Ah l'air revigorant de Sadismus.... (Pv Ian Darklion)

Eizan


Je m'ennuyais dans ma cellule. Personne y était et puis...depuis que j'ai entrer dans les pensés d'Elyan...je vois des visages sur les murs, des violes et du sang dans ma nourriture. Je ne suis pas fou...ou peut-être? Ma vie a été longue et pénible. Depuis que je suis avec Ian, Mina, Elyan et Uemon...ma vie a changé. Je suis leur grand sage et leur grand psychologue. C’est moi qui fais tout ce qui a rapport à contrôler les colères ou bien autres. Dans mon passé, je n’étais qu’un riche prince en quête d’un amour parfait. Je me rappel d’une soirée où ma sœur est venue avec son jeune garçon de 16 ans. Il avait des cheveux blonds d’un doré et des yeux de couleur bleue azure. Elle me disait qu’il ressemblait à son père…je le voyais très bien. Son garçon se nommait Jin. Un jeune homme qui a un grand talent dans la peinture et les arts musicaux. Quand elle me la confié, elle partit ensuite en hâte. Elle me disait qu’elle devait aller voir notre vieux père dans l’ouest du royaume sans trop attendre.

Dans la soirée, j’ai appris à mieux connaître mon neveux, mais les chose se sont passé d’un drôle de manière. Je ne vais pas en dire plus. Tout ce que je sais c’est que ma sœur voulait me tué et m’éliminer. Je n’avais pas le choix de la tuer…moi qui adore les femmes et je les respectent grandement….mais elle est devenue folle. Elle voulait tuer son fils en même temps. Je ne sais pas pourquoi…une sorte de pulsion violente à pris le dessus sur moi et j’ai battue ma sœur en même de rire comme un fou. J’ai ensuite décidé de la….de profiter d’elle d’une manière infâme…Depuis ce temps là, quand je regarde une femme, je pense à son visage plein de colère et de venin…

J’ai décidé d’aller dehors, dans la cour. J’ouvris les portes doucement et j’ai aperçu une fine pluie fraîche. Un sourire se dressait sur mes lèvres. J’aime bien la pluie et l’air sombre qu’elle dégage. Le soleil disparaît derrière les nuages si sombres et légers. Je marcha quelque pas par en avant et …tien...il n’y a personne. Je suis seul ou…presque. Je sentait une présence non loin de moi…une présence forte mais en même temps discrète. Je me suis retourné et j’ai aperçu une jeune femme qui chantonnait une petite chanson.

Mmmm…je ne sais pas si je devrais lui parler…moi qui aime bien discuter avec les femmes. Je déteste de sentir une certaine honte ou bien sentir un blocage avec elles. Oui…la honte. Toute ma vie j’ai rencontré de nombreuses femmes, mais elles voulaient tous coucher avec moi ou bien me marier pour avoir le pouvoir. Quelle triste histoire. Aujourd’hui, depuis que je suis dans ce corps et mort dans un autre sens, je me sens libérer. Même si je ne peux faire ce que je veux, je peux parler avec les gens d’une manière normale.

Je me suis approché d’elle avec un grand sourire.

- Bonjour! dis-je en saluant à l’ancienne, est-ce que je vous dérange?

(Raaarg viens de se rendre compte que j'ai fais le post à la troisiéme personne >.< )

Je chantonnait toujours, murmurant presque, un rythme entrainant même si les paroles pouvaient sembler bizarre, mais je ne pouvais m'en empécher, sans doute à cause des nombreuses années durant lequel je n'avait pas poussée la chansonette, cela aurait il pu me manquer sans que je me rende compte.

Laissant de coter mes interrogations, je poursuivis les paroles de la musique.

"Lentement je sens la vie me quitter,
A chaque battement de mon coeur,
Mon sang ne cesse de se vider,
je ne ressens aucune douleur,
A rien dire ne viens me troubler,
Si ce n'est que cette chaluer,
qui ne fait que diminuer,
Sous l'assaut répété
de ses dents assérés;
Qui dans mon cou se sont plantés."

Bizarre je l'avait dit, ma soeur et moi avions écrit cette musique après avoir vu un film sur les buveurs de sang. Je ne sais pas pourquoi je repense à cette chanson maintenant, mais je la marmonne en boucle, encore et encore, jusqu'a ce que je remarque la présence d'un homme qui vient de me saluer, il est rare que je me laisse ainsi surprendre, mais j'était tellement perdu dans cette musique que je ne l'est même pas entendu approchée...

Il ne semble pas représenté un réel danger, sinon, il m'aurait déja attaqué et non salué, je pose mon regard marron sur sa personne, me permattant de le juger avant de lui répondre. Il avait le teint assez pâle, les lèvres qui tendaient plus vers le gris que vers le rosée commun, des chevux noir, et surtout ce qui me troublait le plus, un oeil noir et l'autre bleu grisâtre...
Un sourire passe sur mes lèvres à moi bien rosée.

"Est ce que le fait de déranger change quelque chose ?"

Je fais de réel effort cet ans si, ma voix n'est pas du tout glaciale mais pluôt ironique et dénué de toute méchanceté, serais je de bonne humeur ?
Sans doute, puisque je poursuis la discusion.

"Je me nomme Maya péléîde."

Depuis un mois que je suis ici, je ne l'avais encore jamais vu, cepandant il semblait assez sur de lui, ce n'était donc pas un nouveau détenu...
C'est assez amusant, je commençait sérieusement à connaitre l'univers carcerale pour savoir certain principe... Il était grand temps que je me tire d'ici.

Je repose mon regard dans les yeux si étrange de mon interlocuteur. Ma curieusiter à été piqué à vif par cet homme, et c'est autant plus suprenant que j'ignore pourquoi...

Eizan

"Est ce que le fait de déranger change quelque chose ?"

Je fis non avec ma tête sans parler. Elle parait très gentille et reposé pour une femme qui en prison avec plusieurs hommes.

"Je me nomme Maya péléîde."

Maya Péléîde? Oh…très beau nom pour une femme. Je lui sourie toujours tout en prenant sa main.

- Vous avez un beau nom, lui dis-je en donnant un bisou tendre sur sa main, pour une femme belle comme une fleur de printemps…

Pour moi, dire des compliments à une femme c’est dire qu’elles sont belles. Je veux dire, toutes les formes féminines sont la beauté incarnée. Vais-je un peu trop loin? Non. Les hommes sont rien sans les femmes. Ai-je raison? Oui. Que quelqu’un me jette la première pierre et qu’il va en enfer si ce n’est pas vrai. L’art et la beauté sont deux choses pareilles et très différentes en même temps. L’art est une forme de beauté sentimentales où on peut tout mettre dans les couleurs ce que nous ressentons dans le plus profond de nous même. La beauté, elle, viens de notre cœur et de ce qu’on l’on voit. Chaque personne à une version de beauté. Sauf que, sur cette terre, les vraies beautés se sont la nature, l’être humain, les arts et les femmes. Je peux dire aussi, pour certain, les meurtres poétiques.

Je repense aux paroles de la jeune femme soudainement. Elle a une très belle voix. Cela montre qu’elle est bien une beauté féminine. Ce que je veux dire par là c’est que, dans ma jeunesse, ma mère était la beauté et la pureté incarner. Elle chantait et dansais pour mon père et surtout pour les gens qui l’entouraient. Je me rappel que mon oncle était une personne avare et il voulait ma mère pour ses propres plaisir. Meh…je sais que j’ai détester mon oncle depuis qu’il ma brûler avec un fer à cheval. Il savait que ma mère m’était dévouée dans un sens. À vrai dire, ma mère m’aimait tellement qu’elle venait chaque nuit dans ma chambre pour me chanter une berceuse et dormir avec moi. Mon père ne donnait jamais d’amour envers elle, c’était moi qui donnais tout. Ma sœur, elle, était toujours partit avec ma tante dans l’ouest pour voir les oiseaux. Mon oncle voulait toujours la baiser et mon grand oncle voulait la vendre comme danseuse. Ma mère m‘éleva en dehors du monde extérieur. Elle ne voulait pas que je devienne un homme riche orgueilleux, prétentieux et avare…comme mon père. Elle voulait que je sois un homme parfait pour les dames et celle que je donnerais mon cœur. Je trouve qu’elle a bien réussit, sauf pour nue chose…je suis un homme avare côté art, beauté et sexualité. La vie n’est jamais parfaite…

Mon regard ne le quitte plus, je l'observe sans ciller une seconde, du moins, je sonde ses yeux, à la recherche de je ne sais trop quoi, sans doute une réponse à mes interrogations multiples que je pose à son sujet, allez savoir.

A la suite de mon nom, il garde son sourire, son comportement me laisse à penser que mes...exploit appellons ça ainsi, ne lui son pas parvenue, cela me rassure en quelque sorte, être trop connu ici, n'apporte jamais rien de bon, bien au contraire, les gardiens vous on constamment dans le collimateur et les plus fous des prisonniers vous défis dans l'espoir de gagner un pseudo respect qui pourrais leur assuré une relative tranquillité. C'est un espoir vain et futile, dans un endroit comme Sadismus, la tranquilité n'existe pas.

Il prend la main, me compliment, donne un baiser à ma main, et me recomplimente, je ne peux que sourire... Comment un tel homme survit il dans une telle prison ? Ce n'est pas à coups de bonnes manière aristocratique que l'ont reste en vie ici... Alors quoi, il à commis des crimes tellement odieux qu'on lui fout la paix ? Cache t'il bien son jeux ? Allez savoir, le désavantage ici, enfin l'un des desavantages ici, parcequ'ils sont nombreux, c'est que l'on sait jamais à qui ont peu avoir à faire, une chose est cepandant sur, il faut savoir s'attendre au pire, ce ne sont pas les tendres qu'on enferme ici.

J'ignore même jusqu'au nom de mon interlocuteur, alors que lui connait à present le mien, je ne repond rien à ses compliments, que pourrais je dire de toute manière ?
En même temps je ne peux pas dire que je sois une habituée à un tel comportement, cette prison était sans doute le dernier où je pensais trouver pareil politesse, comme quoi.
Je ne peux m'empécher de me poser des questions sur cet homme étrange, qui est il ? Qu'a t'il fait pour être ici ? Des questions que seuls des détenus peuvent se poser.

Et à qui ai je l'honneur ?

Eizan

Et à qui ai je l'honneur ?

Dit-elle. Hmm…est-ce que je devrai lui dire mon nom. Peut-être ici, cela va paraître un peu bizarre…mon nom….Eizan El Diestrich…le nom de ma famille royal. Je ne sais pas comment lui dire et avec quel mot. Je suis mal à l’aise d’avouer mon nom à un étranger, mais là c’est différent. Cette femme ne m’a pas l’air d’une imbécile...oh...désoler…je veux dire que.. cette femme n’a pas l’air d’être une mal polie et traîtresse.

- Je me nomme Eizan El Diestrich…

Un petit rire paisible s’échappa de moi et je continua.

- Je suis désolé pour ce nom, mes parents viennent de l’Allemagne. Je n’ai pas l’habitude de me présenter ici, alors je suis souvent silencieux.

Je suis obliger de mentir sur ce sujet. Je suis plutôt habituer. Je sais que dans cette prison, je n’ai jamais dit mon nom à part Ian et puis je suis toujours dans ma bulle.

- Peut-être vous vous demandez pourquoi suis-je ainsi…n’est-ce pas?

Dis-je avec un air un peu embarrassé. Je suis un peu trop gentil avec les femmes…ce qui est rare avec les hommes ici. Je vois plein de tueur de tout genre entrain de harceler les femmes sans défense. Cela me met en colère. J’ai horreur de cela. Même si cette femme à fait une erreur dans sa vie et qu’elle est ici, elle ne mérite pas d’être torturer par un homme. Tout le monde croit que les deux sexes sont, en quelque sorte, des ennemis… mais nous somme tous des alliés. Je veux dire...presque tous. Moi, dans mon royaume, hommes et femmes pauvres s’aimaient et s’entraidaient, mais les gens de pouvoirs se détestaient. Dans le royaume voisin, tout furent en désordre et tout tournait mal….Quelque année plus tard, mon royaume fut détruit dans un désastre pareil. Sauf que je vais toujours garder le secret.


(HJ: Je suis désoler, je n'avais pas d'idée qui me sortait..et puis mon cerveau grille parce qu'il est fatigué =.='''..désoler >.<)

Eizan, je retient ce nom, et mémorise son visage, particulièrement ses yeux si... hors norme, mais tellement ravissant.
Lorsqu'il s'excuse, je ris doucement mais je me surprend tout de même moi même, moi rire ? Cela ne m'était pas arrivée depuis très longtemps, en faîte je pensais même avoir perdu mon rire, que plus jamais je réussirais à produire le moindre son semblable à un rire, comme quoi, tout peux arriver, même au sein de Sadismus.

Je n'est encore jamais rencontrer quelque qui s'excuse de son nom.

Pour moi un nom est quelques choses que l'on doit porter fiérement, une identité, un nom c'est avant tout une histoire, bonne ou mauvaise, c'est un passé, un present et un future.
Le nom doit se porter fierement et avec honneur et lorsqu'il est taché, il faut tout faire pour le restaurer. Enfin bref ce n'est que ma façon de pensée, mais je ne pense pas qu'une tueuse soit apte à philosopher et donné des leçons de morale, alors je garde cela pour moi.

Non, je me demande plutôt comment un homme tel que toi survit en prison.

Etant donné que j'ai l'habitude d'aller droit au but je poursuis sans aucune géne, plantant mon regard dans le regard si attirant d'Eizan.

J'en suis donc venu à la conclusion que soit tu caches bien ton jeux, soit tu as commits des crimes si atroces que les autres prisonniers te laissent la paix.

La manière façon de savoir est bien de le demander, non .? Et je l'ai déja fait remarquer, cet homme m'intrigue, il est si atypique et ne colle vraiment pas avec l'univers carcéral de Sadismus.
Les hommes que j'ai rencontré ici ? Brutals, bestial, sans cervelle, abrutit profond j'en passe et des meilleurs, bon j'éxagère peut être, mais si peux.
En tout cas je ne peux coller aucun de ses adkectifs à Eizan, alors cela me surprend un peu, je pensait qu' à Sadismus, tout le monde était semblable, autant les gardiens que les détenues.

Je n'est encore jamais rencontré quelque qui s'excuse de son nom. Non, je me demande plutôt comment un homme tel que toi survit en prison. J'en suis donc venu à la conclusion que soit tu caches bien ton jeu, soit tu as commis des crimes si atroces que les autres prisonniers te laissent la paix.


Je vois. Je suis si intriguant que cela? Ah oui, c’est vrai. Un homme comme moi est rare dans nos jours. Elle veut savoir des choses sur moi et cela m’interroge. Je la regarde toujours avec un air serein, mais surpris. Comment vais-je lui dire. Peut-être je le devrais. Non, peut-être elle aura peur de moi. Mais bon, c’est la vie qui me réserve toujours des surprises.

Je commence à rire doucement. Une main cache mon visage et retiens mes cheveux. Je soupirai un bon coup et je recommençai à rire.

- Je ne savais pas qu’une femme comme vous voudrais savoir d’avantage sur moi. Je suis bouche bée, dis-je amusé. Je vais vous dire une parcelle de mes crimes, mais promettez moi de ne pas me juger. J’ai fait cela pour une personne…non en fait...pour plusieurs personnes.

Je me suis tourné et je regarde le ciel, nuageux.

- Vous voyez ses nuages grisâtres? Imaginez ses mêmes nuages, mais très sombre…presque noir avec des lambeaux rouges sangs qui dansent en coulant. Pourquoi je veux la demande? Parce que je vais vous l’expliquer pourquoi.

Je sourie avec un air triste tout en regardant ses nuages.

- J’ai tué ma sœur qui en voulait à son fils et à moi. Elle avait su des choses à propos de nous et elle nous à juger. Dans le milieu où je vivais, cela était interdit. Je peux comprendre. En faisant cela, j’ai fais 4 crimes en partant. Quand ma sœur a essayé de m’éliminer et à battre son propre fils, j’ai vu que du feu.


Je pointe les nuages sombres.

- Voici mon passé, noir et lugubre, rouge teinté de sang. Depuis que j’ai tué et violé …ma sœur, je me suis mis à éliminer chaque membre de ma famille de la même façon en sachant tous qu’il voulait ma tête. Sauf que, les autres à part ma sœur, je les ai décapité et torturer. À la fin? Je ne sais pas ce que j’ai fait. Je ne me rappel plus de rien, mais tout ce que je sais c’est qu’une nuit, je me suis réveiller dans un bain de sang avec des pétales de roses. J’en déduis que j’en suis devenu fou. Le fils de ma sœur a pris peur et ses enfuis. Il a vu mon côté meurtrier quand j’ai tué ses servantes. Le sang a trop coulé et mon dieu m’a puni. Maintenant…je suis un homme normal. Je ne veux plus tuer, j’ai assez enlevé de vie.


Un rire sarcastique s’échappe de moi.

- Je suis un con quand je veux. Vous raconter cela me tue d’avantage parce que j’ai peur que vous me fuyez comme de la peste. J’ai changé pendant toutes ses années et je ne suis même pas dans mon corps. Je ne suis plus le même.

Je sens une douleur dans ma poitrine. Une sorte de flèche qui me traverse l’esprit et mon corps.

- Désoler, dis-je avec un air démolit, changeons de sujet. Je ne veux plus en parler.

Il rit, je vais finir par croire que je devrait me lancer dans la comédie, il soupire puis recommence à rire doucement, décidemment, il est des plus intrigant, ou alors c'est moi qui suis trop curieuse, sans doute un peu des deux sans doute.
Une femme telle que moi ? Je suis une femme comment ? Je savais pas que j'entrait dans un catégorie particuliére... Laisse tomber, comence pas à réflchehir.
Juger ? Moi ? Je crois que je suis assez mal placé, mais tous ses mysthères sur ces crimes me laisse à penser que j'ai vu juste, il à fait des crimes si odieux que les autres détenues refusent de le cotoyer, et moi, je dois être m'éxeption qui confirme la régle.

Je ne juge pas, je me contente d'écouter.

On à tous une excuse, du moin la plupart, le probléme c'est que personne n'en tient compte, si je tue quelq'un avec une bonne raison, mettons la vengeance, il y a de grande chance que je sois jugé comme une personne qui tus par plaisir, personne ne cherche à comprendre le pourquoi du comment... tout le monde sans fou, sauf nous.
Toujours allongé sur mon banc, je regarde les nuages noirs qui se profilent au loin, je n'est aucun mal à imaginer ce qu'il me demande, allez savoir pourquoi.

Il à tué sa soeur, déssimé sa famille pour les beau yeux de son neveu qui s'est ensuite fait la malle, c'est pas la reconnaisance qui l'éttouffe.
Les meurtres rendent fou, deviendrais je un jour aussi malade que les autres ? Si je méne ma vengeance à bout, deviendrai je une tueuse sans âme ? A ces questions je n'est pas de réponse, mais le pire de tout c'est que je m'en fous, je suis préte à perdre mon âme si cela est nécessaire pour me venger, je suis pret à tuer toute personne qui se dresse entre moi et l'homme que je dois tuer...
Et il pense que je peux le juger, il y a bien longtemps que ma notion du bien et du mal est érroné.
Et il pense que je pourrais le fuir.

Je me suis taillé un chemin à coup de katana, laissant dérriere moi que des cadavres ensanglantés, jusqu'a la chambre d'un homme que j'ai réveiller puis je lui est transpercé le coeur... Le jour de mon proscès j'ai subtiliser une arme à feu et sans préavi j'ai voulu tué son frère.
Tu penses encore que je peux te juger ?

Je ne sais pas pourquoi je lui dit cela, peut être que je veux le rassurer, il semble souffrir de sa solitude, une de ses phrases me fait tilt dans mon esprit, je ne suis même pas dans mon corps...
Etrange que veut il dire ?
Sa douleur, sa souffrance et sa peine sont visible dans ses yeux et sur son visage.
Bizarement je compatit, et j'ignore pourquoi, je ne le connais même pas.

( hj: désoler..j'avais trop mal à la tête, mais j'ai fait mon possible =.=*vois que son cerveau fond* >.< désoler pour le petit poste *calin*)

Eizan


Je me suis taillé un chemin à coup de katana, laissant derrière moi que des cadavres ensanglantés, jusqu'a la chambre d'un homme que j'ai réveillé puis je lui est transpercé le coeur... Le jour de mon procès j'ai subtilisé une arme à feu et sans préavis j'ai voulu tuer son frère.
Tu penses encore que je peux te juger ?


- Merci


Dis-je avec un sourire doux et en me retournant vers elle. Je vois que je ne suis pas le seul avec des problèmes familiaux. Elle est très compréhensible envers les autres et je respect cela. C’est rare les gens de cet pensé. Je l’aime bien comme personne. Je pense qu’elle pourrait être un très grand allié.

- Hahaha! Je vois…Non…

Mon visage exprime une sereineté et une assurance profonde. Est-ce que je peux lui demander pourquoi elle veut le tuer ? Ou bien autres questions qui se rapport à ses crimes? . Je m’intéresse de plus en plus à cette âme douce à mon regard.

- Alors il a fait la faute la plus grave à ton égard? Je comprends ta réaction.

Je m’avance vers elle et je pris place à ses côtés. Je lui fis un mince sourire et je lui pris la main doucement.

- Est-ce que je peux savoir vos crimes?

Ma voix se fit un peu plus tendre.

- Vous n’êtes pas obliger de me les dire, mais j’aimerais bien les savoir. J’ai raconté un bout des miens, alors je suis intéressé à les vôtres. Vous pouvez me dire ce que vous voulez, mais je ne veux pas vous mettre dans une situation embarrassante.