Böse Wächterin [venez faire votre demande]

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Dossier médical

Nom & prénom- Böse Wächterin
Sexe- Féminin
Âge- 22 ans
Traits physiques- Böse a des cheveux blonds, longs et bouclés. Ses yeux sont gris. Elle porte toujours son uniforme, qui est de couleur beige ou noire et plutôt... peu convenable à l'emploi.
Taille- 1m75
Poids- 112lbs
Maladie- Elle a les poumons fragiles et est souvent prise de violentes quintes de toux à cause de l'air de la prison. (emphysème) Elel essaie de garder ça secret.
Autres- Elle a une poigne de fer et ses coups de matraque sont destructeurs.

Dossier psychologique

Qualités- Elle ne se laisse jamais impressionner. Elle a beaucoup de sang-froid.
Défauts- Lorsqu'il est question de sa soeur elle perd la tête.
Aime- Châtier, regarder les exécutions, sa soeur, sa prison.
N'aime pas- Qu'on lui manque de respect, les violeurs, sa maladie, qu'on fasse du mal à Nett.
Comportement avec les gens- Elle toise les prisonniers de haut. Elle les méprise. Ses employés sont comme ses bébés. S'il leur arrive quelque chose, elle attaque directement les responsables. Plus particulièrement sa soeur.
Valeurs- Le feu doit être combattu par le feu.
Tics- Quand elle se promène dans les couloirs, elle fait promener sa matraque sur les barreaux des cellules.
Passé- Déjà toute jeune fille, Böse était quelqu'un qui aimait contester ce qu'on lui disait. Rien n'était jamais parfait. Elle se battait souvent à l'école pour faire régner SA loi. Alors qu'elle avait huit ans, elle s'est apperçue que son père violait sa soeur. Elle ne pouvait rien faire à cette époque, mais elle s'est promis qu'il paierait. Elle entretenait une haine toute particulière à l'égard des abuseurs d'enfants. Selon elle, ils ne méritent pas de vivre.
À l'âge de 18 ans, elle s'est arrangée pour poursuivre son père en justice. Il a écopé de deux ans de prison, qu'il a réussi à faire réduire à un. Répugnée par le système judiciaire, Böse a acheté la prison Sadismus, qui se trouvait sur l'île du même nom, au nord de l'Allemagne. Une île presque inhabitée où les bateaux ne viennent que pour porter du ravitaillement. LA prison était inutilisée depuis longtemps, l'île paisible. Un an exactement après le jugement de son père, elle l'a fait transféré dans sa prison, où elle était maitresse de tout. Elle a fait exécuté l'homme dès son arrivée, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Elle serrait alors la main de sa soeur, qui elle tremblait de tout ses membres.
Maintenant, ells vivent toutes deux dans la prison. Le gouvernement mondial n'intervient pas dans ses pratiques peu légales parce qu'elle les débarasse de déchets de l'humanité, et pour presque rien en plus.
Autres-

Dossier d'emploi
Matricule-
Rôle dans la prison-
Chamre no. [attribuée plus tard]
Rang-
Arme-

[L'avatar viendra bientôt]

Nom & prénom- Wächterin Böse
Sexe- Féminin
Âge- 22 ans

Traits physiques-

J’ai des cheveux blonds, longs et bouclés. Mes yeux sont gris aussi froid que les barreaux de chacune des cellules. Je porte toujours mon uniforme, qui est de couleur beige ou noire et plutôt... peu convenable à l'emploi.

Taille- 1m 75
Poids- . 112lbs

Handicap ou maladie physique- (facultatif) j’ai les poumons fragiles et je suis souvent prise de violentes quintes de toux à cause de l'air de la prison. (Emphysème) J’essaie de garder tout cela secret.

Autres- (facultatif) J’ai une poigne de fer et mes coups de matraque sont destructeurs



Qualités- Je ne me laisse jamais impressionner .J’ai beaucoup de sang-froid.

Défauts- Lorsqu'il est question de ma soeur je perd la tête

Aime- Châtier, regarder les exécutions, ma soeur, ma prison

N'aime pas- Qu'on me manque de respect, les violeurs, ma maladie, qu'on fasse du mal à Nett

Comportement avec les gens- (idéalement dans la prison) Je toise les prisonniers de haut. Je les méprise. Mes employés sont comme mes bébés. S'il leur arrive quelque chose, j’attaque directement les responsables. Plus particulièrement pour ma soeur

Valeurs- Le feu doit être combattu par le feu

Tics- Quand je me promène dans les couloirs, je fais promener ma matraque sur les barreaux des cellules.

Passé- Je suis née comme tous les enfants, dans une maternité banale en Allemagne, un père, une mère, une maison et plus tard une petite sœur : Nett. Le premier mot que je prononça fut « non » je contestais toujours ce que l’on me disait, ceci m’est resté je dois dire. A l’école je me battais bien souvent pour imposer ma loi, chose que j’arrivais à faire bien souvent, je dirigeai les autres élèves et m’occupais de faire régner ma justice dans la cour mais rien n’était parfait. Comme quoi une cour de récréation peut se diriger à plus grande échelle : l’échelle mondiale.

J’étais très redoutée durant toute ma scolarité, pour cette raison personne n’osait toucher à ma sœur, le seul qui avait voulu essayer s’était retrouvé à l’infirmerie de l’école. Bien sur je fus bien souvent punie pour mon attitude violente mais pourtant je ne faisais que défendre les plus faibles, il était injuste qu’on me punisse pour avoir défendu ma sœur et qu’on s’occupe et plaigne celui qui l’attaquait ! Je continuai pourtant ma scolarité et étais même une bonne élève si ce n’est les mauvaises remarques sur mon comportement. Qu’importe, je protégerai toujours Nett quoi qu’on me dise. C’est alors que j’avais atteins mes huit ans je fus comme tous les soirs punie pour m’être battue avec un élève qui soulevait les jupes des filles….Que voulez vous ? On soulève d’abord une jupe et à la fin on l’enlève pour violer celles qui les portent ! J’eu droit à un sermon de tous les diables, comme quoi je devais cesser d’être violente, que je devais prendre exemple sur Nett qui était gentille, douce et qui ne contestait jamais ce qu’on lui disait. Si elle était le jour et moi la nuit que pouvais-je y faire ? Notre mère errait dans la maison absente de soi même et notre père éprouvait clairement une préférence pour sa cadette, je le voyais mais je n’osai me l’avouer, j’étais la bête noire de la famille et cela il me le faisait ressentir. Ne contestant plus les punitions pour la finir plus vite je montais alors dans ma chambre pour écrire cent fois « je ne dois pas faire la justice à la place des professeurs ».

D’habitude je finissais mes punitions très tôt mais pas ce soir là, j’avais flânée devant ma fenêtre à regarder dans le jardin, je repensai à ma journée, le temps passé avec Nett, quand je lui disais lorsqu’elle tombait qu’on se relevait toujours de suite. Erreur, l’on met de temps à se relever d’un coup dur. Je fini un peu tard de copier tous ces mots dénués de sens quand je voulu sortir quelques instants dans le jardin. J’aimais sortir dehors la nuit pour me retrouver au calme, assise sous l’un des cerisier ; alors que je passais devant la porte de la chambre de ma sœur quelques bruits sortirent de la porte entrebâillée, j’ignore pourquoi mais je tendis l’oreille et le regard et ce que je vis me porta un coup au ventre et coupa mon souffle. Cette âme encore innocente que j’avais, enfantine ayant encore besoin qu’on s’occupe d’elle vola en éclat comme les pétales du cerisier qui, dans le jardin, voyait ses douces couleurs roses s’envoler face à la brutalité des vents. La couleur rose, symbole du monde enfantin devint grise, couleur des jours pluvieux et orageux et de mes yeux, le regard enfantin où brûlait l’innocence se baignât de cendre, l’étincelle du bonheur s’étant éteinte. Ma chère sœur, ma tendre petite sœur si douce et gentille subissait les assauts de la chose qui était notre géniteur, il la violait ce pédophile violait ma sœur et la loi de l’inceste sans aucuns remords mais avec apparemment un plaisir jouissif sur le visage. Rupture entre le monde de l’imaginaire et celui de la réalité, néant dans l’âme d’une enfant qui fut forcée de devenir adulte plus tôt. Je retournais dans ma chambre, la colère bouillonnait en moi tel un volcan prêt à entrer en éruption, mon regard se posa sur la chambre d’enfant. Tout était rose, le lit étaient emplis de peluches, de poupées, sur le mur des dessins fait innocemment étaient accrochés, je me réfugiai alors dans un coin de la pièce baignée à peine par la lueur de la lune, recroquevillée sur moi-même, me balancent légèrement comme pour mimer le bercement que je n’ai jamais eu. Tout tourne autour de moi, mon cœur sort de ma poitrine, j’ai du mal à respirer ce coup a comme été porté directement sur ma cage thoracique, je tousse, mes bras entourent si fort mes genoux de gamine et les ramènes contre moi, j’ai mal à la tête, ma vue se trouble, je ne vois plus rien, le flou, le flou complet, quelque chose de chaud apparaît sur ma joue….une larme…..Jamais je n’avais pleurée, même le jour de ma naissance m’a-t-on dit…..quelle sensation bizarre de sentir cette chose si petite et pourtant si chaude sur sa peau, cette chose qui représente tant de tristesse et qui pourtant coule le long de la joue comme la plus douce des caresses. Je laisse ma vue s’éclaircir en laissant couler ces larmes de douleur, ces larmes venant de là où le coup avait été porté, tout à l’intérieur, je lève les yeux, en face un miroir. Qui suis-je ? Une petite fille de huit ans…Que suis-je en train de faire ? Pleurer. Que dois je faire ? Grandir pour la protéger. Mais encore ? Attends, tu auras ta vengeance.

Je sortis brusquement de mon introspection, de cette réflexion avec moi-même en me levant, faisant face à mon image. La petite fille mourut pour laisser place à Böse, la vraie Böse, celle que je suis devenue, je suis apparut claire à mon esprit lorsque l’image du miroir, cette image de la gamine innocente disparue lorsque je la brisa avec le poing, moralement et physiquement. Les années de mon enfance physique passèrent, je m’arrangeais toujours pour que Nett reste avec moi et qu’elle ne soit jamais seule. L’homme qui nous avait crée remarqua immédiatement mon changement d’état, distante, haineuse….lorsque enfin j’atteignis l’adolescence je changea vraiment de style pour me détacher de cette vie d’enfant que lui aimait tant apparemment. Maquillée de noir, autour des yeux, sur les lèvres et les ongles il me considéra comme une rebelle aux tendances gothique ; j’avais réussi à créer une rupture entre lui et moi, lui montrait clairement que je n’étais plus son enfant. J’eu vite fait de transformer la chambre loin des idées de monde parfait de la petite fille parfaite, de suite il dû comprendre que je me doutais de quelque chose….ou peut être était il vraiment stupide en croyant que je faisais ma crise d’adolescence. Les bracelets à piques et les tenues de cuir le repoussèrent comme je le désirai, et comme je gardais Nett près de moi il ne s’approchait guère me jugeant dangereuse. Lorsqu’il tentait de nous séparer je soutenais son regard, j’osai regarder en face cette ordure qui faisait tant de mal à ma sœur, le fait que je ne sois pas si bête qu’il le pensait le calma quelque peu mais je ne pouvais toujours garder ma sœur hors de portée. En effet je changeai du tout au tout, je ne récoltais plus de punition car je m’arrangeais pour me battre hors de la vue des professeurs mais l’état dans lequel je revenais des cours traduisaient le fait que je prenais par à nombreuses bagarres. Il m’accusait d’avoir une mauvaise influence sur Nett ; je m’étais promis que cet homme serait puni pour son acte. « Tu es pire que les dictateurs !! » Ce fut la dernière phrase que je retenu de lui, la dernière et la seule. Oh et bien si j’étais un dictateur autant l’être pleinement. Je redoublais de haine, répondait encore plus, disait non à tout et je n’hésitais pas à être violente. A l’école je me passionnais pour l’Histoire, surtout celle de la Seconde Guerre Mondiale, je m’instruisais sur tout ce qui concernait ce moment culte de l’Histoire Staline, Tito, Mao, Castro et surtout Hitler passèrent sous chacun de mes regards intéressés, leur vie n’avait plus de secrets pour moi et leur faits et gestes non plus.

Enfin ! Après dix j’atteignais enfin la majorité, je pris un appartement pour m’éloigner du géniteur et Nett me rejoignit par la suite. M’étant renseignée sur les textes de lois qui étaient devenu mon live de chevet j’ai tout fait pour faire passer mon père au tribunal, j’ai dévoilée son crime au monde et j’ai dévoilée ma haine et ma rage envers lui. Le procès fut long, j’attendais pleines d’espoir que la sentence tombe et que cet homme soit enfin puni pour ses actes, mais que vaut l’espoir face à une réalité corrompue ? Deux ans…..il fut condamné à deux ans de prison, et il avait réussit à réduire sa condamnation à une année, une année ! Une seule année face à des années de viols et d’abus envers sa fille !! Révoltée et dégoûtée à jamais du système judiciaire je sortais du tribunal et commençait à avoir une énorme quinte de toux, une fois dehors je pu prendre l’air frais en allant dans un des parcs de la ville ; mon regard se porta par hasard sur un cerisier, celui-ci voyait naître sur ses belles branches de nouvelles fleurs…On se relève toujours lorsqu’on tombe et oui j’allai enfin me relever me jurant que justice serait faite, ma justice…..

Ma justice je la découvris sur l’île de Sadismus, ayant étudiée depuis longtemps l’histoire de la seconde guerre mondiale je sus exactement après maintes recherches où elle se trouvait. C’est sur cette île au nord de l’Allemagne que restait le dernier camp de concentration nazi d’Hitler, les autres étant devenus comme des sortes de nids à touristes celui-ci était inhabité et abandonné. Ayant eu 18ans j’avais réussi à avoir un libre accès sur le compte en banque de notre père ce qui me permit d’acheter les lieux, alors que je parcourai les couloirs délabrés de la prison, le silence me fit entendre les cris, les plaintes et les pleurs des années pleines d’histoire, l’histoire d’un des plus grand génocide, l’histoire d’une justice propre à un seul être. Sadismus ressusciterai de ses cendres, celles des fours crématoires deviendraient à nouveaux des flammes et les barreaux des cellules embrasseraient à nouveaux des corps désespérés tentant de sortir. Après avoir remis quelque peu à neuf l’endroit je m’arrangeai pour que seuls des bateaux de ravitaillement atteignent l’île mais aussi les cargos de détenus. Oh non je ne comptais pas faire seulement justice auprès de mon père mais aussi auprès de tous ceux qui commettent des crimes et qui ne sont que trop peu punis pour leur actes, pour moi ces criminels ne méritent rien, pas même la vie.
Un an exactement après le jugement de notre père je le fis transférer sur l’île, il devait normalement être libre quelques semaines plus tard, mais maintenant il était chez nous, chez Nett et moi car nous vivons sur l’île, maintenant qu’il était à Sadismus c’était moi qui contrôlait tout. Il arrivât à bord d’un bateau de police, les officiers le conduisirent derrière les barbelés et le laissèrent à la merci de mon pouvoir, ici c’était moi la maîtresse, ici c’était moi qui faisait justice. A peine était il arrivé qu’il prit place non pas dans une cellule mais sur la place d’honneur : la chaise électrique. Je regardai ce corps qui avait fait tant de mal mourir avec un sourire satisfait, une main sur le levier abaissé du courant, l’autre tenant la main de Nett toute tremblante. Justice était faite.

Depuis nous vivons toujours sur l’île ma sœur et moi, le Gouvernement mondial ne s’occupe guère de nos activités peu légales car nous sommes comme la station d’épuration de l’humanité, les déchets humains finissent dans nos cellules et personne n’en sors sauf par la cheminée des fours crématoires, de plus nous rendons ce service pour trois fois rien, le Gouvernement lorsqu’il peu économiser de l’argent sait fermer les yeux.
J’ignore si mes quintes de toux ont étés remarqués j’essaye de garder tout cela secret afin que l’image de la personne forte que je suis devenue ne soit brisée. J’ai vengée Nett et malgré son vécu c’est elle qui adoucit la vie des prisonniers et qui empêche la chaise et les fours de fonctionner 24h/24h, elle est forte et je souhaite la protéger le plus possible. Ma justice a triomphée de son violeur et je compte bien qu’elle triomphe de chaque détenu ici présent dans mes cellules.

Autres-



Matricule- (Combinaison de quatre chiffres servant à vous identifier) 6-6-6-9
Rôle dans la prison- Directrice
Chambre no. (Décidée par l'Admin.)
Rang- (Ce que vous souhaitez voir apparaître sous votre nom) Propriétaire de Sadismus
Armes- (Facultatif) Ma matraque et un fouet est toujours enroulé à ma taille.
Personnage sur l'avatar (pour le recensement)-je l’ignore
[center]

roh la barbe.. me souviens plus du nom du perso... > >

enfin bref. Je t'annonce (officiellement cette fois) que tu es validée.

Je vais mettre ton rang et ta couleur. Tu auras la chambre... 3, vide pour l'instant. Et elle le restera tant que tu n'auras pas Nett avec toi ^^

Attention la directrice débarque!

Au fait...ça fait quoi de beau une directrice de prison? Ça reste dans son bureau à rien faire?

Ça tape sur les prisonniers et ça aboie comme un chien :P *pense à sa future promotion* c'est très utile... c'est gentil et très aimable.

Quel genre de promotion veux-tu bien avoir en étant psy dans une prison XD?

je peux avoir plus d'argent.... et ne plus être obligée de m'occuper de mon frangin :P

Lol tu l'aimes pas ton franginoux agresseur-sexuel tromatisant XD?

Je l'ADORE! JE L'AIME! IL ME FAIT FANTASMER... alors pas touche au frangin XD

Lol j'en avais pas trop l'intention XD

toutes façons il aime tripoter personne d'autre que Maybe lalalala

Dans certain pays les frères et les soeurs peuvent se marier non?XD

je crois pas que Maybe en ait envie

Vous aurez des enfant trisomique ou autre là mais c'est pas grave XD

tiens tiens tiens un détenu se permet des familiaritées avec mon personnel ???

hey, tu sais pas que c'est mal d'écouter les conversation des autres XD?

Je n'écoute pas j'ai entendu par inadvertance et n'est ce pas le role d'une directrice d'avoir des oreilles et des yeux partout ? :p

Böse... j'ai lu ton post devant la prison avec Liriou...

La seule phrase parlée était... parfaitement signée Böse. :P

ahhh ? Si cela plait jsuis contente....Böse arrive powahh attention aux barreaux.