En extase devant une photo [Alec]

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Assis depuis quelques temps sur un fauteuil, je regarde ce qu'on pourait de loin penser être un bout de papier. Je ne suis pas dans mon état normal aujourd'hui, je suis absent, la mine déprimée, tellement déprimée... Je suis surtout humilié, de ce qui s'est passé hier soir avec Alec ! Mais je n'y peux rien, je dois pour le moment me comporter en toutou fidèl...

Le soleil se couche maintenant, mais je m'en fiche, je ne regarde que ce bout de papier, ou plutôt, cette photo, on me voit, moi, le visage souriant, un sourire innocent, qui ne reflète pour une fois rien d'autre qu'une joie profonde et un bien être complèt. Il y a dans mes bras, une petite fille, de 3 ans, je la tiens sur mes genoux, devant une table sur la quelle est posée un gateau avec trois bougies dessus. La petite semble emmerveillée, et elle regarde la patisserie avec des yeux gourmand, et un grand sourire. Sur sa tête, de fins cheveux blonds, exactement comme les miens, et elle est habillée d'une magnifique robe blanche... Elle est si mignonne... ma petite Laura... c'est pour ca que je fais tout ca Laura... c'est pour toi ma puce...

Un mince sourir s'affiche enfin sur mon visage, tendis que je fixe cette photo... La salle est vide, pas un bruit, juste moi qui regarde ma fille que je vais enfin revoir dans quelques jours... Si Alec ne vient pas tout gacher ! Je le hais ! Je le hais je le hais je le hais je le hais !

Je suis sorti de l'infirmerie ce matin et j'ai passé un peu de temps avec Gleb... J'avais besoin de me retrouver... D'oublier le monstre que je suis... (Faut que je le fasse ce topic d'ailleurs...] Maintenant, c'est l'heure de manger et je n'ai pas faim... J'ai attrappé une pomme au réfectoire et je me dirige vers la salle commune. J'ai besoin de me retrouver seul un moment... Seul dans de moelleux fauteuils de préférence...

Je croque dans ma pomme en poussant les portes de la salle vide... Ah non, pas vide, il y a quelqu'un... je me fige. Pourquoi faut-il que ce soit lui que je croise quand j'ai besoin de repos. Il n'est pas tout à fait dos à moi, pas tout à fait de profil non plus... Il semble perdu dans ses pensés, les yeux fixés sur quelque chose que je ne vois pas. Un doux sourire se dessine sur son visage... Je le trouve beau... Vraiment. Son visage est doux, calme, un peu triste, mais tellement beau...

C'est ça que je veux de lui... Finalement, je crois que ça m'a blessé qu'il ne couche avec moi que par la force... J'aurais voulu qu'il ne me résiste pas... Il me plait tellement... Mes yeux sont tristes... Pourquoi faut-il qu'il soit gardien et... amoureux de cette fille ? Je soupire et fait demi tour quand...

Invité

Je relève la tête très rapidement, oh non ! Pourquoi lui ! Il y a je ne sais pas combien de centaines de détenus ici, et il faut vraiment que ca soit lui ! Il faut que je me retienne de lui sauter dessus pour le tuer quoi que... Je me sens tellement humilé, que je n'ose même pas le regarder en face... Mais quand je pourais enfin me vanger, je le regarderais bien dans les yeux... Je le regarderais se tordre de douleur, elle sera morale ou physique, je n'en sais encore rien...

D'un geste vif, je plaque la phto sur ma cuisse, hors de question qu'onvoit ma fille, surtout lui ! Je la range dans la poche de mon jeans, puis, je sers les poings, regardant droit devant moi...

Il s'en va... Ce n'est pas normal, tel que je le connais, il aurait du venir me narguer pour savourer pleinement sa victoire... Aurait il changé d'avi ? Pas question ! Pas question après ce que j'ai fais !

-J'espère que tu ne l'as pas fais... Sinon...

Ma voix raisonne dans la silence de la pièce, je ne le regarde toujours pas, je regarde dans le vide... Droit devant moi, mon sourire et mon expression triste, pouf, envolé, je suis maintenant complètement fermé.

Je me retourne vivement. Bien sûr que non, je ne l'ai pas fait ! Et je ne le ferais jamais... Mais ça, il l'ignore... Tiens, il a totalement changé d'attitude. Il est raidi, figé, son visage est fermé. Je m'approche de lui. Ses paroles raisonnent dans ma tête... C'est évident qu'il n'a aucune raison de me croire sur parole mais... que veut dire ce "sinon" ?

"Sinon quoi Ludwig ?" Ma voix est douce, calme, presque suave. Je m'assoie face à lui. "Je t'écoute. Je suis même très curieux de savoir... Sinon quoi ?"

Que regardait-il tout à l'heure, il n'y a rien dans ses mains... Ses poings sont d'ailleurs serrés, là... Il se retient de se jeter sur moi... Ou a-t-il donc caché ce qui lui donnait cet air serein ? Il était tellement beau... J'aimerai qu'il pose ce regard sur moi, mais tant que je le menacerais, ça n'arrivera jamais... Et le jour où je n'aurais plus ce moyen de pression sur lui, je serais mort...

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Il a raison... Ce sinon ne veut rien dire, je n'ai rien a faire après ce "sinon". Enfin si... J'ai quelque chose a faire, mais ca, il n'aura pas vraiment le temps de s'en rendre compte...

Je lève les yeux, et enfin, je plonge mon regard dans le siens. Ce regard est rempli de haine, je veux bien lui faire comprendre que je ne blague pas, je suis on ne peut plus serieux en ce moment même.

-Sinon... Je n'aurais plus aucune raison de... De me rtenir de te tuer... Je n'ai pas peur de le faire, je l'ai fais des dizaines... des dizaines... et des dizaines de fois...

S'occuper des détenus qui passent a la chaise electrique n'est pas vraiment un meurtre a proprement parler, mais j'ai tout de même tué ces personnes... Pendant 6 ans, presque tout les jours, au moins une personne, un homme, une femme, une vieille, un jeune... De tout, tout ce qui avait plus de 18 ans et qui méritait la peine de mort, tout, je les tuais tous sans le mindre remord par la suite, j'en éprouvais même un certain bien être.

Il s'assoid en face de moi... Va de retro satanas !

Il a pas tord... C'est assez amusant je trouve:

"Si je te prive de ta fille, tu me tues... logique... Si tu me tues... Au pire tu me rejoints très vite au mieux tu restes ici, avec Sybille... et avec deux numeros en plus à ton matricule."

Ma voix est relativement calme et neutre. Je m'éfforce que garde cette apparence face à lui, sinon je serais vraiment ridicule... Je le fixe un instant puis hoche la tête...

"Elle ferme à clé la salle commune ? J'aimerais bien un peu d'intimité avec toi..."

Il va encore me cracher dessus, mais s'il savait ce que j'ai envie de faire... à le voir comme ça... je n'ai presque plus que ça en tête... J'ai envie de lui... Pourquoi faut-il que ce mec m'excite autant ?

Invité

Cet enfoiré veut encore profiter de la situation... Au point ou j'en suis, je suis totalement résigné, bien que je garde un esprit de vengence... sur le coup, il peut peut etre me prendre pour un gentil Lulu doux comme un chaton, mais qu'il se détrompe... Il le saura assez tot de toutes facons...

-T'as personne d'autre a emmerder ?

Je sors mes clées de ma poche, puis, je détache du trousseau celle de la salle commune, et je lui tend, avec un air de dire tu n'as quea aller la fermer, oublie pas le sel, rapporte moi la monaie... Ou dans le cas précis, oublie pas de vérifier qu'il n'y a personnes qui te voit avec ca, et raporte moi la clé...

-Je peux savoir pourquoi moi ? Je t'ai frappé, je t'ai fais je sais plus trop quoi encore, et tout ce que tu attend de moi... c'est encore et toujours du cul...

Je marque une pose, et je soupire, mon regard dans le vide, attendant qu'il me raporte ma clé. Puis, je le regarde enfin, et je lui demande :

-Tu profites souvent des gens comme ca ?

Dans mon attitude, on pourait presque croire que je ne fais même pas attention a ce qui se passe... A ce qui risque maintenant d'arriver.

Non, personne... mais même toi, je ne veux pas t'emmerder... Je voudrais que... Je ne dis rien et il sort son trousseau de clé... Mon coeur se met à battre... Ces clés sont le symbole de la liberté... ce rend-il compte de l'importance qu'à pour moi ce qu'il a dans ses mains ? Je prends celle qu'il me tend en silence et me dirige comme si c'était absolument naturel vers la porte que je ferme à double tour. Je vérifie qu'on ne peut pas ouvrir et lui rapporte son bien...

"Si tu savais comme on s'ennuie ici..."

Bien sûr ce n'est pas la réponse... Ce n'est pas pour ca que je m'en prends à lui. Ce n'est pas pour ça que je veux coucher avec lui... Ce n'est pas pour ça... mais il n'aura pas d'autre réponse pour le moment...

"Tu profites souvent des gens comme ca ?"

Il est si résigné... Si... passif... Je peux faire ce que je veux que lui... Mais je veux quoi exactement ? Je soupire. Ma voix est un murmure.

"Non, c'est la première fois... Comme tu l'as si bien dit, d'habitude, c'est de moi qu'on profite, pas l'inverse."

A cette simple pensé, mon regard se durcit. Je le détaille un instant et lui ordonne froidement:

"Deshabilles-toi, Ludwig."

Invité

Me déshabiller... Sans problème, je vais a partir de maintenant me transformer en poupée de chiffon, mon esprit va doucement quitter mon corps, l'espace de quelques temps, le temps que cet enfoiré profite de la situation, et après... Je pourais a nouveau recommencer à habiter mon corps, mais pour le moment, il n'en est pas question...

-Si ca peut te faire plaisire...

Passivement, je me lève, je commence par enlever un a un chaque bouton de ma chemise, puis, je la laisse tomber sur le sol. Je ne suis pas pudique, pour le moment, ce petit exercice ne me dérange pas du tout...
J'enlève le bouton de mon jeans, puis, je descend doucement le pantalon le long de mes jambes, arrivé sur mes cheville, je m'en débarasse d'un mouvement, puis d'un coup de pied, et je ne vois pas la photo que je regrdais tomber de la poche et voleter un peu plus loin.

Je me retrouve alors en boxer (AUCUN commentaire !), aujourd'hui, il est rouge sang. Beaucoup surement aurait fait un blocage a partir de maintenant, mais moi, comme si de rien n'étaitc, comme si j'étai tranquillement seul dans cette pièce, je le retire, tout doucement, puis, totalement nu, je reviens m'assoir sur le fauteuil, toujours avec cet air blasé...

Il s'execute en silence, comme un automate... Merde ! Pourquoi ça me dérange autant ? Je m'avance vers lui, mais n'ôte pas mes vêtements. Je m'assoie sur ses cuisses et pose un baiser dans son cou.

"Tu as raison, il y a des choses que je ne suis pas capable de faire... Je ne pourrais jamais te violer, Ludwig... et ce qui c'est passé hier soir... Ne se reproduira plus contre ton gré..."

Je dépose de multiples baisers sur son visage. Son regard est toujours vide. Je plonge dans son cou, dévie sur ses épaules...

"Je ne te ferais pas la moindre trace, tu n'auras pas à raconter à Sybille quel monstre sans coeur je suis..."

Ma voix n'est qu'un murmure douloureux... J'ai envie de lui... mais je ne veux plus le prendre contre son gré... Je ne veux pas en faire mon esclave... Je ne peux pas...

"Ne suis-je pas ridicule ?"

Je parle plus pour moi que pour lui... Mes doigts, devancant ma bouche frolent son sexe, le carressent doucement. Je t'en pris, réagis ! Ludwig, s'il te plaît !

"Ferme les yeux."

Mon ton est proche de l'ordre mais en fait, c'est un supplique... Ne me regarde pas si je t'éccoeure autant que je m'éccoeure... Si tu me hais autant que je me hais... Je mordille l'un de ses tétons.

Puis lentement, je poursuis mes baisers vers son nombril alors que mes doigts tentent de réveiller son membre... Réagis, Ludwig ! Réagis !

Invité

Il dit cela... Mais pour moi, le simple fait de se servire de ma fille de 4 ans pour me manipuler, le simple fait qu'il soit la a me tripoter, et que je n'ai le droit de rien dire, ca... c'est déja un viole en soit...

Il peut m'embrasser tant qu'il veut, il peux passer ses mains et sa bouche ou il veut, mon visage restera vigé, car je ne veux pas lui donner la moindre satifaction, de me voir souffrire, ou de me voir avoir du plaisir a cause des vilgaires choses qu'il me fait. Passif, est décidément le mot qui convient le mieux a mon attitude.

Je ne dis pas un mot, pas un grognement, pas une protestation, rien, je ne bouge même pas un cil, je suis figé, de marbre, une vraie statue. Me connaissant, il est fort possible que mon sexe se tende, s'il me carresse trop et trop longtemps, mais ce sera tout ce qu'il aura de moi.

Je ferme doucement les yeux, en soupirant, ce n'est pas plus mal, je me voyais me refleter dans ses yeux, et je ne supportais pas ca... Vas y petit... amuse toit donc, mais bientot, ca sera mon tour.

Il ne bouge pas. Bien sûr, comme je le lui ai demandé, il a fermé les yeux... mais je ne prends pas de plaisir à le sentir comme ça... C'est pas ça que j'aime chez lui... Je voudrais de la passion entre nous... Mais ça n'arrivera jamais !

Ma langue redessine son torse, contourne ses abdominaux, les caresse, fait des arabesque sur sa peau... Son corps m'inspire tellement... D'habitude quand quelqu'un m'inspire, je le peint, je n'aspire qu'à le dessiner... Mais lui c'est différent... Je le veux... Mais je ne veux pas d'un jouet, d'un corps sans âme... Je voudrais revoir son visage défiguré par le plaisir...

Mes doigts s'agitent toujours sur son membre et je sens qu'il commence à réagir... Mais ce sais que c'est juste un réflexe... Comme son éjaculation sera un reflexe s'il jouit... Il n'y prendra pas de plaisir comme je n'en ai jamais pris en me faisant violer...

Je pose mes lèvres sur son sexe, englobe son gland de ma bouche... J'ai tellement envie de lui... Mais...

"Ludwig... je veux une vrai réponse, pas un réponse pour me plaire, pas une réponse poussée par ta haine... Une vrai réponse... J'ai envie de te sucer, c'est tout, je ferais rien d'autre mais... toi, en as-tu envie ?"

Invité

Quand il me pose cette question, j'emmerge, jetant un regard dégouté sur ce qu'il est en train de faire. J'étais comme qui dirait en trans, et il m'a en quelques sorte reveillé... Il me fera décidément chier jusqu'au bout...

Au moins, je n'ai rien a faire, et il n'en veut pas plus, tant mieux... Je le regarde dans les yeux, et sur un ton qui prouve que je suis obligé de cacher ma colère, je lui dis :

-Tu penses que je peux prendre du plaisire avec un mec qui se sert d'une môme de 4 ans pour me manipuler ? J'aurais surement pu prendre du plaisire avec un amant secret parmi les prisonniers, comme la denière fois, mais la... compte pas sur moi...

Je soupire, 4 ans, que dis je... si je vais la voir, c'est justement pour feter ses 4 ans... elle grandit tellement vite, et moi, je n'en profite plus... Ca fait environ 9 mois qu'on me la retiré... Le temps d'une grossesse... Peut etre que c'est parce que je n'étais pas aurprès de sa mère pendant sa grossesse, c'est pour me punire de ne pas avoir eu a attendre ces 9 mois, mais maintenant que c'est fait... On va me la rendre ! Elle court vers moi, avec sa bouille éclairée de son grand sourire ! Voila en gros le rève que je fais régulièrement la nuit...

-Fais vite s'il te plait...

Je me relève et détourne la tête... Merde ! Je ne peux rien faire... Je n'en suis même pas capable... Et je m'en rends compte douloureusement... Je me penche pour ramasser ses vêtements.

"C'est ça que j'aimerai être... un amant secret... quelqu'un avec qui tu puisses prendre du plaisir..."

Comme si je pouvais me servir d'une enfant... J'ai envie de le lui dire... De lui expliquer que tout ce que je veux c'est lui... Que cette plainte, je ne la porterais jamais... Mais le jour où il vera cette faiblesse en moi, il me tuera, c'est certain...

Alors que j'attrape son boxer et son pantalon, j'appercois un morceau de papier qui a glissé sous le fauteuil. Je le ramasse et pose ses vêtements sur lui en regardant le papier. Ce qui j'y vois me stupéfait. Je ne m'attendais pas à que ce soit à lui. Il est dessus, beau comme un Dieu, heureux et dans ses bras... Une petite fille, blonde comme lui, si mignonne. Je suis incapable de faire le moindre mouvement, mes yeux posés sur l'image.

Invité

Il arrete ? Il veut me faire une fausse joie, ou est ce déffinitif ? Vu ses paroles, j'opte pour le second choix, ouf... Je n'aurais pas a me sentir humilié une seconde fois. J'ouvre alors a nouveau les yeux, et je le regarde, droit dans ses prunelles, qu'il puisse bien comprendre son dérapage...

-Ce n'est pas ce que tu veux être... C'est ce que tu étais...

J'attrape mes habits, et je m'habille asssez doucement, très calmement, mais interieurement, je suis soulagé... Finalement, peut etre sera il un peu plus manipulable que prévu... Je ne pensais pas qu'il était si fragil, je n'osais pas essayer, mais finalement, c'est peut etre l'issu de secours...

Je finis de boutonner ma chemise, quand soudain, je remarque qu'il a en main ma photo, MA photo ! Il n'a pas le droit de faire ca ! Oh non ! Qu'il ne pose pas ses sales pates sur ma fille, même si ce n'est qu'une photographie.

Je la lui arrache des mains, et furieux, je range l'objet dans ma poche. Puis, me rapelant quand même que je dois plutot lui passer de la paumade qu'autre chose, je me tourne vers lui, et je lui dis :

-Maintenant que tu as vu son visage... J'espère au moins que tu comprends a quel point c'est important pour moi...

(Alec est un personnage faible... tu ne le savais pas ? N'oublie pas qu'il est interdit de mutiler ou tuer un autre personnage...)

"Je l'avais compris depuis le début."

Mes lèvres ont bougé, mais ai-je prononcé les mots ? Je l'ignore... Tout ce que je sais, c'est que je suis fini. J'ai perdu... Je baisse les yeux et un larme coule sur ma joue. Cet homme a une famille, un fille, un enfant qu'il aime et qui l'aime... Moi je n'ai plus tout ça... je n'envisage même pas de quitter Sadismus parce que je n'ai rien qui m'attend dehors... Je ne suis rien... rien qu'un parasite...

"Si tu me tues, tu te retrouveras à ma place, Ludwig... sans famille, sans rien... Ce qui nous sépare est si minime... Mais ce que tu as vu de moi... C'est un monstre... un être cruel que je ne suis pas... Ma seule famille, mon frère... J'avais 14 ans quand j'ai trouvé son cadavre... Je ne peux pas détruire ta famille... Je ne peux pas..."

Je me tourne vers lui. Des larmes coulent sur mon visage mais je soutiens tout de même son regard.

"J'ai envie de toi, je ne le contrôle pas... Ton corps, ton visage... Tout ce que tu m'as montré à la laverie... Tout ça je le veux... Mais je t'en veux de me considérer comme un rien... j'ai eu une vie, une famille, une histoire... Comme toi ! J'ai voulu te faire souffrir... Mais je ne peux pas..."

Je me tais un moment. Mes larmes se calment. Je déglutis difficilement.

"A partir du moment où j'ai compris que je risquais de détruire la vie de cette enfant, je savais que je ne porterais pas plainte contre toi, Ludwig. Frappes-moi donc. Venges-toi comme tu en as envie... Tues-moi puisque je le mérite... Rien ne permettra de remonter contre toi... Fais-le je ne résisterais pas."

Mon visage est presque serein, déterminé. Je ne mérite pas de continuer à vivre... Et cet homme dont l'existance me rend fou va me sauver. Mes yeux sont plongés dans les siens, emplis de douleur.

Invité

C'est bète pour lui... avant tou cela, j'avais moi aussi envie de lui, j'avais moi aussi envie de recommencer de temps en temps tout les deux, mais la... Faire ca en étant menacé ? Non merci, très peu pour moi.

Ses larmes coulent sur ses joues, il n'avait donc pas l'intention de porter réellement pleinte, mais pourtant, je l'ai vu ! Je l'ai vu avec ses foutus papiers ! Mais c'est vrai que... Je ne lui ai dis qu'après pourquoi je ne voulais absolument pas qu'il porte pleinte contre moi.

Cependant, je le hais toujours, ma haine ne va jamais s'éteindre, ca c'est sur. Il a beau faire preuve d'humanisme, je ne suis pas lui ! Je ne suis pas obligé d'en faire preuve !

En revanche... hors de question qu'il pait comme ca, non, hors de question ! Je ne frappe pas quelqu'un qui me le demande, ou si mais... Dans un certain contexte, et surtout, sans certain vetements... Bref passons. Je sens quand même que j'ai une dète envers lui... que je dois lui payer une bonne fois pour toute, pour qu'il me fiche la paix la plus totale par la suite.

-Il n'est pas question que je te frappe alors que tu le demande... Si je me vange, ce n'est pas pour que toi tu te sente mieux... au contraire...

Je m'approche de lui, je pose mes mains sur sa taille, et doucement, je viens l'embrasser, tendrement. Ca sera le prix que je lui paye, pour qu'après cela, jamais plus il ne vienne me hanter...

Je ne comprends plus rien. Il pose ses lèvres sur les miennes. Comment ? Pourquoi ? Il me hait ! Je le sais... Il me l'a tellement bien fait comprendre... Alors ? Pourquoi est-il doux avec moi ? Pourquoi m'embrasse-t-il ainsi ?

Je me laisse faire... totalement... Quoi qu'il me fasse, je ne suis plus capable de le repousser... Et me rendre compte de cela me torture encore plus... J'aime Gleb ! J'aime Gleb ! Pourtant... Pourtant sentir les doigts de Ludwig sur moi, si tendres... Ses lèvres douces contre les miennes...

Je ferme les yeux. Que dois-je attendre ? Va-t-il approfondir ce baiser ? Va-t-il aller plus loin ? Non... Il va me laisser là... Pantois, rêvant de lui, me languissant de son corps... J'ai envie de le serrer contre moi, de l'empecher de me quitter, mais j'en suis incapable... J'ai envie de répondre à son baiser, de caresser ses lèvres de ma langue... mais je n'ose pas... Tout ce que je peux faire c'est lui libérer le passage s'il a envie d'aller plus loin... c'est m'offrir à sons désir sans retenue...

Ou encaisser son rejet sans broncher... J'ai mérité de souffrir.

Invité

C'est un cadeau que je lui fais la... c'est vrai, que si il n'y avai pas eu cette histoire, j'en aurais envie moi même, je dois d'ailleurs avouer que j'en ai toujours eu un peu envie au fond de moi, mais si quelqu'un me force, cela peut etre n'importe qui, je n'aimerais pas, je ne voudrais pas, je serais passif.

Mais ce cadeau, il ne semble même pas le remarquer, il ne me rend même pas mon baiser. Je m'écarte alors doucement de lui, ca non, on ne m'ignore pas, je déteste ca, même si j'ai passé mon tempsa le faire avec lui...

-Je pensais que tu me voulais... Profite de cette occasion, c'est surement la seule qui se présentera a toi...

Et il a interet a la saisire, sinon, je lui devrais toujours quelque chose, même si les dettes ne me dérange d'habitude pas du tout... La... Dès que ca touche a ma fille tout est si... Différent...

Je passe mes lèvres dans son cou, ma respiration contre sa peau, et mes mains carressent tout doucement son dos, juste son dos, pour une fois, je ne descend pas mes mains, je me contente d'être tendre.

"Je pensais que tu me voulais... Profite de cette occasion, c'est surement la seule qui se présentera a toi..."

Pourquoi ? Je n'ai que ce mot en tête. Il m'accorde cela alors que rien ne l'y oblige... Pourquoi ? Parce qu'il en a envie ? Non, c'est impossible... Mais alors... Je suis totalement paumé.

Il est si doux... Son souffle contre moi me fait frissonner... Ses doigts dans mon dos me carressent tendrement... Pourquoi me fait-il ça ? Pourquoi est-il si gentil avec moi ? Pourquoi me donne-t-il ainsi ce que je veux ?

Hésitant, je pose une main dans son dos et l'autre sur sa nuque...

"Oui... Oui, j'en ai envie..."

Mais pourquoi ? Je n'ose pas lui poser la question de peur qu'il me rejette définitivement... Est-ce ça qu'il veut ? Me torturer en me donnant ce plaisir ? Il va me détruire totalement...

Mes doigts glissent sur son corps et je relève doucement son visage... Je ne veux pas le forcer... Je ne veux pas lui faire comme hier... Pourtant son regard ne me repousse pas... C'est comme si j'avais son autoriation... Je pose mes lèvres sur les siennes. Les caresses de ma langues... Oui, j'ai envie de lui... Désespérément envie de lui !

Invité

Bien... Un premier pas vers ma liberté complète de fait...

Tandis qu'une de mes mains reste a carresser son dos, l'autre remonte tout doucement vers sa tête, puis, doucement, je passe ma main dans ses cheveux, tout en lui rendant son baiser, ma langue carresse doucement la sienne...

Profite en bien, parce qu'un de ces jours, tu vas voir un peu ce que tu vas prendre... Mais pour le moment, je pense qu'il n'est pas interdit que je prenne moi aussi un peu de plaisir la dedans...

Je fais descendre ma main qui carressait son dos dans son jean, puis dans son boxer, et je carresse sensuellement ses fesses. Tout en continuant bien sur a l'embrasser a pleine bouche, qu'est ce que je peux le hair... Mais qu'est ce que je peux aimer sa facon de... De me charmer...

-Moi aussi... J'en ai envie moi aussi...

Je me sers un peu plus contre lui, notament au niveau de l'entrejambe, mon sexe est déja tendu, le siens aussi apparament...

A ses mots, mon coeur se serre, mais je ne dis rien... Que puis-je dire alors que ses gestes me promettent un plaisir sans nom ? Il m'embrasse toujours... Je ne peux me retenir de me presser contre lui. Mon baiser devient passionné. Je ferme les yeux et des gémissements meurent contre ses lèvres.

Je sens son membre tendu contre le mien à travers le tissu. Ses doigts sur mes fesses... Je me cambre un peu plus pour sentir ce contact... Il en a envie... Redis le ! Redis que tu as envie de moi. Je sens que je vais devenir fou... Mes doigts glissent dans son dos, empressés... J'ai peur qu'il renonce, qu'il change d'avis... Je déboutonne son pantalon et pose mes mains sur ses hanches pour le faire descendre... Mes doigts entre en contact avec un morceau de papier... la photo.

J'ai un mouvement de recule et retire aussitôt ma main comme si je m'étais brûlé. Je n'ose plus faire un geste...

"Pardonnes moi..."

Seul un murmure coupable sort de mes lèvres... Je ne mérite pas ce pardon que je demande. Je le regarde à nouveau... J'ai tellement envie de lui...

"Ludwig... Je..."

Je m'approche de lui à nouveau et glisse doucement mes mains sur ses flancs... A-t-il changé d'avis ?

Invité

Quand il pose la main sur ma photo... Je me fige, le foudroyant du regard... Mais a bout d'un moment de ce manègre, je reprend mes embrassades.

Je l'embrassede facon langoureuse et passionée. J'ai bien ressentit son émoi la première fois que je lui ai dis que moi aussi j'avais envie de le faire. Alors, quand il recommence a parler, je l'interopt d'un baiser, et je lui murmure :

-Tais toi... J'ai trop envie de toi... alors tais toi... et continue !

Continue de me dévétire je veux dire bien sur. De mon coté, j'exarce une pression sur ses fesses pour que son bassin se raproche encore plus du mien.

De ma main libre, je déboutonne sa chemise, puis, une fois complètement ouverte, je la lui enlève totalement. Mes lèvres descendent alors dans le cou du jeune homme, puis, sur le torse, que je lèche gourmandemant.

Sa voix me redonne confiance et je fais glisser boxer et pantalon pour libérer son érection... Je pose un baiser dans son cou, j'ai tellement envie de lui que je commence à être très à l'étroit dans mon propre pantalon...

Sans que je m'en rende compte, ma chemise tombe à terre et il commence à se baisser pour embrasser mon torse. Je me cambre sans réfléchir et mes doigts, desordonnés, tentent de défaire ses propres boutons.

Ses lèvres et sa langue sur ma peau me font frémir. Des gémissements s'échappent de mes lèvres alors que ses mains pressent toujours mes fesses. Je prononce son nom dans une supplique.

Tout a disparu, il n'y a plus que lui qui compte, il n'y a plus que lui qui occupe mes pensés... Et des mots que je ne veux pas dire raisonnent dans ma tête... Je les empèche de sortir... Je ne dois pas... Mais je sais que je cederais vite...

Invité

D'un geste des pieds, je me débarasse complètement de mon pantalon. Je continue mes baisers, des petites morsures ici et la, des coups de langue, je m'attarde sur ses tétons, puis, je viens sur son nombril. Mais il qu'il ne compte pas sur moi pour poser mes lèvres sur son sexe... Hier, ca m'a suffit !

Ma main libre va sur son pantalon, je titille longement le bouton, avant d'enfin l'ouvrire. Je le fais glisser le long de ses jambes, et je fais de même avec son boxer. Et bien, je ne pensais pas lui faire autant d'effet.

Lentement, je remonte mes lèvres, par étape stratégiques, tétons, cou, lèvres, pour ensuite aller titiller son oreille gauche... si il est comme moi, ce qui m'étonnerait mais bon, il devrait complètement fondre avec ceci...

Je dois être le seul mec de la planète a qui cema fait ca, mais je ne peux pas m'en empecher... Si on me mord, on me lèche, ou on m'embrasse tout betement l'oreille... Ca m'exite au plus haut point...

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