Samuel Lucius Van Der Hook

Dossier médical

Nom & prénom- Je m’appel Samuel Lucius Van Der Hook. Mes deux parents ont choisi de prendre leurs deux noms pour en faire Van Der Hook. Ils se chamaillèrent souvent sur qui l’enfant devrait plus obéir et avoir le droit de lui faire n’importe quoi. Alors, ma mère a opté pour Van Der. Mon père, lui, a choisi Lucius Hook. Je sais que c’est étrange, mais ils voulurent réaliser leurs rêves d’enfance.

Sexe- Je suis un homme, même si dans ma jeunesse (quand j’avais 5 ans) je ressemblais à une fille.

Âge- Oh, mon âge? Euh… j’ai 25 ans.

Traits physiques- J’ai les cheveux noirs court, des yeux profonds noirs et une peau couleur beige pâle. J’ai un teint maladif sur mon visage à cause d’un manque de mélanine dans ma peau. J’ai l’œil droit caché par un bandeau en soie noire. Je porte souvent un ensemble noir style armée mélanger avec un style mafia pour Sadismus( Veston noir, cravate noir, chemise blanche, pantalon noir, gants blancs, botte noirs). Je ne sais pas, mais la vieille femme qui m’a recueillit me l’a fait pour moi. Elle trouvait que cela me va très bien.

Taille- Je suis un peu très grand pour un homme. Je mesure belle et bien 1 mètre 89. Je suis svelte côté de la taille, mais pas trop. Je veux dire que je suis un peu mince comme un athlète. Je suis assez bâti, même si je suis svelte.

Poids- Je pèse 260 livres. Pourquoi tant que cela? Parce que, j’ai une ossature très lourde et très solide. Alors, mes os sont plus lourds que la normale.

Handicap ou maladie physique- Mon handicap : Je suis souvent perdu quand je suis seul, mais cela n’affecte pas ma santé mentale. On peut dire que je suis dans la lune, sauf que cela n’est pas énorme. J’ai aussi, un handicap avec ma vision du côté droit. Je vois très peu avec, alors je le cache pour pas que le monde voit mon iris déformer. J’ai horreur des gens trop curieux qui me demande des questions trop personnelles au sujet de mon œil. Maladie physique : J’ai les jambes très légèrement déformées à cause de ma naissance. J’ai, aussi, un problème avec mon système thermique. Je peux faire de grandes fièvres sans le vouloir, mais c’est très rare que cela arrive. Je prend des médicament pour.

Autres- Puis-je dire que je suis un maniaque du sucre et de la viande? Oh, j’ai un tatou en forme de 69 sur ma joue gauche. Cela fut mon numéro dans le camp.

Dossier psychologique

Qualités- Je suis quelqu’un de très respectueux. Je n’aime pas manquer de respect envers quiconque, sauf que si tu exagères avec mon respect, tu seras très bas dans mon estime. Les gens me disent que je suis généreux et que j’ai le cœur sur la main. ‘’Un homme a marié! ‘’ Disent-ils avec leurs joies très remplit. Je ne pense pas qu’une femme mériterait un homme qui est timide ou bien tendre de l’intérieur. Je suis compréhensif avec ceux qui m’entourent. Je comprends toutes sortes de situations, mais je ne suis pas du genre à être monsieur qui sait tout et qui sort des lapins de sont chapeau. Je suis honnête et très sincère avec eux. Mon meilleur ami me disait souvent que je suis très affectueux avec les enfants et les femmes. Je suis habituer de toujours être ainsi avec tout le monde. Avec les hommes, je suis très poli et amical.

Défauts- Côté défaut, je suis très craintif. Je suis toujours stressé pour rien depuis que j’ai quitté mon ancienne vie. Toutes ses images me montent à la tête et j’en fais un gros plat pour rien. Parfois, je suis paresseux au sujet de dormir. Je suis dans mon lit, las en ne voulant point bouger pendant quelques heures. Je suis souvent perdu dans ma tête, trop pensif dans ma mémoire. Cela m’arrive d’être maladroit quand je suis gêné ou bien quand je suis embarrassé, je ne sais pas…mais j’ai remarqué mes étranges maladresses. Tout à l’heur, quand j’ai dit que je suis gentil et respectueux? Le contraire de ses qualités peut être présent en moi. Si on me cherche très profond ou bien si on me le demande pour une bonne cause, je peux être cruelle, violent, insensible, sadique, vaniteux et froid. Sauf que, je n’aime pas être comme cela. J’aime mieux être normal aux yeux de tout le monde.

Aime- J’aime être coucher le soir, calme dans mon lit. J’aime bien les friandises, les gâteaux, les biscuits et les beignes glacés. Je suis un gros consommateur de sucre et de viande. J’adore manger un buffet avec de la nourriture animal bien garni. Dans le fond, j’adore manger et être gourmand. J’aime bien les armes à feu et les sabres depuis ma tendre jeunesse. J’aime les femmes, les enfants et la musique. Chanter et jouer de la guitare est ma passion. Aussi, j’aime bien rencontrer de grandes personnes ou tout simplement des gens normaux intéresser à mon amitié.

N'aime pas- La violence envers les femmes. Je déteste ce genre de manie qu’on adopte envers elles. Je répugne les meurtres gratuits, les parents qui abandonnent leurs enfants pour un rien et surtout les sectes morbides. Oh et…me réveiller le matin.

Comportement avec les gens- Avec les gardiens, je suis très respectueux et amical. Je veux les rencontrés et donner tout ce que j’ai pour leur faire plaisir. Avec les détenus, je suis plus compréhensible et serein, mais je suis toujours sur mes gardes. Avec les femmes, je suis plus doux et généreux et les hommes, paisible et très sincère. Sauf que, tout cela peut changer. Parfois, je peux changer d’humeur…je ne suis pas parfait.

Valeurs- Mes plus grandes valeurs se concentrent beaucoup sur les arts, la musique, l’être humain et la nourriture. Côté art, j’aime la beauté des couleurs mélangées. Côté musique, c’est une chose que je respecte et que j’admire. Sur l’être humain, j’aime les gens et les sentiments. Enfin, la nourriture…euh…je ne sais pas pourquoi mes valeurs se rapport à la nourriture…oh! J’aime manger et c’est essentiel pour vivre!

Tics- Je me gratte souvent ma cuisse.

Handicap mental- Non, je n’en ai pas.

Passé-

Quand j’avais 5 ans, je ne savais pas que mes parents étaient très superstitieux. J’adorais passé sous les échelles en chantonnant dehors, devant ma maison. Ma mère me traitait souvent de cinglé et d’ignorant sans explications. Mon père m’avait chicané quand j’avais échappé un miroir par terre à cause d’un chat noir. Il n’avait vu juste du feu. Il ne me croyait jamais quand je lui ai dit que c’était le chat noir et non moi. Tout chavira quand ils suent que j’avais un ami imaginaire. Tout enfant seul, qui on pas d’ami, parle seul en créant un ami. Mes parents ne comprenaient pas cela. Ils disent que c’est juste une folie ou bien c’est que le Diable t’a ensorcelé. Dans ma jeunesse, je ne comprenais pas tout cela. Dans mon plus malheureux moment, mes parents m’envoyèrent au Brésil pour me faire adopter. Une femme à décider de me prendre volontiers à cause que ma mère lui avait sauvé la vie. Quand je suis arrivée là-bas, j’ai vue cette femme habillée d’étrange accoutrement. Elle m’accueillit avec un grand sourire et elle fut m’emmené dans la jungle. Elle me disait que sa maison était dans un camp et que le chef était quelqu’un de grand. C’était un refuge pour les personnes rebelles de la société ou bien des croyant de Iodo. Quand j’ai posé la question de qui était ce Iodo, elle me répondu que c’était son frère et un grand maître. Un peu plus tard, quand nous nous somme arrivé dans sa maison, j’ai vu un jeune garçon avec le même âge que moi. Elle me disait qu’il s’appelait Iwai et qu’il serait mon nouveau frère. Je ne savait pas pourquoi, mais j’avait un sourire grand.

À l’âge de 10 ans, j’ai compris que la femme qui s’occupait de moi était une prostituée très réputée dans notre petite ville. Beaucoup d’homme venait la voir chaque jour et elle nous envoyait ( moi et Iwai) jouer dans le parc ou bien allé s’amuser dans les marchés. Moi et lui nous nous sommes très rapproché depuis mon arrivé ici. Je pouvais dire qu’il était mon frère et mon meilleur ami. Un soir, il avait décidé d’aller marcher à travers la forêt pour s’amuser avec les animaux. Pendant quelque longue minute de marche, nous avions atterrit dans une grande clairière. Nous nous somme caché quand nous avions entendu des gens chantonner une étrange langue et une femme crié. On avait regarder la scène et tout se qu’on voyait c’est qu’un homme tenant un couteau en or et il pris la femme avec force. Ensuite, il avait transpercé le cœur de la pauvre pour récolter le sang qui coulait. Les autres dansaient avec des bâtons en or dans les mains autour d’un feu. Iwai et moi, nous avions décidé de quitter les lieux et de retourner à la maison. Dans nos lits, nous étions tellement apeuré que nous n’avions pas dormit pendant plusieurs heures. Dans notre petite ville, je ne comprenais toujours pas le fonctionnement. Il fallait vénérer un dieu du feu et du ciel, se lever le vendredi à trois heure pour regarder un homme capuchonner blanc dire des choses et avoué des vérités au sujet des sociétés d’aujourd’hui, pratiquer de drôle de rituel pour je ne sais pas trop quoi…En fait, notre ville était comme un camp de concentration. Personne ne pouvait y sortir, à part les soldats et les médecins. Sinon, toutes personnes qui tante de sortir, se faisait tué ou torturer ou il bien pendre.

À l’âge de mes 12 ans, un soir, un homme est venu voir ma mère adoptive. Je le connaissais très bien et je l’adorais. Il s’appelait Jerefray Houston. Il venait souvent pour donner de la drogue et des médicaments à ma mère, mais il ne l’a ‘’touchait’’ presque jamais. Ils venaient souvent nous rejoindre, moi et Iwai, pour nous entraîner à être des soldats. Notre mère disait rien, c’est elle qui voulait qu’on soit ainsi. Je sais qu’Iwai allait souvent à l’hôpital pour apprendre. Moi, j’avait décidé d’être un soldat comme Jerefray parce que je le considérait comme un père te un modèle masculin.

À mes 14 ans, sans faire exprès, je me suis blessé à l’œil droit. J’avais reçu un coup d’épée, mais qui n’avait pas été profond. Iwai s’était occupé de moi et ce qui m’a vraiment marquer de ce moment, c’est qu’après qu’il ma mit mon bandage…il avait donné un petit baiser sur la blessure en me souriant. Ensuite, il m’avait donné un calin. Dans les semaines qui suivaient, je le trouvais étrange. Il agissait drôlement avec moi et il prenait beaucoup soin de moi. Un soir, il était venu me voir et me dire de lui promettre que dans l’année de mes 18 ans, il me demandera quelque chose de pousser et je le ferais sans trop me poser de question. J’ai accepté sans trop penser.

À L’âge de 15 ans, moi et Iwai nous avions décidé de comploter un plan pour partir de notre petite ville. Il disait souvent que ce n’était pas notre vie qu’on devrait vivre, mais qu’on devrait aller habiter en Amérique du Nord. Il voulait tellement qu’on se sauve ensemble et avoir une famille loin d’ici. Je lui avais demandé pourquoi. Il m’avait répondu qu’il voulait simplement avoir une belle vie avec moi et sortir de ce cauchemar. Dans un sens, il avait raison, mais je venait juste d’être admit dans la garde rapprocher du maître. Oui, à mes 15 ans, j’étais devenu très puissant grâce à Jerefray. Il m’avait enseigné toutes sortes de truque et en plus, depuis que j’avais 6 ans… il m’avait entraîné très fort. Iawai,lui, était un très infirmier et médecin. Je sais que nous étions jeunes, mais nous étions forcer à bout et obliger dans un sens.

À l’âge de mes 18 ans, cela a été mon année le plus agitée. Je me rappel, un soir, Iwai était venu dans ma chambre…moitié déshabiller et perdu. Ses cheveux longs noirs dépeignés cachaient la moitié de son visage en larmes. Je me suis levé et je fus très surpris. Il avait couru vers moi, désespérer. Il m’avait demander de lui faire un service…rien qu’un service. Je lui avais dit oui et il m’avait demandé de lui faire plaisir en acceptant de faire l’amour avec lui. À mont grand étonnement, je ne compris pas tout à fait. Je lui avais dit pourquoi, mais il ne me répondit pas. À la place, il m’avait plaqué sur le sol et il se déshabillait …toujours en larmes. Je restait immobile en le regardant, perdu dans ma tête. Je me demandais pourquoi il faisait cela. Moi et lui, nous avions commencé à échanger de la tendresse, mais Iwai avait arrêté soudainement. Il était déboussolé.

- J’ai toujours su que je n’étais qu’un bon à rien, me disait-il, toujours sur moi. Mais toi…tu m’as toujours considéré comme ton frère…ton meilleur ami…

Je ne savais pas en quoi il voulait en venir. Je restais, toujours surpris en silencieux.

- Mais moi…moi…moi je te considère pas comme ça….

Il avait arrêter et changer de sujet.

- J’ai fait en sorte que toi tu t’évade d’ici et je me suis…arrangé pour que tu sorte de cette ville sans danger…tu prendra un chemin secret que je t’ai montré la semaine dernière…personne pourra te voir…un avion t’attendra là-bas.

Il avait pris une arme qui était en dessous de ses vêtements et il ne me laissait pas parler.

- Samuel…je t’ai...toujours admiré et désiré…je voulais tellement être avec toi et je voulais tellement vivre avec toi en Amérique du Nord…mais…mon destin à été seller pour toi…

Il avait mis l’arme près de son visage. Moi, j’avais resté figé et perdu.

- Je t’aime Samuel…

Il s’était tirer une balle dans la tête. J’avais les grands yeux ouverts, sans vie et en larmes. Je fus crié son nom, le prendre dans mes bras et pleuré, mais j’ai tenu une promesse que je me suis souvenu. Il m’avait demandé quelque chose de pousser, alors je vais le faire. Avant de partir, j’avais donné un baiser à Iwai et j’ai ensuite couru le plus vite que je peux en direction de l’avion.

Quelques longues minutes à courir, j’avais aperçu l’avion et je me suis envolé en direction de l’Amérique du Nord. Je fus très confus, triste et très en colère. Pendant des heures, je me suis souvenu de nos souvenirs très précieux et nos échangent d’histoires la nuit avant de nous coucher.

Quand je suis arrivé dans l’Amérique du Nord, je n’avais ni argent, ni maison, ni amis. Alors, j’avais décidé de vivre dehors comme les pauvres.

À mes 19 ans, une vieille femme m’avait recueillit. Elle m’avait donné à manger et elle m’avait demandé si je pouvais rester avec elle. J’ai accepté son offre. Sauf que, je trouvais cela étrange. Elle me considérait comme son fils et j’avais su qu’il était mort à la guerre. Il me ressemblait tellement qu’elle me prenait pour lui. Peut-être, elle pensait que j’étais lui. Les jours passaient et elle prenait soin de moi avec de drôles d’habitudes. Cette vieille femme avait beaucoup d’argent et elle m’en offrait souvent pour m’acheter des vêtements. J’avais une belle vie dans un sens…et je pensais toujours à Iwai. Il fallait que je l’oublie, sinon ma vie va être gâché et je pense qu’il ne veut pas que je sois malheureux. Je sais que c’est méchant, mais c’est la vie…

À mes 20 ans, j’avais trouvé un portefeuille dans un Taxi, qui appartenait à une certain Lily. J’ai appelé cette personne et je lui avais donné rendez-vous à un café près du centre ville. Nous nous sommes rencontré et depuis ce moment là, nous sommes devenu des amis et plus encore….

Et cette année de mes 26 ans, j’ai vu à la télé quelque chose qui ma surpris. Il parlait d’une jeune femme dénommé Amélia Mélisse Van Der Hook qui à été capturé et envoyer à Sadismus Jail. Je fus très débousollé et j’ai pensé tout de suite à mes parents d’origine. J’ai été sur Internet pour avoir plus d’information et j’ai trouvé que cette femme était ma sœur. Elle avait les mêmes parents que moi. Alors, j’ai décidé d’aller travailler à Sadismus pour la retrouver et, en même temps, pour aider à rembourser la vieille femme.


Autres- Je suis un très bon chanteur, je suis connaisseur dans la médecine (très peu) et je suis un très bon guitariste. Je suis ouvert dans toute genre de relation. Oh, et je suis un très bon jongleur avec les couteaux.

Dossier d'emploi

Matricule- 2332
Rôle dans la prison- Surveiller et veiller sur tous les prisonniers(sécurité).
Chamre no. -
Rang- Gardien à la face d’ange.
Armes- J’ai deux armes à feu et deux sabres et trois petits couteaux cachés.
Personnage sur l'avatar (pour le recensement)-Hisagi

Treès bien ^^ Tu seras dans la chambre ... 22

bon jeu ^^

Merci beaucoup ^^

J'aime bien ton personnage, faudra rp ^^

ahah...cat qui te propose un rp

Merci à tous!

Haha! Aujourd'hui j'aurais pas le temps, je dois faire ma chambre en premier

ooon *roule les yeux*

Bienvenue a vous, O grand gardien de Sadismus!

*s'incline*

[ faut pas se mettre les matons sur le dos même nouveaux ^^]

surtout si tu es nouveau

Merci très cher Lucy! n.n *flatte la tête* Je connais quelqu'un qui t'admire

mû?

Quelqu'un m'admire ?

*passe lentement sa langue sur ces lèvres*


dites moi tout, je vous prie! et je m'inclinerais a nouveau devant votre grandeur d'âme.

*trouve lulu fort étrange*

*tapote la tete de hookie*

m'oui u.u

je compathis

haha! n.n

Bien le bonjour très chère Amélia! *calin* et merci pour la bienvenu!

*calin à Jade*

ca devient lourd si vous devez vous souhaitez toujours la bienvenue tout le temps de cette maniere XD

Qu'est-ce que tu veux dire pars là?

gniaa