En essayant de comprendre...(Pv Lucy n.n!)

Depuis cet incident avec cet homme et cette femme, je me suis tout de suite décidé d’emmener ce fou en salle d’isolement pour un bout. J’ai eu peur pour la jeune femme, moi qui suis de nature respectueuse envers la féminité. Avant de venir ici, j’ai attaché l’homme bien serré au cas où qu’il se réveille et décide de me sauter dessus comme un déchaîné. Je l’ai pris dans mes bras et je l’ai emmené ici. J’ai fermé la porte et je l’ai détaché pour ensuite l’attaché après la cage en métal. J’ai fermé la cage, pris une cigarette et je me suis assis à la porte. Je souffle de la fumée et je soupire désespérément.

- Mon dieu…pourquoi moi…

Dis-je tout bas en contemplant le visage à moitié caché de l’homme endormit.

- Où avait-il la tête?

Je patiente en attendant le réveille du fugitif. Je regarde la fumée danser devant moi, sombre et tueuse. Je me suis mis à penser que la fumée est comme un tueur. Elle est dangereuse même si elle n’en a pas tout l’air, elle est discrète, même si on la voit agir et elle montre son vrai visage quand on en subit les conséquences. Et oui, je vois cela comme ça. Parfois, je peux confondre plusieurs choses avec d’autres. C’est ma manière de penser.

Je pris une bouffer et je m’accote la tête sur la porte, en regardant le plafond. Je souffle la fumée de mes poumons en jouant avec. Peut-être je devrais arrêter? Je ne sais pas, c’est rare que j’en prend une. D’habitude, j’en prend le simple fait de jouant et voir la fumée. Bizarre non?

« Je suis ou ? »

Je me parlais a haute voie…Je ne savais si j’étais seul ou pas, mes yeux étaient encore fermés…J’ouvre les yeux, et je remarque que je ne vois pas très bien. Il fait très sombre ici, ce que je sais c’est que je me retrouve dans une cage en métal…Quelqu’un ma balancé ! Quelqu’un m’a assommé…On m’a sûrement amené ici et enfermé…

Je me frottais le crâne, Il avait frappé fort le bougre, je passais les mains sur le visage, histoire de me remettre les idées en places et me rappeler des fais. Elle était a moi ! je l’ai croqué, et j’ai vérifié sa fraîcheur…

Fraîcheur ! Oui…Je regardais ma main, qui était attaché par devant avec l’autre, et la mis près de mon visage pour sentir l’odeur…Un mélange de mouille et de sang. Je me léchais frénétiquement la main, et me l’essuyais sur le visage, pour m’imprégner de son odeur. Un délice, j’étais si près du but…Si près…Cela m’excita et m’énerva en même temps. Ce qui fit sortir de ma gorge un rire machiavélique, remplit de haine de faim de violence, et de toutes ces saloperies de malsainnités connu des hommes….

Ma chanson revient en tête, et certains souvenirs aussi.

« Rien qu’un petit bout, un petit bout de rien du tout, juste un petit bout de joue »

En chantonnant a répétition ma chanson, je me mit difficilement a fouiller mes poches, a la recherche de mon précieux trésor !

« Où est-il ! Ah ! Le voila… »

Enfin je le trouve, j’ai eut du mal avec ces mains accrochées ensemble devant. Mais je l’ai. J’embrasse mon fameux trésor et le met dans la bouche…Mon beau timbre LSD haha ! On va faire la fête tout les deux
J’ai remarqué de la fumée mais j’ai la flemme de réfléchir a savoir si quelqu’un est la ou pas…Je laisse donc mon timbre faire son effet.

Je suis où?

Je lève mes yeux en direction de la cage, avec un sourire en coin. Je le vois se réveiller doucement avec une de s’est tête bizarre. Je pris une autre bouffer de cigarette et je reste silencieux. Je le vis se frotter le visage et lécher ses doigts. Là, je me demande si j’ai affaire à un fou psychopathe ou bien un homme cannibale affamé? Bonne question Sami…je vais essayer d’en savoir plus. Je suis intrigué par cette âme folle.

Ce qui me dégoûta un peu c’est qu’il lèche ses doigts. J’ai pensé tout suite à sa main qui était dans le membre génitale de la femme imprégné de sang. En plus, peut-être que c’est infecter de résidus vaginales…beurk! Sami, ne pense pas à cela. J’en ai des frissons dans le dos maintenant. Je fis une de ses grimaces avec incertitude. Je pris un autre bouffer de cigarette en essayant de ne pas vomir d’avantage. Je crois que je devrais pense à mes gâteaux et non à ce que je vois dans mon coin devant moi.

Son rire me fit froncé le sourcil et froid dans le dos. Il se marrait comme un fou dans son coin. Mon hypothèse peut se tourner vers le fou malade mental dégénérer, mais j’ai un sérieux doute. Je sens qu’il à un côté bestiale très développer et très profond. C’est encore une hypothèse que je me pose.

Rien qu’un petit bout, un petit bout de rien du tout, juste un petit bout de joue

Il commença à chanter comme un dévergonder. Chouette, un chanteur amateur. Noonnn!! En plus, il chante faux! Sami…? Est-ce que c’est encore ton sucre qui te monte à la tête?

Il fouille dans ses poches et en sortit un petit papier. Ensuite, il le mit dans sa bouche avec un air soulagé. Est-ce qu’il est en manque de fibre ou quoi? Je fronça encore le sourcil et je pris encore une bouffer.

- Alors, t’en pense quoi? Je ne t’es pas trop frapper fort?

Dis-je d’une voix grave et douce.

- Je vois que tu es en manque de fibre ou bien tu es juste un peu sonné…

« Alors, t’en pense quoi? Je ne t’es pas trop frapper fort? - Je vois que tu es en manque de fibre ou bien tu es juste un peu sonné… »

Ces phrases sortir de nulle part, et vinrent a mes oreilles avec la violence d’un dragon….La drogue ne fait pas encore effet, donc quelqu’un m’observait bien. Cela me fit sourire, cette personne est celle qui m’a assommé….Mon tic revient illico ! Je passe ma langue sur mes lèvres lentement.
Une voie d’homme….Dommage ! Mais bon cela peut être parfait pour moi. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas confronté a eux. Vu l’endroit, ce ne peut que être un gardien. Sa voie me plait bien, il a un coté innocent et gamin, cela m’excite encore plus…Un jouvenceau haha !

Mon rire repartit de plus belle !

« Pas assez en tout cas boss ! Vous m’avez bien sonné ma fois je dois le reconnaître, mais me voici de nouveau d’attaque, avec de bonne vibration dans le sang ! »

Enfin je dois admettre que la douleur persiste encore un peu, mais la drogue faite sont effet déjà, je ne sent presque plus rien. Je commence a m’amuser ! Et je crois que la journée va être attrayante ! J’ai une idée ! je vais jouer les fou ! Et peut être que j’irais en hôpital psychiatrique un moment et je pourrais me farcir quelqu’un car las bas a par la nuit on ne nous attache pas…Commençons de suite !

Je me met un pousser un grognement, comme un cri de guerre ! Ce qui fait accélérer le battement de mon cœur, et la circulation de sang va de plus en plus vite ! La drogue a fait son effet ! Et nous voila de nouveau partie pour 12h d’amusement ! Mon grognement ressemble à un cri de guerre !

C’est parti ! je cours a toute vitesse sur la grille en face de l’individu et saute, pour aller m’écrasé en plein dessus ! ET BAM ! La grille en plein sur le corps. La drogue fait parler la douleur ! Elle me aprle et en redemande ! Elle le veut lui ! HAHAHA ! Moi aussi je le veut….

-Pas assez en tout cas boss ! Vous m’avez bien sonné ma fois je dois le reconnaître, mais me voici de nouveau d’attaque, avec de bonne vibration dans le sang !

Il rit encore comme un dingo. Un soupire s’échappe de moi avec un air dégoûté. J’en déduis que je suis avec un fou ou bien même pire quand il cria comme un animal. Je le vois se tortiller et crier comme un singe. Oh, peut-être que je lui un peu trop frapper. Merde. Je n’aime pas son crie. Il ressemble à un cri quand on va en guerre. Il se bat contre quoi lui? Son manque de fibre? Ou bien il fait exprès pour me faire réagir…? Un autre soupire m’enlace. Je sais que ses mains sont solidement attachées et que son corps aussi, alors il ne peut s’échapper. Cuir et métal trempé l’entoure, alors même l’homme le plus fort ne puis s’échapper de cette cage. Une chance …pfeh…sinon je deviens fou moi-même.

J’écrase ma cigarette sur le mur et je la jette dans le vide. Je me lève et je suis tanné de l’entendre. Je peut dire que j’en froid sans le dos, mais je dois agir pour lui fermer le clapais. Je ne veux pas avoir mal à la tête. On dirait qu’il agit comme un enfant. Je m’approche de sa cage et je pris mon sabre. Je frappe un bon coup avec le fourreau et je le ramène vers moi.

- T’a fini de crier !, dis-je en criant froidement, Tu la ferme avant que je t’arrache la langue !

Je change complètement d’expression du visage. Comme si j’étais un mur sans émotion. Je déteste être comme cela, mais je devais l’être. Dans le camp que j’était, il le fallait l’être toujours…même à la maison.

- Tu veux que je devienne comme tous les autres gardiens? Alors tu seras servit. Mais arrête de faire ton singe !

Je soupire et je change encore. Je redeviens le Samuel gentil.

- Merdouille, dans quel pétrin je me suis mis…

Je pris mon sabre et je le remis sur ma ceinture. Je ne voulais pas agir méchamment aujourd’hui. C’est comme su mes forces me lâchaient vivement. C’est peut-être à cause de mon rêve que j’ai fait hier soir. Iwai…

« T’a fini de crier ! Dis-je en criant froidement, Tu la fermes avant que je t’arrache la langue ! »

Son visage et tout sont corps changea ! Comme si plus rien ne passait en lui. C’est étrange à voir. Il a ce coté effrayant, qu’avait mon père… Ce roi tyran que j’aimais tant ! Il passait de la douceur à la violence à l’état pure, comme si cela était normal.

Ah ! Un flash …

[Flashback : 12 ans. A la maison, en début d’après midi.]

« Papa »

« Oui mon fils »

« Pourquoi on meurt ? »

« Mais parce que Dieu nous a fait comme cela ! Nous sommes né poussières et nous redeviendrons poussière »

« Poussière ? Mais on est sale ? »

« Non mon fils la poussière symbolise le fait que nous sommes né de la terre, grâce a Dieu et cela montre notre infériorité vis-à-vis de lui. »

Il me sourit et me caresse gentiment la tête.

« Dis papa pourquoi Dieu nous aime tous ? »

« Ah ! Mon poussin tu es bien curieux. »

Papa avait l’air heureux de me voir m’intéresser a la religions, cela le fit rire.

« Car Dieu n’est que amour ! Il est en chacun de nous et verse en nous tout son amour, et nous le faisons ressortir ! »

Je partis donc tout content de connaître en moi l’amour que Dieu m’avait offert.

[Flashback : Le même jour, mais avant le dîner.]

Je le vois se lever me regarder avec cruauté, et me frapper devant ma mère impuissante ! Je tombe a genoux, a cause de la puissance de la claque. Je pleure ! Pourquoi ?

« Pourquoi ? »

Mon père me regarde avec rage et folie et me dis :

« Pourquoi quoi ?! »

Il s’approche de moi et me soulève par le cou. Je manque de respirer et j’arrive peu distinctement a lui dire ces mots :

« Pourquoi….pour….quoi Dieu t’as enlevé son amour ? »

Il me regarde sans rien dire, puis me lâche d’un coup, me laissant m’écrouler par terre…Il pleure a son tour, puis sort dehors….

[Fin du flashback]

« Oui bien sur Boss je m’arrête de suite…. »

Lui dis-je d’une voie étrangement neutre et vidé de toute vie.

Oui bien sur Boss je m’arrête de suite….

Je me retourne vivement vers lui avec un air interroger. Sa voix avait l’air si vide tout à coup. Il y avait un moment de silence et soudainement sa voix si bizarre. Mon dieu, je m’interroge sur cet être. Je le fixe avec un air incertain et les yeux grands ouvert. Est-ce que je lui ai fait quelque chose de grave? Est-ce que je l’ai agressé?

Je soupire et je me craque le coup. Je marmonne un peu tout en cherchant quoi dire. Je vais essayer d’être pas dure avec lui. Je m’approche de lui, mais en tenant 5 pieds de distance. Je l’observe qu’il est dans une sorte de penser profond avec ses allures mortuaires. Mon dieu! Est-ce que c’est à cause de moi!? J’espère que non!

- Ça va?, dis-je doucement et un peu incertain, tu vas bien?

Je pris une autre cigarette toujours en soupirant. Je pris mon briquet et je l’ouvre avec un mouvement brusque de la main. Ma voix si fit plus neutre.

- Dis moi, en même temps…

J’allume ma cigarette en voyant le feu brûler le bout avec férocité. Mon regard se fit plus doux et profond. Je ferme mes yeux et je range mon briquet. Je pris une bonne bouffée et je l’expire rapidement.

- Tu me diras ton nom…

Je me retourne et je marche sept pas. Je m’arrête et je regarde le plafond. J’accote ma main libre sur mon sabre de gauche et je continue.

- Je n’aime pas savoir rien sur les personnes que je parle. Je veux savoir leur nom pour bien me rappeler d’eux.