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| Karl Riwerok | |
| | Auteur | Message |
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Karl Riwerok 701820 Sterben
Nombre de messages : 177 Age : 45 Localisation : à votre avis? Date d'inscription : 03/10/2007
| Sujet: Karl Riwerok Mer 3 Oct - 18:17 | |
| Dossier médical
Nom & Prénom- Je m’appelle Karl Riwerok, prononcez Rivéroc, merci.
Sexe- Je suis un homme, aux dernières nouvelles, même si on ne dirait pas.
Âge- J’ai 27 ans, mais je ne fais pas mon âge.
Traits physiques- Je ne suis pas très grand, certains diront petit, mais je suis harmonieusement musclé et je compense mon relatif manque de force par une grande souplesse (et un caractère de cochon). J’ai ou plutôt j’avais un joli visage, avec des traits fins, presque féminins, bien pratiques pour avoir l’air inoffensif. J’ai les yeux noisette, de longs cheveux noirs qui me retombent devant le visage. Avant c’était pour accentuer le côté gamin inoffensif, maintenant c’est pour masquer la magnifique cicatrice qui court sur ma joue gauche depuis le coin de l’oeil jusqu’au lobe de l’oreille. Du coup, pour l’air inoffensif, c’est raté.
Taille- je mesure 1m65.
Poids- je pèse 65kg.
Maladie ou handicap physique- RAS
Autres- RAS
Dossier psychologique
Qualités- Je suis loyal, quand j’ai accordé ma confiance à quelqu’un je ne la retire pas sans raison. Je pense que j’ai oublié d’être bête, on ne cache pas à ses parents qu’on fait parti de la mafia en étant complètement idiot. Je suis capable de faire preuve de patience si ça en vaut la peine. Quoi d'autre? Ah oui, je fais bien la cuisine, surtout pour un homme, mais à mon avis, ça ne va pas me servir à grand chose en prison. Quoique... Les gardiens sont humains et donc corruptibles...
Défauts- Je m’emporte assez facilement, surtout si on me dit que je suis petit. Je n'ai pas choisi ma taille, mais elle me plait bien, alors on ne s'en moque pas! En plus de ça je suis rancunier et je n'oublie pas facilement quelqu'un qui s'est moqué de moi. Susceptible et rancunier, deux défauts qui vont bien ensemble! A part ça, je dirais que mon principal défaut est justement l’une de mes qualités. Etre trop loyal peut parfois jouer des tours. J’en suis conscient, mais je ne me changerai pas. D’un autre côté, je suis très méfiant, je ne sais pas si c’est vraiment un défaut, surtout ici.
Aime- J’aime les armes, surtout les armes blanches. J’aime en parler et m’en servir. J’adore me battre, au couteau surtout, au corps à corps sinon. Je tiens à ma tranquillité. Sinon, je ne suis pas difficile pour la nourriture, la musique, les fringues.
N'aime pas- Je n’aime pas la traîtrise et le mensonge, on peut être mafieux et avoir de l’honneur. Je l’ai déjà dit, je déteste qu’on se moque de ma petite taille. Je n’aime pas recevoir d’ordres de quelqu’un que je ne respecte pas, c’est dangereux pour la personne en question.
Comportement avec les gens- Je classe les gens en trois catégories. Les faibles, les rivaux, les intouchables. Si je peux en tirer bénéfice, je n’hésiterai pas à opprimer les faibles. J’ignorerai mes rivaux dans la mesure du possible, mais si ce ne l’est pas, je les éliminerai sans aucune pitié. Quant aux intouchables, j’y classe les gardiens et les chefs de gang, plus peut-être les tueurs les plus dangereux. Et même ceux-là, s’ils me cherchent, ils me trouveront. En règle générale, si on me laisse tranquille je ne suis pas une personne à problème. Mais il n’en faut pas beaucoup pour me provoquer.
Maladie ou handicap mental- RAS, une nouvelle fois.
Valeurs- Je dirais que je possède des valeurs anciennes : honneur, loyauté, respect, mais tout ça est un peu tombé en désuétude.
Tics- Je me cure les ongles avec mon couteau. Si je n’ai pas de couteau, je me ronge les ongles.
Passé- Je suis ce qu’on appelle un fils de bonne famille. Je suis né en France, quand mon père y était ambassadeur d’Allemagne. J’y ai vécu dix ans, je parle donc français couramment. Puis mon père a été muté. Italie, quatre ans. Angleterre, deux ans. A seize ans, je suis arrivé aux Etats-Unis. Mes parents toujours en réceptions, en galas ou en dîners, j’étais livré à moi-même. J’ai commencé à sécher les cours pour flirter avec les filles. Mes parents ne me donnant pas d’argent pour ce genre de loisirs, j’ai commencé à voler. J’étais plutôt doué, je ne me suis jamais fait prendre. J’ai intégré une bande de jeunes voyous à dix-huit ans. Vol à la tire, racket, deal de drogues en tout genre, tout était bon pour se faire de l’argent. J’utilisais ma ressemblance avec une fille pour attirer nos victimes dans une ruelle sombre. C’est là que je me suis rendu compte que j’étais attiré aussi bien par les garçons que par les filles. En grandissant, nous avons élargi notre rayon d’action. Nous sommes passés au vol à main armée, au trafic d’armes. Je me suis découvert un talent certain dans leur maniement, tant les armes à feu, de l’automatique au fusil à pompe, que les armes blanches qui ont ma préférence. Du coup, on a organisé des combats au couteau avec des paris et une jolie somme à la clé. A vingt ans, je comptais une cinquantaine de victoire à mon actif, aucune défaite et pas une égratignure. Les parieurs ont cru que les combats étaient truqués. Ils m’ont trouvé un adversaire de leur parti et ont demandé un combat à mort. J’ai accepté, j’ai gagné. J’ai été repéré par un homme de main du Duc, un chef mafieux. Il m’a engagé. Pendant ce temps, mes parents ne se doutaient de rien, je continuai à la maison d’agir comme un bon fils, bon élève, gentil et bien élevé. Je me suis servi de cette relation de parenté sans aucun scrupule pour obtenir des informations ou éviter une condamnation pour moi ou pour un autre. Quand j’ai eu vingt-et-un ans, mon père a été muté. Japon. Sous prétexte de finir mes études, je suis resté aux USA. Je me suis rapidement élevé dans la hiérarchie. Meurtre, racket, deal, rien ne me rebutait. A vingt-cinq ans, j’étais devenu le bras droit du Duc sous le pseudo Sterben, mourir en allemand. Mon apparence inoffensive faisait souvent rire nos interlocuteurs, mais une petite démonstration de tir leur suffisait pour comprendre que je méritais mon surnom. Le Duc était impliqué dans un trafic d’armes à destination des conflits africains. Lors d’un échange, les forces de l’ordre ont fait une descente. Une fusillade a éclaté entre les trois partis en présence. Avant que j’aie pu faire quelque chose, le Duc et la moitié de nos hommes était morts. Par vengeance, j’ai fait un joli carnage dans les rangs adverses avant de m’enfuir avec mes derniers compagnons. Malheureusement, l’un d’eux connaissait ma véritable identité et m’a accusé de les avoir vendus. Nous nous sommes battus au couteau. Ce fut l’adversaire le plus redoutable que j’eux à affronter. Plus grand, il bénéficiait d’une allonge supérieure et moi de ma souplesse et de mon expérience. Nous étions du même niveau. Je dus faite un sacrifice pour m’approcher suffisamment. Après un enchaînement, je lui laissai une ouverture et il essaya de me planter son couteau dans l’œil. Je déviai la lame juste assez pour ne pas être tué ou éborgné, me glissai sous son bras en profitant de ma petite taille et lui enfonçai mon arme dans la poitrine. Alors que je me redressais, haletant, j’entendis un coup de feu et sentis une douleur dans le dos. Je basculai en avant. Lorsque je me réveillai, j’étais à l’hôpital. Je m’étais pris une balle dans le dos et mon corps avait été abandonné devant un commissariat. C’est la coutume pour les indics. Sauf que je n’étais pas un indic, mais l’un des hommes les plus recherchés par la police new yorkaise. Au cours de mon procès, j’ai appris que le cartel du Duc s’était effondré. Je n’ai rien nié des accusations portées contre moi, j’ai même avoué d’autres crimes, notamment des meurtres, ça allait éviter que mes camarades soient poursuivis pour des crimes qu’ils n’avaient pas commis, mais je n’ai donné aucun nom, aucune planque. Mes parents sont tombés de haut. Je n’avais pas donné de nouvelles depuis leur départ pour le Japon, mais ils n’avaient pas non plus cherché à garder le contact. Je ne reçus d’eux qu’un bref message : « Vous n’êtes pas notre fils. Nous sommes désolés ». Je l’ai brûlé et n’ai rien répondu.
Dossier criminel
Crimes commis- racket, vol à main armée, deal de drogue, meurtres de civils et de policiers (j’ai arrêté de compter après le deuxième), trafic d’armes, la routine de la mafia. Matricule- 701820 Rang- Sterben No. de cellule- (décidé par l'admin) Gang désiré – aucun pour l’instant Personnage sur l'avatar- Yunoki Azuma (manga la Corda d’oro)
Dernière édition par le Jeu 4 Oct - 2:27, édité 1 fois | |
| | | Alec Praens 305278 Tueur au visage d'ange
Nombre de messages : 1297 Age : 40 Localisation : Perdu dans ce monde brutal Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: Karl Riwerok Mer 3 Oct - 19:22 | |
| J'aime beaucoup ta fiche... mais les "qualités" et "défauts" sont un peu courts.
C'est trois lignes complètes à l'écran (sur le mien ca fait 2 1/2) ralonge un peu et ca sera bon ^^ | |
| | | Karl Riwerok 701820 Sterben
Nombre de messages : 177 Age : 45 Localisation : à votre avis? Date d'inscription : 03/10/2007
| Sujet: Re: Karl Riwerok Jeu 4 Oct - 2:28 | |
| Voilà, j'ai édité. Désolée pour le problème de longueur, sur mon écran ça en faisait 3,5. Maintenant que je suis prévenue, je ferais attention. | |
| | | Alec Praens 305278 Tueur au visage d'ange
Nombre de messages : 1297 Age : 40 Localisation : Perdu dans ce monde brutal Date d'inscription : 22/03/2007
| Sujet: Re: Karl Riwerok Jeu 4 Oct - 5:16 | |
| C'est juste moi qui ai un très grand écran... Et puis vu la qualité de ta fiche, je me suis dit que tu pouvais certainement en faire plus... et j'avais raison ^^
Je te valide.
Tu seras dans la cellule... II tout seul pour le moment... | |
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| Sujet: Re: Karl Riwerok | |
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| | | | Karl Riwerok | |
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