Lynch Payne

Dossier médical

Nom- Payne
Prénom- Lynch
Sexe- Masculin
Âge- 34
Traits physiques- J’ai les cheveux brun sombre, quasiment noirs, et si je ne suis pas exceptionnellement grand, je suis plutôt musclé. J’ai les yeux noirs, et je porte plusieurs cicatrices à peu près partout sur le corps, j’ai un tatouage représentant deux flingues croisés sous une tête de mort à l’épaule droite. Sous sédatif je me déplace avec un pas rapide et maîtrisé qui étonne souvent les gens, j’ai un visage assez indéchiffrable et dégage, je cite un de ces connards de psy « une sérénité malsaine, une attitude légèrement hautaine, posée, dissimulant un vice et une folie latente », et je ne révèle mon « état de psychopathe » que lorsque je ris, souris, où suis confronté à une situation violente. A l’état normal, mon pas étonne également les gens, mais seulement à cause de sa célérité sauvage, mon corps accompagnant tout entier le mouvement. Il paraît que mon visage est souvent déformé par la folie, que j’inspire une certaine peur aux autres…
Taille- 1m84
Poids- 71 kg
Maladie ou handicap physique- Aucun
Autres- Rien de particulier

Dossier psychologique

Qualités- J’ai tendance à penser que je possède toutes les qualités, selon mes critères. Mais d’après ceux des autres, mes principales qualités résideraient dans ma détermination, mon indépendance marquée, et quand je prends le temps de réfléchir, je peux élaborer des plans très élaborés, d’où la réussite de plusieurs de mes évasions.
Défauts- Il paraît que j’ai comme défauts une vision du bien et du mal très personnelle, parfois un manque de contrôle de moi, et une nette tendance à régler mes problèmes par la violence. Je serai narcissique, et prendrai tout ce que je désire, argent, femmes… sans me soucier de l’avis des autres, m’en emparant par la force.
Aime- J’aime tuer. Je n’y peux rien, je me réjouis dans le meurtre, la violence… Le moment où l’on appui sur la gâchette, où on enfonce le couteau, ou on appuie sur le détonateur, ou on serre ses doigts sur le cou de sa victime… Vous ne connaissez pas ça vous hein ? Savez pas ce que vous manquez… Evidemment, les belles femmes sont aussi une excellente occupation, baiser me donnant presque autant de satisfaction que tuer. J'aime aussi la liberté. Et pour finir… Je m’aime moi ! Comment ne pas m’aimer ?
N'aime pas- Les autres ! Ces putains d’abrutis ne m’ont jamais compris ! Les psys m’ont envoyé à l’asile pour éviter de voir la réalité en face : je leur suis supérieur. Les flics eux n’ont en tête que l’obsession de réprimer nos instincts, comme les religieux. Tous ces putains de gens normaux, qui nagent dans la médiocrité, et ces gens puissant, qui se croient meilleur que les autres, alors qu’ils ne sont pas moins médiocres ! Mais les pires sont sûrement ces saloperies de psy, déchets de l’esprit humain, qui croient pouvoir tout expliquer par leurs observations stupides. Y compris ma « folie ». Comme s’ils avaient compris quoi que ce soit de moi, ils se permettent de décortiquer mon comportement et en tirer des conclusions totalement erronées qui ne font qu’illustrer leur ignorance.
Comportement avec les gens- Je déteste ces foutus gardiens, tellement surs d’eux, chargés de nous surveiller. Mais j’ai compris que dans les prisons, faut éviter de les provoquer, même si parfois je parviens pas à me retenir… Les détenus font partis de la même masse humaine inférieure, mais tant qu’ils viennent pas me faire chier… Quant aux psy, je les hais, eux et leur soi disant science qui ne sont qu’élucubrations de merde, d’une débilité incroyable. Et puis je déteste qu'on se croit supérieur à moi, et l'enfermement m'est désagréable même si je m'en accommode.
Maladie ou handicap mental- Psychopathe
Valeurs- Mmmh ? C’est quoi ?
Tics- Sous sédatifs, quand je suis énervé mais me domine encore, j’ai tendance à faire jouer mes doigts et serrer mon poing. Sinon, je ris (rire psychopathe il paraît) souvent.
Passé- Je suis né dans un quartier miteux de New York, à un endroit où Mannathan et ses buildings me semblaient aussi inaccessibles que la lune. Ma mère, prostituée, mourut à ma naissance, dans les souffrances de l’accouchement, et c’est mon père (ou plutôt le gars qui vivait avec ma mère, vu que ce n’est sûrement pas mon père biologique), un criminel de moyenne envergure qui m’éleva. Jusqu'à mes onze ans, il me nourrit et me logea, malgré qu’il me battit régulièrement lorsqu’il était ivre, m’envoyant revendre de la drogue ou passer des messages de temps à autres, et m’apprenant à me servir d’une arme. Il se fit abattre quasiment devant moi, je ne sus jamais par qui, probablement par un autre malfaiteur d’aussi basse envergure. Après avoir passé plusieurs heures à comprendre ce qui s’est passé, hébété, observant mon père baignant dans son sang, je pleurai, serrant le cadavre contre moi, les larmes se mêlant au sang. La seule fois de ma vie pour tout dire. Je finis par me relever, couvert de son sang, comprenant qu’il me faudrait me débrouiller. Livré à moi-même, je survécus comme je peux, volant de quoi survivre, n’hésitant pas à tabasser d’autres enfants tout aussi misérables pour un morceau de pain. Je finis par me constituer une petite bande, soudée par la peur qu’ils avaient tous de moi, vu qu’il m’étais arrivé plusieurs fois d’en cogner un, parfois sans vrai raison. Il y eut même quelques morts, des faibles de trop fragile constitution qui n’avait pas résistés à un passage à tabac trop poussé. C’est à 12 ans que je commis mon premier meurtre sur un adulte, avec l’arme de mon père : un idiot qui n’avait pas eu l’intelligence de se laisser dépouiller sans trop résister. Il aurait pu s’en tirer avec quelques bleus, une ou deux fractures. Il a fini avec deux balles dans la poitrine. Le premier d’une série qui s’allongea tout au long de ma vie. C’est malheureusement à l’occasion de cette nouveauté, la mort de l’adulte, l’équivalent de l’autorité pour moi, par ma propre main, que j’ai été la première fois chopé par des flics, que j’avais jusque là toujours réussi à fuir. Après une nuit en cellule, durant laquelle je pétais les plombs à plusieurs reprises et hurlais comme un possédé pour qu’on me sorte d’ici, attaquant ceux qui essayaient de me calmer, ils m’envoyèrent, chez une psychologue. J’en verrais beaucoup par la suite, que je considérerai avec le même mépris et la même haine que celle ci, qui me donna un bon aperçu de la profession. C’est elle qui me fila les premiers sédatifs, et même si je méprise ces foutus médocs, je dois reconnaître qu’ils m’aident à réfléchir, et à me contrôler, et je pris soin d’en garder toujours avec moi par la suite. Elle ne s’attendait toutefois pas à ma sauvagerie et je lui sautai brusquement dessus pour l’envoyer s’écrouler plus loin dans le bureau, me fournissant les quelques secondes nécessaires à mon évasion (par la fenêtre sans barreaux, ils n’oublieront pas la prochaine fois). Ma vie de petite frappe continua jusqu'à mes 14 ans. En pleine puberté, je me rendis compte que je me contrôlais de moins en moins sans sédatif, et que ceux ci devenaient parfois insuffisants. Sans doute l’âge, mais si la tendance diminua par la suite, je ne fus jamais aussi calme qu’avant cette puberté. En tout cas, je connus ma première relation sexuelle durant cette période. J’avais brusquement d’autres appétits que la violence et le meurtre. Cette première fois, avec une fille non consentante, me prouva que certains plaisirs rivalisaient presque avec mon préféré. C’est à la cinquième, que je réussis à concilier les deux, en menaçant une fille de mon flingue pendant qu’elle me suçait, je lui fit exploser la tête au moment de l’orgasme. Un plaisir incomparable, que je ne pratique pas assez souvent, à mon avis. C’est également durant ces 14 ans, que je réussis à me faire plus ou moins adopter par une bande, adulte celle là, me débarrassant de mes anciens quasi-esclaves. A 15 ans, s’en était fini des rapines minables, j’étais passé au trafic de drogues. Je n’étais plus le chef d’une bande d’avortons, mais l’exécutant d’un réseau qui s’était taillé une place, auquel on confiait quelques missions importantes malgré mon jeune âge. On remarqua rapidement un certain « potentiel », qu’on exploita en me confiant un boulot de tueur. Mon premier travail consistât, une sorte de test à m’occuper de revendeur qui avaient une tendance malvenue de se tromper dans leurs calculs. J’eus pour la première fois un fusil automatique en main, et après quelques entraînements, partit régler le problème. Ce fut facile, ils furent pris par surprise et je pris plaisir à les cribler de plomb, vidant le chargeur sur des corps parfois déjà morts depuis un moment. A 17 ans, j’étais le nettoyeur de la bande, et ce travail me convenait parfaitement. J’enchaînais les carnages, et n’essuyais pas trop de dégâts en général, malgré les risques, toutefois grassement payés. Ce jusqu’à peu près mes 19 ans. Mais je finis par être jugé trop « instable », et ils essayèrent de me supprimer à mon tour et de me remplacer par quelqu’un plus modéré. J’ai réussi à tirer plus vite que ceux qu’ils m’envoyèrent, mais j’ai gardé la cicatrice de trois balles, dans la jambe. Non pas que c’était ma première blessure, mais je ne pus facilement m’enfuir, et fut cueilli comme une fleur. Les flics m’ont chopé pendant que je me barrais de l’appartement où traînaient les cadavres, quasiment en rampant, un garrot de fortune noué sur la cuisse. En un certain sens, ils m’ont sauvé, vu que j’aurais probablement fini par claquer. Premier long séjour en prison, je fus à nouveau diagnostiqué psychopathe, mais pendant le transfert jusqu'à une prison haute sécurité, je réussis à m’enfuir, ayant soudoyé un garde et tué l’autre. Je fus recruté par une autre bande, à l’autre bout des états unis, grâce à, des contacts acquis en prison. Malheureusement, je finis par péter les plombs et tuer mes partenaires durant un kidnapping, ainsi que l’otage, et dus m’enfuir a nouveau, autant à cause des flics que de mes ex potes. Je ne fus rattrapé que quelques mois plus tard, lors de l’attaque d’une banque, où j’avais descendu quelques flics, à l’issue d’une traque qui m’avait obligé à cette attaque pour me fournir en argent liquide. Après un jugement rapide, on m’expédia de nouveau en prison. Dans le couloir de la mort. J’ai attendu deux ans à l’intérieur, mais m’enfuis à nouveau quelques semaines avant l’exécution, avec trois compagnons d’infortunes (l’un d’eux est resté sur le carreau). Je partis en Europe, et rejoignit un groupe de trafiquant d’armes. J’y restai un bon moment, et c’est durant cette époque que je testai des drogues plus « dures », morphine, héroïne, méthédrine… Je ne fut cependant jamais accroc à aucune d’entre elles. La bande ne se contentait toutefois pas du trafic d’armes, elle s’occupait de drogue, de prostitution, de trafic d’organes, de vol (lors d’un cambriolage chez un collectionneur, je m’emparai et revendit pour des dizaines de milliers des objets d’art et antiquités), etc.. Sans compter les guerres avec les clans ennemis. Mais je fus à nouveau chopé lors d’un carnage dans un casino clandestin adverse, avec deux comparses. Lorsque les flics comparèrent leurs propres fichiers avec ceux de la police américaine, ils ne purent ignorer les 2 condamnations à mort, la prison à perpétuité, et la peine de 376 ans de prison. Sans compter leurs propres jugements qui m’amenaient à 70 ans de prison supplémentaires à purger, plus quelques dizaines d’années qui traînaient par-ci par-là dans d’autres endroits du monde. Emmerdés par la situation ils essayèrent de trouver une solution (la peine de mort était abolie dans leur état). C’est alors que l’on m’expédia à SADISMUS.
Autres- Rien

Dossier criminel

Crime(s) commit(s)- Homicides multiples, coups et blessures, évasion, destruction de biens civils, détention, usage, et trafic de stupéfiants, d’armes, vols à main armée, kidnapping…
Matricule- 112358
Rang- Psychopathe sous sédatif
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Lynch


(Pour mettre mon perso dans l'ambiance de la prison, ce serait cool de le laisser tuer un prisonnier inventé pour l'occasion. Je vais essayer de rectifier l'avatar aussi)

Tu peux très bien tuer un prisonnier fictif XD mais attends toi à passer quelques jours en isolement (ce visage ne colle pas avec mon personnage ...)

m'fin bon. Pour l'avatar, deux choses à rectifier je dirais : il ne ressemble pas du tout à la description que tu en as faites et il n'a pas les dimensions requises.

Pour l'avatar, je travaille à le mettre aux bonnes dimensions, je vais bien finir par y arriver. Quand au fait qu'il ne corresponde pas à la description, cela me semble bizarre : je l'ai faite avec le visage en tête. Qu'est ce qui ne s'accorde pas (sachant que l'avatar représente le Lynch auquel on sera le plus souvent confronté: sous sédatif)?

Pour ta proposition Etoile, bien que j'aurai préféré tuer quelqu'un, blesser me suffira, surtout si ça donne matière à RP. Je suis donc tout a fait partant (puisque tu es prête à provoquer un psychopathe...), dès que mon inscription sera validée, et que j'aurai fait le post d'introduction devant les portes de la prison.

Ce qui colle pas c'est que tu le décris avec des cheveux noirs ... mais qu'ils semblent gris sur l'avatar XD

oui e sias ... admin à battre >.<

En réalité c'est parce que sur l'image, le gris n'était pas ses cheveux. J'ai mis une autre image, qui va mieux. Mais par contre je n'arrive toujours pas à redimensionner. Pourtant sur mon ordi ça met bien 200*300, mais ça change quand je la met en avatar apparament. Comprend pas... J'finirai bien par trouver.



PS: t'impatiente pas Etoile, je vais finir par arriver...

Edit: j'ai réussi à redimensionner l'avatar. C'est bon maintenant?

J'mexcuse d'avoir autant glandé sur ta fiche XD validé.

Tu seras dans la cellule ... 32.

Bon jeu.