Sadismus Jail
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 Stephen de la Flaam

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MessageSujet: Stephen de la Flaam   Stephen de la Flaam Icon_minitimeMer 27 Fév - 20:26

Dossier médical

Nom & prénom – Stephen de la Flaam
Âge – 45 ans… Comment ? Non, ce n’est pas une plaisanterie, j’ai vraiment 45 ans.

Traits physiques – Comme vous pouvez le constater, je ne fais absolument pas mon âge – j’ai tout à fait l’air d’un jeune homme de vingt-cinq, trente ans, sans exagération. Sans vouloir avoir l’air de me vanter, je suis aristocratique et ça se voit très bien sur mon visage : j’ai les traits fins, racés, affinés par des dynasties entières sûres de leur pouvoir et de leur importance. Je suis beau, je le sais, et j’en joue ; mon visage est doux et bien dessiné, les lèvres sont minces mais pas trop, les sourcils presque droits, les cils longs et fournis sur mes yeux de couleur vert d’eau. Je tiens cette particularité de ma mère, elle est vraiment peu courante ; un vert très tendre vers la prunelle, qui prend une étrange couleur presque jaune sur l’extérieur, très claire. Le tout rend un joli effet, ça me fait un regard très félin, surtout couplé avec une forme d’œil très long et oblique. Le nez est dans la pure tradition de la Flaam, droit et mince, surmontant des lèvres ni trop pleines ni trop minces. J’ai les cheveux d’un châtain que certains désignent comme la couleur de l’or bruni. Je les ai longtemps portés très courts, mais je les ai laissé pousser et maintenant ils m’arrivent à mi-visage, en longues mèches raides et brillantes. Je les maintiens derrière mes oreilles, mais souvent il retombent d’un côté devant mes yeux, masquant une partie de mon visage.
De corps, je suis plutôt grand et bien bâti. Je ne suis pas disproportionné, plutôt fait en longueur, mais avec suffisamment de muscles pour avoir des pectoraux saillants et des abdominaux bien dessinés. J’ai toujours pratiqué beaucoup de sport, ça me vaut une stature très respectable pour un homme de mon âge, et qui me fait une apparence si jeune.
Je m’applique à garder toujours des expressions très calmes, très distantes, presque ironiques. Je parais très détaché de ce qui m’entoure, j’affiche un calme impressionnant dont je ne me départis pas souvent.
Récemment, je me suis fait piercer la lèvre inférieure, au milieu, et j’y porte un anneau orné d’une boule en métal brillant – c’est de l’argent. Je n’ai aucune autre extravagance de ce style visible sur tout le corps, hormis un minuscule tatouage sur l’aine, à gauche, sur la jonction de la cuisse et du bassin que j’ai depuis longtemps. Il représente une patte de chat rouge sombre, qui a été dessinée de manière à ce qu’elle semble à la fois sortir de la peau et y planter les griffes. Il me semble que je n’ai jamais donné son explication…
Côté fringues, je porte la plupart du temps des jeans et des vêtements plutôt moulants, qui ne m’encombrent pas. Ça ne m’empêche pas de très bien porter les costumes officiels relatifs à ma fonction, je sais que j’en impose ainsi habillé, et je joue largement sur le phénomène. Pareil pour les uniformes traditionnels des Grands Duc du Luxembourg, ils sanglent très bien ma taille et mes épaules.
Je sais que j’ai du charme, et j’en joue. J’ai beau avoir 45 ans, j’ai l’allure d’un jeune homme, de longs cils qui adoucissent mes expressions, et j’ai l’art de lancer des sourires à la fois encourageants et ironiques. Je fais très attention à mes expressions, elles sont soigneusement contrôlées même si elles n’en ont pas l’air, et c’est la même chose pour le langage corporel. Toute mon attitude dénonce la haute idée que j’ai de ma fonction, et la façon dont j’estime m’en rendre digne, en étant hiératique et fier – mais toujours bienveillant et simple d’accès… en apparence. Si l’on m’énerve, je peux prendre des attitudes très dures, et peu de gens osent se mettre sur mon chemin quand je suis dans ces états-là – au demeurant extrêmement rares.
Je ne sors jamais de chez moi non parfumé, et je porte des parfums très masculins, à l’odeur très profonde et boisée mais jamais vulgaire ou bon marché – de toute façon ils sont faits sur mesure par la maison Guerlain pour moi.

Taille – 1m87.
Poids – 82 kilos.
Maladie ou handicap physique – Je suis légèrement myope, et je corrige ça avec des lentilles très fines, qui ne se voient que si l’on me regarde vraiment dans le blanc des yeux.
Autres – J’ai un très léger accent quand je parle.

Dossier psychologique

Qualités – Je suis quelqu’un d’extrêmement sérieux et de responsable, je donne à mes fonctions toute la mesure qu’elles ont. Je n’ai aucun mal à me mettre au travail, et je suis aussi exigeant avec les personnes qui travaillent avec moi qu’avec moi-même. Je pense être quelqu’un de calme, capable d’accepter la critique et de réajuster son attitude. Je suis un bon chef, les gens me font confiance pour mes airs assurés, tranquilles et bienveillants. Je suis également un homme juste – ou en tous cas, je tends à l’être. Je ne suis pas quelqu’un de brutal – pour se battre, il faut être deux – et sait garder mon sang-froid en pas mal de circonstances que d’autres trouveraient extrêmement agaçantes. J’ai aussi un bon sens de la communication.

Défauts – Personne ne le sait, mais je suis un colérique – j’étouffe toujours mes fureurs aussi rapides qu’immenses sous une apparence calme et un sourire détaché. Je parle parfois un peu trop vivement, et dit des choses extrêmement blessantes que je peux regretter ensuite. Je suis également un homme cruel… Même si ce n’est pas aussi simple que ça. J’ai conscience d’avoir une vision de l’esclavage très archaïque aux yeux de la plupart du monde, mais je ne sais pas si c’est un réel défaut. Je suis parfois un peu trop sûr de moi, je suis quelqu’un d’extrêmement jaloux, et rancunier – et j’ai beaucoup de moyens à mettre à disposition de ma rancœur… Je n’extériorise pas assez mes sentiments.

Aime – Pour commencer, je dirais que j’aime ma fonction, je crois que je me réalise pleinement dans la direction d’un pays – que j’aime également, par la force des choses si j’ose dire. J’aime également mon neveu Pythagoras, même si notre relation est pour le moins particulière. J’aime les atmosphères douces et calmes, et enfin j’aime torturer, même si ça peut sembler… Fou.

N’aime pas – Les femmes, d’abord. Ce n’est pas qu’elles ne me font aucun effet, c’est que je ne les aime pas. Je n’aime pas les gens revendicateurs et mal renseignés qui essaient de passer au-dessus de leur intelligence en cherchant à se mêler de choses qui les dépassent complètement. Je n’aime pas le trop grand désordre, je déteste qu’on me contredise, et j’évite ma famille – Pythagoras exclus – autant que possible.

Comportement avec les gens – Comme dit précédemment, je suis d’abord quelqu’un de très calme, mais on ne peut pas affirmer que je sois conciliant ou consolateur. Tout mon calme vient de l’assurance de ma propre valeur, et de celle que je n’ai rien à prouver à ceux qui m’entourent. J’aborde la vie et les gens avec une légère ironie que d’aucuns trouvent charmante. J’aime plaire sans me pavaner, je sais que j’ai un réel ascendant sur les gens qui me côtoient et j’en joue sans vergogne. Je n’ai aucun scrupule parce que je suis persuadé que ce que je fais est bon, et j’en persuade les autres.

Maladie ou handicap mental – Mon homosexualité, comme dirait ma mère.

Valeurs – La justice, l’amour – même si ça peut sembler utopique ou stupide de nos temps blasés par tout et rien… Je suis tellement sûr que ce que je fais et décide est bon qu’on peut effectivement appeler ça une valeur. La souveraineté de mon pays, également.

Tics – J’en ai eu plus jeune, comme celui ô combien classique de me ronger les ongles, mais j’ai fait l’effort d’occulter toutes ces expressions nerveuses pour ne donner qu’une image de moi très sûre et très sécurisante. Et ça marche plutôt bien, si vous voulez savoir.

Passé

Je suis le Grand Duc du Luxembourg, et j’ai été destiné à cette haute charge depuis ma naissance. Naissance très fêtée le 15 novembre 1962, puisque je suis le digne héritier d’une famille de haute noblesse, tout de même. Je n’ai pas déçu tous les espoirs que mes parents ont mis en moi : de bébé aux grands yeux d’une jolie couleur, je suis devenu un gamin charmant, puis un adolescent très brillant dans tout ce qu’on lui apprenait pour ses futures hautes fonctions. Je sais que j’ai l’air orgueilleux à dire de telles choses, mais ce n’est que la stricte vérité : j’ai toujours été un garçon brillant, beau et subtil. Mon seul défaut ? D’être désespérément homosexuel. Ce détail ne plut absolument pas à ma mère, qui reporta toute son affection dont soit dit en passant je n’avais rien à faire sur mon frère cadet, qui, lui, présentait des pulsions normales de mâle digne de ce nom.
J’étais néanmoins beaucoup trop populaire – et bien trop brillant – pour me faire destituer de mon statut d’héritier pour cette « seule » raison, et je crois que mon frère en garda une solide jalousie ancrée au cœur.
Quand j’eus vingt-cinq ans, mon père se retira du pouvoir, me laissant entière confiance pour diriger le pays, et je me plongeai avec délices dans l’exercice des fonctions de Grand Duc. C’était aussi la première fois de ma vie que je pouvais prendre autant d’amants que je voulais – même si évidemment le clan composé par ma mère et mon frère me reprochaient silencieusement ces actions, je n’en avais cure. C’est pendant cette période que j’ai affiné mon comportement étudié, appris à soigneusement contrôler mon langage et mes gestes, bref que je suis devenu un homme de pouvoir. Je dois dire à l’occasion que mon père fut bien le seul à ne jamais me reprocher d’être homosexuel, il faisait exactement comme si de rien n’était, se contentant de m’encourager à être un homme droit, à aimer torturer, à être sûr de moi.
Je crois que j’ai essayé dans la mesure du possible d’être correct, de coller à mes fonctions et de contenter tout le monde. Évidemment, il y avait toujours le clan de jaloux qui sévissait non loin de moi, mais j’ai appris à m’en garantir et à m’en éloigner le plus possible… Et je suis devenu plutôt bon à ce petit jeu-là. C’est pour ça que mon frère a dû s’y reprendre à plusieurs fois avant de pouvoir me présenter son héritier, parce que j’esquivais et inventais des prétextes pour ne pas les voir. En plus, la façon dont ce garçon de dix-huit avait finalement eu ce statut était complètement folle et scandaleuse. C’était le fils de mon très cher frère cadet et d’une servante, qui avait veillé sur le vrai Vicomte jusqu’à sa mort à l’âge vénérable de trois ans… Après mise à mort de la mère, mon frère avait paniqué, et avait décidé semble-t-il dans l’urgence de nommer ce garçon comme étant son héritier, après l’avoir traité pire qu’un moins que rien. Je ne suis pas un homme indulgent, je n’ai pas un profil qui se laisse atteindre par la pitié, je ne suis pas quelqu’un de fondamentalement bon et j’en suis très conscient. Mais j’estime qu’il faut être correct avec les gens, leur montrer leur place et ne les sanctionner que lorsqu’ils l’ont outrepassée. Et mon frère était une vraie girouette, un homme qui n’acceptait pas ses responsabilités et la noirceur de ses actes… Et j’ai toujours détesté ça.
Mais il a bien fallu que je rencontre mon neveu – je ne pouvais décemment pas poser des lapins sans arrêt au Vicomte du Luxembourg… Mon frère ne devait avoir qu’une seule crainte de cette entrevue : que mon neveu me plaise trop.
Et c’est ce qui se passa – et encore actuellement je ne sais pas si c’était par provocation ou par réel goût pour le garçon de dix-huit ans qu’on me présenta sous le nom de Pythagoras. En quelques heures, ledit Pythagoras était mon amant, et ce de manière pas assez discrète pour que mon frère ne s’en aperçoive. Il voulut le renier et l’éloigner définitivement de la famille, et comme je m’étais attaché au garçon plus que de raison, je montrai les dents et imposai à mon cher frère la présence de son fils.
C’était sans compter sur les réactions de Pythagoras, qui s’enfuit purement et simplement. Mon frère y vit là un très bon arrangement ; ce n’était pas de son fait si le jeune homme avait disparu de la circulation, mais il n’était plus là, au moins. Il ne bougea pas le petit doigt pour le retrouver, quant à moi je pris comme prétexte qu’il était de très mauvais ton d’avoir un Vicomte qui se baladait dans la nature, et envoyai des gens à ses trousses.
Ils mirent une année infernale à le retrouver. Et encore, quand je le rencontrai après cette longue année, il avait pas mal changé et était un garçon méfiant et rebelle. À force de patience et d’affection, je réussis à lui montrer que je ne lui voulais pas de mal, et il devint mon amant régulier. Un projet fou germant dans ma tête, je fis parfaire son éducation, mais après quelques années, je remarquai bien que malgré mes caresses et les esclaves que je lui donnais pour les torturer, il s’ennuyait… Après quelques recherches, je lui proposai de rejoindre une prison nommée Sadismus, histoire de se défouler un peu.
Et puis pour la bonne réalisation de mon projet, j’avais besoin de l’éloigner un peu…

Dossier de rien du tout

Personnage qui n’appartient pas à la prison ( couleur saumon wanted ! ).
Rang – Grand Duc du Luxembourg
Personnage sur l’avatar – Trouvé sur deviantart.
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Alec Praens
305278 Tueur au visage d'ange
Alec Praens


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Localisation : Perdu dans ce monde brutal
Date d'inscription : 22/03/2007

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MessageSujet: Re: Stephen de la Flaam   Stephen de la Flaam Icon_minitimeJeu 28 Fév - 4:09

Validééééééééé !!!


J'adore ! (mais c'est vrai que c'est court... *fait genre il y a à critiquer...*)
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Stephen de la Flaam
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