Sadismus Jail
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 Jefferson Greene

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AuteurMessage
Jefferson
645987 Accusé à tort pour les mauvaises raisons
Jefferson


Féminin
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Age : 34
Date d'inscription : 17/11/2006

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MessageSujet: Jefferson Greene   Jefferson Greene Icon_minitimeSam 18 Nov - 23:51

Dossier médical

Nom & Prénom- Jefferson Greene


Sexe- Mâle et fier de l'être !


Âge- 32 ans


Traits physiques- Svelte et élancé, je surpasse de plusieurs têtes les autres personnes de mon entourage. Je suis doté d'un corps ferme et musclé, habitué à de pénibles heures d'endurance physique ainsi que de longues jambes robustes, de larges épaules et de bras puissants. J'ai un visage généralement indéchiffrable, neutre, mais voilé d'un air sadique accentué par un sourire démentiel qui entraîne le frissonnement chez mon interlocuteur. Mes traits sont fins et délicats, artistiquement sculptés avec une précision experte sur mon teint rosé. Je possède une large bouche railleuse aux lèvres minces et une paire d'yeux légèrement bridés et d'un noir d'ébène, des yeux perçants où brûle une flamme mesquine, refermant mes pensées. J'ai une chevelure brune dépeignée, en bataille n'atteignant pas les épaules.


Taille- 1 mètres 90


Poids- Environ 80 kilos


Maladie ou handicap physique- Aucune de répertoriée


Autres - Non, rien.





Dossier psychologique

Qualités- Je suis un individu déterminé cherchant toujours à accomplir mes désirs avec toutes les manières qui me sont offertes. Je suis également rusé et observateur, rien ne m'échappe. Je possède le talent d'être fort psychologiquement et tenter de me briser est une idée folle et complètement stupide. Je sais me faire entendre et qu'on me respecte. Je suis à la fois intelligent et charmant, appliqué et à mes affaires.



Défauts- Hm...Je vais essayer d'abréger ma liste en quelques mots. J'ai un tempérament manipulateur afin de pouvoir saisir l'objet de mes envies, je sais comment agir et quoi dire pour arriver à mes fins. En résumé, je suis un sale profiteur et je ne m'en plains pas. Il m'arrive fréquemment d'être violent que ce soit verbalement ou physiquement et je m'emballe pour un rien, surtout si on me résiste. Je suis dépravé et mes habitudes sont loin d'être catholiques, ainsi que dominateur et détenant un important complexe de supériorité.


Aime- Hum…Mes goûts sont variés, mais je vais énumérer ce que je préfère le plus. J'aime la lecture, la nicotine, apprendre de nouvelles choses, m'expérimenter davantage et de ce fait, avoir de longues conversations philosophiques avec une personne de mon calibre. J'admire les belles choses – des femmes en l'occurrence – et en raffole tout autant que le luxe et mon petit confort. Je ne peux oublier le contact charnel dont j'ai besoin pratiquement en tout temps et aussi…ma sœur. J'aime la violenter, la molester et l'écraser avec mon talon et ainsi, être le meilleur.

N'aime pas- Je déteste les endroits miteux, pauvres et dénudés d'ornements extravagants ainsi que la classe moyenne puisque ces gens ne peuvent s'offrir ce qu'ils désirent, je les méprise et ne les fréquente pas, également ceux qui sont simples d'esprit. J'hais lorsqu'on me résiste et qu'on me fait face tout aussi ceux qui se moquent de ma personne. Mais ma haine et mon dégoût s'accroissent dangereusement pour deux personnes, mon père et ma sœur.


Comportement avec les gens – Mon comportement est tout à fait normal, je sais converser avec quelqu'un, n'importe qui – sauf ma sœur -, de façon civilisée. Je suis poli, je pèse mes mots et ne dis jamais rien d'inutile juste pour signifier ma présence ou pour avoir l'air intelligent.


Maladie ou handicap mental- Un énorme complexe de supériorité devenu depuis longtemps maladif.


Valeurs – Euh…Le cul ?


Tics- Aucun, je ne suis jamais nerveux.



Manies - M'humecter les lèvres, inclinée la tête vers mon épaule droite et passer une main dans mes cheveux.



Passé- J'ai été couvé par mon père, j'ai vu ma chambre se remplir de cadeaux divers et ma personne entourée de mille attentions distinguées. Mon paternel cherchait mon bonheur et emplissait nos journées de différentes activités. Son argent passait pour moi et j'avais tout ce que je désirais ardemment. Et puis, un jour le malheur planait au-dessus de ma tête et j'ai regardé pour la première fois la chose qui réduirait mon existence fabuleuse en un tas de frustration et de jalousie grandissant. Cette chose était un bébé vagissant bruyamment, pleurant et criant dans les bras de mon père. Ce dernier avait les traits du visage étirés en un air d'extase et ce sourire béat m'a révulsé jusqu'au tréfonds de mon âme déchirée. J'avais envie de lui découper la peau de la face et nettoyer le sol de son sang.



Par la suite, j'ai grandi avec la créature sous le même toit, s'accaparant les attentions répétées et recevait ce que ces petits hurlements énervants réclamaient. Je la détestais, mon père ne voyait qu'elle, ne parlait que d'elle et s'occupait si amoureusement d'elle qu'il daignait prendre des jours de congé durant la semaine. Il ne m'accordait plus un regard et m'adressait que rarement la parole. Je voulais tuer cette petite peste ! Et au comble de mon malheur, la truie se récoltait de merveilleuses notes faisant la preuve de ce cerveau si brillant et si intelligent. À mes yeux, ce n'était qu'une poupée ruinant ma vie d'adolescent révolté. Tout le monde l'aimait, elle et ses yeux de biches. Mon comportement dérangeait mon père, j'étais mesquin et méchant vis-à-vis Maybeth que j'appelais affectueusement Maybe puisqu'elle est incapable de prendre une sage décision. Je voulais que mon père me remarque comme avant, alors je me suis mis à avoir des problèmes à mes cours, tant avec les professeurs qu'avec les autres jeunes et plus d'une fois mon père dut venir me chercher dans un centre de police.



Ainsi vint l'âge de mon adolescence perturbée. Mes hormones travaillaient furieusement et je n'avais à ma disposition aucune fille convenable, mise à part une. Je ne sais pas comment l'idée m'est venue, mais un soir je fais irruption dans la chambre de Maybe qui avait six ans à peine. Je l'ai fixé un instant, celle-ci dormait paisiblement sous ses couvertures. Je me suis approché doucement, sur la pointe des pieds et me suis faufilé dans son lit. Elle s'est réveillée en sursaut et je l'ai écrasé contre ma poitrine et lui ai murmuré de se taire et de ne pas se débattre. Qu'ici c'était moi le maître et elle mon jouet, elle me le devait bien. Elle était saisie d'une crainte fébrile et ce que je lui ordonnais de faire, elle le faisait sans rechigner. Elle était mon esclave et complètement à ma merci. J'adorais ça, toutes les fibres de mon corps tremblaient d'excitation de sorte que j'ai poursuivi durant les années suivantes mes abus sans qu'elle me dénonce, sans qu'elle se défende.



Sa puberté entamée depuis quelques années – elle avait quinze ans à l'époque et moi vingt-quatre ans-, je me suis décidé de lui apprendre la sexualité. Je le menaçais et l'obligeais. Je la violais sans pitié et profitais de son innocence de jeune fille, alors qu'aucun gémissement de mes tortures ne se frayait un chemin sur ses lèvres. Je n'avais aucun remord, je raffolais de ces instants entre nous, de ces moments bestiaux et intimes, ce corps pressé contre le mien, le palpant, découvrant les parcelles de son anatomie jusqu'à les connaître en entier. Je pouvais la faire jouir si cela me convenait ou la faire hurler si l'envie me prenait. Je me souviens bien de ces nuits frivoles où elle est menotté aux barreaux de mon lit, où je l'ai pénétré à maintes reprises, me déversant en elle. Alors elle était ma possession, je détruisais les barrières de son esprit, son refuge privé, j'annihilais son être de façon qu'elle ne soit qu'une coquille vide, quelque chose à ma portée.



Ensuite, j'ai dû quitter la maison pour m'en aller étudier à l'université en littérature en même temps que ma nouvelle copine. Nous sommes restés ensemble quelques mois, mais nos baises n'avaient pas la même passion qui naissait fougueusement avec Maybe. Avec ma sœur j'étais le mâle suprême, celui qui commandait, celui qui choisissait et celui qui dominait. Maybe avait une peur monstrueuse de moi et cela m'excitait davantage. Je n'avais pas cette joie avec l'autre, je me mis donc à la tromper, recherchant l'étreinte d'autres femmes. Je l'ai laissé avant de retourner dans mon ancienne demeure où se trouvait toujours ma charmante sœur. Encore là, c'était mon pantin, ma chose. Je la violentais si elle osait poser un geste de résistance, je la molestais et l'accaparais. C'était mon bien et à personne d'autre.



Mon excellent père avait dans l'idée d'envoyer Maybe dans une école prestigieuse où elle étudierait la formation de son choix. Alors après une nuit torride de sexe – plutôt de viol pur et simple -, la sotte s'en est allée au matin. C'était la dernière fois que je l'ai vue, que je l'ai goûtée, la dernière fois où je l'ai chevauchée avec toute la brutalité dont j'étais capable. Et puis un jour, je revenais du travail lorsque j'ai traversé le seuil de ma maison et découvert un corps gisant dans les escaliers, écartelé, éviscéré et désarticulé. C'était mon père. Sans que je sache comment, la police est arrivée quelques instants plus tard, j'étais couvert de sang frais – vu que je me suis agenouillé près de la carcasse sanglante – et on m'a inculpé de meurtre. Mes voisins ont appuyé l'hypothèse que j'étais l'assassin et mon ancien casier judiciaire – quand j'étais gosse – affirmait que j'étais un garçon turbulent et agressif. Parait-il que les preuves sont concrètes et absolument convaincantes. Le juge m'a déclaré coupable et j'ai été incarcéré dans une prison.


Autres- Rien !

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- J'aurais commit un meurtre d'après les hypothèses de la police et selon l'opinion du juge.



Matricule- 645987


Rang- Accusé à tort pour les mauvaises raisons !



No. de cellule- A comme dans... anal.



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Maybeth
9130 Psycho logue/tique
Maybeth


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Localisation : En boule sous mon bureau en train d'égrener un chapelet...
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MessageSujet: Re: Jefferson Greene   Jefferson Greene Icon_minitimeDim 19 Nov - 0:01

*oublié de mettre les smileys cools...*

Présentation parfaiteuh! Mon pitit frère adoré. :P

Je file te mettre... ton rang. ^^ Et autre chose si tu veux.

Ah oui, ta cellule. :P
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