Erain Soddyn. Le Roi de l'évasion,enfermé pour avoir protégé

Fiche de Erain Soddyn.

Dossier médical :

Nom & Prénom- Erain Soddyn. (Mon vrai nom m'est inconnu, je suis orphelin et se prononce Hé-Raïn So-dine).

Sexe- Mâle.

Âge- 23 ans.

Traits physiques- J'ai des cheveux noirs assez longs, attachés en tresse derrière. Mes mèches qui se trouvent devant volent souvent au vent, ou tombent en avant en l'absence de brise. J'ai des yeux gris, un regard solennel. Je m'habille souvent de gilets noirs, du moins je m'habillais. J'ai un air assez mystérieux, m'a-t-on raporté. Mon teint est de naturel assez pâle, mais pas tant que cela.

Taille- 1m78.

Poids- 61 Kg.

Maladie ou handicap physique- J'ai eu fait peu d'asthme dans mon enfance. J'espère que cela ne va pas recommencer.

Dossier psychologique :

Qualités- On m'a toujours dit que je passais le bien-être des autre avant le mien. Je n'abandonne pas, quand je veux faire quelque chose, je m'accroche, jusqu'à y arriver, quelques soient les obstacles, les épreuves. Je n'abandonnerai jamais ma fille, ni ma femme, c'est d'ailleurs pour les protéger que je suis ici. Je garde souvent mon calme, il en faut beaucoup pour me paniquer, car je sais que cela ne mène absolument à rien.

Défauts- Pour sortir de prison j'ai du manipuler certaines personnes, ma qualité de ne jamais abandonner peut tourner au défaut, car je suis prêt à presque tout quand je dois faire quelque chose. Et je suis assez gourmand, parait-il, ce qui est gênant dans une prison. Il semble que je suis surprotecteur, que je prend des risques même quand cela n'est pas nécéssaire, trop impassible par moments au point que cela en devient exaspérant... Je me sens toujours coupable de tout.

Aime- J'aime mon frère, ma femme et ma fille. A part cela, peu de gens savent ce que j'apprécie. Que dire... J'aime profiter du moment présent, j'aime le sourire de ma femme, le rire de ma fille, ainsi que mon frère même s'il m'a abandonné, mais je ne peux lui en vouloir après ce qu'il a fait pour m'aider, pour que je sois heureux. Un jour je viendrai à lui, comme il est venu à moi, et ce sera à mon tour de veiller sur lui, comme il l'a fait.

N'aime pas- Je n'aime pas les armes, ni la violence. Du moins j'essaye de les fuir. Je me débrouille pour éviter de m'impliquer dans les bagarres, quand cela est possible. Même si je n'hésite pas à frapper et menacer pour me défendre, ou défendre ceux qui en ont besoin. Je n'aime pas non plus les personnes sans foi ni loi, qui pensent ne devoir rien à personne, alors que c'est faux.

Comportement avec les gens- Etant orphelin depuis ma plus tendre enfance, j'ai une extrême sensibilité à la souffrance de mon entourage. Cela m'a déjà poussé au risque de mettre ma propre vie (ainsi que ma liberté) en danger, et c'est la raison pour laquelle je suis ici... Je donne peu d'informations sur moi, je me méfie des prisonniers... et des gardiens. J'ai tendance à vouloir défendre quelqu'un qui en a besoin.

Maladie ou handicap mental- Je souffre du déficit d'inhibition latente. Heureusement, comme mon frère le disait mon QI assez fort me permet de l'utiliser à mon avantage...

Valeurs- Le bien-être des autres est plus important que le mien.

Tics- ...

Passé-

Chapitre 1. De l'enfance à l'age adulte, et la première incarcération.

Ma naissance a conduit mes parents à m'abandonner, comme ils l'avaient fait avec mon frère aîné. On m'a alors envoyé dans un centre d'accueil, où j'ai passé 5 ans. On m'a ensuite envoyé dans une famille d'accueil. On m'y a maltraité pendant 8 ans. Au bout de ce délais, mon grand frère, que je n'avais jamais connu, retrouva ma trace pour m'adopter et prendre soin de moi. Je ne lui ai jamais revalu, je lui dois tout. C'est grace à lui que j'ai pu faire le métier qui me plaisait : réalisateur. C'est lui qui finança tous mes projets. Je pu mettre à bien de nombreuses réalisations, les meilleures furent même diffusées à la télévision. A 19 ans je rencontrai ma femme. Un an plus tard nous nous sommes épousés. Mon frère disparu alors, ne laissant pas de trace. Ma femme et moi avons eu une fille. Celle-ci fut gravement malade. Il nous fallait de l'argent pour financer l'opération. Mais c'est mon frère qui s'occupait de tout autrefois. Il finançait toutes mes productions, dès son départ je n'avais donc plus assez de budget pour réaliser mes films...

Je n'avais plus le choix. Il ne restait q'une solution. Je l'avais décidé, sans prévenir ma femme, j'allais cambrioler une banque. Si ça tournait mal elle ne serait donc pas impliquée.
"Ne bougez pas, c'est un braquage" criai-je. Les gens hurlaient, se couchaient au sol. Le banquier quant à lui essayait de me raisonner, tandis que je pointais l'arme contre sa tempe. Mais il ne pouvait pas comprendre... Ma fille. Ma fille devait guérir. Je lui dit alors de presser le pas. Une fois l'argent dans mes poches, je quittais les lieux en courant. J'avais tout prévu. Quelqu'un m'attendait, sur sa moto. Il la démarra et nous nous éloignions alors à toutes allures, à l'opposé de l'endroit où nous habitions, où une voiture nous attendait près d'un lac. Les gens nous avaient vu partir en moto, les policiers chercheraient une moto. Nous avons alors jeté la bécane au fond du lac, et pris la voiture qu'on avait garé la veille. Lui et moi nous avons fait quelques détours dans le but de vérifier que personne ne nous suivait. Nous avons ensuite pu rentrer dans nos domiciles respectifs.

Une semaine se déroula, on parlait vaguement de mon braquage. Les policiers semblaient être sur une mauvaise piste, et tant mieux. Sans perdre de temps je déclarai à ma femme que nous allions pouvoir sauver Victoria, notre fille. Celle-ci devina alors ce que j'avais fait. Sa réaction fut négative, elle quitta la maison avec notre fille. Elle n'allait donc pas être soignée. Je sombrai dans l'alcool, jours après jours j'étais plus saoul. Ce qui aurait étonné mon entourage, si j'en avais encore, car je m'étais toujours abstenu de boire. Au bout d'un mois, la Police décida de fouiller les maisons environnantes. Ils vinrent sonner chez moi, lorsque j'étais saoul, bien évidemment. Ce passage est flou, mais ce que je sais c'est que j'ai été plaqué à terre brutalement, et qu'on m'a enfilé les menottes autour des poignets. On m'a envoyé dans une prison à haute sécurité pour m'y enfermer, après que le juge m'ait appris que l'argent volé trainait partout dans mon salon...

Chapitre 2. La Grande Evasion.

J'apprend plus tard que la maladie de Victoria s'est aggravée. Je ne pouvais pas rester dans ce trou à rats. Je devais la rejoindre, la soutenir. C'est alors que mon déficit d'inhibition latente me permit de trouver un plan pour m'évader, en plusieurs jours j'avais trouvé un plan pour sortir. La prison était entourée d'un grillage d'une hauteur de cinq mètres. Des barbelés l'ornaient au sommet. Seulement quatre tours entouraient la prison. Deux gardiens par tours, armés de projecteurs pour la nuit, et de Kanashlikofs. De ma cellule, impossible de sortir. Le lavabo ne menait nulle part, il aurait fallu casser le mur, ce qui n'aurait pas été assez discret. Il fallait alors sortir la nuit, et manquer à l'appel de 8 heures. Pour grimper cinq mètres de grillage, il fallait éloigner les gardiens. Je me ferais goler sinon. Dans mon plan j'impliquais deux personnes. Mon compagnon de cellule et un mafieu, qui nous avait surpris en train de discuter. Lors de la dernière sortie de la journée, j'allais alors dans le bureau du directeur sans me faire voir. Je le menaçai d'un couteau fabriqué par mon compagnon de cellule. Je lui dit d'appeler les deux gardiens de la 3e tour (la plus proche de l'endroit où j'allais sortir) pour leur dire de rentrer chez eux. J'étais sûr qu'ils allaient se douter de quelque chose, je lui dit alors de prétexter qu'il y avait des remplaçants. J'attachai alors le directeur et le baillonai. Il y avait des gardiens en patrouille, ils mettaient deux minutes pour faire le tour de la prison. Deux minutes pour grimper. Le mafieu fut le premier à sortir, mon compagnon de cellule le deuxième, et moi le dernier. C'est mon compagnon de cellule qui fournirait l'argent, le mafieu le transport. La liberté était devant moi. J'allais retrouver ma fille.

Chapitre 3. La chasse commence et la seconde incarcération.

Cela faisait quelques mois que j'étais sorti, je savais que si j'appelais ma femme, elle serait impliquée plus qu'elle ne l'est déjà dans l'affaire (les Policiers la surveillaient, la suivaient, lui posaient des questions). J'ai alors décidé de me rendre discrètement à son lieu de travail. Caché dans un coin du mur, je lui dit un code qu'elle seule pouvait déchiffrer je parti tout de suite après. Le code était en fait un rendez-vous. Elle s'y rendit, suivit bien sûr de la Police. Le lieu de rendez-vous était en fait une ville, dont les ruelles étaient si complexes que tout le monde se perdrait. Sauf elle et moi, car nous avons vécu tous deux dans cette ville, étant enfant. Une fois tous deux retrouvés, je lui expliquai que tout ce que j'avais fait c'était pour revoir son sourire... et celui de Victoria. Je lui demandais de venir avec moi, de déménager, de quitter le pays. Je lui promettais que tout serait enfin terminé quand nous aurions réussi. Il lui fallu deux jours pour se décider, même si au fond de mon coeur je savais que dès que je lui avais demandé ceci, le sien avait dit "oui".

Le soir de la veille de notre départ, un Policier chargé de la surveiller entra chez elle sans accord. D'après ce que ma femme m'a raconté il avait essayé d'abuser d'elle et avait pointé son revolver sur elle. Elle s'était défendue et dans un cri de peur l'avait tué involontairement. Je me suis alors précipité dans la maison pour savoir ce qui c'était passé. Les voisins s'étaient inquiétés du vacarme et avaient appeler la Police. Il fallait qu'on parte mais c'était trop tard, les Policiers étaient déjà la. C'était à cause de moi que ce policier s'était introduis dans la maison. Je devais sauver ma femme. Sans elle, ma fille irait dans un orphelinat, et vivrait ce que j'ai vécu... Mais, elle, personne ne la sauverait, comme mon frère m'a sauvé, car elle n'a ni frère ni soeur... Je pris alors le pistolet qui avait tué le policier et me mis à courrir, fuyant un crime que je n'avais pas commis, pour sauver ma femme et ma fille. Ma femme fut alors présumée innoncente, et je fus rattrapé. On m'envoyé ici, à Sadismus. Et je vais m'évader.

Dossier criminel :

Crime(s) commit(ts)- Braquage à mains armées. Evasion. Accusé du meurtre d'un policier.

Matricule- 305927

Rang- Le Roi de l'Evasion.

No. de cellule- (décidé par l'admin)

Gang désiré - ...

Personnage sur l'avatar: Très bonne question. Peut-être Edward Elric en brun =)

Si je pouvais... je validerai ta présentation instantanément !
J'espère que tu partagera la même envie que mon autre perso... la fuite ;)

(Je t'ai envoyez un MP ;) )

Maybe ( J'oublie :( ) Vient vite le validé ! Vais l'escorte

Merci de ne pas flooder les présentations en attente.

Si Maybe ne le fait pas, je lirai la fiche ce soir.

Un problème sur un autre forum m'a occupé toute la soirée hier, j'ai donc pris du retard.

Ta fiche est, bien sur, validée.

Tu seras dans la cellule FF.

(Maintenant que tu le dis, c'est vrai que c'est peut etre une image retouchée d'Ed... mais je laisse le perso libre vu que ce n'est pas certain.)

Bon jeu.