Un nouveau venu (PV avec Jaina)

Il y a bien des choses que n’imagine pas une bande d’adolescents près pubères quant, ils parlent de la sodomie :

C’est le mal de chien que vous avez le lendemain ! Votre anus dilatait vous rappel toutes la journée vos déboires ! Vous récoltez une diarrhée carabinée en plus de la muqueuse que vous devez aller chier !

Cependant, j’avais l’habitude de ce genre de désagrément si seulement le véhicule ne faisais pas un bond de 10 centimètres chaque fois qu’il roulait sur une pierre. Et après avoir abandonné mon corps entre les mains d’un pervers, je ne peux pas décrire le plaisir inimaginable que j’éprouvais à chaque soubresaut. C’est pourquoi combien même j’aurais voulu entamer une conversation avec mes cerbères, je n’y serais pas arrivé à cause des fréquents coups de butoir qui me faisait me plier en deux. Combien même je souffrais, je ne pouvais en vouloir au responsable de mes tourments. Il voulait du plaisir, je lui en offris en partageant la jouissance avec lui. Du moins mon corps avait dû prendre du plaisir pendant que mon esprit avait voltigé dans le néant de la pensée. Généralement je m’évade dans un néant sombre et silencieux. Cependant ce silence et ce vide receler une énigme que je tentais toujours de décrypter. Serait-ce la direction de mon destin ? Est-ce le néant où termine l’être humain une fois mort ? Ça peut très être le vide de ma pensée ! Enfin que m’apporte ces questions à parts de nouvelles questions ? C’est un peu comme le dictionnaire ! Vous cherchez une réponse et vous ne trouvez que des questions ! Alors qu’est-ce que sa devait être au XVIII siècle avec le dictionnaire philosophique de Voltaire ? Un amas de blablaterie dominer par l’humour cynique et grinçant de Voltaire ! Me contorsionnant un peu je saisis le paquet de cigarettes dans ma poche et le tendis au garde à ma gauche. Celui-ci en pris une et me mit à la bouche la seconde avant de l’allumer. J’inspirai ainsi une grande bouffée de nicotine ! Celle-ci envahit avec plaisir mes poumons, pendant qu’une partie de mon esprit me promettait un cancer de mes organes respiratoire. Cela ne me déranger pas plus que sa ! Je n’étais plus qu’une coquille vide. J’avais tué les deux êtres que j’aimais alors pourquoi moi je pouvais vivre encore ! Allez détruisez mon corps ! Souillez- moi toujours plus que je les rejoignent plus vite! Pendant que je réfléchissais j’écoutais par réflexe la discussion de mes séides :

« Ils paraient que cette prison est un enfer ! Tous les gars là-bas sont complètement fous ! J’ai un ami qu’a un copain qui c’est fait bouffer une oreille par un type totalement barjo qui se prend pour un Dieu ! »

Alors comme sa je vais me retrouver dans l’enfer sur terre ? Pourquoi pas ? Je ne suis qu’un homme déchu ! Alors pourquoi hésité ?
Je m’entends rire aux déclarations craintives des gardes, qui me regardent comme si j’avais le mauvais œil. L’un d’eux m’intime l’ordre de me taire. Je lui obéis, finalement je peux voir la trame de mon destin ! Je vais mourir tué par un psychopathe ! S’il me tue pendant que j’exerce mon seul talent alors je serais comblé, je découvrirais ainsi l’extase de la mort et de l’orgasme mélangé ensemble. Si c’étais un succube qui me délivrerait ainsi de ces chaînes nommé la vie qui me retiennent sur Terre, alors je n’aurait rien à regretter !

Mes éclats de rires semblent avoirs jetés un froid sur la conversation et c’est ainsi que je sens plus que je ne vois les kilomètres défilaient avant que le véhicule. Je tirais alors bouffée après bouffer sur ma cigarette, quant celle-ci fut finie, je n’avais qu’à écarter les lèvres pour voir le mégot tomber sur le sol. Si j’avais mes mains libres et non entravées par les menottes, je l’aurais sûrement jetais par la fenêtre en priant pour qu’un va nu pieds marche dessus et ce brûle ! La colère rend toujours aigrie et alors on souhaite le malheur sur ceux qui ne partagent pas votre adversité. De toute façon du moment que je ne les connais pas je m’en fous ! Qu’importe les torts que je peux causer du moment que je vais bientôt devenir un cadavre parmis les morts.


La voiture s’arrête enfin, et avec elle l’éternelle douleur dont j’ai fait ma compagne durant le trajet. C’est une amante fidèle que je connais bien.
Et pendant que mes compagnons de voyage se regroupent avant d’ouvrir la porte, je me lève et je me dirige vers la porte avant d’ouvrir les deux battant d’un coup. Je le fis de la même manière qu’on les propriétaires qui rentrent enfin chez eux après une longue absence. Cependant je vois à peine le mur de la prison et mets un pied dehors avant de m’écrouler par Terre. Impossible ! Elle est encore en vie ! Suis-je devenue fou ?

Impossible ! Elle ne peut être vivante ! Je regarde la femme en face de moi, c’est elle ! C’est Sheila ! C’est exactement elle ! Est-elle revenue des enfers pour me punir ? J’ai envie de pleurer ! La voir vivante ne me rends ni heureux, ni malheureux ! J’ai juste envie de te montrais combien je t’aimais finalement ! Je veux te montrer les stigmates que m’a causés ta mort ! Car, je t’aime ! Je ne t’aime pas de la même manière que j’ai pu aimer François mais je t’aime quand même !

C’est pensé me traverse l’esprit avec la brutalité et la vitesse d’un éclair. Pendant que je pense mon corps reste inerte, je sens deux gardes me soulever par les bras de leurs grosses mains calleuses et sentant encore la crasse. Ils me tirent jusque dans la prison, signent quelque papier avec Sheila, lui refilent leur numéro de téléphone avec un air entendu de lourdaud. Elle les récupère avec un air qui ne peut cacher une certaine répugnance envers ces hommes plus doués pour frapper et violé que réfléchir et offrir du plaisir. Je me sens supérieur à eux ! Je sens une dernière fois le contact de leurs mains quand ils m’enlèvent leurs menottes avant qu’ils ne partent vers leur foyer. Partez car moi, j’ai trouvé mon foyer en enfer ! Seigneur Woland, de m’accueillir par mis vous en m’envoyant l’être que j’ai aimé ! Je l’entends me dire :

« Bienvenu ! Quel est ton nom ?... »

Alors je me relève, mon visage recompose l’expression que j’avais avec elle sur la promenade des Anglais. Je m’approche d’elle, et je me baisse pour l’embrasser sur sa bouche en forme de cœur. Une fois que je relève la tête, je lui susurre à l’oreille :

« Tu as donc tous oublier jusqu'à mon nom ? »

Je la regarde à nouveau, je sens les larmes me venir aux yeux. Elle est toujours aussi belle. Cette fois-ci je veux lui montrer mon art !

Le sexe... j'y pense encore ! Pourquoi on autorise le sexe qu'a 18 ans ? Pourquoi ? Et pourtant ceci n'empêche pas les pédophiles de violé des enfants ! Ceci est tout de même ironique, on crée des lois pour rien ! Mais pourquoi je parle de ça ? Tout cette chose inutile ! Je ment sur mon age mais j'ai tout de même le droit vu que j'ai 18 ans... dans quelque mois 19... vais devenir vieille. Une vieille grand mère ne sachant pas quoi faire et donc achetant un chat pour le caressé tout les X années ! Par contre je doit avoué que le détenue devant moi est assez beau... charmeur... magnifique... je le veux ! Je le veux dans mon lit, tout de suite si je le peu... je suis en manque... comment... contenir cette maladie ?... Qu'elle me fait bégaillé que mentalement... du moins pour l'instant...

Je regardant je remarque qu'il s'approche, moi sans bougé j'attends puis instantanément il m'embrasse magnifiquement bien... Hum... Il est divin ou devin ? Il a deviné ce que je voulais... et il embrasse... magnifiquement bien... il est magnifique de plus... je le veux... Holà ! J'ai pas dit déjà sa ? l'amour me fais perdre le nord... et la pensé... Puis

« Tu as donc tous oublier jusqu'à mon nom ? »

Une larme à l'œil, Je me dégagea donc recula d'un pas et regarda dans le dossier quand une photo m'attira ! On aurait cru une jumelle de moi et depuis l'heure qu'il est elle est morte... dans d'atroce souffrance... si j'ai bien comprit, il l'aimait mais on la tué... j'ai jamais lue les dossiers et je ne lirai jamais celui la... enfin aucun plutôt ! Ce qu'on peu mettre comme connerie dedans...

-Oui... j'ai tous oublié...

« Oui... j'ai tous oublié... »

Cette courte phrase créer de profonde lésion dans mon être ! Je sens un raz-de-marée bousculer chaque barrière protégeant mon intimité. La douleur que provoque la pensé qu’elle est toutes oublier balaye les larmes naissantes. J’ai définitivement perdu l’être que j’ai aimé. Il ne me reste plus qu’à faire renaître notre passion tel un phénix avec la nouvelle Sheila.
Alors j’enlace ce nouvel être qui se présente devant moi, je la serre contre moi plus fort que je ne le devrais. Je sens contre ma poitrine, les seins de Sheila, si elle s’appelle encore comme sa ! Et posant ma tête contre sa joue, je lui murmure à l’oreille :

« Remenber ! Souviens-toi, je t’en pris ! Sheila rappelle-toi !........Si tu n’arrive pas à t’en rappeler alors je te raconterais un jour ! Et j’espère que tu pourras me pardonner !»

Je sais que lui dire souviens-toi dans sa langue maternelle ne sert à rien. Tout comme la supplier de ce souvenir est inutile, mais je veux me raccrocher à l’espoir ténu que Woland lui a laissé une étincelle de souvenir de moi ! Mais il semblerait que non, alors ce coup-ci je pleure ! Je pleure le souvenir disparu ! Je pleure la femme que j’ai tué ! Je pleure de joie de la voir à nouveau ! Je pleure !

Je me sens pathétique ainsi. Moi qui est toujours préféré rester détaché des sentiments, je suis la à chialer comme une madeleine. Alors je sens une sombre colère se distiller dans tous mes membres et je la serre encore plus fort. Cette fois-ci je ne te laisserais pas mourir ! Je suivrais tes désirs comme si c’étais des ordres divins ! Cette fis-ci je ne laisserais pas passer ma chance !

« Ne t’inquiète pas ! Cette fois-ci je suis à toi corps et âme ! »

« Remenber ! Souviens-toi, je t’en pris ! Sheila rappelle-toi !........Si tu n’arrive pas à t’en rappeler alors je te raconterais un jour ! Et j’espère que tu pourras me pardonner !»

Me rappelé de quoi ? de quoi me parle t-il ? Il l'aurait tué ? Moi qui pensais qu'on l'avait tué et donc qu'il c'était vengé, en réalité ce n'est qu'un stupide assassin... un assassin charmant et charmeur... Rha ! Quelque chose m'oblige à l'invité dans mon lit pour les prochaines heures... pour ses futur heure de plaisir à deux... un plaisir à deux... et il me serra dans ses bras, un être comme sa est vraiment doux bien qu'il me serre fort il me fait pas mal... c'est comme si il voulait que je ne puisse me dégagé... comme si il voulait ce plaqué contre moi jusqu'à la fin de ça vie... une douce chaleur me traversait remplissant mon plaisir... il me désirait et je le désirait... si il voulait caché sont amour envers moi il a raté ! Mais ceci me dérange guère ! Une personne qui m'aime ! Ceci est tout de même incroyable ! personne aime les gardiens et pourtant lui m'accepte comme si j'étais sa meilleur amie !

« Ne t’inquiète pas ! Cette fois-ci je suis à toi corps et âme ! »

-Euh...

je savais pas quoi dire, choqué... il se donnait à moi tellement je lui ressemblais ! j'avais envie d'accepter cette invitation mais il a une blessure à pansé ! Il choisira donc le jour ou il voudra être avec moi dans le lit... ensemble... ce faisant un plaisir réciproque... le rêve... j'aimerai avoir ce style d'avoir ! Un vrai amour !

-Je ne peu vous acceptez comme votre esclave... mais moi aussi alors je vous suis destinez corps et âme !

Je sens son contact doux et chaux contre ma poitrine, j’ai envie de rester longtemps comme ça ! Je l’entends enfin dire :

« Je ne peux vous accepter comme votre esclave... mais moi aussi alors je vous suis destiné corps et âme ! »

Sheila, n’est-ce que maintenant que tu te rappelle notre destiné ! Notre amour que j’ai détruit dans mon aveuglement durant ta première vie. Je ne suis pas un esclave, je suis un amant qui t’obéi non par obéissance mais par amour et plaisir. Car je t’aime toujours plus quant, je vois la vie irradiait de ton être. Tu es si vivante et moi si mort ! Cependant je n’avais rien compris sur l’amour ! Je pensais en savoir plus que toi alors que je ne savais rien ! Pardonne l’idiot que je suis !

Je desserre un peu mon étreinte pendant que ma main gauche descend et prends une poignée de ces cheveux dont je respire le parfum à plein poumon avant de dire :

« Tu as toujours la même odeur ! »

Seigneur Woland, une fois encore je bénis ton nom de me permettre de la voir et de la sentir à nouveau contre moi. Je voudrais lui faire maintenant et furieusement l’amour ici ! Sur cette place devant le monde entier ! Je veux leur montrer à quels points je t’aime et les faire jalousait devant la beauté de notre couple. Cependant, je ne ferais cela qu’une fois que tu auras retrouvé ta mémoire. D’ici là ce sera à moi d’être patient comme tu l’auras été avec moi. J’attendrais autant de temps qu’il faudra. J’attendrais jusqu'à ce que mes os et mon corps disparaissent diffusant dans le vent cette seule phrase :

« Je t’aime Sheila ! »

Pour l’instant je ne peux que te la murmurer au creux de ton oreille. Tu ne peut pas saisir l’impact de mes paroles, mais un jour tu saura et alors tu comprendra.

« Moi aussi... je t'aime... Je te désir depuis si longtemps... Je te veux... Je... je suis nymphomane... j'espère que ceci ne changera rien à ton amour pour moi... »

Le seigneur Woland est comme la vie : Il est cynique et ironique ! Si ma bien aimée a perdu la mémoire, il semble que ces sentiments ont perduré. Cependant, elle est maintenant nymphomane ! Moi qui est toujours éviter cette voix quand j’étais avec elle, et maintenant elle en connaît les arcanes ! Elle connaît les fondements de l’art que je pratique. Donc tu en es aussi devenue une artiste et je ne sais si je dois en être heureux ou en pleurer mais je sais au moins ce que je ressens toujours pour toi :

« Quels que soient les changements en toi, je t’aime toujours ! »

Je caresse son visage et je me penche encore une fois pour embraser ces lèvres et sentir sa salive se mélangeait à la mienne pendant que nos langues se croisent, se titillent et s’enroulent. J’aime les baiser ! Ce qui en ressort est généralement plus franc que ce que peuvent dire les cordes vocales. Cependant, de la sentir ainsi contre moi attise mes désirs et l’envie que j’ai de pouvoir sentir ce corps lascif entre mes bras. Cette envie, faisait dresser ma virilité. Celle-ci formant une bosse sous mon pantalon. Trop longtemps j’avais refoulé mes désirs pour Sheila, mais la nouvelle Sheila n’étais plus une jeune fille innocente et pure ! Non, ici tous doit être souillé ! Alors je sens la force l’habitude reprendre le contrôle de mon corps. Je sens ma main se raffermir et se faire plus hardie. Je descelle nos lèvres et j’embrasse son cou passionnément. Petit à petit je remonte le long de son visage jusqu'à embrasser son oreille. M’arrêtant un instant je lui susurre :

« J’ai hâte de voir ce que tu as appris depuis la dernière fois ! »

Et je continu à couvrir de baiser les chairs de la femme que j’aime. Je respire à plein poumon le parfum qui se dégage de sa peau et je sens sous mes mains le corps de déesse de Sheila. Je goûte la peau élastique et douce de l’objet de mes désirs. J’en veux plus, toujours plus ! Pour une fois faire l’amour n’est pas une corvée ou juste pour obtenir un peu de plaisir. Non ! Je fais sa parce que j’en ai envie ! Je veux lui montrer la profondeur de mon amour et la passion qu’elle insuffle dans mes veines. Je veux jouir avec celle que j’ai choisie d’aimer !

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