Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
|
| Laver son linge sale si possible loin du public. | |
| | Auteur | Message |
---|
Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Laver son linge sale si possible loin du public. Sam 22 Mar - 14:29 | |
| Je suis comme tout le monde malgré ce que les gens pourront dire, je lave mon linge aussi ! J'entre dans la laverie mon petit panier de linge à la main. Je ferme la porte derrière moi et commence à trier mon linge.
Facile je ne porte que du gris, du noir, du vert, du blanc pour les jours normaux. Bon j'ai décidé de laver tout mon linge de ces couleurs j'ai donc été obligée de porter une robe longue et rouge sang. Je me sens mega mal à l'aise. J'espère que cette machine se fera vite !
Je souris tout de même en pensant à Stjepan, Jaina et à tout ce qui m'est arrivé depuis que je suis à Sadismus jusqu'à ce que mon sourire retombe. Il y a une chose qui s'est mal passé depuis que je suis ici...Thorkel...Je suis assez inquiète à l'idée de le recroiser même si je ne lui montrerai pas. | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Dim 23 Mar - 7:04 | |
| Non seulement je viens d’avoir une journée des plus harassantes, aves un fond de rencontre, mais en plus je ne suis pas prêt à me reposer. Je dois avant tout faire … MA LESSIVE !!
Bien sûr que je sais la faire, d’ailleurs je l’ai toujours faite, mais là franchement ça me gave, grave. J’en ai pas envi, je veux me reposer, je veux du calme et pas en plus ces machines qui font du bruit à l’essorage. Mais bon je n’ai pas le choix si je veux être propre sur moi. Muni de mon éternelle bannette de linges sales, j’ouvre la porte de la laverie. Je ne tiens pas compte pour le moment des personnes présentes, juste que je dois poser cette bannette de malheur. C’est fait, maintenant mes yeux font un tour circulaire de la pièce, nous ne sommes que deux, et je dois dire que la deuxième personne est tout simplement …. Wouaaa !!
Il y a une femme, c’est un peu normal en même temps, mais en robe, très rare dans ce genre d’endroit qu’est cette prison. J’admire sa taille fine, cette robe rouge la met vraiment en valeur, un plaisir pour les yeux. J’aurais même envi de passer mes mains sur ses hanches, de les faire glisser jusqu’à sa poitrine. Mais je suis là pour laver mon linge tout de même. Mais je ne peux empêcher mon regard descendre jusqu’à sa chute de reins, mon désir est exacerbé, comment j’ai fait pour passer à coté de cette belle blonde.
Ma bannette sur une table, proche de la machine que je veux utiliser, n’attend plus que moi et commence à la remplir. J’introduis de la lessive et adoucissant, ensuite de passe à la phase de la sélection du programme et met un jeton, voilà c’est parti. Maintenant j’ai tout le temps de faire connaissance avec cette beauté. Je dois faire une approche simple, sans trop en faire, je ne voudrais pas me prendre un vent trop rapidement. Je m’assoie sur le siège, toujours aussi nonchalamment et croise les jambes. Puis je pose mon coude sur la table pour pouvoir y mettre ma tête, j’aime bien cette position de décontraction et d’attente. Je peux maintenant passer à l’action.
-Bonjour jeune demoiselle, je peux constater que nous avons le même emploi du temps.
Laisse tomber l’approche. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: an Dim 23 Mar - 7:49 | |
| J'avais à peine mis mes deux machine en route, j'avais beaucoup de linge, que j'entends la porte de la Laverie s'ouvrir et se refermer. Allons bon ! Je voulais que personne ne voit dans cette robe mais c'est bien sur impossible ! Et maintenant on va me prendre pour quoi ?! Une allumeuse ? Mon Dieu quelle horreur ! Allons calmons-nous et tachons de l'ignorer ! Je ne bouge pas de mes machines et reste dos à notre invité. Je suis ses mouvements en l'écoutant. Je le sens assez stressé, mais je sens aussi une certaine fierté d'être là. Ok, c'est pas un détenu mais un gardien c'est déjà ça. Sinon mon autorité volait en éclat ! Je sens son regard dériver sur mon corps. Rah j'aime pas qu'on me mate dans ces situations ! Quand je suis en robe je suis mega mal à l'aise ! Je suis assez gênée qu'il observe ainsi chacun de mes courbes et qu'il s'attarde notamment sur mon popotin. Encore un pervers qui parce que je n'ai pas mon uniforme et une robe assez sexy qui affole les hormones, me prends pour une détenue en chaleur ! J'aurai décidément tout vu ! J'entends une chaise se tirer en crissant sur le carrelage. Le bruit m'irrite les oreilles mais la voix que j'entends me fait sursauter et frissonner : -Bonjour jeune demoiselle, je peux constater que nous avons le même emploi du temps.
Laisse tomber l'approche d'abrutit...Mais cette voix me perturbe. Je l'ai déjà entendue. Cette voix si pleine de fierté mal placée et d'orgueil et de prétention ! Ca me fout en rogne rien que de me rappeller combien le fiel de cette langue de vipère est acide...Thorkel...Ca ne peut être que lui ! Pourquoi faut-il qu'il me voit en robe ?! Bon rester calme...Prendre un air détendu et se retourner. Je me retourne avec un sourire moqueur et le regarde d'un air on ne peut plus goguenard. -Faudrait foir à réfiser tes classiques de drague mon cher Thorkel...Parce que sérieusement c'est pas terrible... Voilà ! Comme ça ! Ne pas lui montrer mon embarras en robe ! C'est mieux que ce que je me pensais capable de faire ! Prends ça has-been ! | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mer 26 Mar - 13:31 | |
| Il est vrai que je n’étais pas au point sur mon approche mais le reste pourrait marcher, pourquoi pas. Non vraiment pas ! Quand elle se retourne enfin j’ai la très grande surprise de voir Maria … MARIA !
Celle qui n’avait pas sa langue dans sa poche, celle qui avait fait tant de mal par le passé et qui c’est ici aussi. Bon l’adage dit de ne pas regarder la paille qui se trouve dans l’œil de son voisin mais plutôt la poutre qui est dans le sien. Si j’ai fait du mal c’est juste ici, et pour une raison bien défini et … Juste. Pour le moment ce n’est pas la question … Elle est là, devant moi dans sa plus belle robe rouge … Je me demande si elle en a d’autres ?! Elle a un corps superbe et je pourrais effacer tout ce qui la concerne pour pouvoir m’amuser un peu avec elle. Cependant Maria doit savoir se défendre contre moi, mais le pourrait-elle contre elle-même ?
Je me lève de mon siège avec une lenteur exagérée, je suis ainsi, je veux qu’elle me voit tel un félin prêt à bondir sur sa proie et peu importe ce qu’il pourrait se passer.
-Ma drague n’ai peut être pas au top, mais je n’en ai jamais eu vraiment besoin. D’ailleurs puisque c’est vous je vais stopper là, je ne pense pas que vous aimez tellement vous faire draguer. Vous êtes au dessus de tout ça … N’est ce pas Maria ?
Je m’avance vers elle, je ne sais pas qu’elle attitude elle va adopter mais la mienne restera celle que je connais le plus. Arrivé à sa hauteur … Enfin si je peux m’exprimer ainsi... Je la regarde droit dans les yeux avant de les descendre progressivement tout le long de son corps. Je ne joue pas le pervers, plus le type qui a un certain coup d’œil appréciateur pour les belles choses. Et là je dois dire que de près c’est encore mieux.
-Je ne savais que vous pouviez vous portez des vêtements aussi féminin, vous me surprenez. Cela vous va à ravir. Dommage que le reste ne va pas avec. Dites moi, quand vous mettez de belles robes, votre caractère s’en trouve changer ou pas ? Comme votre caractère n’est pas mieux fait que la taille je trouve cela vraiment dommage …
Je m’approche encore un peu plus, je vais sûrement le regretter mais j’aime le risque, que voulez-vous. J’attends sa réaction d’une minute à l’autre, j’aviserais en conséquence … Et mes pas viennent à elle, sans se départir d’un certain air hautain. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mer 26 Mar - 14:00 | |
| Il se lève voulant probablement se la jouer grand félidé mais avec moi ça marche pas. Surtout qu'un animal comme un félin est rapide. J'ai peut-être des yeux de chats mais j'me laisserais pas draguer par un goutière minable et imbu de sa personne. Ce qu'il me dit me plait. Il a quand même un certain respect pour moi puisque je suis au dessus des dragueurs de bas étages. Il remonte un peu dans mon estime... Il s'approche de moi cherchant je ne sais quelle approbation dans mes yeux. Laisse tomber mon grand tu n'auras rien de tout ça. Il baisse les yeux et laisse son regard plein de désir se promener sur mon corps. Je lui relève la tête avec un doigt. -On se calme mon grand. Mes yeux sont plus haut. Je lui souris moqueuse. Finalement cette robe me plait. Elle me permet de mettre cette vipère à mes pieds. -Ce genre de vêtements sont pour les grandes occasions mais quand on décide comme moi de laver tout son linge d'un coup on est bien obligé de mettre du linge de ce genre. Je le regarde s'approcher plus près et lui colle un coup de genoux au même endroit que la dernière fois. Je fais exprès d'éviter sa virilité car ça peut lui servir. -Pour te répondre, je ne change pas de caractère en fonction de mes fringues. Va falloir faire avec mon caractère de merde. Je souris. Je vais m'amuser je le sens. Je me baisse et observe mon linge dans la machine avant de me relever et de m'éloigner de lui. | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Dim 30 Mar - 14:30 | |
| Vraiment elle n’est pas possible, je dois rattraper mes erreurs avec elle. Elle a vraiment un caractère de chien, mais le pire est que cela me plait énormément. Je ne suis pas prêt de laisser tomber, bien ai contraire, je vais même en profiter un peu. Maria m’a prit de haut, je vais la mettre bas, au ras du sol. Et je dois sire que cela éveil en moi bien des images le plus pervers qu’il soit. Je sursaute quand son genou revient percuter ma cuisse, évitant les objets qui me sont chers. Elle ne perd rien pour attendre, c’est la deuxième fois qu’elle me fait le coup. C’est un coup de trop. Pour avoir un caractère de merde je suis, pour une fois, tout à fait d’accord avec elle. J’aimerais qu’elle soit plus douce, plus féminine dans ces paroles, pas possible, même trop tard pour revenir en arrière. C’est tout une éducation a refaire et je n’ai pas le temps pour cela, j’ai une autre idée en tête que celle-là. Quand elle se détourne de moi pour regarder son linge, j’ai la vision d’un plan d’arrière train bien sympathique. Dommage qu’il soit si fugace. Quand je la vois s’éloigner, mon sang ne fait qu’un tour. Pas question que j’en reste là, j’ai bien envi de m’amuser. Je crois même que je risque d’y perdre des plumes, perdre gros, mais elle m’a assez titillé comme cela.
-Pas si vite jeune femme ! Ca fait deux fois que je risque ma virilité par des soins. Même si tu ne les as pas touchés, le geste était là.
Je la contourne et me place à nouveau devant Maria. Puis sans attendre qu’elle ne fasse encore un geste malencontreux, je la plaque contre une des machines à laver. Mon corps épouse parfaitement celui de le jeune femme, mes mains se crispent sur ses épaules pour qu’elle évite de bouger. Même si c’est une femme, elle a une sacrée force. Mais une femme reste une femme et je n’ai rien d’un midinet.
-Alors ma belle, je ne suis pas le genre à faire de la drague bien comme il faut, mais plutôt du rentre-dedans. Avec toi c’est pire, et puis c’est quoi cette manière de se pencher devant moi aussi impunément. Je vais devoir sévir, c’est carrément de la poudre aux yeux que tu me lance.
Une de mes mains glisse le long de son corps, refait le contour de ses courbes rondes. Dieu qu’elle est belle sous ses formes, dommage pour le caractère. Je m’y ferais bien de toute manière, j’en ai vu d’autres. Hommes comme femmes, détenus comme gardiens, pas simple mais faisable. Et elle continue toujours de descendre inlassablement, peu importe les dire de Maria. Je ne suis pas prêt à arrêter mes recherches. Enfin j’arrive a sa cuisse, et oui la sienne cette fois. Elle remarquera que j’ai aussi évité son intimité, j’aime prendre mon temps. D’ailleurs ma machine à laver n’est qu’au début de son lavage et moi aussi. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Dim 30 Mar - 15:22 | |
| Son regard me dévore et je le sens agacé de ne pas pouvoir de assouvir ses désirs avec moi.
Et oui mon mignon je ne me laisserai pas avoir je t'avais prévenu tu vas en chier ! Il est énervé par le coup je souris. Il devrait s'estimer heureux je pourrai lui briser les bougnettes si je le voulais ! ^^
Je suis vraiment trop gentille avec lui. J'aurai pu lui faire mal mais je me suis retenue je ne me comprends plus ! Mais je suis tout de même amusée.
-Pas si vite jeune femme ! Ca fait deux fois que je risque ma virilité par des soins. Même si tu ne les as pas touchés, le geste était là.
Je ris. Allons bon qu'est-ce qu'il me baragouine là !
-Roh rale pas Thorky ! Je fais exprès d'éviter tes roubibis ! Ca peut servir je le sais !
Ah les hommes et leurs burnes ! Sans elles ils se sentiraient perdus ! Il est proche de moi à présent je dois me méfier. Garder un périmètre de sécurité. Cela m'est impossible je n'ai pas le temps de bouger qu'il me plaque contre une machine à laver et se colle à moi. Il laisse sa main parcourir mon corps ce qui me fait frissonner. J'ai honte de me l'avouer mais il m'excite...
-Alors ma belle, je ne suis pas le genre à faire de la drague bien comme il faut, mais plutôt du rentre-dedans. Avec toi c’est pire, et puis c’est quoi cette manière de se pencher devant moi aussi impunément. Je vais devoir sévir, c’est carrément de la poudre aux yeux que tu me lance.
Je ris à nouveau. Ah la la quel plaisantin ce Thorkel ! Ce lui souffle dans le cou et le mords passionément. J'ai mes dents longues et les planter dans sa chair m'excite pas mal. Sa peau a un gout salé et son sang aussi. Sa main s'arrête loin de mon intimité. T'as raison mon mignon prends ton temps t'auras des surprises...Je lèche mes lèvres quand je recule la bouche encore gorgée de son sang... Je l'embrasse et transvase un peu de son liquide vital entre ses lèvres.
-Tu as un gout très excitant mon cher Thorkel mais si tu ne recule pas je risque de devenir violente.
J'approche mes ongles limés en pointe de sa carrotide. Si il ne recule pas, je le bute c'est aussi simple que ça.
-Je domine, tu subis. C'est comme ça que ça marche. Si tu veux qu'on prenne du bon temps sans que je ne te tue respecte les règles.
Je souris. On m'a toujours reproché ce côté psychopate à la fin de la guerre mais là il m'est plutôt d'une bonne aide... | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Lun 31 Mar - 14:46 | |
| Juste après avoir entendu son rire, je sens que l’on me transperce à la base de mon cou. Bordel ! C’est quoi cette femme ? Je me crispe sous la torture et c’est peu dire. Une de mes mains quittent son épaule pour aller dans mon dos, sans comprendre pour le moment … L’instinct. Je grimace, j’ai envi de la fuir mais pas comme ça, je ne suis pas un trouillard. Thorkel Daarkenwald n’a jamais fuit, pas même depuis cette nuit horrible, jamais. Je ne sais plus si elle fait partit de la gente féminine, oui mais des vampires. Sa bouche aspire des gouttes de mon sang, c’est dégueulasse ! Mais que dire quand ses lèvres embrassent les miennes et que je goute à mon tour à mon propre sang. Cela n’est rien en vérité parce que maintenant des ongles sont pointés sur ma gorge prêt à les enfoncer … La garce !
Elle va me le payer et pas plus tard que maintenant. Quand j’ai sentit ses dents, ou plutôt ses crocs sur ma peau, j’ai su que je risquais de perdre mon contrôle, cela me fait bizarre. Je n’aime pas ça. Maria est peut être belle mais surtout violente. Comme elle aime me le signaler, pervers, sanglante, c’est certain.
-Je domine, tu subis. C'est comme ça que ça marche. Si tu veux qu'on prenne du bon temps sans que je ne te tue respecte les règles.
Comment prendre du bon temps quand on risque sa vie à ses cotés. Bah ! Sûrement en lui rendant la pareil et lui montrer qu’il y a des gens qui ne se laisse pas dominer aussi rapidement. Ma main qui avait quitté son épaule se trouvait toujours derrière mon dos, à hauteur de ceinturon. Elle le délaisse pour prendre place le long de mon corps. Pas de geste brusque, elle ne doit que penser que je me soumets à elle. D’un air contrit je m’exprime à Maria.
-Vu comme cela … Ca donne à réfléchir … Je me demandais vraiment si tu voulais du « bon temps » avec moi … Parce que là ça ne se voit pas … Si tu me tues, tu auras certainement des problèmes avec les autorités, remarque tu es déjà sur place, manque plus qu’un procès.
Pendant que je déblatère ce genre de connerie, vraies ou fausses, ma main, cette fourbe, se place entre les jambes de Maria. Mais elle n’est pas venue seule … Sa grande amie est avec elle, joyeuse. L’amie en question est une dague à double tranchants. Quelque fois, elle m’a aidé, sauvé même. Je pense qu’elle le fera encore des merveilles. Je presse celle-ci contre le sexe de Maria, au risque de déchirer sa belle robe rouge.
-Essaie toujours de m’égorger et j’agrandis tes lèvres si intimes soient-elles … Elles ne pourront faire qu’une avec ton anus. Remarque, tu auras assez de place pour recevoir pas mal de personnes. Je te simplifie la vie … Ne vient pas te plaindre.
J’ai un sourire ironique, égal à égal, c’est comme ça que je le vois. Même si elle a des années d’expérience, je suis en train de parfaire la mienne, et je ne suis pas avare d’apprendre.
-Alors si on discutait calmement et gentiment d’un éventuel mélange des corps … Ou cela doit se passer dans la brutalité et le sang ? Peut m’importe en faite … | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mar 1 Avr - 12:31 | |
| Je souris à sa réaction. Thorkel n'aime pas perdre. Mais ce que je sens entre mes cuisses m'inquiète. C'est froid...Non il n'oserait quand même pas ! Je regarde entre mes jambes et vois la lame. LE SALOPARD ! Je descends ma main et retire doucement cette chose d'entre mes jambes. Je le fais calmement tout en l'embrassant sauvagement. Une fois cette opération délicate effectuée je lui parle calmement. -Tu sais Thorkel. Ce qui m'amuse avec toi c'est que je n'arrive jamais à être douce. Pourtant j'y arrive avec les autres. Je ris d'un coup je viens de repenser à un vieil ouvrage que j'ai lu. -En fait toi et moi on est deux forces dominantes opposées. On ne peut faire que se bouffer...On n'aura jamais de rapport doux ça sera toujours tumultueux...Cela te convient ? A moi oui... Je souris et dépose un baiser à l'endroit où je l'ai mordu. -Rassure toi je ne te mordrai pas tout le temps...Je ne l'ai fait que pour marquer le fait que tu m'appartiens. Appose ta marque si tu en as une mais pas sur les parties intimes... Je souris, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de trouver un terrain d'entente. Après tout, il est plutôt pas mal mais il est si hautain... | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mar 1 Avr - 14:20 | |
| Mon corps toujours collé au sien, mais je sens sa main descendre sur la mienne qui tient mon arme. Quand elle l’éloigne de son intimité, je ne fais pas de mouvement brusque pour y revenir. Au contraire j’accepte de ranger mon amie. Je suis d’accord avec Maria, moi aussi j’ai du mal à être tendre avec elle. Ce n’est pas la première fois en faite, avec Carl s’était pareil, pourtant j’ai essayé mais rien n’y a fait. Je suis passé à l’acte sans remord. La différence avec Maria s’est que j’ai envi d’elle, mais de là de le faire en douceur est autre chose, je ne pourrais pas. La brutalité est la seule solution, c’est tout ce que je veux d’elle.
-En fait toi et moi on est deux forces dominantes opposées. On ne peut faire que se bouffer...On n'aura jamais de rapport doux ça sera toujours tumultueux...Cela te convient ? A moi oui...
Je ne pensais pas qu’elle était arrivée à cette analyse, elle m’étonne de plus en plus. Je constate que nous sommes sur la même longueur d’onde. Cela me parait bizarre, elle a, en tout cas, parfaitement raison, étrange, mais c’est le cas. Je sens ses lèvres sur ma blessure, elle sait tout de même puiser un peu de tendresse au fond d’elle. Ca me plait beaucoup ce genre d’attention, mais pas trop venant de sa part.
-Je n’aime pas me l’avouer mais tu n’as pas tort sur ce point. Nous sommes identiques, pour tenter de dominer l’autre. Et je ne veux pas être sage avec toi, et la délicatesse est exclue.
De là je peux faire selon mon envi et elle est de taille. Ma tête descend vers sa poitrine opulente. Je dépose mes lèvres entre ses deux beaux mamelons, mais je peux m’empêcher de presser fortement ma tête ; peu importe c’est ainsi que je le veux. Je me redresse avec un sourire en coin, j’ai hâte de passer aux choses sérieuses. Mes mains glissent le long de ses cuisses, la caresse est ferme, puis mes doigts capturent les pans de sa robe rouge et la remonte un peu. J’attrape ses fesses sous sa petite culotte, je les malaxe sans douceur. Puis je colle ma virilité érigé contre son intimité. Mon envi est si évident que je bouge contre elle sans le vouloir. Je descends un peu plus pour lui écarter un peu les jambes.
-Je sens que tout me convient …
D’un coup je baisse la tête, puis sans prévenir je mords un de ses seins. Mes dents entre sans problèmes, c’est si moelleux.
-J’espère que tu apprécies parce que je n’ai pas l’intention d’en rester là !! Fais-moi voir les enfers Maria … dis moi tes intentions et je te montrais ce que je veux de toi … Tu es autant féroce que moi. Ne te retiens pas, mais si le sang colle attends-toi à des représailles.
Vorace, je capture ses lèvres, brutalement, ma langue s’insinue dans sa bouche, c’est bref. Pour finir le baiser, je mordille sa lèvre inférieure. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Ven 4 Avr - 17:01 | |
| Il colle sa tête contre la poitrine tant désirée. Je ne sais pas pourquoi mais je me sens mal...J'ai pas envie de brutalité dans les rapports de ce genre. Je ne suis pas un animal...Je le regarde se presser contre moi brulant de désir de me posséder. Mon regard devient vide. J'ai l'impression de voir un officier SS. Il ne vaut pas mieux qu'eux...
Je ne suis plus moi. Je prends Thorkel aux épaules et le jette loin de moi. Je me sens mal. Je cache mes yeux d'une main et me laisse tomber sur le sol. J'ai besoin de fumer...Ca faisait longtemps...Je souris d'un air mi-amusé mi-nostalgique. Le pauvre Thorkel ne doit plus comprendre quoi que ce soit...Je le regarde au travers de mes doigts et lui ne peut voir qu'une lueur d'un bleu triste.
-Désolée Thorkel. Un mauvais souvenir...Tu n'aurais pas une clope ? J'ai besoin d'une pause.
Je sors une gnole de schaps de ma culotte. Je bois pas souvent mais le schnaps est mon péché mignon. Je me rends compte que j'ai aussi ma boite à cigarettes. Qu'est-ce que ça fout là ? Roh tant pis ça m'arrange. C'était SA boîte à lui...Je sors une cigarette et prends le briquet dans la boîte. Le Zippo qui l'accompagnait partout...Je fume une longue bouffée qui me soulage. Je regarde Thorkel.
-Tu veux une clope ?
Je bois une gorgée de schnaps. Une pause ne fait pas de mal avant la reprise des hostilités. Je me rappelle encore de lui...Le jour de notre première rencontre...Un de mes supérieurs m'avait retrouvée et avait décider de me violer puis de me tuer. J'avais le flingue sur le front j'étais à genoux. A cette époque j'étais encore fragile...C'est après sa mort que je me suis endurcie...Au point de devenir une pierre vivante...Il a tué l'officier sous mes yeux. On s'est regardé et cinq minutes après on faisait l'amour à même le sol...Que de souvenirs... | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Dim 6 Avr - 14:29 | |
| D’un coup sans que je puisse le prévoir, Maria me pousse loin d’elle, avec force. Dieu que cette femme a une poigne d’enfer. Je ne tombe pas, mais essaie de retrouver mon équilibre. Bien campé sur mes jambes cette fois, je la regarde glisse le long de la machine à laver, et choir sur le sol. Je suis un peu agar, pourquoi une soudaine attitude, je pensais que cela serait sur un point réciproque, mais non apparemment, je me suis trompé sur toute la ligne. Encore un fois avec Maria, je crois que je n’arriverais pas à la comprendre, bien des femmes ont cette capacité sur les hommes.
-Désolée Thorkel. Un mauvais souvenir...Tu n'aurais pas une clope ? J'ai besoin d'une pause.
Je viens m’agenouiller près d’elle, serait-elle sans énergie, complètement dépressive ? Cette perspective ne m’enchante pas, loin de là. Elle me déçoit, je l’aurais cru plus forte.
-Tu veux une clope ?
Je pose mes mains sur mes cuisses et la regarda comme le fait sur moi. Mon air est désolé, pour elle, pour moi. Toutes mes envies sont retombées, fondues comme neige au soleil. Suis-je dépité ? Oui et même contrarié, je ne sais pas comment me dépatouiller avec son angoisse. Je la vois prendre une boisson, une allemande, pas étant venait de Maria. Je ne savais pas qu’elle buvait. Mais il n’y a pas de mal à se faire du bien, et ça soulage.
-Je ne fume pas … désolé.
Je ne suis pas doué pour le réconfort, on ne me l’a jamais appris. J’arrive même à être gêner par cette situation. Je ne vais pas capituler pour autant, je ne veux pas repartir avec ce sentiment d’abandon. Je change de position, et place une de mes mains sur le sol, déplace une jambe, que je remonte pour y poser mon autre bras. Mon aptitude est des plus désinvoltes, je veux retrouver notre véritable conduite commune. Je ne veux pas être encore désenchanté. Ma main quitte mon genou, et vient se mettre délicatement sur la joue de Maria. Je ne sais pas encore comment je vais agir mais en tout cas Maria fera certainement quelque chose. Va-t-elle crier, m’en foutre une bonne sur le menton ? Enfin je verrais bien le moment venu.
-Allons Maria tu ne vas pas me faire le coup de la déprime soudaine … Ou est passé ton mordant ? Cela doit être un bien mauvais souvenir, mais ce que je n’apprécie pas c’est que je sois à l’origine de ce retour en arrière.
Mes doigts continuent l’exploration de son doux visage. Je glisse un doigt sur ses lèvres. Ensuite je donne une petite tape avec ce même doigt avec un sourire qui flotte sur mes lèvres. Puis je redescend, laisse son visage et commence une expédition à haut risque vers son décolleter. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mar 22 Avr - 6:15 | |
| Devant les mots de Thorkel et ses douces caresses je ne peux m'empêcher de sourire. Cette relation c'est moi qui l'ai voulue. Je le gifle et sourit. Maria reprend du poil de la bête mon cher ! Tu va pas être déçu ! Je l'embrasse et le mords encore pour le punir. "Je croyais qu'on avait dit "Pas de douceur" Tu les veux tes enfers ? Alors cesse d'invoquer le paradis tu va souffrir mon cher !" Je le colle au sol et déchire ses vêtements sans douceur aucune ! Il veut les enfers il va les avoir ! Je ris et descends le long de son torse mordant le peu de peau que j'arrive à tenir entre mes dents sur mon passage. J'arrive à sa ceinture en souriant comme une démone. Je prends le bouton entre mes lèvres et le retire faisant ensuite glisser son pantalon entre mes mains. Je cloue ensuite ses mains au sol avec les miennes pour lui préciser un détail. ''Cette robe m'a couté très cher ! Je t'interdis de la déchirer. Sinon attends toi à un délaissement total !" Je souris. Ouais la lessive est loin d'être finie. (HJ : Pardon c'est court mais je viens de me remettre dans le bain) | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Lun 28 Avr - 12:58 | |
| Oucht … Bordel ! Elle n’y a pas été de main morte. Je viens de me prendre une sacrée baffe. Du coup, je redescends sur terre. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, j’ai surement eu un égarement. Pourquoi est-ce que je me suis perdu dans une semi-complaisance, surtout pour Maria ?
*La robe rouge peut être ?*
Enfin, Maria reste Maria et elle vient juste de m’embrasser avec sauvagerie. Ses lèvres n’ont rien de douces, bien au contraire, elle mord les miennes. La garce, je saigne, je déteste cela. Avec Brusquerie, elle me clous au sol et s’attaque à mon uniforme, certain qu’elle ne prendra aucune précaution pour lui, mais je la laisse faire. Elle est forte ce n’est pas croyable, il n’est plus que lambeaux.
J’avais une certaine habitude à la domination, j’aurais jamais cru qu’un jour je serais le dominé. Pour le moment c’est le cas, seulement pour l’instant. Je sens ses dents sur mon corps, la furie me fait mal, mais je rends soudain compte que …
*la femelle … Elle m’excite …*
Pour preuve, une bosse vient de se former dans mon pantalon, qui ne ceintura plus ma taille dans quelques minutes. Elle en veut, elle est rapide, empressé, je n’ai pas le temps de dire "ouf" qu’il glisse sur mes jambes. Je ressens le froid sur ma peau, quoique là, je suis chaud, attisé par la demoiselle.
Quand elle a fini de me parler de sa superbe robe, je lui rends son sourire. Je ne vais certainement pas la déchirer, j’en serrais frustré. D’un coup sec, je retire mes mains des siennes, je les glisses le long de ses cuisses, à moitié dénudées par sa position. Rapidement, je remonte les pans de sa robe, jusqu’en haut de la taille. En me redescends légèrement, j’agrippe sa petite culotte et la déchire de chaque coté de ses hanche. Mes gestes sont vifs, précis et peu délicats pour ne pas qu’elle est à redire. Elle me repousse pour mieux me dominer. Je jette au loin, les vestiges de son slip et la prends par les hanches pour la poser à califourchon sur les miennes. Puis je continue mon exploration, enfin presque, parce que mon idée est d’aller directement à ses seins et ce qu’il les retient.
Cette fois je ne fais que repousser le vêtement, je n’ai pas de temps à perdre avec ce genre d’armure. J’aime ce moment de pure bestialité, je veux la posséder, là, tout de suite. Mais avant je veux tout connaitre de son corps voluptueux et ferme. Mes mains s’emparent des mamelons que je presse, les malaxe durement. Deux de mes doigts capturent ses petits boutons de chair que je fais rouler entre eux durement.
-Alors ma chère Maria , dis-je dans une voix souriante, mais ironique, ne croyez-vous pas qu’il peut y avoir un paradis en enfer. A chacun son paradis.
Dans un coup de reins, je m’assois sur le sol carrelé et froid, sur mes fesses nues. Puis ma bouche vient remplacer mes doigts. C’est à mon tour de mordre, de sucer, lécher avidement la peau de ses tétons, pendant que mes mains s’attaquent à ses fesses. Je leurs fais subir le même traitement que ses autres rondeurs. Je lève mon visage vers Maria, avec ce sourire pervers qui me caractérise dans ses joies là.
-Je souffre de patienter de vous faire mienne. Je ne souffre pas de vos attentions … Je vais aussi me lâcher, vous faire comprendre qu’il faut me prendre au sérieux … les réjouissances ne font que commencer, la luxure en prime. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mar 13 Mai - 12:11 | |
| Je le laisse faire ce qu'il voudra de ma poitrine m'autorisant quelques gémissements de douleur mêlée à du plaisir quand ce sauvage me dévore. Je regarde notre position et la trouve follement excitante. Je passe mes bras autour de son cou et mes doigts dans sa chevelure si douce au toucher...
-Alors ma chère Maria , dis-je dans une voix souriante, mais ironique, ne croyez-vous pas qu’il peut y avoir un paradis en enfer. A chacun son paradis.
-De toutes manières je ne peux vivre qu'en enfer alors autant voir le paradis où je peux l'atteindre...
Je souris. Oui j'irai en enfer pour avoir participé à un génocide dans lequel je voyais un idéal préché par un fou...Comme quoi les croyances n'ont pas toujours du bon...
-Je souffre de patienter de vous faire mienne. Je ne souffre pas de vos attentions … Je vais aussi me lâcher, vous faire comprendre qu’il faut me prendre au sérieux … les réjouissances ne font que commencer, la luxure en prime.
J'observais le sourire de Thorkel et souriais à mon tour. Thorkel tu n'es pas au bout de tes surprises...Je lève la jambe et plonge le bout de mon talon aiguille aussi rouge que ma robe dans son épaule. -On ne bouge plus ! La luxure c'est le travail d'une diablesse comme moi. Je souris et l'embrasse lapant le sang que j'ai laissé sur ses lèvres en le mordant tout à l'heure. -Reste calme et fais ce que je te dis...Prends-moi maintenant. On aura tout le temps de jouer après... | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Mer 14 Mai - 16:26 | |
| Je n’ai pas le temps de répondre à son charmant sourire, qu’elle lève la jambe. Cela aurait du me faire plaisir d’ailleurs mais pas recevoir son talon aiguille dans l’épaule. Je ne cris pas sous la douleur, cela lui ferait trop plaisir. Je sers les dents, et essaie de me détendre un maximum pour ne pas me canaliser sur la douleur. Mai elle vient capturer mes lèvres, la bougresse c’est ce qu’elle veut. Je ne suis pas du genre à laisser passer ça, je réponds mais je n’ai pas encore finis avec elle. Les ordres, je les donne aussi, et je peux rester sourd à ceux des autres, sinon ce ne serait pas aussi intéressant. Je dois dire que ça demande me fais chaud au cœur et m’en vais de ce pas la satisfaire. Brusquement je donne un coup de rein et la fait basculer en la prenant pas les hanches. Je la plaque sur le sol sans ménagement, puis je lui soulève la robe rouge, plus haut sur le corps. Mes gestes sont rudes, certes mais nécessaire.
-Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Je ne prendrais pas de gants avec toi, Maria …
Je me place entre ces jambes, et défait le bouton et la fermeture de mon pantalon, que je fais glisser sur mes cuisses. Ensuite je me penche sur Maria et prends en main mon membre érigé. Mon gland glisse dans son intimité, et d’un coup de rein violent j’entre dans son intérieur. Mes mains sont placées de chaque coté de son corps, sur le carrelage, bras tendus. Je ne bouge pas encore en elle, je me penche et vient l’embrasse goulument sur la bouche, c’est bref, pas le temps. Aider des mes bras, et poussant sur mon bassin, je commence à me mouvoir en elle. Mes allers-retours vont loin, profondément dans son intimité. C’est comme une rage qui m’étreint, mes coups de reins sont brutaux, féroce. Le haut de mes cuisses claque sur ses fesses, le bruit est sans pareil, sensuel. J’y vais tellement fort que j’ai l’impression que nous avançons sur le sol de la laverie. C’est certainement ça. Je sens la chaleur envahir mon corps, je sens que la jouissance n’est pas loin. Le plaisir est là, proche, mais pour elle qu’en est-il ?
-C’est bon Maria … Quel plaisir nous avons là tous les deux … encore un peu…
Me relevant un peu, je délaisse le carrelage, mes mains viennent tenir ses hanches, je me mets à genoux. La prenant à bras le corps, je la pousse vers moi, je la sens encore mieux, mes pulsions sont encore plus fortes. Je ne vais pas tenir encore bien longtemps mais qu’importe, je ne désire qu’une chose … Qu’elle me sente passer … | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Sam 17 Mai - 14:33 | |
| Il soulève ma robe et me prévient qu'il n'aura aucune douceur à mon égard. Tant mieux je vais adorer. Il me pénêtre sans ménagement me faisant pousser un long gémissement mi-plaintif mi-soulagé. Bon sang ! J'aurai jamais cru qu'il en avait une aussi grosse...Je me sens un peu mal à l'aise, il me fait mal. Je regarde ses hanches et vois un griffon. Je gémis sous son assaut puis lui sourit. -...Hm...Dis-moi...C'est quoi ce griffon sur ta hanche ? Je gémis et le laisse continuer. Y'a des jours comme ça où ça fait un bien fou de se laisser porter. Il me soulève et me colle à lui. Je le laisse m'étreindre et le mord sauvagement à l'épaule. -Tu m'excite... Je souris et sautille contre lui profitant de son membre bien dur. Je suis contente. | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Lun 19 Mai - 4:15 | |
| Mes assauts sont ininterrompus, je l'empale avec ardeurs dans son intimité. Je colle mon visage contre sa poitrine, je savoure notre fusion, c'est le genre de personne qui ne se laisse pas démonter par quoi que se soit. J'aime entendre ses gémissements de bien être, moi-même j'ai un peu de mal à les retenir. Je ne la savais pas si étroite, le plaisir n'en est que meilleur. De me s mains je l'aide à faire des mouvements de haut en bas sur mon sexe tendu. La jouissance s'accroit de minutes en minutes je ne sais si je vais tenir encore bien longtemps. Seulement j'ai envi de me retenir, de la faire trainer en longueur.
-...Hm...Dis-moi...C'est quoi ce griffon sur ta hanche
Pourquoi cette question dans un moment pareil, elle ne le choisit pas justement. Du coup je ne sais pas si je lui donne satisfaction. Pourtant ces halètements se font entendre, des sons aussi doux, stimulants, provocants. Le bonheur pour quelques instants. Je ne compte pas lui en dire de trop sur ce tatouage, c'est une partie de ma vie que je tiens à garder dans son écrin de secret. Et d'y penser dans un moment pareil est complètement déplacé.je ne sais pas si elle serait, d'ailleurs, capable de comprendre. Maria est peu être terra à terre, c'est pour cela que je répondrais que peu.
-c'est un être fabuleux … qu'un ami aimait beaucoup … C'est en souvenir de lui que je me … Le suis fait tatouer.
Mes coups de reins prennent de l'amplitude, rien que de songer à ce dessin. C'est comme si je ne la voyais plus. Mais je dois me ressaisir. En faite, je n'avais qu'à attendre un peu. Maria le réalise en me mordant la chair de mon épaule. Un gémissement profond sort de ma gorge. Comment une telle morsure peut-elle me faire un tel bien fou. Je ne suis pas du genre SM, mais c'est si bon.
-Tu m'excite...
Ca déclaration est bien venue cette fois, elle n'a pas raté son emplacement. D'un coup, je le repousse, me retire d'en elle. Je la fais basculer vers l'arrière, le sol froid et dur de la laverie nous reçoit. Maintenant elle est sur le dos, je me mets à genoux devant elle, et la pénètre violemment de toute ma longueur. Cela me procure un gémissement d'extase, rauque.
-Tu es bien comme je me l'imaginais … sauvage. J'aime ça.
Je me penche pour prendre se lèvres brutalement, je les mordille. Le baiser est fougueux, assoiffé. Ma langue se faufile dans sa bouche, tout en continuant mes allers-retours en elle. Mes impulsions sont encore plus fervents, enthousiastes. Je les contrôle toujours mais pour combien de temps?
-Jamais une femelle ne m'avait autant fait d'effet … Je me fais un immense plaisir à t'honorer, ma chère Maria … | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Ven 30 Mai - 14:39 | |
| La réponse au sujet de son tatouage me va droit au coeur. Je pense à mon tatouage qui est un tatouage de violence et de douleur...Le sien est un hommage...Je regarde Thorkel avec admiration.
-Tu es bien comme je me l'imaginais … sauvage. J'aime ça.
Il prolonge ses assauts avec toujours plus de force et je me mets à crier. Je ne comprends pas pourquoi mais je retrouve ma voix d'allemande.
-ACH JA ! MACHT WEITER ! TIEFER BITTE !
Je crie comme une vraie Gretchen voilà bien longtemps que je n'ai pas autant hurlé. Je griffe ses épaules car il va vraiment profond. -Jamais une femelle ne m'avait autant fait d'effet … Je me fais un immense plaisir à t'honorer, ma chère Maria …
-KLAPS UND MACHT WEITER ! ACHLOR ! Je ne me reconnais plus j'ai envie de jouir comme un animal, il faut qu'il en finisse et vite ! | |
| | | Thorkel Daarkenwald 3126 Les griffes de la vengeance
Nombre de messages : 2976 Age : 47 Localisation : Assis dans un coin ... J'aiguise mon sabre Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Jeu 19 Juin - 15:07 | |
| [mieux vaut tard que jamais, mais voilà enfin le rp ^^]
Je ne comprends les mots que Maria prononce, cette langue m’est étrangère. Mais seul nos corps parlent pour moi. Sa voix est sans appel, je sais ce qu’elle veut au juste, tout comme moi, arriver au bout, jouir à pleine puissance. C’est si fantasque, que j’ai peine à me contrôler, cependant je dois patienter, et jouir ensemble. Ses ongles entrent dans ma peau, elle me fait mal. Je suis loin de lui en vouloir, cela ne fait qu’ajouter un ressort dans mes élans. J’accélère le mouvement de balancier dans son intimité. Mes pulsions sont si grandes que je viens buter contre ses fesses avec bruit. Mes oreilles les captent ce qui ne fait que m’exciter d’avantage.
J’agrippe plus violent se hanches, mes coups de reins deviennent plus brutaux, plus rapides aussi. Nous crions de concert, à chaque poussées, c’est plus que bestial, sauvage, la rage d’exploser enfin. Mes gémissements sont sans fin maintenant, je sens la sueur couler dans mon dos. C’est l’instant ou une délicieuse chaleur m’envahie, en contradiction avec les tremblements qui parcours mon corps. Je sais que la petite mort est proche, je la sens, la veux à présent.
Après quelques vas et viens plus prononcés, je me déverse en elle en criant son nom. Mon cœur bat si rapidement que j’ai l’impression d’avoir couru le cent mètres. Ma respiration n’est pas mieux, cette fois je crois que je viens de prendre un de ces pieds d’enfer. Ce n’était pas de l’amour mais plutôt une attirance féroce de deux êtres en mal d’union. Nous avons pu assouvir nos plus bas instincts. Fatigué, je me couche sur elle pour reprendre un semblant de souffle et mes esprits.
-Dank Maria …
C’est le seul mot que je connaisse, le seul que je peux dire, même en français. Toutefois je lui en dois plus que ça.
-Tu es vraiment à la hauteur de mes espérances. Je ne m’attendais tout de même pas à cette joute de corps. | |
| | | Maria von der Kreuz 5555 Autorité Sanglante
Nombre de messages : 277 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2008
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. Ven 19 Sep - 19:14 | |
| Il accelère ses mouvements dans un plaisir sans fin. Je le sens à chaque coup bestial me taper au fond du corps. P***** QUE C'EST BON !
Je le sens jouir et me laisse aller peu après toute cette agitation. Je me tends je me crispe, je hurle comme une damnée alors que la jouissance m'emporte comme jamais auparavent. J'ignorai que le sexe sans amour et purement violent pouvait être si bon. Je comprends maintenant pourquoi les SM prennent autant leur pied en se tapant dessus. Enfin j'exagère...
Je le sens peser sur mon corps. J'entends son souffle rauque et haletant. Il fait une chaleur à mourir dans cette laverie. Une pièce pleine d'un vieux carrelage blanc avec deux trois machines à laver et autant de sèche-linge avec deux corps nus et essoufflés, l'un écharpé par des ongles pointus et l'autre assassiné par des assauts destructeurs...Je n'en peux plus je suis épuisée mais je l'entends encore...
-Dank Maria …
Allons bon...Il parle allemand lui ? Enfin...Je le croyais aussi impuissant comme quoi on se trompe toujours...
-Tu es vraiment à la hauteur de mes espérances. Je ne m’attendais tout de même pas à cette joute de corps.
-Moi non plus pour tout t'afouer. Je vais mourrir afant d'afoir pu reprendre mon souffle... | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Laver son linge sale si possible loin du public. | |
| |
| | | | Laver son linge sale si possible loin du public. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|