Rika Patterson

Dossier médical

Nom & Prénom- Je m'appelle Rika Patterson, puisqu'on donne même un nom et un prénom aux animaux de compagnie.

Sexe- Je suis une petite fille, à peine une adolescente.

Âge- J'ai 13 ans, une année prometteuse aperemment...

Traits physiques- Je suis une jeune fille aux traits doux et un peu oval. Mes yeux sont violets, rond et très occidentaux, mes cheveux sont fins et doux et d'une couleur entre le roux et le chatain foncé. Mon nez est petit et aquilin et mes lèvres très fines et peu marquées, je tire souvent mes cheveux en arrière pour qu'ils ne me gênent pas les yeux, mes oreilles sont petites et peinent à retenir mes quelques mèches volages. Malgré mon jeune âge je dispose de quelques formes avantageuses que je met en valeur inonsciemment dans des tenues sombres et moulantes. Ma peau est bronzée et douce, sous le froid et la chaleur, elle ne devient pas sèche et craquante. Mes mains sont petites mais mes doigts sont longs et habiles, je suis doué de mon corps agile et assez puissant. Mes épaules sont solides et mes bras musclés. Mes jambes courent vite mais manquent parfois d'équilibre car mon buste est plus petit que le reste de mon corps. Je ne porte jamais de jupe ou de robe, toujours des pantalons et des débardeurs moulants, ou des shorts. Souvent, on reproche ma mauvaise tenue dont je n'ai que faire et j'apprend petit à petit à me tenir droite, on me frappe souvent mon regard qui n'est pas celui d'une petite fille. Vide de sentiment, mais tellement intrigant. Vous n'aurez qu'à regarder autre chose.

Taille- Je mesure 1m50, je trouve ça moyen pour mon âge.

Poids- Je pèse 33 kilos, c'est peu.

Maladie ou handicap physique- Je suis asthmatique, je peux courir vite mais pas longtemps. Je suis un enfant, c'est-à-dire une être d'apparence fragile, est-ce pour autant un handicap?

Autres- Je suis nyctalope, je ressent très peu le chaud et le froid, peut-être les coups m'ont-ils appris à être insensible?


Dossier psychologique


Qualités- Pour mon âge, alors que tous les adultes me prennent pour une gamine stupides et ne pensent qu'à me parler comme un bébé, je suis très réfléchie, débrouillarde et intelligente. Je peux tout faire de les mains. Je suis généreuse à condition que cela me soit profitable et qu'il y est du donnant-donnant. Ca ne me dérange pas non plus de prendre pour un autre et de devoir me taire. Je suis très solide mentalement et je prévoit souvent comment les choses vont se passer. J'ai beaucoup de conaissance cachées que je divulgue rarement, j'ai une très bonne mémoire, je me souviens de 90% des choses que j'entend ou que je vois. J'ai une logique incomparable, je me sens capable de battre n'importe quel adulte, je suis quelqu'un de fier et j'ai rarement peur.

Défauts-Je parle peu et ne sourit jamais. Je n'aime pas parler de moi car j'ai constamment l'impression que cela pourrait se retourner contre moi. Je ne partage ma confiance avec personne d'autre que moi-même, j'exprime aussi très mal mes sentiments et je préfère donc me taire. Je reste souvent seule à réfléchir en regardant ce qui m'entoure. Je suis extrèmement impassible, on pourrait tuer quelqu'un devant mes yeux que cela ne me ferait ni chaud ni froid, je n'ai peur de rien et parfois on pense que j'agit sans prendre conscience de ce qui m'entoure, mais c'est faux, je suis une personne qui agit pour elle seule et ne prend tout simplement pas en compte le reste. Rien de plus. On pense que je suis folle, que ce que je fais est mal, mais c'est penser que la main d'un enfant est toujours pure qui est mal. Car je suis surement l'enfant le plus impur qui soit sur cette Terre, et partout d'autre aussi. Je pense aussi que je suis folle finalement. C'est surement pour cela que je suis ici.


Aime- J'aime le chocolat et les confiseries, j'aime passer mes longs doigts dans mes cheveux, j'aime l'odeur de la barbe à papa près des manèges, j'aime les beaux vêtements même s'ils sont tous sombres en général. J'aime tenir certaines personnes par la main, j'aime courir dans le sable et sauter dans l'eau de la mer, j'aime poser mon oreille contre un coquillage et y entendre la mer. J'aime ce genre de choses de gamines inssouciantes, mais j'aime aussi étrangler, apporter un dénouement à la vie d'une personne, voir son regard d'effroi sur moi lorsque je lève mon couteau au-dessus de son coeur, j'aime le sang qui gicle sur mes vêtements et mon visage. J'aime les cris dans la nuit, intense et agonisant jusqu'à s'éteindre pour toujours. J'aime les gens qui préfèrent m'oublier et me laisse en paix, j'aime le vent sur mon visage et l'eau froide quand je me lave de ce sang. J'aime comme le sang change la couleur de ce qu'il touche et le fait qu'il ne disparaisse jamais vraiment. Mais j'aime par-dessus tout être une enfant, qui tue par plaisir, pas vengeance, parce qu'elle est victime de la folie des adultes, et que ceux-ci passent près d'elle en lui souriant simplement, pensant: Comme la main d'une enfant est pure et dénuée des vices dont nous sommes les victimes...

N'aime pas-Je n'aime pas les animaux, parce que j'ai l'impression d'être comme eux, victime de l'homme je ne les aime pas. Je préfère ce qui m'est inconnu, différent, ce qui me ressemble me touche, et ce qui m'atteint me fait mal. Je déteste ma propre douleur, je suis tout à fait contre les pratiques sado-masochistes, je préfère rester sadique et regarder souffrir autrui. Je déteste les adultes, hommes et femmes, c'est pour cela que je les tue, je n'aime pas leur regard orgueilleux, leur mains qui se croient capable de maîtrister le monde et leur promesses stupides et jamais réalisés. Ce sont des menteurs qui ne font que monter de toute pièce des rêves et de faux-espoirs pour les petites filles comme moi, non seulement ils peuvent mentir, et ils peuvent faire souffrir. Ils sont plus fort que moi physiquement, et cette idée je l'a déteste. Ils peuvent me rouer de coups sans que je puisse me défendre, car ils sont lâches, lâches de s'en prendre à plus faibles qu'eux, et non moins fort qu'eux. Il faut piger la nuance, mais en clair, je ne les aime pas, et je ne veux pas devenir comme eux, sinon je me tuerais. Je n'aime pas les plats épicés, je n'aime que le salé et le sucré. Pas les aliments amer non plus, le café est vraiment un produit esthétique avant tout, c'est vraiment infect, encore un produit dit: pour adulte. Je déteste les jeux vidéos et les émissions télés, je n'aime pas la musique rap. Je déteste tout ce qui trouble mon silence.

Comportement avec les gens- Lorsque l'on m'adressa la parole, je répond, je suis naturellement polie. Mais je ne vais jamais débuter une conversation, ni l'a finir. Je parlerais si j'y suis invité ou obligé. Mon regard lasse et anthipatique fait que j'énerve souvent les autres, le ton monte, les mains pleuvent sur moi. Si on me parle comme quelqu'un de stupide je répond comme quelqu'un de parfaitement stupide, si on me parle comme à un bébé, je répond comme un bébé. Si on me parle sérieusement, je devient plus intéressante que vous, ça aussi ça énerve. Je suis toujours calme et je regarde toujours dans les yeux, mais ce sont les autres qui me demandent de détourner le regard, personne n'aime la façon dont je regarde les gens. Ils ont l'impression que je vais les tuer sur place. Stupide non?

Maladie ou handicap mental- Je souffre du syndrome de Peter Pan. En clair, je refuse de grandir et mon esprit aura sans doute pour toujours l'impression que je suis une enfant, et que jamais je n'appartiendrais au monde des adultes. J'en ai conscience, mais je ne le contrôle pas.

Valeurs- Mes valeurs vont bien au-delà de toutes mes pensées, c'est un nombre incalculable de chose que je pense à chaque instant, je valorise la peine et la souffrance, si elle t'ouvre les yeux avant que je ne t'ouvres le coeur.

Tics- Rester plusieurs heures à méditer sur un paysage immobile sans cligner des yeux une seule fois.

Passé- Je serais née dans les étroites et dangeureuses rues de Londres, près du quartier de White Chapel. Ma mère était une immigrante orientale, aux yeux bridées et à la poitrine pigeonnante dont mon pauvre père se serait éprit, lui le rouquin, le premier et stupide Patterson. Fils de boucher, il aurait reprit la baraque familliale et aurait engrossé ma mère entre les rotis et les langues de veau. Neuf mois plus tard je naquit, les yeux rond à l'étrange couleur violette et les cheveux roux de mon père. Ce que ce pauvre Patterson n'avait pas vu venir, c'était la fuite de la mère, libéré du poids que j'étais dans son corps, qui filait avec plus 3000 livres de meuble. Il ne l'a revit jamais. Devant une telle bétise, lui et moi nous retrouvâmes repousser de la famille, comme l'étrangeté que j'étais déjà, rien qu'en ouvrant les yeux. Mon père partit avec moi sous le bras, dans les bras c'était la même et nous quittâmes cette sombre Angleterre pour une douce France.

Mais là encore nous furent déçus. Mon père se mourait de faim à me trainer, alors que j'apprenait à marcher dans son dos, tel des proies faciles dans les quartiers pouilleux et noirs de Paris qui me faisait croire que nous n'avions pas quitter Londres, qu'un groupe de trafiquant nous attaqua poignardant mon père et lui faisant déverser ses tripes sur le trottoir. Je courrais vers lui, usant de mes jambes comme je le pouvais, et tomba les mains dans son sang. Je regardais mes mains rouges et mes larmes s'y ajoutant n'y changeait rien. Je levais mes yeux vers eux. Parait-il que l'un des cinq hommes aima mon regard, l'autre ma gorge blanche et tendre et encore un autre mes mains pleine de sang. De toute façon, il m'atrappait déjà et me passèrent une chaine autour du cou. Je me débattais, on m'écrasa les jambes. J'hurlais. Ce fut depuis ce jour que mon équilibre sur mes jambes devint fragile, même si je crois toujours que c'est ma mauvaise physionomie qui en est la cause.

Durant cinq ans, je sépartait la cock, je les emballait dans des plastiques, les étiquetaient, les pesaient, un collier en acier autour de mon coup me rappellait parfois à l'ordre, il suffisait pour cela de tirer très fort dessus. Passé cinq ans, je montais sur les trotoirs pour en vendre, j'apprit alors pour la première fois combien le visage d'un enfant pouvait être une protection, je décidais a dix ans, quand j'eu assez de courage et caché assez d'argent d'en faire une arme. Brusquement je courrais traversant le trottoir, alertés, les dealers se mirent à me pourchasser, je filais déjà dans les jambes d'un inspecteur de police lui lançant toute la drogue dans les bras et pleurant à chaude larmes. Je fut sauvé par cet homme, et dans ses bras, je savourais déjà ma victoire préparant ma vengeance.

On me fit passer des examens, et je dut prendre une grande quantité de médiacement. Déficience alimentaire, troubles mentaux, insomnies, cauchemars, signes de coups et blessures, pénétration d'objets identifié à du plastique dans le vagin, je me retrouvais plaint et dorloté. Pourtant, s'ils avaient regardé mes yeux plus que mon entre-jambe, ils auraient remarqué qu'ils auraient dut m'enfermer immédiatement. Mais peut-être les adultes sont-ils fait pour commettre des erreurs?

Dans l'hopital pour enfant où j'étais placé je n'eut aucun mal à m'échapper, crocheter ma porte, me servir de la carte volée à ma si douce infirmière, et profiter des angles morts des caméras. Une fois dehors, le froid me tiraillait, munie de mon scalpel et d'une bande de tissu découpé dans le drap de mon lit, je retournais sur les lieux que beaucoup aurait appelé l'enfer. J'en tuais dans le noir, à leur respiration que j'achevais, d'un coup dans la gorge. Tous mourrèrent, tous dont j'apréciais l'agonie et le sang giclant, jusqu'à cet homme, que j'avais oublié et Dieu seul sait comment. Le tueur de mon père, qui me souleva dans mon dos, il me prit par les cheveux, me frappa et prit le scalpel à terre, il n'était aperemment pas français, il prononça un mot dans une autre langue.

-Kirai Patterson...

J'ignorais à l'époque que c'était du Japonais qui signifiait: Je déteste les Patterson. Mais ce fut une phrase que je retins alors, bien que je n'en comprit la moitié sous la peur. Ce sang sur mon corps et tant de blessures, je ne pouvais m'y résoudre, je ne pouvais le laisser me tuer maintenant. Je brandissais le pistolet du dealer mort à côté de moi et tirait en direction de l'homme.

*Clic Clic Clic*

Celui-ci qui s'était presque effondré me regarda en souriant, et s'avança en riant, il avait gagné, aucune balle dans le flingue.

-Pauvre chose que tu es, quelle nature immonde t'as mise au monde pour te voir égorgé dans le sang et la drogue des sales rues de Paris... Ta faiblesse et ta naiveté feront de toi une créature qui nourrira le ventre de L'enfer.

Il planta son couteau dans mon coeur, j'ouvrais de grans yeux devant son geste, devant son sourire de victoire, devant cette douce chaire qui cédait... Mais où était la victoire? Il était plus fort que moi, il avait une arme, où était ce sentiment d'avoir vaincu avec gloire? Je souriait, quelle créature stupide était les humains vraiment. En le regardant, et tandis que celui-ci me regardait et commençait ç tilter sur le fait que je clignait encore des yeux, je comprit que j'étais née pour être différente, et non pour remplir le ventre d'une créature imaginaire et inventée de toute pièce. Je retirais la lame plantée au niveau de mon coeur. Une poudre blanche glissa sur la lame. De la drogue, j'avais déposé sur mon piste, en-dessous de ma chemise que j'avais nappé du tissu de mon drap des poches, et que j'avais une fois là-bas, tous endormit, remplit de cock. La lame m'avait rasé la chair, écorchée un peu même. Je souriait, il se rua sur moi. Je sortais un pot emplie d'un médicament dégoutant que l'on me forçait à prendre et lui lançait le produit dans les yeux. Hurlant de douleur, il recula portant ses mains à ses yeux. Je lui ouvrait le ventre, déversant ses tripes sur le sol sale et blanc des trites rues de Paris.

Durant trois ans, je tua exactement 107 personnes, tous des dealers, des violeurs, je me promenais et manipulait mon visage de poupée pour paraître faible. Oui je n'avais que très peu de force, oui je n'étais qu'une enfant, mais non, j'étais très loin d'être faible. Justement, j'étais on ne peut plus forte. Cependant, la police finit par me retrouver comme je me cachais peu, et me prit en plein meurtre, lent et emplie de douleur comme j'aimait, je fus enfermé en hopital, mais mon cas s'agravait, je faisait même accepter à mes psychologue mon point de vue, ce qui fut le début de la carrière de certains Serial Killer. On comprit alors que mon visage était une arme mais aussi ce qui se cachait derrière. On décida de m'enfermer dans l'une des plus grandes prisons du monde.

A treize ans à peine, je rentrais dans la prison de Sadismus Jail, presque obligé par le gouvernement à accepter une enfant du Diable, parmi tous les autres de son établissement.

Autres- Un jour ce fut un petit garçon qui vint me voir pour acheter de la drogue, son père était malade et en lui faisant prendre une grande dose, il pourrait mettre un therme à ses souffrances. Je lui soufflais:

-Achète un torchon en laine solide et fais-le baigner une heure dans de l'eau froide, quand le tissu a bien absorbé, attache-le autour du cou de ton père endormit, et va t-en avec cet argent. La laine rétrécira et l'étouffera, il mourra dans son sommeil. Ce sera un therme à sa souffrance, même le tissu le plus doux et le plus soyeux est une arme redoutable...

Le garçon s'enfuit en courant. Quelques jours plus tard, les journaux criaient qu'il s'était pendu avec de la laine.


Dossier criminel


Crime(s) commit(ts)- Vente de drogue, prise de drogue, 107 meutres commit de sang froid et tous reconnus.

Matricule- 131300

Rang- Sale môme.

No. de cellule-

Gang désiré - Aucun pour le moment.

Personnage sur l'avatar- Je ne sais pas du tout.