Sadismus Jail
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 Heartgreaves Tsuyosa

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Tsuyosa Heartgreaves
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Tsuyosa Heartgreaves


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MessageSujet: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeSam 14 Juin - 10:31

1.Dossier médical

Nom & prénom- Heartgreaves Tsuyosa
Sexe- Féminin
Âge- 26 ans
Traits physiques- Mon allure générale rappelle les fantômes et les idées que l'on peut s'en faire. Ma peau est pâle, sans excès, mon père étant anglais et ma mère asiatique, il aurait été étonnant que je sois métissée, n'est ce pas ? Quant à mes cheveux, ce sont de longs fils fins et noirs qui coulent tout autour de moi, cachant parfois un étrange sourire. Je les attache la plupart du temps, ils me gênent pour écrire. Mes yeux sont immenses, noirs, et mon regard perce celui d'autrui, à ma plus grande satisfaction. A croire que mon physique s'est adapté à mon mental. En revanche, je n'ai aucune force physique, je suis trop maigre. Maigre et plate, mon corps n'a rien d'attirant, mais rien de repoussant pour autant.

Taille- 1m75
Poids- 51 kilos.

Handicap ou maladie physique- hum?
Autres- //

Dossier psychologique

Qualités- Je peut être calculatrice, posée et très méthodique. J'exécute mon travail avec tout la perfection qu'il est possible d'atteindre. Je ne néglige aucun détail, jamais. Je suis aussi très objective, la plupart du temps. Et, si la beauté esthétique est une qualité, il est clair que j'en use et abuse pour arriver à mes fins proprement, sans faire d'histoires.

Défauts- Comme cité ci-dessus, je peut-être calculatrice, posée et méthodique, trois ingrédients plutôt nécessaires à la manipulation. Toutes mes qualités sont mes défauts, tout mes défauts font mes qualité. On me reproche parfois ma cruauté et mon détachement pour les patients. Ce ne sont que des fous après tout, en quoi me concernent-ils personnellement, ces erreurs de la nature. J'aime les seringues.

Aime- J'aime les enfants,la plage ... L'humour et l'ironie ? Oui, j'aime jouer avec les autres, les pousser à découvrir celle que je ne suis pas. J'aime la psychologie des fous et des criminels, elle me passionne. J'apprécie les mort, également. J'ai toujours eu la nette impression de leur communiquer, ou tout du moins sentir leur présence.

N'aime pas- Je n'aime pas les personnes niaises, aveugles, pleureuses ou amoureuses. Je déteste les sentiments humains, à moins d'avoir le temps de les détruire. Il est si amusant de voir un couple heureux se détériorer comme un corps qui pourri.

Comportement avec les gens- Une vraie mère Thérésa. La bonne blague. Tout dépens de mon humeur et de la tête du client.

Valeurs- Des valeurs ? Je n'en ai aucune. Si, toujours dominer, toujours avoir le choix sur la vie de l'Autre. Ce sont de bonnes valeurs.

Tics- Je suis plutôt maniaque dans l'âme.

Handicap mental- ...


Passé-
( Bonne chance )

You get me closer to god.

Je suis déjà morte. Non pas que je m'en souvienne, j'étais trop jeune, mais j'en garde l'empreinte au plus profond de moi, comme une griffure à vif décomposée au fil des années. Je venais de naître, j'étais déjà partie. Je pense, pour mon bien et celui des autres, que nul médecin n'aurait dû me ramener à la vie, et laisser mon petit corps de nouveau-né pourrir dans un quelconque cimeterre anglais, et ma tombe aurait été couverte de fleurs durant quelques années, après quoi mes parents auraient eu un autre enfant, bien vivant, et m'auraient volontairement oubliée. C'aurait été si bon que de rester dans le vaste monde qui m'appelle chaque jour, inexorablement.

Mais non. Alors, comme chaque enfant lambda, je suis allée à l'école. Je me suis exclue, les autres étaient trop cons. Tout ces bourgeois stupides, atteints jusqu'à la moelle par le matérialisme ambiant. Société de merde, disais-je à tout va, lorsque j'étais au lycée. J'ai poursuivi des études scientifiques, les lettres étaient un ramassis de sentiments humains tous plus mielleux et dégoutants les uns que les autres. Faculté de médecine, pour le plaisir. Alors, je me découvrais une passion. L'esprit humain et ses complexités. Pour moi, les médicaments ajoutés à l'influence du psychiatre permettaient de manipuler n'importe quelle personne. Le physique, la voix et l'attitude étaient aussi des facteurs important pour devenir la marionnettiste qui m'inspirait tant. Je voulais voir les plus grands malade, les comprendre et les détruire. Non pas que je sois dotée d'un grande envie de justice, mais détruire la vie d'un malade est souvent moins réprimandé que détruire la vie innocente, dans cette société. Les voix que j'entendais et entend toujours dans mon sommeil me disaient tantôt que j'allais atteindre mes buts, tantôt qu'il fallait que je me méfie. J'associais donc les deux conseils, devenait une sorte de chat sauvage gourmand de savoir. Je dévorais les libres, buvait les paroles de mes professeurs et emmagasinait tout.

Une fois sortie de mes longues années d'études, bien que travaillant à mi temps à l'hôpital, je pus enfin avoir mon propre bureau, dans un institut renommé d'Angleterre. Ce qui me plus le plus, c'était qu'en vérité, le travail que j'avais pensé difficile se révéla bien plus simple que prévu. Le directeur n'en voulait qu'a mon physique et m'autorisait tout, les malades m'écoutaient comme si j'étais pour eux une déesse du genre nouveau. Je pris pour habitude de jouer à Dieu, c'était si bon. Dieu choisit ses victimes à l'aveuglette, j'en fis de même. Lui, fous à lier, lui je le guéris. Il me fallut 5 mois pour m'habituer à ce train de vie dans lequel que je me complaisais. J'étais le médecin le plus crains et le plus respecté de l'établissement, autant du côté des patients que de ceux des professionnels qui y travaillaient, et parallèlement la plus jeune. C'était si bon, je les avaient à ma botte, avec mon regard glacial et mes paroles acérées. Je détestais chacun d'entre eux, excepté le plus grand criminel que nous abritions, et qui allait être transféré dans une prison allemande. Ça me peinait. Je l'appréciais tant, c'était réciproque.

Cet homme s'appelait Marc Fitzroy. Il avait cet étrange sourire que seuls les psychopathes, et profonds débiles possédaient. Il était à lui-même la définition du premier adjectifs cités au deçà. Poli, très courtois et délicat, on ne devinait pas le monstre en lui, pas même moi. Nous avions pourtant beaucoup de points en communs, et je l'admirais pour sa façon de lancer des regards hautains et doux à la fois à quiconque s'approchait trop près de sa cellule, comme un avertissement silencieux. J'étais toujours quasiment le nez collé à la vitre. Il m'appelait le jeune mouton noir, et j'en souriais à chaque fois. Je savais que je ne pouvais pas lui faire de mal, mais qu'il pouvait quant à lui me causer le centuple de tout ce que je pouvais imaginer comme souffrance et douleur.

I see hell in your eyes,
Taken in by surprise.

Nous entretenions de longues discussions à propos de choses et d'autres durant ses entretiens de thérapie. Il me décrivait quelques fois ses meurtres, ses viols, sa façon de manger ses victimes et le goût qu'elles avaient. Et tout ça comme s'il eu parlé de la dernière Audi. Et cela me plaisait, incroyablement. Un jour, il me regarda dans les yeux et approcha sa main de mon visage. Je crus qu'il voulait m'étrangler, mais ne fis aucun geste de recul. Il attrapa simplement une de mes mèches de cheveux et la lâcha en se laissant retomber en arrière, tandis que les gardiens entraient, armés. Je balaya la salle d'un regard si hautain et provoquant qu'ils reculèrent tous aussitôt. Marc se leva avec prudence et marcha vers eux, un léger sourire flottant sur ses lèvres.
« _ A bientôt très chère. »

Je ne le vis plus jamais, et ce malgré tout les moyens que je déployais pour retrouver mon patient. Ils avaient jugé qu'il ne devait pas voir le même psychiatre trop longtemps, c'était trop dangereux. Il fut transféré. Je continuais ma vie, privée de mon seul et véritable ami. Ou amour. Je ne savais plus, mais j'avais attaché beaucoup d'importance à cet homme.

C'est dans cette période de rage intérieure et de vengeance sur tout mes patients que je rencontrais Siriel Silver. Son nom était doux, ses mots étaient rare et son visage était blanc. Il incarnait presque les voix que j'entendais dans mon sommeil, ses longs cils encadraient un regard mort et sa peau blafarde brillait sous toutes les lumières, artificielles ou non. Il me comprenait presque mais n'existait pas réellement, j'allais jusqu'à me demander si je ne parlais pas à un poltergeist, parfois. Mais non, c'étaient bien plus compliqué, et la mort de sa jeune sœur l'avait tué. Il était un mort-vivant, au même titre que moi. J'étais simplement une malfaisante et lui un enfant perdu dans le passé. Nous passions la plupart de nos séances sans un échange de paroles. Je fumais, il fixait le plafond, et c'était parfait.

Mais je ne voulais que Marc. Il obsédait mes pensées, et je développais des sortes de pulsions. Je devenais presque désordonnée et je détestais cela. Il fallait que j'évacue. J'avais envie de me rapprocher de lui, d'atteindre l'idéal qu'il était pour moi, comme une gamine amoureuse de son père. Savoir le goût de la chair humaine, la sentir fondre dans ma bouche, comme elle l'avait fait dans la sienne. Je décidai un soir de céder à mes désirs. Le meilleur moyen de résister à la tentation est d'y céder, n'est ce pas ? Mais je ne voulais surtout pas me tromper, me faire démasquer. Il fallait tout calculer, tout prévoir, même s'il fallait préparer mon crime des mois à l'avance.

Je cherchais alors dans mes dossiers un patient qui aurait pu passer pour l'idéal criminel. Silver. Silver ne niait rien, Silver était parfait, il ne vivait plus. Une émotion étrange me déchira cependant l'esprit, l'espace d'une seconde. Je ne savais pas de quelle nature elle était. Peut-être la déception de détruire une patient que je voulais élever. J'avais opté pour cela, et continuais mes recherches sans me poser plus de questions. Et je n'avais pas le choix. De plus, Silver avait des absences, des trous noirs. Il me suffisait d'influencer son esprit correctement pour causer les bons, et de tuer une personne qui dans sa vie l'avait perturbé. Il m'avait parlé d'un médecin qui avait tué sa sœur, un jour. C'était la partie la plus compliquée de mon travail, il me suffisait ensuite de trouver un alibi, et faire un crime propre. Lorsque l'on s'y intéresse de près, on peut trouver dans les médicaments et les drogues toutes sortes de vertus inattendues. C'était souvent grâces à elles que je pouvais jouer au Dieu sans pitié, provoquant des montées d'adrénaline chez certains, des baisses de tensions chez d'autres. Je pouvais calmer ou augmenter leur folie, personne ne me surveillait, c'était jouissif.

Un jour de mai, alors que le temps distrayait les âmes et les esprits, je me décidai. J'avais établi l'emploi du temps de ma victime, l'endroit où j'allais la croiser, comment j'allais la tuer, et où j'allais entreposer le corps. Je savais qu'il venait de prendre ses vacances, et qu'il allait partir bientôt pour la floride, je l'avais espionné. C'était un homme assez simple, et sympathique. Une de ces personnes que je détestais. Discrète comme un chat, je le suivais, sans sac, juste enroulée dans un trench-coat noir, les cheveux attachés et un chapeau en feutrine pour cacher une partie de mon visage. Il passait tout les soirs par une rue peu fréquentée, un raccourci entre l'hôpital où il travaillait et son domicile. De plus, j'avais remarqué quelques squats et drogués dans les parages, si Silver n'était pas accusé, ce serait eux. Ce soir là, j'étais sensée être à un concert de jazz. J'avais bien pris la peine de faire déchirer mon billet et de m'y être présentée avant de m'éclipser discrètement. Aucun détail n'avait été laissé de côté, j'avais pris le métro, non pas ma voiture, qui était aussi restée sur le parking du concert, côté parking payant, avec un ticket. Tout, tout était prévu. Par chance, il n'y avait personne dans la rue, je souriais et avançait loin du médecin. Il ne semblait même pas avoir remarqué ma présence, perdu dans ses pensées. Je m'approchai alors de lui rapidement et attrapait son bras avant d'enfoncer l'aiguille de ma seringue dans l'artère qui coulait au niveau de l'aine, trop surpris il n'eut aucune réaction. Dans toute la logique des choses, son cœur s'emballa, et, brusquement, il écarquilla les yeux et se tint la poitrine, sans un mot, reculant maladroitement avant de percuter le mur en arrière. Il resta un instant sans bouger, presque suffoquant, et glissa lentement jusqu'au sol. A celui qui se dit: chaque poison est détectable dans l'organisme ... Et bien, encore une fois j'avais choisi jusque dans la mise à mort la façon la plus parfaite. De l'air. J'avais injecté de l'air dans ses veines, qui était remonté jusqu'à son cœur et arrêté la révolution cardiaque. Il suffisait de quelques centimètres cubes pour tuer. Le plus gros était fait. Avec mes gants, je sortis son porte feuille et le jeta plus loin, je savais qu'un imbécile y toucherais forcément. Je sortis un couteau et, avec la précision d'un chirurgien, ouvrait au niveau du cœur, provoquant un flot rouge et sombre. La chemise blanche du médecin se tacha, j'écartais un peu plus et cherchais l'organe sans faillir. J'avais déjà disséqué des morts, en faculté de médecine. Je le sortais enfin, le posais dans un sac plastique et repartais paisiblement. Le sac était hermétique, nulle goutte de sang. Je repris le métro, déposa le produit de mon crime dans la voiture et retourna au concert, comme si de rien n'était. Je profitais tout le reste de la soirée de « time out ». Charmant groupe de musique soit dit en passant.

La chair humaine avait bon goût, il ne m'avait pas menti. Si bon goût que mes crimes devinrent bientôt quotidiens, sans perdre une miette de leur perfection. Je ne me laissais pas aller, chacun d'entre eux était méticuleusement préparé. Je brûlais mes vêtements pour racheter les mêmes. Le premier achat par carte, le second en liquide. Il n'y avait aucune trace. Aucune. Alors je parlais à Siriel de ces moments d'absences et des crimes qui secouaient le monde policier. Le rapprochement, les lieux, les victimes, tout ceci je le vissais dans sa tête avec mon calme habituel.

Puis vint le moment où la monotonie m'acheva, je m'ennuyais malgré mes crimes et mon statut à l'hôpital. Je demanda une mutation à Sadismus. Je savais que mon patient, ou plutôt mes patients s'y trouvaient. Je pris un aller simple pour l'Allemagne. Simple et direct.

Mais mon vol fut retardé, j'attendais donc à l'embarquement, regardant les passagers du vol arrivant de l'ancienne Prusse. Un visage attira brutalement mon attention. Un visage si familier... Marc. Il s'approcha de moi avec un beau sourire.
« _ Quel heureux Hasard, très chère. J'ai entendu parler de vos exploits. Tout du moins, j'espère que ce sont les vôtres, votre patte y est partout. Je n'ai malheureusement pas tout mon temps. Jolie robe. A bientôt. »

je le regardais s'éloigner, sans bouger. Jetant un regard en biais au journal international que j'avais acheté, un article attira mon attention. « UN DANGEUREUX FOU S EST EVADE DE LA PRISON LA PLUS SURE DU MONDE. » Un sourire barra mon visage, je prenais mon sac de la main droite et tendait mon billet à l'hôtesse de terre.

« _ Notre compagnie vous souhaite un agréable voyage, le bus vous amènera jusqu'à l'avion, bon vol mademoiselle. »

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Dossier d'emploi

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Rôle dans la prison- Psychiatre
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Rang- papillon de lumière * joke * non, plutôt => Closer
Armes- Une seringue. Ce n'est pas une arme? Ah, excusez moi.
Personnage sur l'avatar- euhm, honnêtement; aucune idée.
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeSam 14 Juin - 14:23

Je n'ai pas lu la fiche, néanmoins, je me porte garrant de la joueuse, Maybeth ^^ Quand, toi, tu auras eu le courrage de lire, dis toi que pour une fois on va avoir une deusième psy qui va pas nous lâcher au bout de deux semaines ^^

*caline l'admin*

*caline Tsu*

*devrait vraiment changer de compte pour faire des calins aux gens*
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeDim 15 Juin - 8:04

c'est excellent. Tu es validée.

Et tu seras dans la chambre ... 17.

Bon jeu.

p.s. Tu es forcée de faire un rp avec moi XD parce qu'au départ, quelqu'un était supposé jouer la psy de remplacement et j'ai dit en rp que j'aurais à la rencontrer le jour de son arrivée pour voir si elle ferait l'affaire.
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeDim 15 Juin - 8:36

"forcée" ^^

Comme si faire un rp avec toi était une tare, Maybe-belle ^^
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Maybeth
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeDim 15 Juin - 9:31

Ben oui XD tu connais pas la dernière plaie d'Égypte ? Faire un rp avec May-belle XD
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitimeDim 15 Juin - 15:55

ah bon bah tant qu'à choisir mieux vaut cette plaie là que les autres ! quoique... XD

*toujours sous le choc de voir pyth caliner des gens* O_o
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MessageSujet: Re: Heartgreaves Tsuyosa   Heartgreaves Tsuyosa Icon_minitime

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