Junko Mioko

Dossier médical

Nom & Prénom- Mioko Junko

Sexe- Féminin

Âge- J'ai dépassé le cap de l'adolescence, le 25 septembre je suis arrivée sur mes 19 ans.

Traits physiques- Bien, alors que dire sur moi si ce n'est que je suis totalement irrésistible ? De longues jambes élancées, des doigts doux et une touffe de cheveux bruns sur la tête balayée en tous sens. De maigres bras pendant mollement de mes frêles épaules, et je suis quasiment obligée de garder mes mains dans mes poches sous peine d'en choquer plus d'un. Bref, je ne suis pas spécialement bien roulée ni tape à l'œil, je possède simplement le nécessaire de muscles, chair, tendons et os pour avoir un minimum de crédibilité lorsque je me balade parmi mes *chers* homologues... Bien sûr j'ai quelques défauts supplémentaires... Peut-être ma poitrine est-elle un peu trop plate ou bien mon dos légèrement allongé dû à ma fâcheuse tendance à courber l'échine dans la rue. Mais est-ce vraiment important ? Mes deux iris plus clairs que deux topazes et ma fine bouche sanguine rattrape le reste, car je vais vous faire une confidence : aucune autre parcelle de mon visage creusé par la fatigue et mon dégout n'est visible sous ses mèches grenat définitivement rebelles et indomptables, il faudra vous contenter d'un panorama à faible définition... Ainsi je pourrais vous observer sans être vue, vous tromper à l'aide d'une barrière d'indifférence tout aussi perfide qu'amusée. Et pour toutes ces raisons moi je dis : vive les shampoings cheveux secs !

Question vêtements, je me chausse encore de converse défraichies, de jeans délavés, la plupart du temps troués. Mes hauts se résument à quelques débardeurs moulants ou encore à des chemises trop larges. Quand à la coquetterie, des bracelets d'acier, souvent de modèle masculin garnissent mes poignets. Comme vous pouvez le constater je ne suis pas très féminine et ce côté n'est d'autant plus prononcé par la chaîne en argent pendue à mon cou. Elle y retient deux plaques style militaire où l'une est gravée de mon nom et prénom, l'autre de mon matricule.

Taille- 1m83 : et oui je l'ai dit, je suis grande.

Poids- C'est très indiscret de demander le poids d'une demoiselle. (58 kg)

Maladie ou handicap physique- Mon handicap physique ? Lorsque vous mettez handicap est-ce au pluriel ou singulier ? Car pour moi ce sera double ration... Je ne supporte ni l'alcool, ni la fumée de cigarette et encore moins la drogue bien que je sois la première des toxicos... Dès que je sors en boîte mon teint vire complètement au vert avant que le reste de mon corps ne suive la danse... de la gerbe. A croire que je ne suis qu'une petite nature...

Autres- Pour toute information complémentaire, veuillez vous adressez à l'accueil... (J’ai un piercing à la langue et un tatou de scorpion dans le dos.)

Dossier psychologique

Qualités- Blop Oo ? Depuis quand les criminels ont-ils des qualités ? Croyez vous que si j'étais une blanche colombe avec amour, paix, amitié, charité comme mots clefs dans mon vocabulaire... mon corps pourrirait en taule ? La seule petite chose qui pourrait être à la limite à mon avantage (je dis bien à la limite) serait ma vivacité d'esprit. Je me laisse difficilement entuber, pour cause : j'utilise moi-même ces stratagèmes dans la perspective d'obtenir l'objet de mes désirs. Sinon, je dénoncerais également ma capacité à me mélanger à la masse, phénomène étrange : personne n'est capable de définir une image précise de mon physique. Ainsi vous aurez beau interroger tout les témoins que vous voudrez, ils seront incapables de vous dire si je suis brune ou châtain, grosse ou maigre, grande ou moyenne... apparemment je ne grave pas suffisamment les esprits.

Défauts- Alors, là par contre la liste est trop longue aussi me ferais-je brève. L'égocentrisme et l'orgueil sont les deux pieds centraux de ma personnalité : je déteste me faire marcher sur les pieds, en revanche il n'est pas nécessaire de me prier pour le contraire. La taquinerie pourrait aussi rentrer dans cette catégorie, car mon sens de l'humour est assez particulier, pour ne pas dire vice-lard... Je ries beaucoup également, souvent même à mes propres dépends malgré l'estime aïgue que je me porte. Je ne suis pas particulière fiable, j'agirai toujours en fonction de la récompense finale. Enfin je terminerai par le sens de l'amitié que je trouve très subjectif : jamais vous n'arriverez à faire de moi votre allié pour les coups durs.

Aime- Pfff, suis-je véritablement obligée de répondre ? A part me prélasser dans mon lit et sous la douche en compagnie d'une jeune (très jeune) demoiselle rien d'autre ne m'intéresse... Quoi, qu'est-ce qu'il y a ? Vous avez un problème contre les homos pédophiles ?

N'aime pas- Oula, alors là je balance franco de porc : Zyna et les hommes. L'une pour son intelligence exaspérante, les autres pour leur naïveté et grivoiseries répugnantes. Peut-être aussi la pluie et l'humidité, car elles me font friser...

Comportement avec les gens- Contrairement à ce quoi on pourrait penser de part mon apparence et mes attitudes réservées, je rentre facilement en contact avec la populace. J'aime bien parler, ma langue déborde bien trop souvent de ma bouche aux goûts de certains, notamment à celui de Zyna. En fait, à part avec elle j'essaie d'entretenir une bonne entente avec mes contacts. Je ne suis pas une fille qui cherche la bagarre, pour tout dire, dès que quelqu'un brandit les poings mon premier réflexe est de fuir et si seulement je suis bloquée, alors la bête sauvage se réveille et fait très mal.

Maladie ou handicap mental- Nympho-Pédophile Oo ?

Valeurs- Voici la seule valeur à laquelle je réponds, donc autant dire que ce n'est pas plus lourd qu'une brise d'alizé : la galanterie.

Tics- Je me gratte l'arrière de la nuque lorsque je suis gênée ou intimidée. Très mignon paraît-il...

Passé- Eh bien, que raconter sur moi qui puisse vous intéresser ? Comme la plupart des jeunes de Banlieue je n'étais pas un cadeau, j'ai grandi dans un HLM à la périphérie Nord de Londres en compagnie de ma mère, ma tante et ma cousine Zyna. Mon père je l'ai jamais connu et je vous dirais que ce n'est pas une grosse perte, la seule trace d'appartenance qui me reste de lui est son nom : Mioko... A la place j'avais en quelque sorte deux mères. Catherine et Kate étaient jumelles et si soudées qu'elles ne se sont jamais séparées de plus de 200 mètres de leurs vies. A croire qu'elles soient siamoises... Enfin, là n'est pas l'important, comme je le disais précédemment je n'étais pas un ange, petites ont s'était formé une bande avec Zyna : les canaillous comme nous appelaient les voisins. On s'éclatait bien, les bouts de choux étaient terrorisés lorsque nous venions jouer dans le square et les plus grands nous charriaient avec entrain. Par la suite, à peu près à l'époque du collège on a commencé les conneries. Comme vols à l'étalage de K7 (et oui, il n'y avait pas encore la génération DVD), et les dégradations de voisinage (le lancer d'œufs pourris sur les portes c'est le pied). Encore une fois, c'était sympa, mais je sentais déjà ma cousine s'éloigner de mes délires. Elle ce qui l'intéressait, c'était le pic Pocket et plus on prenait de l'âge, plus ses poissons étaient gros. A partir de ce moment, il y a eu comme une barrière qui nous a séparée. Si bien qu'à l'entrée au lycée on s'ignorait totalement, feintant de ne pas se connaître alors que le soir venu nos deux culs prenaient place à la même table. Un joli portrait de famille...

Bref, le tournant de ma vie de délinquance n'a vraiment débuté que lorsque je suis partie en Faculté. Pour la première fois de ma vie je me retrouvais seule dans une grande ville bourrée à craquer d'inconnus et sans un sou. Je poursuivais des études d'arts, j'étais douée et promise à un bel avenir dans le métier si j'arrivais à exposer. Néanmoins, malgré mes difficultés à m'intégrer (dans un premier temps) pas mal de modèles acceptaient de poser pour moi. Le véritable hic fut comment les payer. J'en avais déjà assez d'économiser la moindre £ pour avancer le logement en allant manger à la cafétéria universitaire, me laver à l'eau froide et utiliser le strict minimum de gaz. Alors, pour m'en sortir, comme la moitié des étudiants je me suis lancée dans la garde d'enfants. Une tâche ingrate, barbante, irritante, mais plutôt bien rémunérée. Je passais mes soirées en compagnie de mioches braillards en ne pensant qu'à l'instant où la clef chérait le verrou et où l'argent tomberait dans ma main. Jusqu'au jour où une petite me demanda d'aller la laver... Là, je ne sais pas exactement ce qui m'a pris, je n'avais jamais été intéressée auparavant par un corps d'enfant (de femme oui naturellement, mais pas de mioches en couche culotte). Lorsque j'ai commencé à passer mes mains sur sa peau ce fut comme un choc électrique, une pulsion incontrôlable que vous prendrez soin d'imaginer... Ce soir-là j'ai paniqué, j'avais déjà agi et ne savais trop bien ce qui allait m'arriver lorsque la gamine irait pleurer auprès de ses parents. Alors, je l'ai prise pour la garder indéfiniment à mes côtés et par le même billet l'empêcher de me nuire.

Ce fut la toute première de mes poupées, j'avais 18 ans et m'étais découverte pédophile. Cependant, malgré ma mauvaise conscience et mon dégout ce manège dura et ce avec une incroyable facilité. Les disparitions s’enchaînaient les unes après les autres sans qu’on ne puisse les rallier directement avec ma personne car je ne me contentais plus du petit bonheur la chance que l'on trouvait chez les particuliers. Non, mes proies étaient dorénavant longuement observées et choisies. La plupart du temps je m’en emparais dans un parc de jeux lorsque leur mère ou nourrice ne prêtaient plus suffisamment d’attention. Ainsi je satisfaisais mon propre plaisir mais aussi celui de gens pour le moins recommandables. Le proxénétisme de mineurs est bien plus recherché qu’on ose le croire, c’est une véritable entreprise qui m’offrait des bras grands ouverts. Aussi étais-je devenue rapidement « riche ». Au bout de 7 mois, 11 fillettes étaient cloîtrées dans la cave de mon immeuble : un ancien bunker. Il leur était impossible de s'en échapper, les murs étaient insonorisés, du triple vitrage couvrait les fenêtres et les portes ne s'ouvraient qu'à l'aide d'un code connu de moi seule. Tout allait dans le meilleur des mondes, jusqu'à ce qu'un de mes modèles trop curieux n'aille fouiller dans la mauvaise pièce. Je n'eus alors pas vraiment le choix et le frappa sèchement à l'arrière du crâne avant de descendre me chercher des cigarettes. Cette fois-ci, malheureusement, ma victime avait laissé suffisamment de traces derrière elle pour mener les enquêtes jusqu'à mon domicile. Ils y ont retrouvé les enfants et je me suis donc retrouvée avec un dossier colossal. La Cour d'Assise n'eut pas à chercher long avant de savoir où me caser. On m'a d'abord placé 3 mois dans une prison locale avant de me faire revenir au tribunal pour y donner le verdict. Je pensais déjà être tombée au fond du gouffre, mais m'aperçus rapidement que cette hypothèse n'aurais été encore que trop douce, car sur l'autre banc des accusés trônait une tête bien familière...

Autres- ///

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- Kidnappings, détention, pédophilie, proxénétisme sur mineurs, homicide ... choisissez j'en ai plein.

Matricule- 092075

Rang- la Vénus Noire

No. de cellule- (décidé par l'admin)

Personnage sur l'avatar- ///

...
La fiche pourrait être validée aussi...

Mais dis moi, c'est de famille aussi de faire jaillir de la tune ?

Je m'explique...

Tu dis que ton perso est pauvre et à du mal à s'en sortir et là, d'un coup, elle enlève une gamine et se trouve un appart insonorisé avec triple vitrage et code... c'est un peu gros, je trouve...

Et puis... fais gaffe à l'orthographe, c'est bourré de fautes. Relis toi, word ne fait pas tout.

Préviens en uppant la fiche quand ça sera bon.

Voila, j'ai mieux expliquer la façon du "comment" mon perso s'est enrichit. Et je suis désolée pour les fautes, je ne suis pas une bête de l'orthographe ><.

C'es bon, tu es validée.

Bon jeu. Tu seras dans la cellule ... 28, avec une tête bien connue XD