères qui parfois me submergent. L'excès encore une fois... Je crois sincèrement que je peux être dangereuse, je le sais, mais c'est innocent croyez moi. Non vous ne me crorez pas plus que les jurés évidement. Vous me crorez folle et j'avou ne plus savoir qui de vous ou de moi à raison...
Aime- Vous êtes mignon dis donc ! Ce que j'aime ? Mais tout dépend du contexte... Bon, il y a bien des choses que j'aime mais tout de même. J'aime les fruits rouge et les pommes granny, les bonbons, d'ailleurs les dentistes mentent, je n'ai pas eu une carrie de ma vie et pourtant je vous jure avoir usé et abusé du sucre. J'aime la grimace qu'on fait lorsque l'acide des bonbons agit sur nos glandes au fond de la gorge. J'aime regarder le ciel allongées dans l'herbe quand il pleut. Sauter dans les flaques et bon nombre de choses aussi inutiles qu'agréable, j'adore le thé. C'est une addiction au même titre que les bonbons ou encore que la cigarette. J'aime être submergé par mes émotions et jouer la comédie. Je surjoue, je sais, mais du moment que ça fait rire mes spectateur... J'aime le sourire des gens, manipuler mon monde et savoir quand on tente de me manipuler, défaire les liens que les manipulateurs tissent autour de moi. Répondre éxactement ce qu'ils veulent entendre parfois. J'aime réagir d'une façon imporbable, je suis imprévisible et j'aime tromper les gens qui croient me connaitre.
N'aime pas- Les adultes, leur rationalisme ecoeurant. Le silence et la solitude, ils me font peur. Etre transparente ou ne pas compter pour quelqu'un qui m'interresse. Je pourrais en pleurer. D'ailleurs je n'aime pas pleurer et il seront rare, ces moment où j'avourais que oui ce sont des larmes sur mes joues. Je n'aime pas cet endroit écoeurant de rationalisme adulte et l'autorité que vous exercer. Je n'aime pas votre justice. Cet endroit uniforme et moche, moche de froid et de gris. Je n'aime pas vos sâle tête de bourreaux. Je n'aime pas les psychologue, ils sont bien les seuls à être confrontés à mon silence.
D'ailleurs je vous crèverais tous, mais ça c'ts une autre histoire. Parce que je n'aime pas la violance, ça doit être pour ça que je ne vous aime pas. Je n'aime pas la violence gratuite que vous utiliser contre les détenus. A oui c'ets vrai, nous sommes de graves malades mentaux. Ce n'est pas que je ne vous aime pas en fait, je vous hais parce qu'en un seul endroit avec une seule équipe vous représenter toutes mes peurs.
Vous incarner le silence et le rationalisme, les rêves brisé. Les règles, les punitions, les interdits. Vous me faites l'impression de machines sans âme, vous êtes pour moi la froideur. Vous êtes le condensé ambulant de ce que je ne n'aime pas alors je vous hais, vous et votre fausse justice.
Comportement avec les gens- Tout dépend des personnes. Je n'aime pas les gardiens, je suis froide avec eux, agressive parfois. Parce qu'ils me font peur par tout ce qu'ils représentent. Sinon je suis plutôt du genre à aller vers les autres, j'aime être entourée. J'agis donc en conséquence. L'exeption à mon comportement exessif sont les psy, ils ont la chance (?) de me voir totalement neutre... Quoi que c'ets toujours dans l'excès.
Maladie ou handicap mental- On me dit folle.
Valeurs- Les valeurs sont des choses d'adultes.
Tics- Je jou toujours avec des petites objets, des pièces que je fais tourner entre mes doigts. Un baton, rien de bien marquant. Si vous me rencontrez à plusieur reprise vous remarquerez probablement cet incessant mouvement de rotation.
Passé- J'étais une enfant tout ce qu'il ya de plus agréable. Souriante, turbulante certes, et joueuse. Grandissant dans une famille aimante et liée. Ma mère est infirmière et mon père travaille dans une boite de com. Nous habitions un pavillons de banlieux Londonienne. Mes trois frère sont surment ceux qui ont fait de moi l'éternelle joueuse que je suis désormais.
J'étais une enfant tout à fait normale, j'étais car l'anormalité se situe dans le fait que je le suis resté.
A l'école j'ai toujours aimé jouer à des jeux d'enfant, très tôt j'ai parié. Je pense que ce passe temps me vien de mes frères qui m'ont toujours lancé des défits. Mes parents ne s'alarmaient pas, c'était un jeux qu'ils avaient fait avant. A l'adolescence ils ne s'inquietèrent pas plu : "Ça lui passera." Je continuais donc mes jeux apparement innocent, pour moi ils l'étaient. La vie n'est qu'un jeux. Le problème que j'ai rencontré c'est les joueurs. Beaucoup on grandis en me laissant derrière.
C'est de cette époque que la psychiatre date "l'accident". D'après elle, d'autre d'autre d'ailleurs, je serais un enfant dans un corps de femme. Une enfant qui fait des choses d'adulte, une adulte qui refuse la réalité. Elle n'a rien compris, mais si je vous expliquait vous ne comprendiez pas non plus. Contentons nous de prendre ça comme un décalage entre votre réalité et la mienne.
J'ai continué à avancer dans le temps, mon corps grandissait et mon esprit restait le même. Ne croyez pas que je soit attardée, je sais seulement voir ce qui vous échappe et pour ça vous me qualifier de folle.
J'ai donc continué à vivre sans encombre, j'entrais dans une école afin de préparer un diplome d'enseignante. Je savais déjà où j'allais postuler. J'avais deux amis qui n'avaient jamais cesser de jouer avec moi, Tom et Cecile. Nous sommes au alentour de ma vingtième année, mes parents n'attachaient pas une grande importance à mon comportement légèrement décalé, ils me savaient quelqu'un de bien. Désormais ils en doutent. Toujours est-il que cette année là je perdi mes deux partenaire de jeux dans un défis plus dangereux qu'un autre. Je ne vous donnerais pas les détails de l'histoire parce que je garde se souvenir comme mon trésor maudit. A la suite de cette histoire je passais une période qui se rapprochait de l'éternité à l'hôpital. Tom est mort, Cécile à cessé de jouer. Et moi j'avais peur des murs blancs. J'ai survécu, parce que quoi que vous croyez on survit à tout. C'est le corps qui décide parfois, une partie inconsciente de notre être prend le relais par moment. Pendant cette période je me réfugiait au fond de mon monde et Tom vivait.
J'ai réussit à obtenir mon diplôme, j'étais acceptée dans l'un des pensionna que je convoitait. Un pensionna où les riches laissaient leurs enfants, soit disant pour leur offrir la meilleure des éducations qui soit, en réalité pour ne pas avoir à s'occuper d'eux.
J'étais là à présent, je m'occupais de ma classe avec un investissement qui satisfaisait mes collègue et enchentait les enfants.
Et un jour je les ais sauvé.
Ils étaient heureux, l'un d'eux dormait dans mes bras depuis des heures. J'avais mal dans le dos parce qu'il faut avouer que je suis une petite femme, mais je tenais bon parce que cette enfant avait besoin de rêver. Je leur offrait l'amour que leurs parents achetaient. Je leur offrait la possibilité de ne jamasi devenir adulte.
L'arrestation fut brutale, on m'arracha le petit des bras. Ils répétaient qu'il était mort, je savais bien que non. Il dormais. Je vous dit qu'il dormais. IL DORMAIS.
Et ils l'ont tué, ils les ont ramener vers un monde uniforme et doré où ils n'auraient d'autre choix que de devenir les tristes répliques de leurs parents. Une pluie salée roulait sur mes joues. On me fit voir un nombre impressionant de personnes, des parents voulurent me voir, ils étaient furieux. C'était à moi de leur hurler dessus, mais bien sûr je n'avais pas le droit de donner mon opignion. J'étais l'immonde tueuse d'enfant, un des inspecteurs qui m'a interrogé m'a comparé à un joueur de flute. Un histoire de conte. Je m'en foutais.
On n'écoutais pas ma version des fait. J'ai été désignée coupable, d'abord on m'envoya dans un asile. Maintenant on me trouve trop dangereuse, j'influencait des patients en voit de guérrison. C'est ce qui est crit sur les rapport médicaux que j'ai volé. Je n'aime pas les psy, je n'aime pas l'endroit où ils m'ont abandonné. Je n'aime pas l'air coupable dans les yeux de mes parents.
J'allais les sauver. Il faut me croire.
Par dessus tout, je n'aime pas cette prison allemande. Elle sent la mort et la raison.
Autres- Lily jou du violon et de l'armonica, elle garde sur elle une boite à musique. Hm aussi important que l'armonica, Lily parle Anglais (langue natale), Français et Espagnol. Elle comprend très bien l'allemand même si elle vous montrera probablement le contraire.
Dossier criminelCrime(s) commit(ts)-
Enlèvement d'enfant
Meutre d'un enfant
Préméditation de meutre
(l'accusée nie la totalité des faits)
[u]Matricule- 104-511
Rang- Ce qui vous chante ^^
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- si je parviens à le mettre il vient d'ici ^^
http://kidchan.deviantart.com/art/bleed-like-me-50025554