En extase devant une photo [Alec]

(si tu le dis, je vais le faire... j'aurais meme du le faire avant en fait... domage que je ne savais pas...)

Ses douceurs me rendent fou, mon corps tremble sous ses mains, je ne suis plus de gémissements et suppliques. Alors qu'il se penche vers mon cou, je passe l'une de mes mains autour de sa nuques et mèle mes doigts à ses cheveux. Sans vraiment que je m'en rende compte, mes doigts frôlent son oreille.

"Ludwig... Je..."

Incapable d'expliquer ma pensée, je me laisse glisser entre ses bras pour tomber à genoux devant lui... Va-t-il me laisser faire ce qu'il a refusé il y a à peine 10 minutes ? L'une de mes mains est déjà en train de caresser doucement son membre alors que l'autre quitte mollement son cou errer sur son torse. Je pose mes lèvres sur son ventre plat et ferme les yeux, savourant ce moment.

Invité

C'est la deuxième fois... La deuxième fois qu'il prononce ces mots, sans pouvoir terminer sa phrase, je ne comprend d'ailleurs pas ce qu'il veut me dire.

Avant qu'il n'entreprenne quoi que ce soit avec sa bouche au niveau de mon entrejambe, lui lui pose un doigt sous le monton, et je lui relève la tête, pour qu'il me regarde dans les yeux, puis, je lui dis tout simplement, d'une voix douce :

-Oui ? que veux tu me dire...

Je lui carresse doucement la joue, plus il prend de plaisir maintenant, mois je lui devrais pour plus tard. Je sais que je joue faux, mais je préfère qu'il prenne son pied une bonne fois, et que je n'ai plus rien a voir avec lui après, et je vais en profiter pour prendre mon pied moi aussi d'ailleurs... Je dois reconnaitre que... Ce mec est un bon coup.

Je le fixe un instant... Qu'est-ce que je veux lui dire exactement ? Je me mors la lèvre... Puis je détourne les yeux - pas vers son sexe, hein, de l'autre côté - je ne peux pas lui répondre... Mais dans un murmure, je parle:

"Pourquoi ? Tu devrais me détester, tu me hais même certainement alors... pourquoi ? J'aimerais que tu me pardonnes... mais ce n'est pas possible... Alors pourquoi me donner maintenant ce que je veux ? Pourquoi me rendre encore plus déprendant à toi, maintenant ? C'est ta vengeance ? Ton moyen pour me faire souffrir ?"

Voilà un moyen éfficace... je suis en train de tomber lentement mais surement amoureux... Non, non... C'est Gleb que j'aime... Pourtant... Je dégluti difficilement et ferme les yeux un instant puis je me retourne vers ce que j'allais faire avant qu'il ne m'interrompe. Sa main est toujours sur me visage, il ne peut que remarquer que je tremble de la tête au pied... et ce n'est pas de froid, plutôt de peur...

Invité

Bonne deduction Sherloc'k... Oh oui je te hais, je te hais tellement que ca en est sexuellement attirant, c'est pour cela que ce que je fais, je ne le fais pas seulement pour avoir la paix par la suite, mais aussi parce que j'en ai envie, que je le veuille ou non, il m'exite, cet enfoiré m'exite !

Je me laisse tomber a mon tour a genoux, juste devant lui, et passant ma main derrière sa tete, je l'embrasse sensuellement, l'autre main carressant toujours sa joue.

-Oh oui je te hais... Je te hais, mais je te veux, et j'en profite pour sceler ce pacte une bonne fois pour toute, ca te va ?

Doucement, je le fais basculer en arrière, en continuant de l'embrasser, et je me positionne au dessus de lui, tant pis pour la fellation, une autre fois peut etre...

Je parcoure son corps de caresse, j'onnonde son visage de baisers, je paye ma dette...

Il se coule près de moi et m'embrasse. Mon corps est secoué de frissons. Ses mots me glacent. Sa haine envers moi est tellement forte... Mes yeux s'emplissent de larme mais je les ferme aussitôt pour le cacher... Comme un assentissement. Il me fait basculer sur le dos et je le laisse faire.

Il embrasse mon visage et mes bras s'enroullent autour de son cou. Je l'embrasse aussi, mais mes yeux restent clos... Mon coeur s'affole. Je dois profiter de ce moment... Le graver à jamais en moi... Parce que je souffrirais d'en être privé. Je ne suis rien... Juste un gars qu'on saute comme ça et qu'on oubli le lendemain... Pourquoi me leurer...

Je me serre contre lui, redressant me tete dans son cou. Mes lèvres effleurent son oreille et je murmure dans une supplique:

"Prends moi."

Mes lèvres s'attardent un peu sur le lobe de son oreille puis je me laisse retomber sur le sol. Je le fixe, les larmes coulent sur mes joues et je ne fais plus rien pour les retenir... Je veux qu'il me fasse tout oublier... J'en ai besoin... Maintenant, Ludwig ! Fais moi quitter ce monde ! Je passe mes doigts sur son visage.

Je l'aime... Et lui me hait.

Invité

Il pleur maintenant... ais c'est pas vrai, donner lui donc un mur pour se lamanter, il est déchainé aujourd'hui ! J'essuie cependant ses larmes d'un revers de bras, si je veux continuer mes embrassades, ca risque fort de ne pas être pratique...

Ah, l'oreille... Mangez mio l'oreille... J'aime qu'on me morde l'oreille, ou juste comme il fait, qu'on me l'éfleure avec les lèvres, cela fait partire en moi un frisson qui descend tout le long de mon dos.

Je me redresse un peu, et je passe mes mains sur ses fesses, faisant de mes doigts le contour de son intimité, doucement. Mon sexe s'inice dans le sillon de ses fesses, mais j'atend encore, parcourant son torse de baisers de morsures et de lechures.

Quand enfin je le pénètre, je laisse échaper un gémissement de plasiren et je commence des mouvements de bassin, lents, pour qu'il s'habitue a moi, pour commencer...

Il est en moi... Je le sens en moi et tout mon être est focalisé sur ça... Sur ce plaisir... J'ondule doucement pour l'encourrager a aller plus loin, plus vite... Chacun de ses mouvements provoque chez moi un frisson, un soupir ou un gémissement. Je tends les bras vers lui, je veux le sentir, le toucher... Mes doigts effleurent ses cheveux d'or.

Mes larmes n'ont pas cessé de couler, mais j'en fais peu de cas. Je suis déchiré par mon désir et ma peine... Mais le plaisir s'empare déjà peu à peu de mon corps et je sais que bientôt je ne penserais à rien d'autre.

Dans une supplique j'appelle son nom. Qu'il vienne encore plus, je veux le sentir au plus profond de mon être, je veux qu'il prenne possession de moi. J'ai chaud, très chaud... Mon corps tremble...

Je l'aime et lui me hait... Cette vérité raisonne encore dans ma tête... Fais là moi oublier... Je t'en supplie !

Invité

Mais merde a la fin ! Pourquoi est ce qu'il chiale comme ca ? Je lui fais mal ? Il n'en a pas vraiment envie ? Pourquoi est ce qu'il pleure ? J'ai trop l'impression de commetre vraiment un viol, de le voir pleurer comme ca... J'ai même presque envie de m'arreter,mais j'ai envie de prendre du plaisir, et je suis bien partit pour... Heureusement, je vois qu'il prend en fait lui aussidu plaisire, aussi, je continue mes mouvements.

Pour letenir droit, je m'appuie sur mes bras, qui euxsont appuyés surmes mains, elle même appuyées sur le sol, je part et d'autre du cou d'Alec. Je le regarde dansles yeux, mais au fur et a mesure que j'accélaire, mon regard va plus versle vide qu'autre chose, mon esprit se noit dans le plaisire.

Des gémissements et des soupires de plaisire, voila tout ce qui sort de mes lèvres.Je ne sais pas pourquoi, mais cette haine que j'ai en moi memotive,pour aller encore plus vite, encore et toujours plus vite, je veux non seulement éprouver du plaisire,mais aussi lui en donner.

Ses gémissements de plaisir m'excitent au plus haut point. Je suis si bien, ici, maintenant... Mes jambes s'enroulent autour de ses hanches lui offrant un meilleur angle. Je continue à appeler son nom encore et encore. Mon regard se perd dans le sien puis je me rends compte qu'il ne me voit plis vraiment... Peu importe... Il prend du plaisir, il est avec moi et il aime ça... Je sens ma tête qui tourne... Je m'accroche désepérément à lui. Je ferme les yeux et me laisser aller au plaisir.

Je me cambre et mon sexe vient frotter contre son ventre, je me sens me contracter autours de lui, je cri un peu plus et mes mains viennent s'accorcher à ses bras. J'appelle son nom encore et encore et sans m'en rendre compte, au milieu de cette litanie, je lache les mots que je devais garder au fond de moi... Ces mots qui vont causer ma perte: "je t'aime"... Bien sûr, je ne m'en rends pas compte, bien trop absorbé par les sensations du moment...

Invité

Ces mots... Mes oreilles les ont capté, mais je les ai comme zappé. Je suis habitué a avoir des rapports sans le moindre sentiment pour mon ou ma partenaire, mais il arrive quelques fois, comme en voici ici un exemple, que celui ou celle ci commence a ressentire quelque chose de plus qu'une attirence physique a mon éguard.

Aussi, j'ai comme un filtre, dans ces moments la, je n'entend pas ces mots, ils n'existent pas, je prend mon pied, on parle après... c'est comme ca que je fonctionne depuis toujours.

Nous continuons pendant je ne sais combien de temps, je prend trop de plaisire pour m'occuper de ce genre de chose, puis, au bout d'un moment, je sens que je ne peux plus me retenire, et j'éjacule en lui, avec un long cri de plaisire, et pour la première fois, je dis son nom, je l'appele.

Le simple fait de l'entendre crier mon nom me fait perdre totalement pied et je jouis dans un râle. Je le fixe un instant. Il est si beau... Si... Merde ! Je viens de me rendre compte de ce que j'ai dit tout à l'heure... C'en est fini de moi, je le sais... Je passe un bras par dessus mon visage pour cacher ma honte. Je n'ai qu'un espoir: qu'il ait été trop concentré pour m'entendre. Je murmure:

"Merci... merci... pardon..."

Je me sens si ridicule, si faible, si nul... Les larmes qui coulent sur mon visage son cachées par mon bras, elles glissent sur mes tempes et se perdent dans mes cheveux. J'ai envie de me cacher, je veux qu'il disparaisse... je ne supporterais pas sa raillerie... Oui, l'être faible et soumis à l'autre, c'est moi... Et je fais ça de mon plein gré. Je tente de me ressaisir, mais je ne peux toujours pas le regarder en face alors je reste caché sous mon bras.

"C'était... waow... Merci... Je..."

Un sourire ironique se dessine sur mon visage.

"Le pacte est scellé."

Comme si je pouvais encore lui faire le moindre mal... Je veux qu'il parte, qu'il me laisse seul...

Invité

Comme je l'ai dis, je ne me suis pas rendu compte de ce qu'il a pu dire durant ce rapport. Juste histoire qu'il se taise, je n'aime pas parler après avoir couché avec quelqu'un, je viens doucement l'embrasser.

Je m'éloigne ensuite de lui, pour ensuite finir complètement par me redresser, puis, je récupère assez vite fait mes affaires, pour me rhabiller, maintenant, je veux m'en aller, je vais aller surement m'isoler un peu dans ma chambre, dormire un peu, oui, ca me fera du bien de dormire un peu...

-Tu ferais mieux de te rhabiller, je vais devoir dévérouiller la porte...

Je finis de boutonner ma chemise, puis, je me recoiffe à l'aide de mes doigts, en regardant mon image de refleter dans la vitre si sale de la pièce.

Je soupire ensuite... Je sais qu'après chaque rapport de ce genre, je vais sentire une culpabilité a propos de sybille, mais comme je l'ai dis, je ne peux pas m'en empecher...

"Tu ferais mieux de te rhabiller, je vais devoir dévérouiller la porte..."

"Je m'en fous. Allez, barre toi. Je t'emmerderais plus."

Plus jamais... l'idée qui germe dans mon esprit prend forme peu à peu... son baiser, si doux, avant qu'il se relève... Ce moment de pur bonheur... Je veux emporter tout ça avec moi. Qu'il parte, je ne veux pas voir son expression supérieur, son regard de vainqueur... Non, ce n'est pas de ça que je veux me souvenir... Je vais retourner dans ma cellule...

Puis je vais rejoindre Lecat.

Invité

Je n'ai pourtant eu aucune expression de vainqueur ou quoi que ce soit... J'ai pendant ce rapport, concidéré Alec comme mon égual, parce que je lui devais, tout simplement.

Je ne comprend pas ce qu'il prépare, je crois juste qu'il fais la tête, comme un gamin, pourquoi, je n'en sais rien, aussi, je hausse les épaules, et je lui dis :

-Bon bah tant pis, je t'aurais prévenu au moins...

Puis, je dévérouille la porte, pour ensuite aller dans les couloirs, je me dirige vers ma chambre, et a ce moment, je me jète sur mon lit, pour récupérer les heures de sommeil que je n'ai pas eu la nuit dernière, mais c'est avec l'esprit tourmanté que je m'endors enfin.

J'entends la porte se refermer derrière lui et je me relève doucement. Comme un automate, j'enfile mes vêtements et me relève. C'est à ce moment que je remarque la photo. Elle a du tomber à terre et se perdre dans le tissu froissé... Je le ramasser et l'observe longuement.

Puis, d'un pas mécanique, je quitte la pièce et rejoins ma cellule... ma destination finale...

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