Mitsuko Amane

Dossier médical

Nom & Prénom- Amane Mitsuko

Sexe- Féminin

Âge- 22 ans

Traits physiques-

La différence entre une personne dite ‘normale’ et une albinos est surtout son physique. L’albinos est caractérisée par une absence de pigments produisant la coloration de la peau, des poils, des cheveux, et des yeux. Ainsi, j'ai une peau extrêmement blanche, presque comme de la neige. Beaucoup de personne n’ose pas venir m’aborder à cause de mon apparence…et tant mieux car je déteste qu’on ne fasse attention qu’à MON apparence. Pourtant malgré ma différence, les Dieux m’ont bien gâtée et je peux affirmer que je suis fière de mon aspect. Même si je ne suis pas la femme parfaite, mais je m'y approche très fort.

J'ai des courbes parfaites qui sont mises en valeurs par mes tenues très délicates. J’ai l’habitude de m’habiller dans un style particulier qui mélange, le gothique, le rococo, le grunch et le classique. Je l’avoue, avec mes tenue j’attire pas mal de regards…certains sont moqueurs mais d’autres sont intrigués et je sens qu’il aimerait en savoir plus sur mon corps. J'ai la démarche d’une princesse, toujours la tête haute, le visage fixe et presque sans expression. Je donne évidement un air supérieur comparé aux autres. Il n’aurait pu en être autrement vu que je suis supérieure à tous le monde. Je n’en peux rien…ne me blâmer pas…

Avec ma peau sans pigment, Je ne peux pas me retrouver sous les UV car je risque d’attraper des coups de soleil et plus tard un cancer de la peau. C’est pour cette raison que je reste souvent enfermée surtout dans les périodes de beaux temps. Sinon, je suis obligée de me promener avec une cape blanche ou des pulls à longues manches. La cape étant réservé pour quand le soleil tape très fort. De cette manière, même mon cou est protégé. Je ne porte jamais de jupe en extérieur…Sinon mes jambes risque de devenir aussi rouge qu’une écrevisse et sur du blanc ce n’est pas très beau à voir…

Mon corps est aussi doux que la soie et il semble si lisse, sans imperfection qu’on a l’impression de se retrouver devant un mannequin fait de cire. Tout comme ma peau, mes cheveux sont très clairs, d’ailleurs, ils sont blancs mais pas comme les cheveux de vieilles dames. Ici, c’est le blanc éclatants, le plus pure qu’on peut trouver sur la tête d’une personne et j'en suis très fière. Au point que je déteste qu’on me les coupe… C’est pour cette raison que j'ai toujours de longs cheveux…

Suite à mon état d’albinos, mes yeux ont aussi la particularité d’être aussi rouge que le sang glissant sur un katana. Ce qui avec ma peau et mes cheveux blancs, peut choquer la plupart des personnes qui me voient pour la première fois. Heureusement, plus le temps passe, moins vous aurez l’impression d’avoir envie de m’observer, comme si j’étais une souris de laboratoire. Il parait que certaines personnes ne perçoivent plus mon physique différent…pour une je suis juste une fille qui ne sait pas bronzer… Moi, je sais que je suis une enfant de Lumière…

Taille- 1m62

Poids- 55 kg

Maladie ou handicap physique- Je n'en ai aucuns...n’allez pas dire qu'être albinos est un handicap ! Ou alors vous ne tenez pas à la vie…
Autres- Je possède une fée verte, d’environ 10cm, buvant de l'absinthe sur chacune de mes omoplates.

Dossier psychologique

Qualités-

Je suis quelqu'un de très sage, il est rare de me voir courir partout et de m’agiter dans tous les sens. Au contraire, je serai plutôt celle qui reste assise, un livre à la main et qui regarde d’un mauvais œil, celle qui s’agite dans tous les sens. Ainsi, je parle très peu, préférant écouter afin de comprendre la psychologie de la personne qui parle pour mieux la cerner et s’il le faut, la satisfaire ou me satisfaire. Ne rêvez pas, je fais beaucoup de chose pour moi et non pour les autres… Malgré mes défauts incalculables, je reste une personne de confiance. Les secrets seront toujours bien garder avec moi. En plus, j’ai remarquée que certaine personnes avaient tendance à me confier des secrets ou des mal êtres. Je ne me plains pas et jamais, je ne ferais une remarque désobligeante envers la personne qui vient se confier à moi. Au contraire, je suis toujours très touchée par un tel comportement, même si au fond, je préfère m’intéresser à moi-même qu’aux gens qui m’entourent. C’est pourquoi, lorsqu’on me pose la question : « tu pense quoi de mon problème ? » Je réponds la plupart du temps : « Que c’est ton problème et que je m’occupe des miens ! »

Ce n'est pas dans mon habitude de mentir ou de jouer les hypocrites. J'aime qu'on me dise la vérité en face car moi, je ferai pareil...Alors ne soyez pas choquer si quelques fois, je serais très sèche avec vous. Je n’ai pas l’habitude de parler alors je semble assez froide pour quelqu’un au sang chaud.

Je suis très exigeante vis à vis de moi-même mais aussi des autres, alors vous avez intérêt à ne jamais me décevoir...J'aime qu'on me respecte autant que je respecte les autres...On peut aussi dire que je suis une personne très polie. Je suis quelqu’un de très aimable et de très serviable envers les personnes en difficultés. Quand j’étais libre, j’aidais toujours les vieilles personnes à traversés. J’ai fait de nombreuses œuvres caritatives. Je n'insulte que très rarement car les mauvais mots n'existent que pour les mauvaises personnes. Et je suis en aucuns cas, une mauvaise personne... C'est juste que j'ai des pulsions...Il ne faut jamais repousser ses envies sinon, on se tue de l'intérieur.

Défauts-

Je suis une personne timide, qui essaie de ne pas se faire remarquer sauf si pour avoir ce que je veux alors là, je ne suis plus la même et je deviens une mente religieuse. Je reste donc enfermer, la plupart du temps, dans mon petit monde à moi. Je déteste qu’on essaie d’y rentrer sans ma permission. Il arrive parfois que je perds mon sang froid et que j'élève la voix au point de pêter un câble, d’hurler partout ou de devenir violente... Je suis une personne têtue au point, qu'il est difficile de contrecarrer mes idées ou mes projets, que j'essayerai de mener jusqu’au bout et s'il le faut, dans le plus grand secret.

Je me montre intransigeante et reste sur mes opinions. Je suis tellement compliqué et je protège trop mon intimité, que je deviens une personne incomprise et les autres peuvent me considérer trop sarcastique ou dogmatique. Il est difficile de me faire rendre compte le nombre incalculable de mes défauts, il n’y a que moi qui peux me sermonner. Après tout, personne n’est aussi bien que moi. Les autres ne valent pas la peine d’être connue de mes personnes. Ainsi, je suis quelqu’un d’égoïste, je m’occupe de moi en premier puis je prends la peine de voir si on a besoin de moi.

Je suis aussi une personne pas très bavarde, qui n'aime pas qu'on parle de mon physique comme d'une différence. C'est pour cette raison que j'ai tendance à être de mauvaise humeur et surtout pessimiste envers les humains...Mais ça vous le saurez un jour où l'autre car je n'ai pas ma langue dans ma poche. J'aime appelle un chat, un chat et donc si quelque chose ne me plait pas, vous serez bien vite au courant. On peut donc dire que je suis une personne impulsive. Un peu lunatique aussi, n'ayez pas peur en me voyant changer subitement de caractères... C'est que vous l'auriez m'hériter...Mes foudres n'arrivent pas pour rien...

Aime-

J'aime lire, mes romans préférés sont ceux de Science-fiction et de Fantastiques. J’ai d’ailleurs toute la collection des livres de Tolkien que je garde précieusement dans une de mes bibliothèques. J’adore dépenser de l’argent pour mes envies. C’est pour cette raison que je n’ai aucunes éditions de poches dans mes étagères. Que du beau roman bien relié. En parallèle avec les romans, je suis devenue une fanatique du cinéma dès ma plus tendre enfance. J’ai passé plus de la moitié de ma vie dans des salles de cinéma. J’adore regarder des films d’épopées, de cape et d’épée mais aussi un bon S-F, surtout de Spielberg. Quand aux films comiques, je ne peux regarder que ceux où il y a Ben Stiller. C’est l’un de mes acteurs fétiches. C’est ainsi que je possède tous ses films en DVD mais aussi la plupart des films que je daigne apprécier au cinéma. Ce que j’aime aussi, ce sont les bonbons. Je ne peux pas m’empêcher de grignoter des friandises tout le temps, même si je sais que ce n’est pas bon pour la santé ni pour mon corps. J’en peux rien si je suis fanatique du sucre. D’ailleurs mon fruit préféré est bourré de sucre. C’est la cerise…moins sucré que la fraise, elle est délicieuse lorsqu’elle est confite. Je peux en manger des pots entiers sans ressentir le besoin de tout régurgiter ou d’arrêter. Comme les cerises, j’adore attiré des personnes dans mon lit. Je n’apprécie pas de trop la polygamie…mais je n’arrive pas à garder la même personne très longtemps. J’aime changer de comportement comme de partenaire…J’aime qu’on soit sincère envers moi. Le mensonge ne sert strictement à rien sauf à me défouler sur les menteurs. J’ai aussi un petit penchant pour les boissons fortes. D’ailleurs mes tatouages le prouvent.

N'aime pas-

La première chose que je déteste est qu’on fasse référence à mon état d’albinos. La plupart des personnes qui osent en parler, subiront toujours mes foudres…La plupart du temps, elles ne se réveilleront pas le lendemain matin. Il ne faut pas que des mots pour que je voie qu’on me considère différemment des autres. Un simple regard suffis…j’en ai tellement vu dan ma vie que je les reconnais parfaitement. Ceux qui oseront me mentir en disant qu’ils ne pensent pas ça de moi…souffriront plus que les autres. Car je déteste qu’on me mente, autant dire la vérité au lieu de jouer les lâches. Dans la même optique, je ne supporte pas les hypocrites. Ce ne sont que des larves ne méritant pas de vivre. Sinon, je déteste des choses aussi simple que l’été, simplement parce que je suis obligée de me cacher du soleil. Je ne pourrais jamais mettre un maillot en plein soleil. C’est pour ça, que je ne supporte pas la mode car elle nous oblige à montrer plus de peau que je n’en suis capable. Alors je ne supporte pas de voir toute ses filles habillées avec des bouts de tissus qu’on appelle ‘jupe’. J’ai tendance à piquer des crises de nerfs quand je les vois. C’est pour cette raison que je n’aime pas regarder la télévision surtout les clips vidéo, car la plupart des filles sont à moitié nue, sous le soleil ! En parlant de soleil, je déteste les citrons (ben quoi, sont aussi jaune que le soleil !) ; les pommes, les poires, les chicons (endives) et tous les plats à bases de poivrons. Je n’aime pas non plus manger trop diététiques. Je trouve ridicule de se priver de manger pour garder la santé…On ne vit qu’une fois !!! Autant en profiter (avec modération)…

Comportement avec les gens- Comme je l’ai dis plus haut, je suis une personne timide. Il est donc normal que je n’aille pas vers les gens. Mais j’attends tout de même de leur part un peu d’attention. Le plus souvent personne ne vient me parler et je reste seule dans mon coin. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même alors je ne dis rien et ne fais rien pour changer les choses. C’est comme ça depuis que je suis petite. En plus, faire connaissance avec des détenus…C’est un peu idiot car ils sont tous en train de se vanter de leur actes…Très rare valent la peine que je les connaisse et pour ne pas faire de mauvaises rencontres. Je préfère rester dans mon coin à lire mes livres et à les observer. Quand je vais parler à un détenu, c’est que j’ai besoin de quelque chose où alors que je suis en manque…Ce qui n’est pas le cas des gardiens. Eux, je les évite comme la peste. J’ai toujours l’impression que lorsqu’ils viennent vous parler c’est parce qu’ils ont besoin de quelque chose ou de quelqu’un. Avec eux, ce n’est pas une discussion qu’on a…on devrait être à leur ordre comme de bons prisonniers dociles. Alors pour ne pas avoir de problèmes, je passe mon chemin en essayant qu’il ne me remarque pas.
Puis pour le personnel de la prison, je les prends de haut, ils n’ont presqu’aucuns pouvoirs. C’est avec un grand plaisirs que j’aime rire d’eux…Leur faire croire n’importe quoi…tant qu’après, ils me laissent tranquille, vivre ma vie pépère…En gros, j’ai jamais aimé le contact humain sauf si c’est un contact physique…

Maladie ou handicap mental- Aucuns, je suis saine d'esprit.

Valeurs- Qu’appelez-vous valeurs ? Les valeurs morales ? Peu importe, pour moi, la plus grande des valeurs est le bien être de soi. Pour beaucoup, je l’accorde, ce n’est pas une véritable valeur mais comment avancer si on n’arrive pas à se satisfaire pleinement ? J’ai toujours pris la décision de faire passer mes besoins avant mes devoirs. Ainsi, l’égoïsme est l’une de mes valeurs. Notre vie est faite grâce à nous avant tout, alors il faut absolument s’occuper de nous même. Les autres n’ont qu’à grandir afin qu’ils puissent être capable d’être autonome. Après tout, les materner ne sert à rien à part que les gens deviennent des incapables. Une autre de mes valeurs est l’honnêteté, il ne faut jamais mentir sur quoi que ce soit, sinon c’est se montrer plus faible que la personne à qui on a osé mentir. Moi, je n’ai jamais menti à ma sœur, je suis toujours resté très clair avec elle et c’est pour cette raison que je n’ai aucuns remords. Je ne sais pas si ne pas avoir de remords est une de mes valeurs, mais en tout, cas, je me suis toujours montrer digne de mes agissements et je ne regrette en rien ce que j’ai fait et dis…Après tous, si j’ai agis de la sorte c’est qu’il le fallait…

Tics- J’aime me mordre la lèvre à sang lorsque je suis tracassée, pensive ou triste. Lorsque je lis un livre, j’aime caresser les couvertures du bout des doigts tout en chantonnant l’une des comptines que ma mère me chantait autrefois.

Passé-

[Des décennies après l’entrée de Mitsuko dans la Prison : Deux personnes se trouvent dans une vieille chambre d’hôpital. Couchée sur le lit, une femme très âgée se met à tousser pendant que le journaliste prépare son microphone]

« Allez y Madame Amane, vous pouvez parler, le micro est branché »

« D’accords…que voulez vous savoir ? »

« Vous êtes une dame âgée maintenant de 76 ans. Pouvez vous me raconter votre vie afin que je puisse terminer le livre sur vous ; Mitsuko Amane, La Faucheuse, celle qui a tué plus de 50 personnes en quelques années. J’ai tous vos faits dans l’enceinte de la prison mais j’en sais très peu sur vous et vos agissements en dehors, avant votre arrestation. Sauf bien sur, vos actes donnés par la police. »

« Il n’y a pas de problème…Tu es si beau que je ne pourrais rien te refuser. Allons-y…Si je commençais par le début :

Avant tous, je dois te dire que lors de ma naissance, il n’y avait qu’un bébé qui était prévu au départ. Ma sœur arriva en première, mes parents la nommèrent Ichigo en hommage à ma grand-mère paternel qui adorait les fraises. Tout comme moi, elle était albinos. Sa peau blanche et ses yeux rouges choquèrent les personnes présentent pendant l’accouchement, si bien qu’une infirmière tomba dans les pommes. C’est à ce moment là que j’ai décidé de venir au monde…Enfin, c’est ce que me racontait mon père lorsque j’étais petite. Directement, ma mère comprit qu’elle allait encore devoir souffrir pour faire sortir un deuxième enfant…
Bien que ma naissance ne fut pas douloureuse…
Me voyant arriver, mon père sut immédiatement comment il allait m’appeler car pour lui j’étais un enfant venu du ciel…ainsi on me nomma Mitsuko, l’enfant de Lumière. Je n’ai jamais eu l’idée de changer mon prénom, après tout, ma peau blanche immaculée prouvait que je venais directement des cieux…Qui sait, je suis peut être une Déesse descendue sur Terre pour venir détruire les mauvais de ce monde…

Enfin, revenons à mon passée…

Vous vous doutez bien qu’avec nos apparences, ma jeunesse et celle de ma sœur fut très dure si pas dire chaotique. Nous étions la risée de nos camarades de classe. Chaque jour, nous devions subir différents sévices qui passaient du crachat sur nos vêtements, au tirage de cheveux des filles en passant par le doigt dans les yeux. Les autres nous testaient afin de savoir si nous étions vraiment humaines. Il fallait dire aussi que ma sœur et moi ne sortions jamais aux récréations sans nos capes qui nous couvraient tous le corps, car nous étions très sensibles aux U.V et avions souvent des coups de soleil violent. Avec le temps cette sensibilité c’est un peu diminuée mais je ne peux toujours pas sortir en top la journée, surtout en plein été. D’ailleurs, je crois que vous savez que je souffre d’un cancer de la peau…qui se généralise progressivement.

Depuis toute petite, je savais parfaitement que j’allais souffrir d’une telle maladie. C’est inscrit dans nos gènes et puis, les professeurs de sciences aimaient répéter aux autres qu’Ichigo et moi étions sujettes à des cancers de la peau. Déjà vers 9 ans, je trouvais choquant qu’un professeur ose dire cela devant ses élèves particulièrement quand certains sont concernés par ce cas. J’avais l’impression d’être une souris de laboratoire. Je ne pouvais pas exprimer ma frustration sans qu’on ose me dire que je devais me taire, que le professeur n’était en aucuns cas blessant dans ses propos. Alors que tous ceci était faux… Tous nos professeurs aimaient nous rappeler qu’on était différentes. Comme si mon apparence n’était pas la plus belle des preuves.

A la fin, à force de rencontrer des gens qui ne voyaient que ma différence d’apparence, je me suis désintéressé du genre humain. Contrairement à ma sœur qui était fasciné par les autres. Au point que ça en devenait une obsession. Pendant que je jouais à la poupée, Ichigo s’amusait à espionner les voisins de la fenêtre de notre chambre. Elle notait chaque faits et gestes des habitants du quartier, toutes ces notes étaient retranscrites dans différents cahiers, qui sont à présent, perdu quelques parts. Ma sœur ne comprenait pas mon dégout pour les autres. Elle n’arrêtait pas de se moquer de moi, de me traiter d’ignare tout en me frappant. Son endroit préféré était ma tête, elle adorait me taper sur le crane violement avec sa main. Quand à moi, je ne faisais rien pour me défendre. Je restais dans mon coin à jouer ou à lire mes livres. J’ai toujours été très timide, je n’aime pas aller vers les autres. Après tout, si je suis intéressé par quelqu’un d’autre. Autant qu’il vienne me parler afin que je puisse voir s’il s’intéresse à moi !

Peu de gens comprenne mon concept pourtant si simple…enfin tous le monde n’a pas inventé le fil à couper le beurre…

Ma timidité très forte me joua quelques tours à mon entrée au collège. Je n’étais pas très appréciée des autres vu que je n’allais vers personne et beaucoup de gens me prenait pour une sorcière qui sacrifiait des animaux dans ma cave. J’appris plus tard que cette rumeur si stupide fut lancée par ma sœur. En quelques jours, cette idiote devint l’égérie du bahut. Tout le monde l’adorait, elle était parfaite aux yeux de tous et surtout, elle avait des dizaines de garçons à ses pieds. Moi ? J’avais droit aux restes qu’Ichigo m’offrait avec pitié et dégouts. Je n’étais sa sœur que dans les murs de notre maison. Le reste du temps, elle m’évitait ou m’envoyait simplement me faire voir…car je n’étais pas assez bien pour elle. C’est à ce moment là qu’une haine inconsidérable se tissa entre ma jumelle et moi. Je ne pouvais plus la voir en face sans ressentir mes joues devenir rouge. Quand je sentais sa présence près de moi, je n’avais qu’une envie : la mettre si pied sous terre. Nos parents ne comprenait pas très bien ce qu’il se passait, ils étaient choqués de nous voir si agressives alors qu’entre jumelles, on aurait dû s’aimer plus que n’importe qui dans ce monde. Malheureusement c’était le contraire, l’antipathie qu’on avait chacune pour l’autre était unique…Nous étions unique même si on se ressemblait de visage…Et nos divergences d’opinion fut l’un des facteurs qui apporta la déchéance dans notre relation.

Tout le monde me disait qu’au fond, je devais aimer ma sœur plus qu’autre chose. Alors qu’ils avaient tous faux, car lorsque ma sœur eut un grave accident de voiture le jour de nos 16 ans. Je fus la seule à ne pas me rendre à l’hôpital immédiatement après le coup de téléphone de la police. J’étais au cinéma et j’ai continué à regarder mon film comme si de rien était, bien que mon corps semblait fracassé de partout…tous comme l’était réellement celui d’Ichigo. J’ai été rendre lui rendre visite que le lendemain soir, et encore, c’est parce que ma mère m’avait obligé à y aller, sinon je serais restée chez moi à manger des popcorns devant un film de Ben Stiller.

Lorsque je vis ma sœur sur son lit d’hôpital, le visage complètement explosée, remplis de –griffures, gonflés et bleu d’hématomes. Puis son corps couvert d’un moule de plâtre. Je ne réussis pas à garder mon sérieux. J’éclatai rapidement de rire, ce qui dans ma famille, provoqua un scandale. Mes parents comprenant que j’avais pris des plaisirs à voir ma jumelle au bord de la mort. Ils entreprirent de me punir de tous. Ainsi, mes seuls loisirs furent jetés dans un container. Autant dire qu’après la haine pour ma sœur augmenta à une vitesse exponentielle. Je n’arrivais pas à croire qu’ils avaient pu jeter tous mes livres, bruler mes dessins et surtout, me confisquer mes CDs et ma radio. Me retrouvant sans rien, je commençais à trainer dans les bibliothèques. De toute façon, je n’étais pas très motivée à rentrer chez moi…Normalement, le couvre feu était à 18h…règle imposé par mon père, il avait envie de prouver à tous qu’il était le maître de la maison. Or, il était très rare que je rentre avant une telle heure. La plupart du temps, il était aux environs de 20h. Ma mère compréhensive, acceptait mon comportement et me laissait tranquille. Ce qui n’était pas le cas de mon paternel, il n’arrêtait pas de me hurler dessus. Il me menaçait constamment que j’allais être mise à la porte si je continuais dans cet optique. Ce que bien sur, je fis…je ne pouvais pas me passer de livre…

Une dépendance qui dure encore aujourd’hui…

Ma sœur revenue de l’hôpital, elle reprenait une vie estudiantine normale alors que moi, j’étais privée de tous plaisirs. Comprenant mon malheur et voulant se venger de ma méchanceté. La connasse vint un jour me demander mon aide en sachant très bien que j’allais accepter le marché.
La seule chose de positive entre nous deux était le faite qu’on ne pouvait pas se mentir. Même si la vérité faisait mal à entendre, on continuait de se dire ce qu’on pensait l’une de l’autre. C’est pour cette raison qu’elle me raconta dans quelle merde elle se trouvait à cause d’une histoire débile.

Apparemment, à force de trop se venter au près des autres, elle avait fait comprendre à ses ‘amies’ qu’elle avait une voix magnifique lorsqu’elle chantait. Or ce n’était pas du tout le cas. Même après 50 cours de chants, ma sœur n’arrivait pas à chanter sans casser un verre. Alors que moi, j’y arrivais parfaitement. D’ailleurs, notre professeur m’avait conseillée de continuer les cours afin d’embellir ma voix pour si un jour, je décidais de vivre de chant. Mais ma vocation n’était pas de devenir chanteuse alors je n’ai jamais continué. C’est donc avec un grand regret que j’acceptai de prendre la place de ma sœur lors d’une soirée. Une seule soirée…qui changea toute ma vie… Comme nous étions identiques à plus de 99%, il me fut très facile de me faire passer pour ma sœur pendant les répétitions. Les musiciens étaient des ami(e)s de ma sœur. Ils savaient donc comment elle réagissait à certaines situations. Je dû donc apprendre à devenir Ichigo pendant qu’elle jouait mon rôle devant ses amis alors que j’étais présente. Nous prime cela comme un jeu, ce fut la seule fois où l’on eut une activité en commun qui nous amusait beaucoup.

Le grand soir arriva rapidement. Comme toute personne normalement constituée, j’avais le trac avant de monter sur scène. C’était une petite salle, il n’y avait qu’une centaine de personne…beaucoup était des connaissances de ma sœur qui venaient voir ses capacités vocales. Afin de récupérer mes plaisirs, il fallait que je donne le maximum. Ma sœur, grâce à son accident, avait eu l’empathie de mes parents au point qu’ils ne pouvaient rien lui refuser. Elle m’avait donc assurée qu’ils allaient lever ma punition dès qu’elle allait leur demander. Sauf que pour cela, je devais donner le meilleur de moi-même sur cette scène. Je n’avais que 4 chansons à jouer. Tout était du genre métal, rock et Pop-Rock. Depuis toujours, je déteste le rap et le R’N’B…Je n’aime pas les pétasses qui bougent leur postérieurs de chiens sur de la musiques sans fond, sans paroles…

Je commençais par une chanson connue de Nirvana : In Bloom. Cette chanson me décontracta au point que je commençais à être dans un état second. Je ne pouvais plus me détacher de la musique et les spectateurs ressentaient le même effet car vers la fin. Ils étaient tous en train de chanter en rythme avec moi et le groupe. Puis ils dansaient sans ce soucié des autres. C’est ainsi que j’ai enchainé avec The offspring - the kids arent alright. Comme les autres, je pris un grand plaisirs à me retrouver sur cette scène. Je ne pensais à plus rien sauf à me faire plaisirs. J’échappais tous mon refoulement dans mes paroles. Plus rien ne comptait sauf ma propre satisfaction. La chanson suivante fut de Marylin Manson-Rock is Dead. A ce moment là, je peux affirmer que j’étais dans un état second comme un drogué lorsqu’il arrive au pic. Je n’arrêtais pas de chanter, d’hurler et de me déhancher sur la scène comme l’aurait fait ma sœur. Je voulais que tous le monde me désirent. La dernière chanson fut celle de Nightwish Wishmaster. Bien que je n’ai pas une voix aussi professionnel que la chanteuse, tous, même ma sœur, furent bluffer de mon talent et à la fin nous furent applaudit comme de vrais stars.

Heureuse de mon succès au près des gens, je profitais de cette soirée avec enthousiasme. Beaucoup de personnes venaient me voir en m’appelant Ichigo. N’oubliant pas quel rôle je jouais, je ne faisais aucunes remarques. C’est aussi pour ça que je ne cherchai pas à éviter le petit ami de ma sœur. Au début, j’avais du mal à rester collé à lui…et à le voir repousser ma sœur en croyant que c’était moi. En même temps, j’appréciais qu’elle soit impuissante, elle devait se contenter de regarder son petit ami m’embrasser avec passion. Je pouvais voir la haine dans ses yeux…cette haine qui obligeait mon corps à continuer de se coller contre celui du garçon. A un tel point, qu’on se retrouva rapidement dans les toilettes de la salle. Ses mains se baladant sur mon corps en pleins effervescences, je ne pouvais pas m’empêcher de vouloir plus. Ainsi, je le laissai faire, désirant de plus en plus qu’il me prenne avec ferveur. Sauf que lorsqu’il me força à m’assoir sur les toilettes afin que je le satisfasse. Mon sang ne fit qu’un tour. Comment osait-il me laisser dans cette condition ? Ma culotte mouillée et mon corps bouillonnant de partout, j’avais besoin qu’il me prenne à l’instant même.

Or, il ne fit rien de tous cela. Au contraire, sa main vint violement prendre ma chevelure pour porter ma bouche à son sexe dure et tendu. Dégoutée par cette vision, j’eu un haut le cœur en mettant cette chose entre mes lèvres. Je tentai quelques fois de me retirer mais à chaque fois, le garçon pressait un peu plus ma tête contre lui, au point que je fus obligée de lui faire une gorge profonde. N’en pouvant plus et poussée par la folie de cette soirée, je pris une grande inspiration avant de fermer violement la mâchoire. D’un coup sec, je sectionnai une grande partie du sexe. Le gamin poussa un cri de douleur, cela ouvrit une porte à l’intérieur de mon corps.

Quelques gouttes de sang coulèrent dans ma gorge et là, une sensation encore très inconnue me parcouru. Je fus alors pousser par un élan sans nom et gardant les dents toujours serrée, je tirais d’un coup sec afin d’arracher le sexe du reste du corps. Le copain de ma sœur s’effondra au sol, se tordant dans tous les sens pendant que je recrachais le grand bout d’appendice sur lui. Grâce à la musique assourdissante, personne n’entendait les cris incessants du garçon. Personne sauf moi…et je fus très vite exaspérée au point que sans réfléchir, j’allai arracher la machine à savon près du lavabo. M’asseyant sur ma pauvre victime, je vidai le contenu rose dans sa bouche. Heureuse de le voir s’étouffer avec le liquide, je ne fus pas satisfaite. Je voulais savoir ce que cela faisais de tuer une personne…de sentir sa vie quitter son corps. Alors je levai la machine à savon, à présent vide, avant de la rabattre violement contre le crâne du copain de ma sœur. Il fallut trois à quatre coups avant qu’une faille apparaisse sur le front puis le coup suivant fut fatale et du sang gicla dans tous les sens. Pendant que le corps avait quelques tressaillements.

N’attendant aucuns instants de plus, je ramassai le corps et passa plus d’une heure à le cacher dans le coffre de ma voiture puis à nettoyer le sang dans les toilettes. A présent, le copain de ma sœur repose sous le parking d’un centre commercial. J’avais profité qu’il allait bétonner le terrain le lendemain pour y enterrer le garçon. Après cela, j’ai découvert une partie de moi que je ne connaissais pas. Il ne fallut que quelques jours pour que mon envie de sang revienne à l’assaut. Au point que lorsqu’un gosse de 6 ans me traita d’handicapée, il fut retrouver dans son jardin, les viscères à l’air et la tête arrachée…On n’a jamais retrouvé ses yeux et sa langue…Car ce jour là, j’ai eu l’envie soudaine de faire des steaks hachés à mes parents…autant dire qu’ils ont adorés.

Pour la police, le verdict fut simple, à force de jouer les salles gosses avec les chiens…le meilleur ami de l’homme avait fini par se venger, et l’affaire fut close sans que je n’ai à témoigner pour quoi que ce soit.

Toujours libre et l’envie de tuer toujours plus forte. Je commençai à liquider des prostitués…au début, ce fut une par semaine…Les crimes étaient simples et propres : étranglements, étouffements ainsi que meurtre à l’arme blanche. Ensuite, ma gourmandise fut plus forte, je commençai à en tuer 3 à 4 par semaine, préférant l’étouffement à autre chose. Jusqu’au jour où en faisant du stop, je rencontrai un fermier. Celui-ci croyant être plus fort que moi, tenta de me violer. Malheureusement, je tombais sur sa Faux… et je lui ouvris le ventre de bas en haut…Miraculeusement, l’affaire fut classée car pour les enquêteurs la mort était accidentelle. L’arme ne fut jamais retrouver car fasciné par la mort dans ses circonstances, j’avais emmenés la Faux avec moi. Depuis ce moment, je ne tuai qu’avec cette arme…d’où le nom qu’on me donna de Faucheuse…

Finissant mes études dans mon lycée, j’allais partir à Tokyo quand la police m’arrêta…apparemment, on venait de retrouver le corps de mes parents…Cette foi-là, j’avais mal calculé le lieu de l’enterrement…

Oui, j’ai tué mes parents… mais vous devez savoir qu’après la soirée de concert. Ma sœur fit exactement ce qu’elle m’avait dis. Sauf qu’au lieu de l’écouter mes parents firent le contraire, je fus encore plus punie. Au point, que je ne pouvais plus aller à la bibliothèque…ils allèrent même mentir à la bibliothécaire en racontant que je volais les livres. Je fus condamner à payer une amende mais j’étais aussi interdite de me rendre dans un tel établissement…de toute la province. Anéantie et avide de sang, j’ai tuée sauvagement mes parents alors qu’ils dînaient en les décapitant. Je les coupai en morceaux…pour ensuite aller les enterrer dans les bois…Bien sur, un jour où ma sœur était partie dormir chez son nouveau copain. Elle s’était vite remise de la disparition de son ex mais m’en voulait toujours d’avoir été si amie avec lui…

Arrivée au poste de police, on me posa d’énormes questions. Les policiers tentèrent de me faire peur en jouant les durs mais jamais je n’avouai mes crimes. Au contraire, je fis passer tous mes crimes vers ma sœur…Comme elle était moins cultivés, moins intelligente que moi et surtout moins calme. Ce fut elle qu’on incarcéra pendant que j’étais libérée…jusqu’au procès. C’était un procès à Huit-clos, l’affaire des jumelles albinos et du meurtre sauvage de leur parent firent la une des journaux. Puis comme tout procès, celui-ci fut long et chiant…J’attendais une seule chose comme verdict : la mort de ma sœur…Malheureusement, plus l’affaire avançait, plus j’avais l’impression que ma jumelle n’allait pas être exécutée mais enfermé à vie.

Dégoutée par une telle idée, je n’en restais pas pour autant têtue et lorsque je passai à l’interrogatoire des avocats. Je mis tout en œuvre pour pousser ma sœur à bout…Elle restait aussi calme que le pouvait une personne innocente, jusqu’au moment où j’osais affirmer l’avoir vue remplie de sang le soir où mes parents étaient décédés. Je prétextais avoir pris la place de ma sœur et être allé chez son petit ami de l’époque. Comme il vivait près de la forêt, on avait décidé d’aller se promener et c’est là, que j’avais aperçue ma sœur sortie d’entre les arbres, couverte de sang. Sachant que je venais de mentir, ma sœur ne supporta pas mon comportement. Sans réfléchir, elle fonça sur moi, menottes aux mains. S’en servant pour m’étrangler au passage. Je tombais de ma chaise, et nous nous retrouvèrent toutes les deux au sol en train de se battre. Alors que les chaines de ses menottes me pressaient la gorge. J’avais eu la bonne idée, le matin, de mettre des talons aiguilles. C’est ainsi qu’avec une agilité incroyable, j’attrapai une de mes chaussures et enfonça le talon profondément dans l’oreille de ma sœur…je n’avais jamais appuyé aussi fort sur quelques choses…

Hypnotiser par le sang qui coulait de sa tempe, je fus attristée de constater que ma respiration se coupait à cause des chaines…Elle était donc encore vivante…Il fallait que j’agisse au plus vite. Ainsi, retirant le talon de son oreille, l’obligeant à pousser un cri de douleur, je pris mes dernière forces pour appuyer le talon contre son crane. Etant un talon en fer (j’avais acheté les chaussures spécialement pour cela) ce fut le crâne qui céda en premier et après une fraction de seconde le talon dans la tête, ma sœur s’écroula au sol. Les yeux écarquillés, pointé dans ma direction.

Pendant quelques jours, je dus jouer la jeune femme affolée, culpabilisé par ses actes et très tristes alors qu’en faite, j’étais excitée comme une puce. Pour la première fois de ma vie, j’étais enfin UNIQUE. Je n’avais plus un poids me servant comme sœur. En plus, ma vengeance était faite…pour ce meurtre, je ne fus pas condamnée…Pour tous, c’était un meurtre avec légitime défense. Quelques semaines plus tard quand les médias furent calmés de mon histoire, j’entrepris de voyager dans le monde et ainsi, La Faucheuse devint une meurtrière connus du Monde entier. J’ai toujours été en manque de sang, je ne pouvais donc pas m’empêcher de tuer...Les écarts devenant de plus en plus petits, il m’arrivait de tuer une personne par jour, dès fois deux…Afin de calmer mes ardeurs de plus en plus oppressantes. Je décidais de kidnapper des personnes et au lieu de les tuer simplement. J’utilisais ma Faux pour les torturer un peu…Je voulais faire durer le plaisirs puis les techniques d’incisions sont nombreuses avec ce genre d’arme…

Pourtant, ce n’est pas pour cela que je fus arrêtée…Me retrouvant malheureusement dans un braquage de banque, je dus servir de bouclier aux agresseurs. Sauf que je ne suis pas du genre à me laisser faire et alors qu’ils étaient en train de vider le coffre fort. J’en ai profité pour les tuer tous…N’étant pas invincible, je reçus deux balles, une dans la jambe et une dans le bras. Miraculeusement pour moi, aucunes de deux ne toucha un endroit important…sauf que cette fois-ci la police ne fut pas dupe. Ils ne pouvaient pas croire à de la légitime défense en voyant l’étant des corps. L’un des hommes était méconnaissable, sa face explosé par des dizaines de balles, l’autre avait le nez arraché ainsi que les doigts de pieds…Quand à un autre, il était écrasé par la porte du coffre fort…

C’est ainsi que je me retrouvais une nouvelle fois devant des enquêteurs. Ne cachant rien de mes actes et m’amusant à donner des détails…Je fus condamné à la prison à perpétuité sans avoir la capacité d’y ressortir un jour, autre que les pieds devant. Quand le verdict fut rendu par le juge, j’explosai de rire et scandalisa le monde entier en dévoilant la véritable identité de La Faucheuse…Car pour me faire arrêter autant que ce soit pour pleins de raisons et non pour une crise de dépendance au sang, que j’avais eu à la Banque. N’ayant pas le temps de rentrer dans les détails. Je me contentai d’énumérer une cinquantaine de meurtre que la police connaissait déjà. Afin qu’ils sachent tous que La Faucheuse était vraiment moi, je donnai des indices important qui n’avait jamais été révélé à la presse. Ainsi, les enquêteurs surent que j’étais la personne ‘immonde’ qui avait commis tous ses meurtres ignobles. Grâce à mes informations, ils retrouvèrent la Faux chez moi…

Beaucoup, me demande pourquoi j’ai ainsi vendu ma couverture aux policiers. Je réponds souvent que de cette manière, j’ai des occupations en prison, car les jeunes aiment les histoires sensationnelles et beaucoup sont intéressé par les serials killer. De cette manière, je reçois d’innombrables lettres de Fan ou des lettres d’idiots qui sont encore choqué par mes actes. J’ai toujours reçut des lettres, dès mon premier jour de prison…Surtout de Fan…J’ai prouvé au Monde que Tuer est un Besoin pas un Crime…

Cela vous suffit-il ?

« Oui…Je pense…Vous pensez que je pourrais apprendre quelques trucs de votre part ? »

« Comme quoi ? »

« Comme celle de manier une Faux ? »

[Un sourire aux lèvres, la vieille albinos acquiesça de la tête…Apparemment, la soif de sang pouvait apparaitre chez tout le monde]

Autres- ///

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- Kidnapping Multiples avec Tortures et Meurtres barbares ainsi que le meurtre infâme de ses parents et de celui de sa sœur (pour ces deux là, elle ne fut jamais condamnée)

Matricule- 830920

Rang- Une égocentrique albinos

No. De cellule- (décidé par l'admin)

Gang désiré - ////

Personnage sur l'avatar- Si vous le savez dite le moi…

J'attends une possible validation