Le vice de la gardienne [Pv Jaina]

190340 Nombre de messages : 4198 Age : 34 Date d'inscription : 05/03/2008

Le couloir, mon endroit fétiche faut croire. Je traine souvent, même un peu trop, ici. Il n’y a pas beaucoup de gens qui y restent. C’est un moment privilégié pour moi. Comme à mon habitude, je déambule sans trop savoir quoi faire. Au bout d’un moment, je m’adosse au mur. Marre de marcher sans but. C’est vraiment déconcertant ce genre de situation. Ca vous enlève toutes chances de ne pas mourir d’ennuis.

Je baille, ouais bah c’est bon. I’m bored. Come On … Je ne sais trop quoi. Les miracles existent, j’entends des pas arrivés. Qui était-ce ? Gardien, prisonnier. Hmmm qu’importe, tant que je pouvais sortir de mon ennuie légendaire. Une petite chose approchait. Elle avait une chevelure rosée comme les bonbons.

-Tiens, Jaina, murmurais-je entre mes dents.

Elle avait l’air bien pressée, elle ne faisait que de regarder sa montre. Une de ces crises serait-elle prévue pour les minutes à venir ? Je n’avais pas oubliée ce qu’il s’était passé dans les salles de bain. Elle me devait sa crise. De gré ou de force. J’ai besoin de terminer ce que j’avais commencé. Jaina m’avait remarqué, à tel point que je remarquai que son allure avait ralentie. Comme si j’allais lui sauter dessus, tsseuh n’importe quoi. Une fois qu’elle était à ma hauteur, je lui lançai un joyeux :

-Good morning Miss Jaina. Beau temps vous ne trouvez pas ?

A vrai dire, il pleuvait dehors. Quelle ironie Yoruichi. Jaina regardait sans cesse sa montre. Avait-elle peur de faire une de ces crises devant moi ? Comme quoi, elle sait très bien qu’elle n’aura rien de ma personne. Elle devait surement essayer trouver quelqu’un qui la calmera.

-Vous êtes pressée ?

Si oui dommage, je serais encore forcé de vous retenir. Je suis toujours adossée au mur. Parfois j’ai vraiment l’impression de faire peur aux gens. Surtout quand j’ai un petit sourire narquois au coin des lèvres.
La gardienne essayera t-elle de m’échapper encore une fois ou bien, va-t-elle rester ? Mon préférence serait bien la seconde. Je ne suis pas sadique … Enfin quoi que. Vouloir absolument la demoiselle dans une de ces crises. Faut pas être bien dans sa tête non plus. Mais que puis-je y faire ? C’est un vice cruel que je m’inflige. Et il n’y a qu’elle pour m’aider à y voir plus clair.

Invité

Vite ! Il faut que j'aille voir ma petite Maria ! Rah, crétin de traitement qui te soigne pas en 2 jours ! J'en ai marre je suis encore malade ! Mais qu'importe j'aime cette maladie et jamais je voudrai quel me quitte car je devrai quitter cette établissement, je n'aurai plus rien de spécial. Quoi ? encore elle ? Qu'importe je suis presser plus que quelque petite minute ! Quel poisse de ne pas avoir regarder ma montre !

-Non...

j'étais presser et je répondais au quart de tour tellement mon rythme cardiaque était rapide. Aller bientôt je passe cette porte et je serai libre ! Je pourrai enfin voir Maria qui m'attend depuis quelque temps.

-Sa ce vois pas ?

Je tente de sortir mes clef mais je les fais tomber et dans la pénombre, j'ai du mal a les trouvées. Finalement je les trouves mais il est trop tard. Je tombe dans les pommes soudainement.

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Décidément, elle n’avait aucune envie de rester avec moi. Et merde ! Comment puis-je faire pour l’observer. Arf, tant pis. Je vais quand même essayer de la retenir un peu. Elle fait tomber ses clefs sur le sol.

-Vous voulez que je vous…

Je n’ai même pas eu le temps de terminer ma phrase que la voilà déjà parti je n’sais ou.

-Si vos crises ne s’arrêtent qu’à ça, j’ai bien perdu mon temps…

Elle est étendue sur le sol. Je m’abaisse près de son corps inerte. Sa crise est faible. Je ne m’inquiète pas. Je saisis ses clefs et la hisse tout de même sur mon dos pour l’emmener dans un endroit un peu plus confortable. IL n’y avait aucun prisonnier dans le couloir, ni près de nos cellules. Je décide donc de l’y emmener. Elle n’était pas si légère que ça. Je n’avais pas de mal pour la porter, mais tout de même. Une fois arrivé dans la cellule 23, je la couchais sur mon lit.

Il lui en faut du temps pour se réveiller. Elle exagère un peu, elle n’a fait qu’une mini crise. Je suis debout à coté du lit, je pose ma main sur sa poitrine pour évaluer les battements de son cœur, c’était encore assez rapide. Je m’assis sur un autre lit et attends qu’elle se réveille.
Après quinze minutes passées, elle ne s’était toujours pas réveiller. J’en avais un peu marre d’attendre. Du coup, je me suis levée. En remplissant mes mains jointent d’eau froide, je m’approche de Jaina et lui lança sur le visage.

-Debout Mademoiselle Jaina, la sieste est finie !

Que je pouvais être sans cœur. Au moins, maintenant Jaina est parfaitement éveillée, elle avait l’air de se demander ou elle était. D’une voix monotone je lui dis avant qu’elle ne pose sa question :

-Vous vous êtes évanouie, je n’allais tout de même pas vous laissez par terre. Les hommes auraient été capable de vous violez même inconsciente.

Je lui sourie en lui tendant une serviette pour qu’elle puisse s’essuyer le visage.

-Ah oui, vos clefs.

Je les lui tendais. Elle avait un peu l’air d’hésiter. Comme si j’avais été capable de la toucher. Faut être dingue pour penser ça de moi. Enfin, je la regarde toujours d’un air intéresser. Je n’avais pas exagérée sur l’eau, elle n’est tout de même pas trempée. Je me lève pour aller m’adosser à la grille de la cellule, les bras croisés sur ma poitrine. Je lui lance d’un air amusée :

-Dommage, ce n’était pas la bonne crise. La prochaine fois peut-être.

Bon sang, elle est gardienne, et moi, je ne cesse de vouloir la dominer. C’est comme ça avec tout le monde. Je n’y peux rien.

Invité

Je me réveilla soudainement trempé et glacée par cette eau. Qui ma réveillé ? Pourquoi ? Je venais d'avoir une crise ? J'espère que ceci n'apportera rien de négatif. Je tourna la tête et remarqua une fille. Me sens était pas opérationnel et donc je l'entendais pas. Je pouvais presque pas bouger et j'avais pas la force de parler... J'étais cloué sur ce lit sans pouvoir l'exprimer. Quand je remarqua quel me tendais mes clef, je tenta de bouger la mains mes en vain. J'avais perdu toute mon énergie car mon corps avait perdu l'habitude que j'ai des crises. Je voulais dormir mais avec un détenue ou une, je voyais pas très bien. A mes côté je préférais me méfier, faible comme je suis on peu facilement me tuer et partir... quel honte... être bloquer comme sa comme paralyser ! J'espère que cette crise n'apportera rien de négatif.

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Elle exagère, elle n’a fait qu’une toute petite crise. Mais il faut croire que ça l’avait vidée jusqu’au point mort. Le faisait-elle expert ou ne m’entendait-elle pas vraiment ? Elle avait l’air d’avoir envie de dormir. Merde hein, mon but n’était pas qu’elle squatte mon lit !

-Bon ben restez là si ca vous enchante…

Moi ça ne m’enchante pas du tout. Je me rassis sur le lit en face du mien. J’observe la gardienne. Elle n’allait pas très bien. J’hésite tout de même à aller appeler quelqu’un.Tout compte fait, je estime que cela n'est nécessaire. Avec un peu de repos et elle pourra gambader comme un lapin. Enfin je l'espere, j'aimerai pas avoir la mort d'un gardien sur les talons. Surtout qu'on pourrait se demander ce qu'elle foutait dans mon lit.

Au bout de vingt minutes, je la réveillai.

-Mademoiselle Jaina, c’est Itanaki qui vous parle !

Bon ben tant pis, je vais devoir attendre. Personne ne passait dans le couloir. A croire que le ''destin '' avait voulu que je sois seule avec. Foutaise, elle m'est tombée dessus comme ça, sans plus. Pas de hasard, je n'y crois pas. Je la regarde, j'attends. J'ai l'impression de ne faire que ça depuis des heures.

- Vingt-cinq minutes ...

Je regarde le temps passé. Il me paraissait plus long que ça. Comme quoi, attendre le reveil de quelqu'un c'est pas le luxe. Je me coucha sur le lit, regardant le plafond. A quoi pouvait bien penser Jaina? Surement à rien. Difficile à dire puisque je ne sais pas si elle est reveillée. Je la laisse, ou je réessaye ?

Je m'approche de son corps, toujours debout.

-Mademoiselle Jaina ?

J'en avais marre. D'attendre ...

Invité

Je voulais dormir car comme sa je pouvais enfin me reposer mais je n'avais guère. Je n'entendais rien, ne sentais presque rien. J'avais perdu tout mes sens a par celui du sexe, oui je l'ai suis surement l'unique personne. Je ressentais un besoin ardent d'avoir du sexe. Je voulais absolument mais j'en étais priver, j'étais punis... quel idiotie j'ai fais ! J'aurai jamais du m'occuper de cette détenue. Rah !
Finalement je dormis écrouler de fatigue. Je rêvais pas comme a mon habitude. Je me baladais dans un blanc brumeux en cherchant en vain la sortis. C'était un cauchemar ou un rêve ? Sérieusement je sais pas car ses le premier rêve que je maitrise et j'ai donc un peu peur. Finalement elle me réveilla quand je passa la porte qui était masquer. Je ressentais toujours presque rien mais je pouvais entendre et parler.
je lui répondis pas de fatigue puis elle me relaissa dormir. je rêvais cette fois si. De ma mort. Je pense pas que c'est réel et j'espère pas ! Etrange que je rêve... étrange que je pense a ceci alors que je rêve en général de mes amant ou de mes futur position !... suis-je hanté ? J'espère pas ! Puis j'entendis une voix qui me réveilla. Je me réveilla en sursaut mais resté assis sur le lit toujours en manque d'énergie. j'avais faim, j'avais soif et j'avais surtout peur.

-Oui ?...

Comment aller au réfectoire ? Je suis sur que je pourrai jamais faire un mètre sans tombé à terre. Pourquoi m'avoir fais ceci ? M'avoir retardé ? Mes lèvres était sèche, je tentais en vain de boire ma salive et ce qui dépassais tout mais avais de la peine était surtout une envie de faire l'amour débordante. Il vaut mieux quel m'aide.

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Uh-huh ... Bon elle est vraiment à plat la gardienne. Elle avait l'air assoiffée. Bon ben aller Yoyo, montre que tu en as un de coeur. Je n'aime pas l'idée de la laisser seule ici.

-Je vais vous chercher quelque chose à boir et à manger. Je reviens vite. De tout façon, vous ne pourrez pas aller bien loin dans votre état. Donc attendez moi.

Je tourna mes talons, et courus aussi vite que je le pouvais au refect'. Je demende rapidement de quoi boir et manger au cuistos, à ma foi fort sympatique. Dans un second galop, je retourna à ma cellule. Elle est toujours étandue sur mon lit. Je m'approche d'elle. En lui redressant la tête, je la fis boir.

-Bon ben, si vous en avez la force. Je laisse de quoi manger à coté de vous.

J'ai peut-être un coeur enfuie quelque part dans mes entraillles. Mais je ne suis pas une boniche. Je m'assois au pied du lit sur lequel Jaina reposait.

- Ca va mieux?

Quelle question stupide. M'enfin, au moins on ne peut pas dire que j'me fous de ce qui peut lui arriver.

Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu'elle m'avait mentie quand elle m'avait dit son âge. 20 ans ... Elle est plus jeune. J'en suis sûr. Sinon elle ne se laisserai pas facilement faire par une plus jeune qu'elle. Donc en conclusion, elle est soit plus jeune que moi, soit elle a mon âge. Vrai, faux ? M'en fous y a que moi qui sais à quoi je pense.

Invité

J'attendais, assoiffer et avec une faim débordante. Et le pire, une envie de sexe immonde ! le problème est que je mourrai de fatigue si j'ai la moindre petite lueur de sexe. j'ai envie de me masturbé ou de payer une personne pour me baiser. C'est atroce ! Que faire pour supprimé cette envie ?... je dois attendre...

-Je risqu... merde, elle est partit...

Elle est partit me cherche a manger et a boire ? Elle est gentille ! Elle pense a ma santé, c'est vrai vu ce quel ma fais. Elle a en quelque sorte provoquer ma crise. Hum... un beau garçons ! Viens baiser avec moi, viens ! Merde elle arrive. Je me coucha sur le lit.
Elle m'obligea a boire et cette eau fraiche avec un arrière gout de javel fus un plaisir. Jamais j'avais eu aussi soif ! Je me redressa directement et mangea tout et bus tout comme si c'était ma dernière nourriture pour la semaine. Je la remercierai jamais assez !

-Merci ! Je pense que oui !...

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-Merci ! je pense que oui ! …

Super, je n’aurai pas sa mort sur ma conscience. Après avoir mangé et bu, elle avait l’air d’aller beaucoup mieux. Comme à ma prédiction. Je baille. Oula, ma nuit n’a pas été aussi courte pourtant. S’il ne bousculait pas mes rêves aussi. Arf, vive le sommeil. Je suis encore plus fatiguée qu’autre chose. Enfin tant que ca ne se voit pas. Je lui tendis une nouvelle fois ces clefs en lui souriant.

-Vous vous souvenez de moi ?

J’espère, sinon je serai très vexée. Enfin quoi que, peut-être pas. Mon nom n’est pas si courant que ça. J’avais pas remarquée à quel point il faisait froid ici. M’étonne pas d’un côté, vu le temps dehors aussi. Pluie Pluie et encore pluie. Super. Je fis le tour du lit pour venir en face de la fenêtre. Je serai bien sortie dehors au faite. Même s’il pleuvait à la renverse.

-Vous aviez l’air plus en forme la dernière fois que nous nous sommes vus.

Quelle ironie des choses, recroiser mademoiselle à-besoin-de-x-pour-vivre, dans les couloirs. Je ne la juge pas, se serait trop déplacer de ma part. Ouais bon, okay, j’avoue, elle est très mignonne. Mais on n’est quand même pas sur une plage d’exhibitionniste. Personnellement elle devrait soigner sa façon de s’habiller. Je comprends mieux pourquoi tout le monde à envie de lui passer dessus. M’enfin, nous sommes dans un pays libre … ou presque.

-Si vous voulez encore dormir, c’est vous qui voyez. Mais dans ce cas, il serait plus sage d’aller à l’infirmerie. C’est plus proche que votre chambre, je suppose.

Et vu qu’elle n’avait pas encore récupéré totalement. Il serait beaucoup plus facile pour moi de la déplacer d’ici à l’infirmerie que d’ici jusqu’à sa chambre. Et encore un autre avantage, elle ne serait plus ‘’obligée’’ de squatter mon lit. J’espère que j’vais pas avoir son odeur ce soir en allant me coucher. Se serait très gênant de dormir avec l’odeur d’une autre femme. Limite si se serait un homme … Arf, nan même pas… Je rougis à cette idée grossière. Je secoue ma tête pour en revenir à Jaina.

-Alors ? Votre choix ?

Invité

Je m'allongea sur le lit. j'avais manger mais mon envie persistait. Je voulais lui faire du bien et me faire du bien, elle le mérite elle ma sauver la vie ! Hum... j'aimerai me la faire ! Si belle et si jeune à la fois ! Il est vrai que je mens sur mon age mais j'ai pas peur... enfin pas trop... je pris mes clef et les sur moi. J'avais envie d'elle voila tout !

-Yoruichi, je présume ! Je pense que oui !

Je souris en lui répondant. Le froid de le pièce commençais a toucher mon système nerveux et je ne voulais qu'une chose, sentir une chaleur humaine parcourir le long de mon corps afin de me faire jouir et d'augmenter ma chaleur corporelle ! Je la regardais avec des yeux perçant. Elle partit regarder par de là les barreaux. Je vois pas que-ce-qui peux l'intéresser à par de l'eau tombant sur un gros truc gris !

-Dans la douche ? J'étais en forme !

Aller viens ma mignonne ! J'aimerai te faire un pitit câlin ! Ohhhh oui ! Un gros câlin bien baveux et mouiller ! Surtout mouiller ! Elle va jouir plein de fois avec moi. Oui je suis une grosse cochonne mais bon... j'aime ceci !

Je répondis pas, je voulais resté avec elle et faire certaine chose que je désire, bizarrement je me sens comme relâcher d'un lourd poids ! j'ai encore plus envie et je sens que la moindre petite lechouille sur mon corps me fera jouir comme jamais.

-J'aimerai bien resté avec vous... faire certaine chose !

Je m'approcha d'elle par derrière puis mis une main sur sont épaule gauche et l'autre sur sa cuisse droite. Je la tourna légèrement et moi aussi puis une fois que je pouvais l'embrasser je l'embrassa.

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Elle est dure de la feuille. Je n’avais aucune de l’avoir dans les pattes. Mais nan madame veut encore rester avec moi. Et pour combler le tout pour faire certaines choses. Oula, je la vois venir elle. Hors de question. Je ne réponds rien à ce qu’elle venait de me dire. Par contre, je sentis sa présence derrière moi. Quelques secondes plus tard, ses lèvres étaient collées contre les miennes. Elle veut que je la tue ou quoi ? Mon premier reflexe est de la repousser.

-Ne recommencez plus jamais ça.

Excuse-moi Bella, je me suis faite embrassée. Enfin ça ne compte pas il n’y a pas eu tournement de langues. Je secouai frénétiquement la tête de droite à gauche pour effacer ce qu’il venait de se passer. Le gout de ses lèvres était encore présent sur les miennes. Bordèle, je hais ça. Comme un loup aux aguets, je garde un œil sur elle pour qu’elle ne refasse plus ce qu’elle avait osée faire. Merde hein, je ne suis pas adepte de la gente féminine. Ca se voit à ma tête nan ?

-Il me semblait que vous aviez compris que jamais je ne serai vôtre dans les douches.

Ma voix est froide, et mon regard dénudé de tout sympathie. Je hais le fait d’être touchée. Mais me faire embrasser par une fille. Ca c’est encore pire. Elle doit rester impérativement à au moins un mètre de moi. Si elle retente, je sens que non seulement elle va s’en prendre une. Mais de plus, je ne me retiendrai pas pour la … Arf, elle a beau avoir un jolie minois c’est tout. Ca ne va pas plus loin.

-Ecoutez Jaina, vous avez peut-être du succès auprès des détenus. Mais pour votre bien, évitez de vouloir me tourner autour.

Je suis la plus sérieuse possible. Me forcer à accepter d’être toucher était pire qu’une torture pour moi. J’étais prête à montrer des crocs et à sortir les griffes pour me conserver. Mon corps a déjà été souillé par ce salo. C’est bon stop. Si je suis agressive, c’est uniquement pour me défendre. J’espère que Jaina l’a compris.

-Vous avez du charme certes. Mais il ne fait aucun effet sur moi. Acceptez la défaite. IL n’y aura aucune suite.

Comment Jaina allait réagir à une défaite ? Je pouvais sans problème conclure que jamais elle n’a loupé une chance de ‘’coucher’’ avec qui que se soit. Ca devait lui faire mal … Bon j’m’en fous. Je ne suis pas un objet. Et elle, encore moi. Enfin elle ne sera jamais MON jouet. Vive les hommes, même si je les hais.

-Vous voulez que je vous amène à l’infirmerie. Ou êtes-vous assez apte à vous y rendre toute seule ?

Invité

Elle me repoussa sans trop être méchante mais assez pour me repousser alors que j'avais attacher autour d'elle met bras. Je suis terriblement déçus par elle et le serait toute ma vie. J'ai une envie pas possible et elle refuse de rassasier mon envie pervers ? C'est une honte, elle mérite la prison !!!! Merde elle est déjà en prison ! Je suis vraiment conne parfois !

-Je... si vous voulez...

Je l'avais embrasser de force j'avoue, mais je pensais quelle m'accepterait et continuerai... si elle pouvait savoir comment je suis désoler ! et maintenant Elle me surveille comme si j'étais un détenue qui adorai violer les gens...

-J'allais pas vous embrassez dans les douches... et puis, je suis tenace !

Enfin embrasser, c'est si peu ! je me fais prendre ou partouze par les détenues ! Hum ! c'est si excitant si jouissif ! J'aimerai justement avoir des relations la maintenant et avec elle ! ma récidiviste ! Elle tente de me résisté mais je réussirai a percé sa coque protectrice !

-Si vous voulez, j'abandonne !

Hélas j'ai perdu une amante de plus ! Une personne qui aurait pu m'éviter une crise. Pourquoi j'ai encore perdu une personne ?! Je suis horrible voila tout ! Personne m'aime !!!

-Oui j'abandonne jamais je pourrai m'approcher de vous !

Je suis défais, jamais je pourrai la charme... je suis terriblement démoraliser et j'ai une boule a l'estomac. J'ai une envie pressente de sexe mais je peux pas me rassasier ! Sur ma montre : 87:69

-Je pe

Soudainement je me tin le cœur puis plus rien. Je viens de faire un arrêt cardiaque.

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Elle regarde sa montre. Intriguée, je la regarde… Bam. Elle tombe par terre. Elle m’ennuie à avoir ses crises comme ça sans prévenir. Je soupire et lâcha d’un ton offensé :

-Vous me prenez pour une infirmière ou quoi ?

Elle avait l’air raide. Et si c’était plus grave que ça première crise ? Je m’approche d’elle. En me mettant à ses côtés.

-mademoiselle Jaina ?

Je tapote son visage. Pas de réponse. Je pose ma main sous son cou pour sentir son pouls. Merde, il est très faible. Bon restez calme. Comment voulez-vous que je reste calme alors que j’ai une mourante au sol ?! Je tente d’appeler quelqu’un. Heureusement, un détenu répond à mon appel. De plus, c’est un étudiant en médecine. Je tire la tête de Jaina vers moi. L’autre détenu est posté devant sa bouche, il souffle quelques fois, puis de mon côté, j’appuie sur sa cage thoracique. Je repris son pouls.

-Bordèle de merde, elle veut ma mort celle là ! Reste avec elle, je vais chercher l’infirmière.

Après avoir aidé le garçon à placer Jaina dans le lit le plus proche -pas le mien cette fois si-. J’entamais une course dans les couloirs jusqu’à l’infirmerie. La chance me sourie. J’étais à bout de souffle. Mais je parviens à formuler :

-Mademoiselle … Jaina a fait un … arrêt cardiaque … Cellule 23.

Je n’avais jamais courue aussi vite de ma vie. Pendant que l’infirmière se dirigeait à toute jambe avec son matériel, je restais là. Adossée au mur. Mon cœur battait vite … Bella. Je me sens de plus en plus mal. Mes entrailles me crispent. Obligé de me courber en deux. Et là, une douce coulée de sang dévale de ma bouche.

-MERDE !

Après quelques minutes, ma crise était passée. Je n’avais qu’une seule chose en tête : Jaina. Je me précipitai donc dans le couloir. A une allure raisonnable. Quand j’arrive devant la porte de ma cellule. L’infirmière sort. Et me dis :

-On doit l’emener à l’infirmerie.

Bon okay j’ai compris. Je remerciai le garçon. J’arrivais tant bien que de mal à hisser Jaina sur mon dos. L’infirmière était trop pressée à mon gout. Elle m’aida à porter Jaina jusqu’à l’infirmerie.

Invité

Je suis morte ? Je n'ai plus de souvenir. Je suis tomber et voila... tout autour de moi est si blanc. Cette lumière m'aveugle mais je sais pas par ou aller. Que faire ? Je suis coincer en moi ? Je vais mourir ? Comment une simple crise peu me faire ceci ? Cette maladie a décidé de me tuer ? t'en de question sans réponse ! Je n'ai plus faim, soif et même plus envie d'avoir des relations. Je suis coincer dans des abysses et je connais pas le chemin pour sortir de cette enfer ! Que ?... ma vus commence a arrêté de ce brouiller et je me vois ! Un homme est avec elle. Je peu pas bouger ni parler. Je sais plus quoi faire. Je les entends pas et je ressens rien. Je suis morte ! Il vont m'aider ou préparé mes funérailles ? J'espère qu'il vont m'aider j'aime beaucoup trop cette vie. Pitié dieux si tu excite épargne moi, je sais que j'ai pêcher mais ce n'est pas ma faute ! Tien, elle par... je peux pas la suivre malheureusement ! Elle semble avoir si peur. Pourquoi je ne peux que ma balader dans cette pièce ? En dehors de cette porte tout est d'un blanc intense, ceci m'oblige a reculer !... Jamais je me suis sentis si légère, je vole ! C'est si étrange ! Tien ! L'infirmière ! Elle vient pour me sauver ? YOUPI !!! Tien elle me porte, enfin je peux sortir de cette pièce ! Il me mette sur un lit. Aller réanimer moi ! j'ai pas envie d'avoir des séquelles de cette crise ! Enfin ! Enfin j'arrête d'être dans le coma, je suis enfin en moi, je récupère mon envie pressente de sexe, ma faim et ma soif. Je récupère mes douleur et mes joie ! Je suis enfin la ! J'ouvre les yeux lentement et tente de me lever. J'ai pas la force et tombe directement... je peux pas parler. Mes lèvres bouge pas... je réussis tout de même a dire un mot.

-Mer... ciii...

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Bon sang, elle est quand même lourde Jaina. Elle a beau être petite mais tout de même. L'infirmière et moi, nous dirigions vers l'infirmerie. Jaina ne bougait pas. Par contre je pouvais sentir sa respiration.

-Elle est dans cet état depuis combien de temps? me demanda l'infirmière.

-Pas plus de dix minutes. Mais elle a fait une autre crise avant.

J'arrête de parler. Nous sommes devant la porte. En entrant, dans la pièce qui ne m'étais pas inconnue. Je remarque qu'il n'y avait plus ceux de la dernière fois. Elle était vide. Je dépose doucement Jaina sur un lit vide. L'infirmière prends sa tention. Tout à l'air normal.

-Pouvez-vous ...

-mer..ci ...

L'infimière n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que la gardienne essayait déjà de parler. Quelle gourde. Qu'elle se repose au lieu de vouloir ... Roooh. L'infirmière me regarde et continu:

-Pourvez-vous rester un instant avec elle ?

Rester avec Jaina? Elle est folle cette infirmière de laisser un détenu avec un gardien seul dans l'infirmerie. Enfin j'accepta tout de même. Histoire de ne pas me montrer impolie.

- Pas de soucis.

Je m'assois sur le bord du lit de la gardienne souffrante. Après avoir inspecter les lieux du regard. Je demanda au gardien:

-Je crois que je vais vous laissez. Vous devez vous reposer.

Je me lève doucement. Et d'un pas silencieux, je me dirige vers la sortie.

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