Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
|
| Hina Krügger | |
| | Auteur | Message |
---|
Hina Krügger 630012
Nombre de messages : 575 Age : 34 Localisation : Eparpillée dans tes pleurs, mon coeur... Date d'inscription : 31/10/2007
| Sujet: Hina Krügger Mer 31 Oct - 18:56 | |
| Dossier médical
Nom & Prénom- Hina Krügger
Sexe- Je suis une femme.
Âge- 18 ans.
Traits physiques- J'ai une apparence de garçon comme vous pouvez le constater. Je suis pourtant la féminité incarnée. Mon visage semble relativement angélique à la base, mais la gravité de mes traits le transforme en une face sans émotions. Je suis plutôt rachitique, ce qui me donne des aspects d'être chétif. Certes je n'ai pas un physique avantageux pour des combats au corps à corps, mais l'esprit fait beaucoup plus de chose que nous ne le pensons.
Taille- 1 mètre 76
Poids- 56 Kg
Maladie ou handicap physique- aucun
Autres- rien à préciser
Dossier psychologique
Qualités- Je suis relativement calme et quoiqu’il adviendra je resterai maître de moi même. L’objectivité reste une de mes principales qualités. Je sais faire preuve d’une grande écoute et être de bons conseils auprès de ceux qui aiment déballer leurs problèmes. Je peux être d’une grande aide quand il le faut, aussi bien pour des actes moraux qu'immoraux. Autre qualité non négligeable, je ne suis pas folle et mon intelligence est tout simplement égale à la votre. Si ce n'est supérieure...
Défauts- Je suis très fière de moi même, parfois hautaine. On me dit narcissique et prétentieuse. Possible. Je ne supporte que difficilement l’autorité, d’ailleurs ce n’est pas vos barreaux qui me retireront ma liberté. Je reste stoïque quoiqu‘il arrive. Je suis relativement réservée ce qui peut être aussi bien considéré comme un défaut que comme une qualité. Quand je veux quelque chose, je fais tout pour l'obtenir, ce qui me rendre agaçante, mais ça ce n'est qu'un détail.
Aime- Je passerais mes journées à écouter des cris d’agonie. J’aime lire la peur et la souffrance dans les yeux des gens. J’apprécie encore plus le mélange des deux. J'adore me sentir au dessus de tout, vous saver la toute puissance. Lorsque je tue, ce sentiment de voler la vie me rend folle de joie. J'en arrive même à m'admirer. Ha aussi, ce que j'aime plus que tout, c'est moi.
N'aime pas- Le manque de propreté m’insupporte. Je hais les gens comme moi. Je hais les gens trop bien en clair. Les êtres se donnant un genre mauvais ou un genre bon me débectent. Il serait temps que les personnes assument ce qu’ils sont. Je n'aime pas échouer, ni renoncer. La sensation d'inutilité m'agaçe, je hais être qu'une simple spectatrice des évènements.
Comportement avec les gens- Mon comportement varie selon la façon dont on me traite.
Maladie ou handicap mental- Rien à noter.
Valeurs-Mes valeurs?….
Tics- Aucun.
Passé- Un jour, je suis née. Avouez que je démarre de façon sensationnelle le roman de ma vie. J’ai grandit dans une famille qui, avec le recul, était totalement misérable. Mon père, déserteur précoce, n’a pas eu la joie de me connaître. D’ailleurs son nom était devenu tabou. Ma mère, alcoolique à ses heures perdues, partait dans son délire de voir l’homme de sa vie revenir. Sa vie s’était éteinte au départ de ce dernier. A présent cette génitrice n’était qu’une carcasse vide qu’elle remplissait à coup d’eau de vie. J’ai très vite compris qu’il me faudrait grandir rapidement, et bien.
Ma mère, incapable de réussir la moindre chose dans sa vie ( à part moi, vous l’aurez compris ) décida de me laisser vivre chez ma chère et tendre grand mère. Je ne voyais que rarement ma mère, qui pour moi au passage était morte. Mon grand père était très croyant. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi il ressentait ce besoin. Je ne l’ai jamais vraiment compris au final. Je me souviens qu’il aimé me regarder prendre ma douche, parce que j’avais un corps de garçon disait-il. Il aimait ce corps de garçon. Son regard malsain me plaisait. Peut être allez vous pensez que ce vieillard n’était autre qu’un pervers aux penchants pédophiles, mais pour moi il n’en était rien. C’est mon corps de garçon qui lui plaisait. C’est les garçons qu’il aimait. C’est la seule chose que j’ai compris de lui. Ces moments chez mes grands parents me manquent.
Un jour ma mère est revenue me chercher. Elle avait arrêté de boire, disait elle. Imaginez le choc de revoir une personne qui pour vous est morte. J’avais 15ans. Elle avait fait cette erreur de creuser elle même sa propre tombe dans mon cœur. Cette faute allait changer sa vie, et la mienne parallèlement. Je ne sais plus à quel moment j’ai apprécié voir ma mère souffrir. Je l’entendais pleurer le soir, au début ça me faisait mal, car oui j’aimais ma mère. Mais ensuite cela m’amusait. Elle avait gâché sa vie et involontairement la mienne, mais notre différence était que moi, je n’en souffrais pas. J’étais devenue impassible. Alors je l’écoutais pleurer, j’aimais l’entendre gémir. J’aimais cette sensation de supériorité. Il m’en fallait toujours plus. J’ai commencé à lui rendre la vie impossible. Je voulais qu’elle souffre encore et encore. Le soir était devenu mon moment préféré, c’était là que j’entendais l’ampleur des dégâts que j’avais causé ou non. Mais un soir, je n’ai rien entendu. Elle ne pleurait pas, ne disait rien. J’ai cru qu’elle savait que cela me procurait une jouissance extrême et qu’elle voulait me l’arracher comme elle m’a arrachée de mes grands parents.
Alors je l’ai tuée. Summum de jouissance. Je vous épargnerais les détails de mon crime, car ça je le garde secret. Sachez juste que j’ai pris mon temps. Provoquer l’agonie d’une personne qu’on aime est un pur délice. Croyez moi. Alors j’ai réfléchi et je me suis demandé qui d’autre j’aimais. Si vous avez suivi, vous comprendrez… Je n’ai plus rien, et ça, c’est la clé de la réussite. Le fait d’avoir tout détruit ce qui peut nous rendre émotif, fait de nous des personnes surhumaines, vous voyez?
Je pensais que je ne me serais jamais arrêtée de tuer. Voir une personne vous supplier, arracher une vie, torturer, cela n‘était que preuve de force. Vous savez, certain d’entre nous, je parle de nous les psychopathes comme vous dîtes, se trouvent diverses excuses pour échapper à la responsabilité de leur crime. Moi, au contraire, j’assume ce que j’ai fait et ce que j’aurais continué à faire. Mes actes sont beaux, mes actes peuvent me rendre fière. J’ai éliminé ceux que j’aimais d’une façon acharnée, de quoi aurais je été capable avec vous?
Autres-
Dossier criminel
Crime(s) commit(ts)- 3 Meurtres.
Matricule- 630012
Rang-
No. de cellule-
Gang désiré -
Personnage sur l'avatar- Personnage principal de FF versus XIII , mais je n'ai pas le nom... | |
| | | Alec Praens 305278 Tueur au visage d'ange
Nombre de messages : 1297 Age : 40 Localisation : Perdu dans ce monde brutal Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: Hina Krügger Mer 31 Oct - 19:19 | |
| J'adore ton histoire et ton style
tu seras dans la cellule... LL
Bon jeu. | |
| | | Hina Krügger 630012
Nombre de messages : 575 Age : 34 Localisation : Eparpillée dans tes pleurs, mon coeur... Date d'inscription : 31/10/2007
| Sujet: Re: Hina Krügger Mer 31 Oct - 19:35 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Hina Krügger Jeu 1 Nov - 14:03 | |
| Bienvenue camarade de cellule ^^ |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Hina Krügger | |
| |
| | | | Hina Krügger | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|