- Lieu sinistre, sinistre rencontre [ libre ]

Une fois de plus j'avais quitté ma cellule, ne regagnant pas mes compagnons de chambre à l'appel du soir, signal du couvre-feu, et donc, du retour dans nos cachots... Une fois de plus je m'étais jouée des gardiens, profitant de l'attention qu'ils portaient à l'un des autres détenus, qui, apparament n'avait pas été un ange, pour me glisser hors de ma cellule avant de rejoindre le sous-sol. Une fois de plus je me retrouvais seule, explorant cet endroit que je ne connaissais que trop peu avec la peur de me faire surprendre, qui provocait en moi une décharge d'adrénaline à la fois excitante et angoissante.

Tandis que je descendais lentement l'escalier de pierre qui menait au sous-sol, l'ambiance soudainement humide et l'air glacé qui se mit à régner dans l'atmosphère me glaça le sang, me faisant frissonner. Mais je me repris vite et continuais ma marche, me mordant légèrement la lèvre. Allons donc, j'avais vécu pire... Arrivant en bas, mon attention fut vite attirée par une étrange porte en fer, lourde et imposante. Qu'était-ce donc...?

Doucement, je la poussais, et, lentement, je la refermais, veillant à ce qu'aucun bruit ne résonne dans la cave sombre et silencieuse, pour ne pas alerter le personnel de Sadismus. Au départ, mes yeux verts, peu habitués à l'obscurité qui régnait, clignèrent pendant un instant, avant de distinguer petit à petit les vestiges de chaines qui pendaient aux murs, quelques vieux instruments de tortures, deux ou trois lames... Tout portait à croire que j'avais bel et bien trouvé la fameuse chambre de torture dont tous parlaient ici, certains en se vantant, le criant haut et fort, d'autres le murmurant avec angoisse. Intriguée par cet étrange endroit, je m'avançais doucement, faisant lentement glisser mes doigts sur le mur de pierre glacé, ultime témoin des scènes du temps jadis..

Invité

Je marchai dans les couloirs quand je vis ce petit escalier de pierre qui avait l'air de descendre dans les entrailles de la terre. A la fois excité et angoissé par ce lieu inconnu, je commensa a descendre les marches une par une. L'escalier descendait en colimason et arrivé a la moitié des marches un souffle frais fit frémir ma peau et souleva mes cheveux. Qu'est ce donc que ce lieu qui avait l'air du gouffre de lucifer? C'est sur que dans une prison on pouvait s'attendre a tout et n'importe quoi. Mais ce lieu avait quelque chose d'envoutant et ses sans me poser trop de question que je fini de descendre les marches deux à deux. Arrivé en bas une lourde porte qui avait l'air assez vieille était ouverte et je la franchi sans trop d'ardeur. La pénombre occupait les lieu et ses après quelque minute que mes yeux commençère a apercevoir une grande pièce pleine, pleine d'objet de toute sorte. J'aperçu des chaines accroché au mur, et plus loin un fouet. J'étais donc dans une salle de torture. Je m'approcha du fouet et le pris dans mes mains. C'était un fouet avec le manche en bois et au bout 7 lame de cuir long d'au moin 10 centimètre chacun. Puis j'aperçu que sur les lames de cuir il restait encore un peu de sang séché. C'est alors avec stupeur que l'objet quitta ma mais pour tomber au sol sans bruit. C'est alors que je regarda mes main complètement moite et vis que du sang séchés écaillée rendait mes mais un peu rouge a cause de la sueur. Un bruit me sortit de ma terreur je ma dépécha d'aller me cacher derrière une énorme commode en bois.

Alors que je rêvassais encore, songeant avec horreur et intrigue à ce qui avait jadis pu se passer ici, un souffle de vent, une infime sensation me fit frémir, et je me retournais, le coeur battant, scrutant l'obscurité de mes yeux perçants. Personne... Pourtant, j'en étais sûre, quelqu'un était là...

M'avançant lentement, prenant gade à ne pas me heurter aux nombreux objets - dont je ne voulais surtout pas connaître l'utilité - qui jonchaient la pièce, je respirais profondément. Espérons que ce soit quelqu'un " d'innofensif.. " Genre, un prisonnier, ou mieux, une détenue... Comme ça, pas d'ennuis, et pas de problèmes... Car je n'étais pas, mais alors pas du tout censée être là...

M'immobilisant, je restais là, cachée dans l'ombre de la salle, avant de lancer, d'une voix forte et assurée :

- Qui est là ?

Invité

"Qui est là"

Cet quetion me fit frémir. Pourvu que ce ne soit pas un gardien car mème si je ne connaissait pas trop je pense que ce lieu ne devait pas ètre très autorisée. Mais ne voulant pas passer pour une lache je me releva et suivant le son de la voix je dis:

"Je suis Keira, je suis une détenue. Et toi qui est tu?"

Je m'avança a tatons a travers la pénombre et esseya de rencontrer mon interlocutrice car sa abait l'air d'une voix de femme.

Finalement, peut-être avais-je rêvé... Ma voix résonna dans la pièce, me renvoyant l'écho de ma question, qui resta sans réponse. Bah... On est jamais trop prudente... Tournant lentement le dos, je m'apprêtais à rebrousser chemin lorsque, soudain, une silhouette apparu, tandis que la voix de celle-ci résonnait dans la salle. Me retournant vivement, mes cheveux roux formant une bannière flamboyante autour de mon visage, je posais mes yeux sur la jeune fille. Son visage ne me semblait pas inconnu, et son prénom non plus... Où l'avais-je donc croisée...?

Au bout de quelques secondes de réfléxion, cela me revint. Mais oui ! C'était l'une des détenues avec qui je partageais ma cellule... Baissant ma garde, je hochais légèrement la tête, m'approchant quelques peu, histoire qu'elle distingue un peu plus les traits de mon visage :

- Sybille, je suis dans la même cellule que toi, tu te souviens...?

Invité

désolé pour le retard j'étais en vacance

Ne sachant mème pas a qui je faisait la conversation une boule commensa a se former dans ma gorge. Ici on était loin de tout et il pouvait arriver n'importe quoi seule les rat pouvait t'entendre.
Entendant les pas s'éloigner peu à peu, la peur commensa à s'evaporer telle de l'eau. Mais c'est quand j'entendit une voix plutot aigu me dire:
"- Sybille, je suis dans la même cellule que toi, tu te souviens...?
que la je fut complètement rassurer.

"Oui bien sur que je me souviens. Sybille céllule N. Mais au fait que fais tu la"

Cet question était complètement idiote car je savait très bien que ce lieu n'ou était interdit à l'une comme à l'autre mais elle était sorti toute seule et il était trot tard pir faire marche arrière.

[ Pas 'rave, moi aussi xD ]

Apparament, ma réponse l'avait rassurée, car elle semblait plus calme, plus détendue. Sa question me fit rire, et, sortant de l'ombre, je m'approchais d'elle avant de m'appuyer contre une table, mes mains posées à plat sur la planche de bois :

- La même chose que toi je pense... Répondis-je avec un léger sourire, examinant mes ongles, que cherchais-tu ici ?

C'était vrai, moi je ne voulais qu'explorer, en savoir un peu plus sur ce lieu étrange. Après tout, j'étais condamnée à perpétuité, alors, autant savoir d'avance ce qui m'attendait dans ce lieu de cauchemar...

Invité

"Que cherchais tu ici?" cet question résonnait dans ma tète. Je ne cherchais absolument rien ici j'étais venu ici par hasard.Mais maintenant que j'étais la je trouvais ce lieu mystérieux et intrigant. Cet endroit était paisible et on pouvait si sentir a l'aise.
Mais je n'allais pas lui dire tout ce blabla elle allez surement me trouver complètement barge! Alors avec un soupson de mensonge je lui dit:

"J'aime me trouver au calme dans cet endroit, il est reposant et on ni fait rarement de mauvaise rencontre..."

Je n'avais jamais eu l'occasion de parler avec ma partenaire de chambre et voulant faire plus emple connaissance je lui demanda peut ètre indiscrètement mais sachant qu'ici personne n'était vraiment innocent la question suivante:

"Au fait pourquoi est tu ici?"

A sa réponse, un léger sourire vint orner mes lèvres. Finalement, je n'étais pas la seule à penser de la sorte dans cette prison de fous.. Il était vrai que, malgré son ambiance glauque et angoissante, la salle était le plus souvent déserte, et il y régnait un calme assez... apaisant je devais le dire.

La réponse de la jeune femme m'avait intriguée, et je désirais en savoir un peu plus sur elle. Etant d'un naturel assez solitaire, je ne cherchais pas vraiment la compagnie, et, à vrai dire, je l'évitais même depuis... depuis plusieurs années disons. A cette pensée, un frémissement me parcouru l'échine, et, posant mes yeux verts sur Keira, enfin, je crois que c'était comme ça qu'elle s'apellait, je m'apprêtais à lui poser la question qu'elle me posa, et, prise de court, je la regardais, immobile, ne sachant que répondre.

Serrant les poings, je me mordis violement la lèvre, et, tremblante, je baissais la tête. Pourquoi étais-je ici... Je l'ignorais... Enfin, non, Ludwig m'avait aidée en trouvant les documents de mon procès, et j'avais pu lire les raisons de ma condamnation. Etant amnésique, pour une raison que j'ignorais, deux années de ma vie s'étaient écoulées, et lorsque j'avais appris que j'avais tué mon fils et mon mari - apparament, j'avais eu le temps de fonder une famille -, je ne l'avais pas cru. C'était tout bonnement impossible, jamais je n'aurais fait une chose pareille...

Invité

Voyant que ma question avait l'air de troubler la jeune fille je commensa a me sentir mal à l'aise. Déja quand j'étais petite tout le monde me disait que j'avais la langue trop pendu et sa ne s'améliorait pas avec l'àge. Alors espérant ne pas faire de bourde ce coup là je lui demanda:

"Est que sa va? Tu sais on peut parler d'autre chose si le sujet te dérange."

Je fit un arret pour reprendre mon souffle. Bien que je n'avais pas dit grand chose la honte qui habitait mon corp en ce moment l'affaiblissait plus que tout. De toute fason comment pouvais je savoir que Sybille allait se mettre dans cet état. Alors pour couper court au silence de mort qui trainait dans la pièce je m'élança:

"Moi je suis ici pour trafic de drogues, vole et
meurtre"

Meurtre, meurtre ce nen n'était pas vraiment un que j'avais commis mais a quoi bon puisque personne ne me croyait

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