Sadismus Jail
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Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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Moxie Flanagan
454215 Mister self destruct
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MessageSujet: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 11 Déc - 14:13

[ Ouais, j'ai lu quelque un des tes post antérieur, c'est bon j'suis paré !^^]

Bon, ok, je suis dans la merde. C'est un plus une impression de danger, je suis en danger ! M'a foutu une grosse mandale, j'ai la bouche en sang maintenant. Et il avait pris bien l'élan avec sa main. Il attrape mon tee-shirt et me plaque contre la grille en me regardant d'un air ... De l'air de quelqu'un qui dans les cinq minutes qui suivent vas prendre un super pied avec une petite touche de folie ne plus. Mais qu'est ce qu'on lui a fait à ce gars quand il était petit ? Il a pas pu défouler en jouant au foot comme tout le monde ? Ou il a fait le ballon ? Il me dit un truc de fou, il me parle d'"offrir mon corps", je sais pertinament ce que ça veux dire. Mais je ne répond rien, même pas non, comme si les négociations restait ouverte ? je ne préfère pas songer à ce que qui m'arriverait si je disais oui. Etrangement les humain on un sens de l'auto-persuation hors du commun, je me convaint qu'il ma dit une connerie.
Merde il m'a attrapé les cheveux et il tire dessus, le problème c'est qu'en plus il marche vite et que je peux pas me redresser, pour marcher moi aussi. J'aimerai bien en fait. Je suis condamné à me racler le cul par terre. Génial, les gens se doute pas de comien ça coute un putain de futal en cuir ! Rah merde. Puis bien sur, vu la douleur capilaire, je meugle comme un veau des trucs du genre "lachemoitumfaismal", mais je crois que ça ne le touche pas beaucoup j'en ai peur.
On arrive en vue des gardiens du hall, génial, des gens vont me voir comme ça.. L'autre sadique déposé les papiers et dit que oui, il vas "m'envoyer en salle de torture, au trou, et dans ma chambre".

Pardon ??? salle de torture ? Trou ? Et puis qu'est ce qu'il entend par chambre ? Pourquoi ils se marrent ces cons entendant le mot chambre ?

... Oh mon dieu, je viens de compendre, je crois, ou j'ai trop d'imagination. Oui c'est surement ça, il vont juste me bizuté en me foutant du cirage sur la bite et du savon dans la bouche, et une fois que je me serais pissé dessus de peur ils vont dire "voila fini, t'y a cru hein?" et je m'évanouirais de soulagement. C'est que de la mise en scène.
Une fois bien convaincue de mes mesonges, ça vas beaucoup mieux d'un coup bizarrement. Le gardiens me regarde, rien de bien méchant. J'ai du sang sur le pourtour de la bouche à cause du coup, et je suis décoiffé. Bon ça c'est pas grave ça s'arrange, par contre j'ai plein de terre sur les fesse, et ça m'embète pour un obscure raison. Je reste bêtement là un peu gèner à me faire examiner par le gardiens pendant un petit moment (mais ça semble long dans ce genre de circonstances...) quand soudain après avoir jetter sa clope il m'arrache du sol avec un facilité deconcertante en me prenannt par le bras. Son visage est tout près du mien, je sens son souffle de fumeur. Il me dit :

"Tu vas apprendre le respect, petit, découvrir le sens du mot ramper… A moins que tu n'aies une autre idée en tête…

Il me tire vers une porte que je ne connais pas bien sur. ma respiration s'accèlere pendant que je réfléchie à toute vitesse, ce qu'il m'a dit, ce qu'il a fait. Le sang est toujours dans ma bouche et sur mes lèvres. Oh merde je suis foutu, je ne peux plus refoulé mes "soupçons" en voyant des taches de sang de doigts humain sur le mur de la salle ou on m'a emmené. Cet homme, on lui avait arraché les ongles ? On l'a violé ? On l'a obligé à hurler ?

... On vas me faire ce qu'on lui a fait à lui ?

Pris de panique, je me demande si je serais capable de faire l'"autre idée que j'ai en tête". Une petit voix cynique dnas ma tête qu'il est plutot mignon et que j'aurai qu'à tourner la tête le temps que ça durera et je m'assurerait d'eviter quelques "ennuis". Le ferais-je ? Non, probalement pas, pas encore. Enfin vu la pièce sinistre avec des outils étrange de fonctions indetemriné ou on m'a foutu, je pense tenir à peu près cinq minutes, en comptant le temps qu'il mettra à déballer ses outils. Mon imagination nourrit au manga ultra-violent, au livre SF ultra gore et aau film me soufffle des sénarios atroce. Surtout celui ou mes poignet sont attachés au plafond.
je le regarde, je ne sais pas pourquoi, mais je sens que dans pas longtemps je vais le haïr. Je me permet de l'examiner, il est grand, il a les cheveux longs et rouges.

Ok mon gars, j'sais que j'fais pas l'poid, mais j'me rendrais pas sans combattre un minimum.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeDim 16 Déc - 16:57

Mes collègues rient mais ils n'imaginent pas à quel point ils ont raison. Ce gosse sera mon jouet ou ne sera pas. Un sourire pervers prend place sur mon visage à cette pensée alors que je le traîne vers les sous-sols. Escalier sombre et abrupte. Couloir glauque. Porte qui grince. Je le pousse devant moi et allume la lumière. Que j'aime cette endroit. Je prends une grande inspiration, me voici dans mon univers, mon chez moi. Et cela ce voit forcément sur mon visage. Cette expression jouissive, satisfaite, quelque peu excitée. Je le lâche et ferme la porte à clé. Nous voici seuls, tous les deux. Mon regard vorace et sadique se pose sur lui. Ai-je l'air d'un fou dans les moments comme ça ? Oui, sûrement… Mais j'aime ça. Je me tourne enfin vers lui, je lui fait face, je l'observe.

"Tu as une position préférée ?"

Je manque d'exploser de rire. C'est sorti tout seul. Mes yeux pétillent. Je m'avance vers lui et pose doucement ma main sur son visage, la laisse glisser jusqu'à sa gorge où mes doigts se referment avec force. Je le pousse en arrière jusqu'à ce qu'il percute ma nouvelle aire de jeu. Il s'agit d'une table basculable. Je vais l'attacher, il sera debout et je la coucherai… Mais elle n'est pas rectangulaire, non, elle a une forme d'étoile ou plutôt… de corps… comme ce qu'utilisent les adeptes du SM… Tiens, je me demande si ce n'est pas ça, justement. Je vais l'attacher face à la table, finalement. Je le tourne brusquement et son visage se retrouve écrasé contre le métal.

"Ca va toujours ?", je susurre.

Prestement, je ferme les sangles qui maintiendront ses poignets puis je me baisse pour faire de même avec ses chevilles. C'est parfait, comme ça il a les jambes un peu écartées… Exactement ce qu'il faut pour une bonne pénétration. Je me mord la lèvre d'impatience. Pourtant, je fais durer le plaisir. Je me relève lentement en laissant mes mains errer sur son corps, doucement… jusqu'à ce que mon souffle soit de nouveau dans son cou. Je sors mon couteau mais il ne le voit pas.

"Dis, petit Moxie, tu tiens à tes vêtements ?"

D'un coup sec, je tranche le tissu, mettant la chair de son dos à nue…
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeLun 17 Déc - 13:36

"Tu as une position préférée ?"

Merde, il est fou, il est complètement fou. P'tain ça se vois rien qu'à ses p'tain de yeux de merde ! Enfin voila quoi, quand un gars vous regarde avec les yeux qui brillent et un sourire de dément en vous tenant la gorge, sois il a trop fumer, sois il ... Se dirige vers la table la plus glauque que j'ai jamais vu putain ! Il vas pas m'attaché la dessus enfin ! Regardes connard y a un jolie fauteuil bien soft là bas ! Désolé les chaines sont pas fournie avec, mais j'y tient pas trop en fait. On dirait un mauvais trip SM, où est le fouet ? Il commence à m'attacher dessus, les poignets en haut et les chevilles en bas. (ça aurait pu être l'inverse... Gloups...) Je me débat un peu, test les lien, merde, c'est bien foutu. J'arrive juste à m'écorcher mais je m'en fout ! Je veux m'en aller. Il m'a attaché face à la table, les gens adore le contact froid du métal contre le visage le matin ,c'est bien connu... Je tire comme un fou, je me débat. J'ai malheureusement pas beaucoup de lest.

"Ca va toujours ?"

Je sursaute comme un blaireaux, il m'a surpris ce con. Evidament que ça vas pas gros malin ,mais ça fait partie de SON jeux je pense. ça doit le triper pas mal comme truc de me voir tirer vainement les poignets et les chevilles. Il me souffle dans le cou et me tripote le dos, entre autres. je veux fuir, ou je veux être bourré, ouais. Ou défoncé, enfin pas dans mon état normal quoi, être complètement amorphe et n'avoir pratiquement pas conscience de ce qui se passe. Enfin c'est toujours agréable de se faire carresser, je ne veux pas saovir à quoi il pense en me regardant.

"Dis, petit Moxie, tu tiens à tes vêtements ?"

Soudain grand frois épidermique, (je sais pas si ça existe comme expression, mais ça veux dire c'que ça veux dire.) je sursaute très fort. Mais quand on est à deux doigt du viol, on peux se permettre de stresser un peu. Je suis tout blanc, j'ai tout mes muscles contractés. Et j'ai mon dos couleur fromage blanc et vierge de tout sevices corporel nu devant un mec fou dangereux. Chouette ! Je sais pas pourquoi mais avec l'angoisse et tout, j'ai les larme au yeux. Et finalement devant l'évidence de mon funeste sort, je me met à hurler. Des trucs incompréhensibles, mélant insultes, suplications et menaces de mort. Finalement, je renonce physiquement, toute tension quitte mon corps et je me repose dans mes liens. (ça fait mal, mes poignets son bousillés.)

"Laisse moi tranquille..."

Et puis après une petite pause :

"...Et m'appelles pas petit..."
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeSam 22 Déc - 9:40

[HJ: j'ai laissé faire l'inspiration... si ça te dérange qu'il soit marqué ainsi, je peux éditer...]

Un grand coup de couteau et son T-shirt est tranché dans la longueur, libérant son dos nu. Deux coups brefs et les manches ne sont plus. Mes doigts se referment sur le tissus et l'arrachent… Mais il ne me laisse pas le temps de faire quoi que ce soit d'autre, que ce soit placer un mot ou le découper un peu… Voilà qu'il panique. Déjà ? J'en serais presque déçu… Mais ses mots sont pleins de hargne et de haine. Un petit sourire s'affiche sur mon visage. Résistes donc, résistes encore que j'ai le plaisir de te briser. Je le vois le laisser tomber dans ses liens, à bout. Heureusement qu'il y a quand même un support sous ses pieds, sinon ses épaules seraient dans un sale état. Ses derniers mots me font rire… Et je ne le lui cache pas. Un gloussement moqueur s'élève de mes lèvres alors que je me penche pour me coller à lui. Les boutons glacés de mon uniforme doivent être particulièrement désagréables sur sa peau nue. Je pose un baiser dans son cou et murmure à son oreille sur un ton froid:

"Je t'appelle comme je veux, Gamin, tu es petit, c'est un fait… A moins qu'une autre partie de ton corps soit grande, elle…"

Je laisse mes doigts glacés glisser sur son ventre plat et descendre vers la ceinture de son pantalon… Mais je ne vais pas plus loin. Je n'ai pas encore envie de ça… Non, je vais attendre qu'il le demande lui même, ça n'aura que meilleur goût. Néanmoins, je colle son bassin contre le mien. Mon érection se presse contre lui… Mais ce qu'il ne sait pas, c'est qu'elle est autant due à l'anticipation de le sauter qu'à celle de le torturer… D'ailleurs, il serait temps de lui expliquer les règles du jeu…

"Tu vas me vouvoyer, Moxie. M'appeler Monsieur… Tu vas me respecter et si tu veux que j'arrête… Tu le paieras de ton corps… Ne l'oublie pas… Surtout pas…"

Je m'écarte un peu et la lame de mon couteau commence à se promener sur son dos. Sa peau est douce et fine, je n'y vois aucune cicatrice, aucune marque… Ca ne va pas durer… Je presse un peu plus la pointe et une goutte pourpre coule le long de la lame. Je descends lentement, laissant un sillon rouge derrière moi. Je sais ce que je suis en train de faire, je l'ai fait tellement souvent au château… Le trait s'incurve un peu mais descend toujours jusqu'au bas du dos où il forme une boucle vers l'arrière… Enfin, vers la gauche, quoi… Je relâche la pression. Le premier trait est fait. Il en reste deux… Ce n'est pas très profond, mais juste assez pour que la cicatrice reste. C'est l'une des premières choses que mon père m'a appris à faire… Marquer les esclaves… Je remonte en haut et cette fois c'est un trait horizontal, un peu comme une vague. Le Sang coule lentement sur son dos alors que je le regarde avec désir. La ceinture de son pantalon commence à s'en imbiber lentement, pourtant il ne saigne pas beaucoup, mais c'est suffisant. Le dernier geste est plus douloureux car plus fin et moins fluide. Je plaque ma main libre à la base de son cou, juste au dessus du symbole, plus l'immobiliser. Son dos ne dois pas bouger. Entre mes lèvres, quelques mots s'échappent:

"Ne bouge pas… C'est presque fini…"

Je suis comme en transe alors que j'augmente la pression sur son dos quand la pointe de mon arme reprend son œuvre. Un trait horizontal, une petite boucle et le trait descend. Je le relâche et me recule. Ma mère avait cette marque dans le dos, elle aussi. Quant à moi… J'ai été battu toute mon enfance, mais mon père ne m'a jamais mis cette marque… Le F des De La Flaam… Peut être se doutait-il qu'un jour il aurait besoin de moi. J'avais 14 ans la première fois que j'ai marqué un esclave. C'était un jeune garçon. Il pleurait mais n'a pas tenté de se débattre ni de crier. Je ne veux même pas savoir ce qu'il avait subit avant pour être aussi calme… C'était il y a dix ans… Dix ans… C'est tellement et si peu…
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeLun 24 Déc - 10:24

[Pas de problème. Laisse faire l'inspiration si tu veux... Sinon pas mal les rp's, t'as beacoup... D'imagination. xD
Joyeux noël ^_^]


Hop ! A pu tee-shirt !Deux coups de couteaux et hop ! Il se presse contre mon dos couvert de sueur à cause du stress. J'aimerai bien qu'il range ses mains et qu'il reste tranquille. Je sais pas pourquoi, j'arrète pas de penser au texte style "trop-jolie-pour-être-vierge" dans playboy. Là tout de suite je donnerai mes deux mains pour devenir un thon. ça m'éviterai des ennuis. Hey les moches boutoneux obèses avec des cheveux gras puceau à 22 ans, je vous envie ! je veux être un looser ! (Bon j'suis un looser, mais un looser qui plait aparament à la gent masculine, et chier !)

"Je t'appelle comme je veux, Gamin, tu es petit, c'est un fait… A moins qu'une autre partie de ton corps soit grande, elle…

Je lui répond de ma petite voix de (petit) Moxie terrorisé par la possibilité d'un viol imminent :

-Crève ducon.

Je crois qu'il ne m'a pas entendue, vu où je sens ses doigts. Je me contracte, je me torille, mais il s'arrète, il laisse mon bas-ventre tranquille. Soulagement. Il se presse de nouveau contre moi et je sens un truc dans mon dos, et je sais pas pourquoi mais je sens que c'est pas un 38 mm Spécial pour l'auto-défense au cas où un prisonnier masochiste et suicidaire déciderai de l'attaquer. Je ne savais pas que mon dos nue avait un tel pouvoir "irigant". Foutredieu je me pisserai bien dessus de peur, mais je craint que ça le fasse rire plus qu'autre chose.

"Tu vas me vouvoyer, Moxie. M'appeler Monsieur… Tu vas me respecter et si tu veux que j'arrête… Tu le paieras de ton corps… Ne l'oublie pas… Surtout pas…"

Il s'écarte un peu et avant que la moindre insulte ou pensée offensante sortent de mes lèvres, une douleur aïgue me pulvérise soudain le dos, et je ne bouge plus, seul mes mains se tordent et griffent l'air ou le suport de métal, totalement impuissante. J'ai mal. je n'ose pas bouger, sinon ça vas partir en couille et ça sera encore plus douloureux, mais j'ai mal tout de même. Je gémit et je me rattrape sur les poignets en les tordant au maximum, qui sont écorchés eux aussi. J'ai le dos en feux, je ne sais pas ce qu'il fait mais c'est une figure aparament.

"Ne bouge pas… C'est presque fini…"

Je me met à pleurer pour de bon, j'ai l'impression que mon dos est une espece de plaque de souffrance coller à mon corps, et le sang qui coule me chatouille désagréablement. Il prend son pied et il est à fond dans son trip SM hyper glauque. Moi j'ai un peu honte de pleurer mais j'ai pas trop le choix, je sens pas dignité partir au loin ,et je ne peux malheuresement pas lui courir après et la rattraper. Je sens que dans quelques temps, je saurai enfin ce qu'est le syndrome de stress post-traumatique, moi qui m'était toujours posé la question... Cette pensée stupide me fait éclaté de rire, un rire nerveux. Mais il y a des questions que je veux poser, et je ne me gènes pas, même si c'est d'un ton larmoyant et donc pitoyable, selon moi :

-Pou... Pourquoi moi? Et qu'est c'qu't'as... Cette effort me coute mais bon si je tiens au reste de mon corps je fais cette petite consession ... Qu'a.. Qu'avez v... Vous écrit dans mon dos ? Et qu'... Qu'allez vous faire maintenant ?

Je réfléchie, rien que par ce vouvoyement ,j'ai l'impression d'avoir totalement perdue la partie...
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 8 Jan - 18:08

Alors que je regarde la marque rouge avec une certaine nostalgie, il se met à rire. Cela me surprend au premier abord mais quand mes yeux se posent sur son visage, je comprends. Il ne rit pas parce qu'il trouve ça drôle mais parce que ses nerfs lâchent. Des larmes coulent doucement sur ses joues. Tenant toujours mon arme dans une main, je m'approche mais sans me coller à lui cette fois-ci. Je ne supporterais pas d'avoir un F ensanglanté sur ma chemise. Alors que le lève doucement ma main libre vers son visage pour sécher ses larmes, il se met à parle. Je m'immobilise un instant et le regarde puis je souris. La réponse que je vais donner ne peut que lui faire plus peur encore. Quoi que… Il ne m'a pas demandé pourquoi je l'avais fait, juste pourquoi je l'avais fait à lui… Je peux donc éviter de lui dire que je le torture parce que j'aime ça. Je glisse doucement les doigts dans ses cheveux pour dégager son visage et je lui réponds avec douceur :

"Tu es en prison, Moxie. Quelle que soit la raison qui t'a amené ici, aujourd'hui tu n'es plus rien et tu dois apprendre l'obéissance et la soumission. Tu me plais alors j'ai décidé que tu serais à moi. Tu m'appartiens désormais. Ce qui orne ton dos c'est la marque des esclaves des De La Flaam : un F calligraphié. Je vais nettoyer la plaie pour que la cicatrice soit belle et après… on avisera…"

Je m'éloigne de lui, le laissant dans cette position, ne voyant pas où je vais ni ce que je fais. Je passe un chiffon sur la lame de mon couteau et le range puis je sors de l'armoire à pharmacie du désinfectant et un onguent cicatrisant. Je reviens vers lui et vers de l'alcool sur un coton.

"Ca va piquer…"

Je sais que ce n'est pas très agréable mais non seulement c'est nécessaire mais en plus ce n'est pas grand chose par rapport à ce que je viens de faire. J'y vais donc assez franchement, nettoyant les plaies et tout le sang qui a coulé. Je vérifie que ça ne saigne plus trop et j'applique l'onguent. Ca aussi, ça pique, et c'est froid, mais ce n'est pas grand chose. Ceci fait, je détache l'un de ses poignets, le désinfecte, mets de l'onguent et le bande avant de l'attacher de nouveau et de faire la même chose avec l'autre. Je murmure:

"Il n'est pas nécessaire de t'infliger plus de blessures que je ne vais le faire, Moxie…"

Je glisse alors l'une de mes mains entre son ventre et la table et la fait descendre jusqu'à sa ceinture. Sans hésiter, je détache les boutons et ouvre son pantalon… Mais je m'arrête avant d'aller plus loin. Je reprends mon couteau et fait passer la lame près de son visage. Ma voix douce reprend alors :

"On fait quoi, maintenant, mon petit Moxie ?"
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMer 9 Jan - 13:35

-Tu es en prison, Moxie. Quelle que soit la raison qui t'a amené ici, aujourd'hui tu n'es plus rien et tu dois apprendre l'obéissance et la soumission. Tu me plais alors j'ai décidé que tu serais à moi. Tu m'appartiens désormais. Ce qui orne ton dos c'est la marque des esclaves des De La Flaam : un F calligraphié. Je vais nettoyer la plaie pour que la cicatrice soit belle et après… on avisera…

Je suis marqué, comme du betail, je susi du bétail. Si je suis la logique, atroce, mais rassurant, je ne suis pas humain, je n'ai pas de conscience, sinon pourquoi aurai je tuer ? Hein ? Un être humain fait il ça ? Peut on me retirer ma qualité d'être humain ? A la réfléxion, je crois que ce "De La Flaam, si c'est son nom, est en train de le faire. Enlever l'humanité de quelqu'un, est ce possible ?
Pendant que je débattait de ces question d'éthique il me dit un truc que sur le moment je ne comprend pas, dans mon état d'hébétitude, il a fini de me graver son nom sur moi, sur mon dos à moi.


-Ca va piquer…

Il recommence, oh ! Je vais pour me mettre à pleurer quand je m'aperçois qu'il désinfecte tout connement la plaie. Soucieux de ma santé ? ça serais con de casser un jouet neuf à cause d'une bête infection.. Très con. Donc dans un élan de philantropie et d'altruisme sans précédent, il me nettoya le dos avec de l'acool et un coton pour m'éviter des infections après avoir marqué mon dos d'un F, calligraphié en plus, coimme une bête sans anesthésie. Mafnifique, super. Il me met ensuite un truc froid sur les plaies, je sens le contour du fameux F que je ne vois pas. ça fera une jolie cicatrice sur mon cadavre. ça restera longtemps ? Toute ma vie ? J'en ai aucune idée.
Puis il détache un de mes poignets blessé lui aussi, il le nettoie, sans violence, et le bande. Puis l'autre subit le même sort, curieux, comme si il avait fini ?


-Il n'est pas nécessaire de t'infliger plus de blessures que je ne vais le faire, Moxie…

Non en effet, c'est pas necessaire en effet. Soudain je sens ses doigts, il descend, résolument vers le bas. Vers ma ceinture. il ne s'arrète pas là, il l'enlève, ouvre ma braguette. Puis il passe son couteau sur mon visage et dit d'une voix qui ne ressemble pas à ses actes :

-On fait quoi, maintenant, mon petit Moxie ?"

On me laisse tranquille ? Mais non.... On ne peux pas, on ne peux pas ... Des éléments bataillent dans ma tête, sexe, couteau, douleur, sang, sodomie. Je pèse les pour et les contre dans ma tête épuisé. je ne veux pas souffrir. Mais vu mon état mental qui se dégrade à toute vitesse depuis quelque temps, suis je état de décider, et puis le marquage, ça veux pas dire que je suis une bête, qu'est ce que je veux dans cette endroit ? Qu'est-ce-que-veux ?

Je veux que cela cesse.


- ... Vas y, continues... Dis je sans enthousiasme aucun. Qu'il continues et que je me pendes après ça. Ces quelques mots sont pour moi l'accord ultime, mon grand effort.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeVen 25 Jan - 8:51

Ma main sur son ventre a commencé à se glisser dans ses dessous, je sens déjà quelques poils pubiens sous mes doigts… Quant à la lame de mon couteau, elle presse délicatement sa joue sans pour autant provoquer une plaie, à la rigueur une petite griffure blanche, c'est tout. Je la fait migrer vers son œil. Il capitule. Mais que veulent dire ses paroles ? La lame revient vers son oreille et je fais une petite entaille juste à coté de l'oreille, devant. Une toute petite égratignure de rien du tout… Quelques gouttes de sang coulent et je me colle à lui pour les lécher. Mon souffle sur son visage, je parle alors, comme un murmure dans son oreille si proche :

"Continuer quoi, Moxie ? Que veux-tu que je fasse ? Comment dois-je comprendre tes paroles ?"

La lame revient contre sa gorge, la caresse doucement puis s'écarte, longe son bras pour se plante brusquement dans la table verticale entre deux de ses doigts. J'incline un peu l'arme et la lame presse contre l'une des phalanges… Je sans dans la position idéale pour lui couper un doigt là…

"Est-ce ça que tu veux que je continue ? La torture ? Tu comptes me résister jusqu'à ce que je me lasse ? Jouer aux durs ? Faire celui qui s'en moque alors que tu visages est couvert de larmes ? C'est comme tu veux, j'ai une imagination débordante quand il s'agit d'utilise un couteau ou tout autre objet présent dans cette pièce… A moins que…"

Ma main entre brusquement dans son pantalon, contre sa peau, et je me saisi sans préavis de son membre flasque… pas pour longtemps, ça c'est certain… Je commence aussitôt, plus par habitude que par envie de l'exciter, à le caresser, l'effleurer… Puis, embrassant subrepticement son cou, je continue…

"A moins que ça soit ça que tu veux que je continue… Tu as envie de sexe, mon petit Moxie ? Tu veux que je m'occupe de toi ? Montre moi donc que tu n'es pas si petit que ça, alors… Demande… Dis moi ce que tu veux que je te fasse…"

Je me colle encore plus à lui. J'ai lâché le couteau en le laissant près de ses doigts et je commence à caresser sa peau nue avec une sensualité que je sais divine… Pauvre petit Moxie… Je me moque de lui, frotte mon sexe contre lui, l'embrasse, le mord doucement…

"Petit pervers, c'est ça que tu veux ? Que je te donne un plaisir qu'aucune femme ne t'a jamais donné… Mmm… C'est ça que tu aimes, Moxie ?"

Je resserre alors ma poigne assez douloureusement sur son membre avant de commencer à le branler sans aucune retenue. Ma main libre erre sur son corps puis revient vers son poignet, je frôle sa blessure, celle qu'il s'est faite lui même et je murmure alors quelque chose que je sais faux, mais qui m'amuse…

"A moins que tu ne veuilles les deux, Moxie… La douleur et le sexe… C'est ça que tu aimes ? Oh, non… Ne nies pas tout de suite… Prends le temps de te poser la question… Est-ce vraiment si désagréable que ça ? Tu la sens, n'est-ce pas, ma bite qui se frotte à toi, qui a envie de toi… Et mon torse contre la plaie, c'est douloureux, non ? Un petit peu… Mais trouves-tu ça si désagréable ? Ma main sur ton membre, tu la sens ? Fermes les yeux, Moxie… Fermes les yeux, je te dis… Et ne pense qu'à elle… Tu sens ma main ? Tu sens ta queue qui ne peut s'empêcher de se gorger de sang ? Est-ce vraiment désagréable, Moxie ? Ose me dire que tu ne supportes pas…"

Mes doigts lâchent alors leur prise sur son membre, le laissant seul, sans plus aucune attention… Et se referment sur ses bourses pour les malaxer tendrement mais un peu fort… Je provoque consciemment des douleurs de temps en temps, mais mes attentions sont plus fortes que la douleur… Je continue encore… Il va devenir mon jouet.

"N'ouvres pas les yeux, Moxie. Concentres-toi sur les sensations… Tes poignets qui te tirent, ton sexe qui n'a qu'une envie, que je revienne m'occuper de lui, mon sexe contre ton corps, mes caresses, ces douceurs continuelles, la douleur qui te brûle le dos… Moxie, dis moi, tu aimes ce que je te fais ?"

Ma main se referme sur la blessure de son poignet, l'accentuant un peu plus alors que je me saisi à nouveau de son sexe, pressant mon pouce contre le gland… J'embrasse son cou, m'attarde sur son oreille, la lèche, la mordille… Je rends mon souffle court, écho de l'excitation que je veux qu'il ressente… Puis je murmure son nom… Et je relâche son poignet pour laisser glisser ma main sur son bras, sur son flanc… Jusqu'à son pantalon que je fais habilement tomber au sol… Sur son membre, mes doigts s'affairent, lui donnent plaisir et douleur en même temps… Je détache ma chemise et ouvre mon pantalon que je laisse glisser. J'empoigne mon propre sexe et le glisse dans le sillon de ses fesses. Je frotte, encore et encore…

Dis moi que tu aimes ça… Tu vas devenir mon jouet, ma chose… Tu me supplieras de te prendre, de te faire du mal… Je vais te faire mien… plus encore que tu ne l'es déjà. Continuellement tu penseras à moi, dans tes songes, à chacun de tes mots, chaque visage te rappellera le mien, chaque corps te donnera envie de moi, constamment tu me désireras… Et plus je te torturerai, plus tu voudras que je te fasse du mal… que je t'encule aussi… Je murmure encore une fois :

"Ca ne sers à rien de te mentir à toi même, Moxie… Tu es un pervers… Tu aimes ce que je suis en train de te faire…"
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Moxie Flanagan
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeSam 26 Jan - 7:07

Il ne me fait qu'une égratignure près de l'oreille, juste une piqure, mais pourtant j'ai une folle envie de hurler à plein poumons à m'en faire péter les boyaux. Preuve donc que je suis au bord de la crise de nerfs. Je veux partir, son contact me répugne, son corps qui se presse contre le mien me donne des envies de meutres sadique. Je veux qu'il s'en aille, je veux échapper au danger. J'ai la gerbe tellement je me sens mal, il a glissé ses doigts encore plus bas. Mais ça serais vraiment le comble de la loose, juste après me chier et m'uriner dessus. Dieu vas me considerer comme impure après tout ça. Quand je mourrais, il m'enverra en enfer....
... Merde cet enculé l'a déja fait ...
Ceci explique cela, je suis mort, une carcasse vide, en fait j'ai effectivement réussi à me suicider, je suis mort ce jour là. Toute la suite n'a été qu'un atroce rêve inventé par mon esprit pervers, immonde et souillé par mes actes, passé et présent. Moi aurai pas dus coucher avec prof EPS.


"Continuer quoi, Moxie ? Que veux-tu que je fasse ? Comment dois-je comprendre tes paroles ?

Ses paroles murmuré à mon oreille me font sursauter, je ne veux plus entendre le son de sa voix, pourtant il est omniprésent autour de moi et régit ma vie en ce moment, façon Dieu. J'aime pas Dieu.
L'autre fou joue un peu avec son couteau, puis le plante entre deux de mes doigts. Je me crispe, il vas me charcuter la main et je vais souffrir mille morts en voyant partir un à un mes doigts maigres... Désolé, mon imagination s'emballe, je suis un grand angoissé de la vie.


-Est-ce ça que tu veux que je continue ? La torture ? Tu comptes me résister jusqu'à ce que je me lasse ? Jouer aux durs ? Faire celui qui s'en moque alors que tu visages est couvert de larmes ? C'est comme tu veux, j'ai une imagination débordante quand il s'agit d'utilise un couteau ou tout autre objet présent dans cette pièce… A moins que…

Celui là m'a parfaitement percé à jour. Evidemment puisque c'est Dieu ! Oui effectivement je suis une larve qui joue les teigne. Je n'ai qu'à ma disposition pour seul arme face au monde qu'un tas de jurons vulgaires et une capacité à me défoncé la gueule assez stupéfiante. ( ah ! Quel jeu de mots ! ) Je ne vaux pas grand chose, c'est décidé après ça j'me pend en vitesse, faut juste que je me trouve une corde.
Et soudain on m'toucha la bite.
Y a pas à tortillé du cul, je vais pas le dire softement, un gros dégueulasse est en train de presser ses doigts de gros pervers sur mon sexe sans mon consentement. Qu'il se casse, c'est à moi, c'est à moi, c'est mon corps à moi, c'est à moi, c'est à ...


-A moins que ça soit ça que tu veux que je continue… Tu as envie de sexe, mon petit Moxie ? Tu veux que je m'occupe de toi ? Montre moi donc que tu n'es pas si petit que ça, alors… Demande… Dis moi ce que tu veux que je te fasse…

JE VEUX QUE TU ME LACHE, GROS CON ! Un hurlement, dans ma tête, je veux y échapper, je veux garder le peu de dignité qui me reste, ne pas bander. Surtout pas, ne pas éprouvé de plaisir, ça serais vraiment la fin de tout.
Chaque geste de sa part, chaque caresse, est un mensonge, il doit se foutre de ma gueule. Qu'est ce qui pousse quelqu'un au viol ? Il n'est pourtant pas moche, il doit pouvoir draguer sans ça, ou peut être c'est justement ça qui lui procure du plaisir, faire souffrir. Et peut être se marre t'il aussi devant les répercutions psychologiques de ses actes sur ses victimes. Ou alors il s'en fout.
Putain j'suis con, pendant qu'on me tripote de partout, je réfléchis. Une manière d'éloigner de le démon peut être, penser à autres chose. Ahahaha ! Comme je suis con !


-Petit pervers, c'est ça que tu veux ? Que je te donne un plaisir qu'aucune femme ne t'a jamais donné… Mmm… C'est ça que tu aimes, Moxie ?

Putain on dirai un porno, sauf que je suis un mec. " hein salope c'est ça qu'tu veux ?" et la nana couine de palsir. Sinon j'avais vu un film ou une lesbienne se faisait reconvertir en hétéro par un comte. la c'est pareil, mais inversé. De toute manière j'ai jamais dit que j'était hétéro.
Et ça cet enculé me branle bien comme il faut, limite il me ferai vraiment mal. D'un coté je bande et de l'autre j'ai envie de pleurer, curieux contraste. Et l'autre en rajoute dans le contraste en tripotant ma blessure du poignet.


-A moins que tu ne veuilles les deux, Moxie… La douleur et le sexe… C'est ça que tu aimes ? Oh, non… Ne nies pas tout de suite… Prends le temps de te poser la question… Est-ce vraiment si désagréable que ça ? Tu la sens, n'est-ce pas, ma bite qui se frotte à toi, qui a envie de toi… Et mon torse contre la plaie, c'est douloureux, non ? Un petit peu… Mais trouves-tu ça si désagréable ? Ma main sur ton membre, tu la sens ? Fermes les yeux, Moxie… Fermes les yeux, je te dis… Et ne pense qu'à elle… Tu sens ma main ? Tu sens ta queue qui ne peut s'empêcher de se gorger de sang ? Est-ce vraiment désagréable, Moxie ? Ose me dire que tu ne supportes pas…

Je ne voie pas quoi répondre, d'un parce que le SM pour moi ça s'arrètait à s'attacher au montant du lit avec des menottes en plastique, et de deux parce qu'il viens de saisir d'autres parties de mon anatomie, et ça me trouble un peu on vas dire. Je gémit. A ma grande honte. Désolé je ne le ferai plus.
Il continue son petit jeu, je suis un pion, je n'ai plus grand chose à pensé maintenant. J'ai honte. J'ai mal. J'ai envie, c'est confus. je veux partir. C'est aussi vicieux que la drogue ce truc, tu te sens pas forcément super bien quand tu te drogue, mais en même tu continues. C'est con comme logique.


-N'ouvres pas les yeux, Moxie. Concentres-toi sur les sensations… Tes poignets qui te tirent, ton sexe qui n'a qu'une envie, que je revienne m'occuper de lui, mon sexe contre ton corps, mes caresses, ces douceurs continuelles, la douleur qui te brûle le dos… Moxie, dis moi, tu aimes ce que je te fais ?

Sous les effet de la douleur et du plaisir qui se mélange, mon rythme cardiaque deviens fou, je sue, ma respiration deviens très saccadé, impossible de reprendre ma repsiration. Et j'ouvres biens les yeux, je ne veux pas de tout ça, mais je n'ai pas le choix. je veux mourir.
Il a enlevé mon futal et s'amuses avec une autre partie de ma personne ... Je me crispe, je hurle de frayeur, de plaisir. je ne sais plus où je dois être, pas là en tout cas. je veux être ailleurs
.

-Ca ne sers à rien de te mentir à toi même, Moxie… Tu es un pervers… Tu aimes ce que je suis en train de te faire…

... Que penser ? Je suis une pute ? Mais je suis incapable de penser, le cerveau est pas assez irigué pour ça. Puis je suis mort, je l'ai dit. Un mort ne pense pas. Ou je suis du bétail, ou je suis lui en train de faire des conneries derrière ? J'espère vaguement que ma maigreur, mon manque de musculature, enfin bref ma tête de toxico en général, ne l'ont pas dérangé. Enfin non aparament.
Et enfin, finalement je parle, c'est assez confus, vu que je mélange les langues et que je dit n'importe quoi. J'y met même des paroles de chanson. Je lui jette un regarde effaré, dans la maigre lattitude que me laisse mes liens, mes poignets sont de nouveau en sang, mais je ne veux pas qu'il les touchent. Et j'espère également qu'après ça il ne pulverisera pas mon futal, que j'évite de rentrer dans ma cellule, que je n'ai même pas encore vu, à poil en marchant en canard.


- Ich habe Angst ... Pourquoi ? ... You let me penetrate you ... J'voulais pas ! ... Ich weiß nicht. Je n'sais pas."


Et là je me met à rigoler à pleurer en même temps, tout en me débattant un peu, histoire de dire. Pas de répis pour la connerie, je me demande si " J'ai peur" se dit bien comme ça d'un coup, on dit être ou avoir en allemand pour la peur ? Putain, même mon cadavre continuera à être con.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeLun 28 Jan - 18:10

" Ich habe Angst ... Pourquoi ? ... You let me penetrate you ... J'voulais pas ! ... Ich weiß nicht. Je n'sais pas."

Merde !

Je me fige, m'immobilise. Ce n'est pas bon, ça… Il se met à rire et pleurer en même temps… Je suis allé trop loin. Lentement, je me recule, le lâche, libère son membre. Je remonte mon boxer et vire mon fut et mes pompes qui m'emmerde. Sans un mot, je me penche à ses pieds, retire ses chaussures, termine d'enlever ses vêtements, ça sera plus simple comme ça. Puis je m'éloigne. Il faut qu'il se calme. Mais le laisser ainsi risque aussi d'amplifier sa panique. Merde ! Je suis excité comme pas possible et voilà qu'il me pète une durite entre les doigts. Dans un coin de la salle, il y a un lit… enfin, une paillasse, quoi… Une table plus large et plus basse que les autres. J'attrape un drap et reviens vers lui. Je pose le tissu sur ses épaules et l'enroule dedans. Je le serre contre moi et murmure:

"Laisse toi faire, Moxie, n'essaie pas de te débattre… Calme-toi."

Je détache ses poignets et passe ses bras autour de mon cou avant de le soulever, de le porter comme on porterait une princesse… un blessé… Je le dépose sur le pseudo lit, toujours enroulé dans son draps et je m'étends à ses côtés. Je pose un baiser sur sa tempe, récoltant les gouttes d'eau salée. Moxie… Et voilà que ma main glisse à nouveau contre sa peau. Mon sexe se presse contre sa hanche mais le tissu est toujours entre nous, par contre, mes doigts, eux, sont en contact direct avec lui, ils se sont glissés dessous. Ils passent sur sa cuisse, sur son flanc, se font douceur, évitent les points trop sensibles… Je dépose un baiser sur chacun de ses yeux pour le forcer à les fermer. Je murmure encore :

"Calme-toi, Moxie… C'est bon… Chut…"

Avec une douceur extrême, je pose un baiser sur ses lèvres, les lèches doucement, les redessine. Je me déplace un peu alors que mes doigts se referment sur sa cuisse. Mon sexe vient se lover contre le sien, le frotte… et le tissu entre les deux… presque brûlant… C'est désagréablement excitant… Putain, qu'est-ce que je peux avoir envie de le prendre… Je déteste qu'on me résiste, ça me donne encore plus envie… Je me force au calme, au contrôle alors que mes lèvres s'éloignent doucement des siennes, reviennent sur ses yeux… Oublie où tu es Moxie, abandonne toi…

"C'est bien… C'est ça que je veux… Dis moi la vérité. Tu as peur… C'est normal. Tu es en prison, Moxie. Pour une raison qui ne m'intéresse pas, mais tu es ici. Tu n'as plus aucun droit, ta vie vient de basculer définitivement vers quelque chose que tu ne peux pas connaître, que tu ne peux même pas imaginer… C'est normal d'avoir peur… Mais il est inutile de garder des remords, des regrets… Des faiblesses qui ne pourront que te nuire."

Toute cette douceur me donne des envies de violence… Est-ce donc ça… C'est cet effet là que je fait à Stephen, c'est pour ça que ça se passe toujours comme ça entre nous ? Je retiens un soupire et chasse cette pensée de mon esprit en me collant un peu plus à mon futur amant… C'est fou, je n'imagine même pas qu'il puisse continuer à me résister… Je suis persuadé qu'il va céder… Ma main quitte sa cuisse et vient caresser son visage doucement avant de redescendre lentement sur son corps. Cou, épaule, poitrine, flanc, aine, cuisse… cuisse… Pourquoi est-il si maigre ? Mes doigts glissent sur l'intérieur de la cuisse, frôlant cette zone si sensible…

"C'est normal de ne pas savoir Moxie, c'est nouveau pour toi, non ? C'est la première fois… Ici, de toutes façons, la douceur n'existe pas… Homme ou femme, tu ne connaîtras que le sexe violent… Que tu sois dominant ou dominé… Tu ne sais pas… Laisses moi t'apprendre alors… Laisse moi faire…"

Ne te débats pas… Je presse mon membre contre le sien et un soupire m'échappe… J'ai terriblement envie de le prendre… Il a hurlé tout à l'heure, j'ai encore ce son dans les oreilles… Je le veux encore… Donne le moi encore, Moxie…

Je l'embrasse à pleine bouche, pressant de nouveau sa cuisse entre mes doigts… Je suis trop impatient. Il ne peut que le sentir, ça va encore lui faire peur…
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 29 Jan - 14:52

Je tremble furieusement, j'ai peur, ça aproche et .... Il me lache, bizarre. c'est pour enlevé son fute et ses groles, vu le bruit. Je tente de me calmer, en vain. trop de stress d'un coup, je hurle. il finit de me déssaper, plus de confort pour me violer ? mais il ne me touche plus, je lui ai fait peur ? Je hurle de plus belle.

"VAAAAS T'EEEEEEN.

Mais là il m'enroule dans une sortes de drap, (ou un vrai drap en fait ... ) disons que j'ai vu pire comme féroce agression. j'arrète de hurler, mais ma respiration reste trop saccadé. Bruyante.


-Laisse toi faire, Moxie, n'essaie pas de te débattre… Calme-toi.

Comment je peux me laisser faire ? Je culpabilise, c'est ce que je fais depuis tout à l'heure, pauvre con ...
Et là il me détache les poignets, puis les pieds. Il vas me laisser partir ? Un espoir fou monte en moi, mais il est immédiatement déçu, il me porte, m'enlève de cet objet immonde, cette table. Je la hait, et je ne dois pas être le seul. Je vois les traces de mes ongles sur le métal, ça doit partir en frottant un peu, mais j'ai honte de ces traces. Il y a aussi une trace d'humidité là ou était ma joue, je suis soulagé de ne plus sentir le métal contre mon visage... Cette table ...
Il (il ne m'a pas dit son nom ...) me porte jusqu'à un presque-lit, le cauchemar continue. Je pleure. Il me dépose dessus, je ne me suis même pas débatu, je n'ai même pas essayer de m'enfuir.
Je sesn un contact de lèvres contre ma temps, puis une bite contre ma hanche, à travers le tissus, pauvre gars, si près mais encore si loin ... Il fait courir ses doigts le long de mon corps tremblant, je n'arrive pas à me calmer, et je n'essaye même plus. Je n'ai même plus honte de gémir. Il me force à fermer les yeux en collant ses lèvres sur mes paupières, noir total, je ne les rouvres pas, et puis de toute manière, je les gardes fermé pendant le sexe ...


-Calme-toi, Moxie… C'est bon… Chut…

Presque tendre, il se masse contre moi, il me touche la cuisse de ses doigts brulant. je sens son sexe contre le mien, le tissus. Confusion. il a radicalement changé d'attitude, je lui ai fait peur, j'ai un pouvoir sur lui, minime certes, mais tellement rassurant. Ca ne tiendra pas longtemps ... Il m'embrasse sur la bouche, mon visage lui est accessible ducoup. il embrasse pas mal ce con.

-C'est bien… C'est ça que je veux… Dis moi la vérité. Tu as peur… C'est normal. Tu es en prison, Moxie. Pour une raison qui ne m'intéresse pas, mais tu es ici. Tu n'as plus aucun droit, ta vie vient de basculer définitivement vers quelque chose que tu ne peux pas connaître, que tu ne peux même pas imaginer… C'est normal d'avoir peur… Mais il est inutile de garder des remords, des regrets… Des faiblesses qui ne pourront que te nuire.

Oui, il a raison, terriblement raison. Il continue ses carresses, avec une douceur qui contraste furieusement avec son comportement d'il y a cinq minutes, je suis calmer là, à peu près. Je réfléchis, que faire ? Rien justement, céder, se laisser faire, péter le barrage mental, se faire prendre par Dieu. Et là au milieu de ses explorations, il frole mon entrejambe, je me crispe, je ne peux pas ! Je ne peux pas ! Mais je dois.
"Détend toi mec putain, laisse toi faire et attend que ça passe, voir même, profites pour en tirer un p'tit peu de bien." saloperie de petite voix cynique, dans le fond elle a raison, mais autre chose me retiens.


-C'est normal de ne pas savoir Moxie, c'est nouveau pour toi, non ? C'est la première fois… Ici, de toutes façons, la douceur n'existe pas… Homme ou femme, tu ne connaîtras que le sexe violent… Que tu sois dominant ou dominé… Tu ne sais pas… Laisses moi t'apprendre alors… Laisse moi faire…

Il se colle contre moi, m'embrasse totalement, je lui rend son baiser, étrangement. J'ai peur. L'instant aproche, il aproche à chaque secondes qui passe, j'aimerais le repousser, mais je ne peux pas. Je garde résolument les yeux fermés, je ne veux pas voir sa tête. Non. Il est tellement pressé... Et je ne sais pas pourquoi, je pose mes doigts contre ses hanches, timidement. Je ne sais pas quoi lui répondre, et je ne sais même pas si je suis capable de parler, alors je pose mes petits doigts maigre sur son corps. Voila.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 29 Jan - 15:29

Frisson.

Il se laisse faire. Il répond à mon baiser. Ses doigts se posent sur mon corps. Je souris. C'est ça. C'est très bien. Avoir peur, oui. Mais céder. Se laisser porter. Je l'embrasse encore et laisse ma main migrer de sa cuisse à ses fesses…

Non.

Je ne dois pas aller si vite. Il découvre, il apprend. Si je veux être le seul, l'obséder, emplir ses désirs, ses rêves, ses pensées… Je dois lui donner quelque chose qu'il n'a jamais vécu. Il est jeune, son expérience ne doit pas être immense alors… Je me redresse un peu et retire le drap qui nous sépare. A-t-il ouvert les yeux ? Peut être… Peu importe. Je me penche au dessus de lui. Mes cheveux caressent sa peau nue alors que mes lèvres se posent sur son ventre. Un peu sur le côté, au dessus de l'aine… Si près de son sexe, mais loin en même temps. Je remonte doucement jusqu'à un téton que je mordille. Découvre ton corps… Laisse moi te montrer ce que les femmes ignorent de toi. Je suis de nouveau dans son cou, menton, oreille…

"Ne résiste pas contre la peur sinon elle te détruira… Apprivoise là, fais la tienne, cède sans plier… Contrôle là, dépasse là… Je ne te ferai plus mal, Moxie… abandonne toi… totalement…"

Plus mal, c'est vite dit… La pénétration sera sans doute douloureuse… Enfin, ce n'est pas très grave… Ca passe vite, ça… Toujours… Mes lèvres restent un instant sur son visage alors que mon corps se colle au sien, s'y emboîte, se frotte doucement contre lui. Mes mains ne passent pas sur son corps, je laisse ce travail à mes lèvres… Et mes cheveux…

Je reste un long moment sur son torse, explorant chaque petite parcelle de peau sensible, lui arrachant des gémissements de temps en temps… Qu'il continue à mettre ses doigts sur ma peau, cette initiative m'excite même si elle n'est rien… Mes lèvres descendent sur l'intérieur de ses cuisses… Je joue… Je sais pertinemment que mes cheveux, eux, se sont arrêtés, accrochés, sur son membre… Mais ce sont des caresses "involontaires". Ce ne sont pas mes doigts ni mes lèvres… Ca lui fait forcément moins peur… Et ça le prépare à accepter la suite…

Elle arrive d'ailleurs. Je m'installe entre ses jambes. Je vais t'arracher des cris d'un plaisir incontrôlé mon petit Moxie… Mes mains passent sur son corps, ses cuisses, son torse… sans répit… Je souffle sur le membre tendu, offert… Je souffle encore un peu… Je m'approche encore… Moxie, là, si tu veux, ouvre les yeux car ce spectacle n'est pas donné à tout le monde.

Ma langue part de la base de son membre et remonte lentement, très lentement jusqu'à l'extrémité… Elle reste un moment en niveau du gland, le titillant, le provoquant… Puis elle laisse place à mes lèvres qui entoure l'objet rougit. La langue retourne en action. Et son sexe pénètre ma bouche. J'ai été très lent… je voulais qu'il le sente venir, qu'il sache ce que j'allais faire… Et maintenant, qu'il profite ! L'une de mes mains est venue stabilisée son sexe alors que l'autre s'affaire au niveau des bourses. Je fais durer le plaisir, je cherche à provoquer ses cris, ses gémissements de plaisir…

Tu es à moi, Moxie…

Je m'arrête et le regarde. Seigneur qu'il est beau. Je souris, satisfait du résultat. Mes doigts caressent encore la hampe puis glissent sous les bourses vers l'orifice tant convoité. Il se crispe alors que je ne fais que dessiner l'anneau de chair. Il va falloir le détendre, le préparer, humidifier aussi… Et cette fois je n'irai pas directement avec la langue, il ne faut pas exagérer… Je remonte jusqu'à son visage. L'embrasse à nouveau. Je ne lui ai pas laissé le loisir de jouir, mais il sent peut être son propre goût sur mes lèvres…

"Il est possible que ça fasse mal, Moxie… Je vais… te préparer…"

Mes lèvres glissent vers son cou alors que mes doigts s'immiscent lentement entre ses lèvres. Je l'embrasse et lui explique:

"Je vais humidifier pour que ça glisse mieux… Pour que tu n'ais pas mal…"

Pas la peine de lui dire qu'il aura certainement mal. Suce mes doigts, Moxie. Lèches les comme si c'était ma queue… Mmm… Forcément si je pense comme ça, ça me fait gémir… Peu importe… Il semble qu'il ait compris, il est pas si con que ça… Et ce sont mes doigts couverts de sa salive qui entrent doucement dans son intimité quelques instants plus tard…
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 29 Jan - 17:52

Il déplace sa main, se raproche de son objectif. On y est ? Non pas encore, le temps de soufler. J'ai terriblement peur. Il enlève le drap, il veux faire durer, pourquoi ? Pour moi ? Lui est prèt, c'est visible. Il vois mon corps nu, ça fait quoi ?
Et là il commence à m'embrasser, je regarde le plafond, j'ai ouvert les yeux, malheur à moi, ça fais peur, mais le noir me fais peur aussi. Ne pas savoir ce qui vas me tomber dessus.
Un frisson provenant d'en bas me détourne de mes angoisses, qu'est ce qu'il fout ? Pourquoi il est là? Crispation. Mais il remonte, il mordille un peu, il remonte encore, loin. J'ai peur qu'il me fasse de nouveau mal, très mal, là ou c'est le plus sensible. Ma respiration s'accèlère rien qu'en y pensant, je gémit de peur. Il me parle.


-Ne résiste pas contre la peur sinon elle te détruira… Apprivoise là, fais la tienne, cède sans plier… Contrôle là, dépasse là… Je ne te ferai plus mal, Moxie… abandonne toi… totalement…

Je ne suis pas très bien ses conseils, j'en ai peur, mais j'essaye tout de même, je suis coincé, autant limité la casse, avoir l'impression d'être un peu consentant. Et puis il me dit que je n'aurai pas mal, j'en doute sérieusement, je suis puceau de ce coté là, manque d'occasion on vas dire.
Et alors, il se colle à moi, son contact me dégoute moins qu'avant, je suis trop "fatigué" pour resister, même psychologiquement. Il explore mon corps, comme si c'était interressant, comme si il n'en avait pas vu un million d'autres. Mon cul. Mon corps est tout ce qu'il ya de plus banal, un peu maigre, pas musclé et petit certes, mais bon. Suffisament bizarre pour complexer comme un dingue.
Il se déplace autour de moi. Je referme mes yeux, ses cheveux se sont acrochés à une certains partie de mon anatomie, pour faire soft. C'est un putain de bon truc ça. je ne sais pas si il l'a remarqué, en tout cas ses lèvres sont très basses maintenant. Interressant. Sa bouche se déplace et ...


- Oh putain !

Après avoir souflé dessus, comme pour éteindre une bougie, ( l'effet inverse là ... ) il le lèche en remontant doucement. Puis il le prend franco dans sa bouche. Explosition de sensations, là d'un coup bam ! Je cris, mais pas pour les même raisons que tout à l'heure, mieux, beaucoup mieux. Mais je n'ai pas le temps d'en profiter vraiment qu'il s'arrète, déja. Il me regarde, j'ai honte de m'être abandonné ainsi...
Et soudain ses doigts aproche, efleure mon anus. je me crispe si fort que mon dos se décole du sol. Et il m'embrasse, étoufant ainsi toute protestations de ma part, tous cris, et je reconnais l'odeur ... Même avec mon nez de fumeur je la reconnait. A ajoutée à ma longue liste de crime pour Dieu : je reconnais l'odeur de ma propre bite.
Et je reste la passif, choqué par ce que je laisse faire, mais incapable d'y remédier. Incapable de rien foutre, comme un gros con.


-Il est possible que ça fasse mal, Moxie… Je vais… te préparer…

Il m'embrasse dans le cou.

-Je vais humidifier pour que ça glisse mieux… Pour que tu n'ais pas mal…"

Et là il me foure les doigts dans la bouche, je vois... Mes yeux s'humidifient, mais je les cache, ça n'irai pas plus loin. Du calme. Je met de la salives dessus avec aplication, je sais à quoi ça vas servir, et j'ai peur, terriblement, ça envahie tout. Mias je me force à ne rien laisser paraitre, j'ai terriblement peur qu'il m'attache encore.
Mais je le crois quand il me dit que je n'aurai pas mal. J'ai confiance.
Il m'enfonce ses doigts.
Bon évidemment, comme tout le monde, je me suis déja enfoncer un doigt dans le cul par curiosité, mais là c'est totalement différents. C'est pas les miens de doigts à moi là. j'avoue, je ne me suis jamais fais pénétrer par quiconque. Ca fait bizarre. Mon corps à moyennement l'habitude, et je n'ose pas bouger, j'essaye de me détendre, mais comme se détendre ? Hein ? Bon c'est pas une douleur insuportable qui déchire tout, mais ça fait bizarre.
Je gémit et je détourne la tête, quelque chose que je ne vois pas peut être quelque chose que je peux peut ignorer ?
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMar 29 Jan - 18:34

Quand mes doigts entrent en lui, un par un, petit à petit, il détourne le visage. Je sens qu'il est crispé… Je suis vraiment allé trop loin tout à l'heure… Il est terrifié par ce que je vais faire… Je me suis trompé sur son compte… Mais il fallait que je brise ses résistances… Bon… Maintenant, faut l'aider à se détendre. L'un de mes doigts pousse un peu plus l'exploration alors que je me redresse et redescend au niveau de son entre jambe. Pas un mot, ce n'est plus nécessaire… Et ma langue entre en action. C'est fulgurant. C'était certain en même temps. Ces sensations là sont bien plus importantes. Se rend-il seulement compte, maintenant que ma langue dessine des arabesques sur sa verge, que mes doigts entrent en lui et étire son anus sans plus aucune résistance ? Ma langue insiste sur un veine à la base du gland, petite contraction mais il se relâche aussitôt… Mes doigts avancent, étire, lubrifient… Se rend-il seulement compte ? J'entame des mouvements de va et vient dans son intimité, provoque des frottements, ça me semble bien… Je relâche son sexe. Il n'y a plus que mes doigts en lui. Mes doigts qui s'agitent, qui tapent, qui entrent et sortent… Mes doigts… Tous… Qui s'écartent, étirent encore un peu… Puis quittent son corps.

Ca va aller Moxie…

Je m'étends sur lui, mon sexe glisse comme il l'a déjà fait dans le sillon de ses fesses et presse son entrée dilatée sans le pénétrer pour l'instant. Je replie l'une de ses jambes pour faciliter mes mouvements… Et me penche pour l'embrasser. Mes lèvres se soudent aux siennes, ma langue part jouer avec la sienne. Ca va aller… Je le pénètre. Lentement, centimètre par centimètre, sans cesser de l'embrasser. Je m'empare de son membre tendu et le masse délicatement. J'entre en lui dans un geste lent mais sans pause. Je ne m'arrête pas. Il se crispe un peu mais ça va encore… Et quand je suis en lui, je m'arrête. Ma main sur son membre se fait douce, câline et je l'embrasse à nouveau. Je ne sais même plus quand j'ai rompu le baiser.

Je suis en lui. Et il est clair que je suis le premier à l'avoir jamais pénétré… Je commence à bouger, doucement, très peu, juste pour qu'il me sente, qu'il comprenne, qu'il se rende compte que ce n'est pas trop douloureux. De toutes façons, cette sensation va passer. Finalement il a cédé. Je l'ai eu… Pas comme je le pensais, mais il est mien désormais. Mon petit Moxie. Il a peur de moi, certes, mais maintenant si je viens le voir en lui disant que je veux qu'il écarte les jambes, il le fera… Je pose un baiser dans son cou. Tu m'appartiens chaton. Tu es à moi… Rien qu'à moi…

J'ai une subite envie de le prendre fortement, brutalement, avec passion… Mais je me retiens. Je reste immobile, presque… Je bouge à peine, juste pour lui montrer que c'est possible, que ce n'est pas douloureux, au contraire… C'est lui qui bougera, c'est lui qui fera les premiers va et vient… Mon souffle est assez accéléré alors que je mordille son oreille ou son cou sans trop m'en rendre compte… Donne moi le feu vert, Moxie. Fait le premier mouvement de bassin et tu monteras au septième ciel et à ceux d'au dessus…

Mon visage dans son cou, une main crispée sur le drap, le souffle court… J'ai une putain d'envie de lui, là… Il me serre tellement que chacune de ses respirations se répercute comme un décharge électrique.

"Moxie…"

Un murmure rauque… Bouge… Qu'il bouge, non de Dieu !
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMer 30 Jan - 11:51

Comment décrire ça ? J'ai mal quelque part, mais tout est obscurcit par le plaisir en fait. Et je suis mort, ce n'est plus moi qui est vautré là sur le presque-lit, c'est quelqu'un d'autre. J'ai honte de moi, j'ai honte de lui.
Sa langue explore mon sexe, terrifiant. Je suis dans un tel état de nerfs que ça me fait un effet terrible. je fixe le plafond, complètement tétanisé. Et ça continue, encore et encore.... Je ne sais que penser de ces moments là. Comment se sent on après ? Serais je dégouté ? Dégouté de quoi ? Et puis, que ferais, là, juste après ?
Je sens ses doigts au travail, qui arrange tout ça pour que ça sois ... Praticable ? Et sa langue me presse, je me crispe, mon corps change, et moi aussi, ça "explose" de partout. Je me crispe légèrement, je ne veux pas me laisser faire, mais je me relache aussitôt, à quoi bon ? Tout est trop confus, trop de sensations, je ne sais plus trop ce qui se passe.
Puis il arrète, il retire sa langue. Je sens mieux ses doigts, qui s'occupe de la futur pénétration. Puis il les retire, je n'avait pas conscience que mon anus était dans cet état là ...
Son sexe se raproche de l'orifice, je le sens, mais je ne bouge pas un poil, je continue de fixer le plafond depuis tout à l'heure. il replie une de mes jambe, je suis comme une poupée. Un objet. je reste immobile en atendant que le plaisir et la douleur viennent. Tout en même temps. Son visage se raproche du mien et il m'embrasse, envahie ma bouche de sa langue, je bouge la mienne, c'est ce qu'on attend de moi ...

Il m'attrape de nouveau la queue. Et me pénètre. Enfin... Il arrète de m'embrasser et entre en moi tout doucement, je n'ai jamais tenter de percer un plafond du regard, mais là c'est bien partie... Il rentre si doucement, il ne veux pas me faire mal ? Mes ongles griffent le tissus, j'ai peur, j'ai terriblement peur, de la belle peur bien brute, mais pas de l'apréhension, car, ca y est, on en est là, c'est fini. Mais peur de quoi ? Sa main ne me fait pas mal, elle, c'est agréable.
Son pénis, sa main, les miennes, mon corps, le siens, ma bite, mon dos. Tout mélangé.

Je ne sais plus où j'en suis.

Il bouge lentement, il est rentré, pour ce que j'en sais. J'ai des remords soudain, j'ai été si "indélicat" avec la gent féminine, mais là je paye bien. Dieu m'a peut etre abandonné pour ça aussi ...
Il teste un peu le périmètre et j'ai mal, un peu. Il est en moi.... Je suis envahi, je ne peux plus bouger au risque de lui faire mal. Et comment puis-je seulement songer à oser bouger ? Blasphème ! Mais il ne fais pas encore de beau vas-et-viens de bourrin en manque. Il est tout contre moi, il ne me dégoute presque plus. Je suis détendu, comme peut être détendu un mort. Et il est en moi, sur moi, il attend.

Il attend quoi ?

La tête contre mon cou, coller à moi, il ne bouge pas beaucoup, mais ses intentions sont claires, et je ne suportes pas cette immobilitée, elle me terrifies, j'ai besoin que ça bouge. Là, tout de suite !


-Moxie ...

Il dit mon nom, et je me met à faire des aller et venu avec mon bassin. J'enfonce mes ongles dans son dos, pour gérer la douleur, qui n'est plus très importante. J'ai du mal à respirer correctement, c'est trop saccadé. Le plaisir me coupe le souffle, et je continue à lui labourer le dos de mes ongles, je malaxe, je le sert contre moi. Je gémit ... Je vais venir ...
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeMer 30 Jan - 18:01

Ca y est… Ca y est ! Il bouge, il ondule, il va et vient… Je pousse un soupire de soulagement. Il n'est pas régulier, mais cela importe peu. Ca lui plait… forcément ! Sinon il ne bougerait plus, il pleurerait comme tout à l'heure. Non, là, il aime. Il aime tellement que ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Mais cela ne me dérange pas. Abandonne toi totalement, oublie tout… Devient mien. Entièrement. Bientôt tu ne seras plus capable de regarder quelqu'un sans penser à moi… Alors toucher quelqu'un… Même pas imaginable.

Je m'empare de ses hanches et le stabilise. C'est à moi de jouer maintenant. Mouvements profonds, réguliers, un peu brutaux, mais pas trop douloureux… Il se cambre, il crie… Je le sens qui se contracte autours de moi. Déjà ? En même temps, je n'y suis pas étranger. Sais-tu quel est cet endroit que je percute sans cesse depuis que j'ai repris le contrôle mon petit Moxie ? C'est ta prostate. Un point très sensible chez l'homme comme tu peux le remarquer… Il se contracte d'un coup, brusquement, se cambre.

NON !

Je m'arrête, ressors presque entièrement. Un gémissement de frustration m'échappe. Pourtant c'est moi qui ait tout arrêté. Je souris. Il était au bord de la jouissance, juste devant le précipice… Et je l'ai retenu. Toujours prisonnier, toujours mien… Tu veux que je te délivre, Moxie ? Tu veux jouir ? Je me penche sur lui. Entre de nouveau dans son corps. Je l'embrasse. Lèvres, cou, tempe, lèvres à nouveau…

"Est-ce que ça valait la peine de faire tout ce cinéma, d'avoir peur comme ça ? Est-ce donc si désagréable ?"

Ma question n'attend pas de réponse. Il a été sage, maintenant il va être récompensé. Ma langue passe sur sa joue. Descend dans son cou. Suçon.

"Pyth. Le nom que tu dois prononcer quand tu vas jouir, Moxie. Le nom de ton maître. C'est Pyth." Je marque une pause. "Regarde moi."

Et j'accélère de nouveau. Il perds pied encore plus vite. Je sens qu'il ne tiens plus. Mes doigts se referment sur sa hampe et impriment un rythme identique à celui de mon bassin. Et rapidement je sens son intimité qui se referme violemment sur moi. Je me laisse aller, ce n'est plus la peine de faire durer. J'ai eu suffisamment de mal à obtenir son corps, sa soumission… J'ai bien le droit d'en profiter, moi aussi. Le liquide chaud coule sur mes doigts alors que je m'arrête.

Délicatement, je m'extrais de lui et pose un baiser, doux, sur ses lèvres avant de porter mes doigts à ma bouche et de lécher sa semence. Je ne le quitte pas du regard et je finis par lui dire, un sourire aux lèvres:

"Tu es sublime. Je ne regrette pas mon acquisition."

Cruauté… Juste par plaisir. Parce que c'est gratuit… Il est à moi. Pour toujours. Même si je ne reviens jamais réclamer mon du, il sera toujours à moi. Et cette simple constatation me plait. Je me détourne ensuite de lui comme si il n'existait plus et part à la recherche de mes fringues. Boxer. Futal. Pompes. Je sais ce que je suis en train de faire… Je ne devrais pas. Je l'ai déjà beaucoup blessé. Agir comme ça, comme s'il n'était qu'un trou dans lequel je me suis vidé. C'est juste lui faire du mal… Mais il m'a trop résisté. Toute cette mise en scène n'aurait pas été nécessaire s'il s'était soumis. Je n'aurais pas eu à le détruire, à le briser comme ça. Je m'éloigne de la table où il est étendu. Je ne le regarde même pas. Je sais qu'il ne partira pas.

Bon, où sont ils ? Je sais qu'il y en a en salle de torture, je les avais vu lors de mon exploration des lieux, mais je ne sais plus dans quel placard. Je n'ai jamais eu besoin… C'est la première fois que je détruis autant les fringues d'un type… Ah ! Bingo ! Des uniformes de détenus. Je regarde les tailles. Prends la plus petite. Déplie. Ouais, ça devrait aller. De toutes façons, j'ai juste besoin d'un t-shirt et d'une chemise. Je retourne vers la table verticale et récupère ses fringues avant de poser le tout sur le lit où il est toujours.

"Rhabilles toi, Moxie. Je vais te montrer ta cellule."

Je m'éloigne de lui. Où est ma propre chemise ? Ah, la voilà, sur la chaise. Je la remets. Attache les boutons. Dégage mes cheveux du col. Puis lui fait de nouveau face. Où en est-il ?
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeJeu 31 Jan - 10:45

Il reprend le contrôle, totalement. Je me met à hurler, mes mucles se contractent, tout devient floues, des étoiles partout. la douleur est totalement eclipsée. Il tape juste au bonne endroit, ce con.
Puis tout s'arrète, quel enculé !
Juste pour me faire chier (la seule explication possible ... ) il m'a retenue, il tire sur la laisse. Malaise. Il m'embrasse, c'est la première fois qu'on me refuse ça, comme ça.


-Est-ce que ça valait la peine de faire tout ce cinéma, d'avoir peur comme ça ? Est-ce donc si désagréable ?

Oui bien sur, me punir d'avoir resister, d'avoir voulu protèger mon integrité. Il lèche mon cou, qu'il a pourtant mille fois exploré par tout les moyens possible et imaginable. Ca ne le lasse pas. Il me fait un suçon, je frissone, tout mes nerfs sont à vif après le traitement que j'ai subit.

-Pyth. Le nom que tu dois prononcer quand tu vas jouir, Moxie. Le nom de ton maître. C'est Pyth. Courte pause. Regarde moi.

je le regarde, je le fixe, et ça reprend, je continue de le fixer, et ça revient, ça vas plus vite, je suis prèts, je me laisse aller. Je dirai son nom, si j'y arrive. Ca monte, je viens ...

- Pyth ...

Ca monte en saccade, ça explose en moi, je me contracte, je ferme les yeux, il quitte mon champ de vision rétrécie. Mon dos se décole de la surface ou il est posé. Tout disparait ... Confusion ...

- Pyth ...

Puis je me relache, j'ai jouit, j'ai "tout lacher", je sens le liquide couler à travers ces doigts posé dessus. Les siens. A lui. Je ne le sens même pas se retirer. Moi je retire mes ongles de sont dos, le bout est en sang, j'y suis vraiment aller, mais ce n'est rien comparer à ce qu'il m'a fait, lui.
Et je "reprend conscience", j'ai rarement prit un tel pied, c'est triste à dire mais c'est la vérité. Là je me sens genre ... Vidé, épuisé ... Détruit. Devasté de l'interieur.
Quant à lui, il pose un petit baiser sur mes lèvres avant de lécher ma mixture en me fixant d'un regard digne de lui, ouais, on me l'avait jamais faites celle là tiens ...


-Tu es sublime. Je ne regrette pas mon acquisition.

Et après cette phrase, il se lève, sans un regard, sans une phrase. Rien. Il part en quète de ses fringues pendant que je me gèle sur le lit. Je n'ai pas bouger, j'ai toujours cette jambe connement repliée. Mais ça ne dure pas, j'essaye de m'assoir sur le lit, mais disons que ... Une certaine partie de mon anatomie en à pris plein sa gueule, pour la première fois, et c'est un peu chaud donc. Je me ralonge. Et de toute manière je suis trop fatigué pour faire quoique ce sois, même psychologiquement je n'en peux plus, bien sur. Pauvre con ... Pauvre victime. Je me foutrai même une baffe tiens. Pourquoi avoir été totalement contre l"idée de baiser dans le fond ? L'effet pervers du conditionement moral que l'on subit dans toutes société dites civilisées ? J'ai beau me rationaliser avec des arguments à la con digne d'un gamin de 12 ans, ça ne marche pas.

Je suis détruit.

Monsieur, lui, retourne à ses petites affaires de rhabillage après avoir posé mes fringues plus d'autres, immondes, pour remplacer le T-shirt destroyed. Il m'a tout de même adresser un ordre, celui de me rhabiller moi même. S'pas tout ça mais j'ai une cellule à occupé, faudrait pas que je l'emmerde non plus avec mes petits problèmes anals quand même hein ! Ce qu'on a fait ... Ce qu'il m'a fait, là est toute la subtilitée ...

Il m'a violé.

Soudain, je m'agripe sans douceur au bord du lit, passe la tête par dessus, les hauts le coeur me viennent, incontrolable. Le peu que j'ai manger ce jour là revient, je vomit. Un belle flaque que voila. Les spasmes me mettent les larmes au yeux, mais je ne suis pas trop troublé, ça m'arrive si souvent, il faut voir ce que je m'enfile comme alcool. Forcément ça à des impact ça ...
Je m'essuie la bouche avec la main et me remet à pleurer, encore, à croire que je n'sais faire que ça. Je replie mes jambes contre mon torse, souillé de salive, j'ai même un peu de sperme entre les cuisses, et du sang un peu partout, en traces légères, pas une grosse boucherie. Le F ! je l'avais oublié celui là... Ca, ça serait au cas où j'arriverai par hasard à m'en remettre à peu près et de "rencontrer" quelqu'un d'autre. J'imagine bien le dialogue " Aow marrant c'est quoi ce F ?! Une ex-conquète ? Une perfomance de scarification ? " et là je me mettrait à pleurer et je partirai en hurlant.
Je me crispe à cause de mes sanglots. Chouette vie que voila ...
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeVen 1 Fév - 19:20

Il n'a même pas bougé. Bah, il a certainement besoin de temps. Il doit être un peu secoué et je ne fais pas grand chose pour l'aider, là… Bon, je vais passer un coup de nettoyage. Je me dirige vers le jet… Bah oui, une salle de torture, on nettoie ça au jet d'eau. Ca vire le sang facilement. Je commence à dérouler le tuyau et au moment où je vais ouvrir l'eau j'entends un bruit inattendu. Je me tourne brusquement. Il est en train de vomir.

"Moxie !"

Ce que je tiens en main tombe au sol alors que je me précipite sur lui. Merde ! Merde ! Merde ! Pyth, tu es un abruti ! Tu as réagi comme un con, tu aurais du le préserver ! Putain ! En quelques pas, je suis à ses côtés mais je ne sais pas quoi faire. Il s'est roulé en boule, en larmes. Il tremble. C'est certainement con, mais bon, j'attrape le drap que j'avais viré sans douceur (par chance, il a vomi de l'autre côté) et je le pose sur lui. Délicatement, je le redresse contre moi et termine de l'enrouler dans le tissu blanc. Je ne dis pas un mot alors que je le serre contre mon torse. Avec un pan du drap, j'essuie son visage. Oui, c'est de ça qu'il aurait besoin, d'une bonne douche. Mais je crois que le jet d'eau glacée, ça sera pire que l'eau à peine tiède des douches de Sadismus. Je le berce doucement, passe ma main dans ses cheveux.

Bon… Pythagoras de la Flaam Vs Moxie Flanagan, deuxième essaie…

"Ecoute, Moxie, la haut, tu pourras prendre une douche, ici je n'ai que de l'eau glacée. Je vais t'aider si tu veux, d'accord ?" Je marque une pause. "Ton… ton corps… ce que nous venons faire. Considère qu'en échange tu peux avoir ce que tu veux. Tu auras ma protection. Si quelqu'un te fais du mal, il le regrettera et tu peux être certain qu'il ne lui viendra plus à l'idée de se prendre à toi. Même pas pour se venger. Mais tu peux aussi me demander des choses matérielles. Ce que tu veux… D'accord ?"

Putain. J'aime pas ça. C'est comme si je l'avais violé. Il était d'accord, pourtant, non ? Il a aimé… Non ? Je ferme les yeux alors qu'un frisson me parcoure. Il a aimé, n'est-ce pas ? Tu as aimé, hein ?

"Moxie…" Ma voix est basse… Je suis ridicule… "Je ne t'ai pas fait mal ? Enfin… Là bas, si… Je sais… Mais… ici… là… Je ne t'ai pas fait mal, n'est-ce pas ? J'ai fait attention à ce que tu ne souffres pas… non ?" Pause. "Dis moi la vérité…"

Ma voix est un murmure. Je ne suis pas un violeur ! L'image d'Edward me revient à l'esprit. Je ne suis pas un violeur ! Mon corps se crispe.

JE NE SUIS PAS UN VIOLEUR !!!

Je le repose doucement sur le lit et je murmure.

"Prends ton temps. Je vais nettoyer tout ça, d'accord. Après on remontera. Je te montrerai les douches. Et ton lit. Tu pourras dormir un peu."

Mes doigts passent dans ses cheveux, sur son visage. Tendres.

Je me lève et ramasse mon tuyau. Je passe de l'eau sur la table verticale et me rapproche de lui. Il faut que j'évacue ces rejets, l'odeur de la salle sera intolérable, sinon. J'ai été trop loin avec ce gamin, mais il m'a berné. Il a tellement résisté… Mais il ne pouvait pas savoir, il ne pouvait pas devine… Il ne savait rien de cet univers. Je soupire… et pose de nouveau mon regard sur lui.

Moxie…
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeVen 1 Fév - 21:25

Je ne l'ai pas entendu arriver, mais il est là. Il me prend dans ses bras et met le drap autour de mon corps, comme si il devinait que j'avais froid là... Malheureusement le froid interieur qui m'envahit ne se soigne pas à coup de draps, je me sens vide et moche. Ma vie ne me conduira à rien, je ne sais même plus ce que je voulait faire à la base, je me suis perdu en route et on m'a arraché les ailes.
Pyth essaye de me réconforter en me berçant et en me carressant les cheveux, comme si ce n'était pas lui qui avait fait le mal ... A t'il conscience de ce qu'il fait déja ? il m'essuie le visage de mon vomit avec le drap, ouais, c'est mieux. J'aimerai me débattre et m'enfuir, mais je ne peux pas, pas la force, larve un jour, larve toujours. Et puis toute tentative de fuite est vaine, si ce n'était pas lui, ça aurait été un autre. Derrière chaque homme se cache un être capable de me faire du mal.


"Ecoute, Moxie, la haut, tu pourras prendre une douche, ici je n'ai que de l'eau glacée. Je vais t'aider si tu veux, d'accord ? Petit silence. Ton… ton corps… ce que nous venons faire. Considère qu'en échange tu peux avoir ce que tu veux. Tu auras ma protection. Si quelqu'un te fais du mal, il le regrettera et tu peux être certain qu'il ne lui viendra plus à l'idée de se prendre à toi. Même pas pour se venger. Mais tu peux aussi me demander des choses matérielles. Ce que tu veux… D'accord ?

M'aider à quoi ? A me dessaper ? Et me payer ? je suis une pute ? Putain mec, me retire pas le peu de dignité qui me reste en me disant que je suis d'accord .... merde, j'accepterai pas une biscotte de sa part maintenant. Et il se met à me parler à voix basse comme un gamin qui a fait une connerie :

Moxie…Je ne t'ai pas fait mal ? Enfin… Là bas, si… Je sais… Mais… ici… là… Je ne t'ai pas fait mal, n'est-ce pas ? J'ai fait attention à ce que tu ne souffres pas… non ? Pause. Dis moi la vérité…

Il me remet sur mon cercueil blanc, que dire ? Que lui répondre ? le rassurer ? Lui dire la vérité ? Le laisser dans son concon de connerie et d'aveuglement ? Enfin ... Lui ne me parle que de douleur physique ... Le con ...

-Prends ton temps. Je vais nettoyer tout ça, d'accord. Après on remontera. Je te montrerai les douches. Et ton lit. Tu pourras dormir un peu.

Et la il passe rapidement une petite caresse sur mes cheveux, avec tendresse, et prend une sorte de tuyaux. Et il me fixe, je me sens obligé de parler, de lui répondre, de lui dire.

- Pyth ... Je ... Je lui jette un regard supliant, j'ai pas l'habitude de parler, et surtout à un ... Tortionnaire... Tu m'as fait du mal, j'ai eu peur ... J'ai pas pu ... Ma voix se brise. Tu m'as fait du mal ! TU M'AS TUE !

Je me retournes, et j'essaye de planter mes ongles dans le mur, inébranlable, comme la volonté de Pyth. j'essaye de le briser, c'te saloperie de mur, il resiste, je n'ai aucune prise sur lui, aucune importance à coté de lui. Je me casse les ongles dessus, je hurle, rien à faire, il n'y a pas de trou vers la liberté dans le mur, pas de trou dans son esprit. Je me relache, je retombe.
Et d'une main, je prend mon boxer et mon futal, je commence à m'habiller, étrangement calme après la scène que je viens de faire. Pas la peine d'esperer un trou, j'enfile les bottes, façon automate. Mon regard est vide, mon esprit aussi. Il essaye de faire disparaitre ce qu'il viens de subir en faisant le grand vide. Et je reste assis là comme un con torse nu.
Je ne sais plus quoi faire, il n'y a rien à faire, je suis en dessous.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeSam 2 Fév - 8:50

Il parle… Et chacun de ses mots me fait mal aussi sûrement que s'il avait planté une dague dans mon corps. Je le fixe, comme pris par surprise. Je ne comprends pas… Et puis il termine…

"Tu… tué ? Que… qu'est-ce que tu veux dire ?"

Je fais un pas en arrière. Je ne bouge plus. Je ne comprends pas. J'ai toujours mon tuyau dans la main, les bras ballant, la bouche un peu ouverte. Je ne comprends pas…

Stephen !

Stephen, qu'est-ce qu'il veut dire ? Tué ! Mais non… Non, n'est-ce pas ? Je me rends à peine compte qu'il s'acharne comme un fou sur le mur. Qu'il a pété un plomb alors que moi je suis pétrifié. Peur… peur… mal… tué ! Ce n'est pas possible ! C'est faux ! C'est faux ! C'EST FAUX !! NON !!

Stephen !

Mon souffle s'est accéléré. Je sens quelque chose qui coule sur mon visage. Je ne sais pas ce que c'est. Je m'en fous. Je n'arrive pas à détacher mon regard de lui. Il me tourne le dos, me montre cette marque que je lui ai faite… Celle des esclaves. Un esclave…

Il est un esclave. Mon esclave. N'est-ce pas Stephen ? Aide moi. Dis moi… Je recule encore et cogne le mur. Non ! Non ! Je ne suis pas prisonnier, je ne suis pas sans échapatoire, je ne suis pas dos au mur… Non ! Non ! Non ! Stephen… Tué… tué, mal, tué, tué, peur, mal, peur, tué, mal, tué… Tué !!

"C'est faux…"

Ma voix est à peine audible, mais elle me permet de reprendre pied. Je le regarde toujours. Je fais en pas en avant. Je veux le toucher, mais je sais que je ne peux pas… Ce n'est pas possible… Je ne l'ai pas tué ! Je ne suis pas comme lui

"C'est faux… Tu étais d'accord… Ca t'a plus… Ca t'a plu ! Tu en redemandais. Tu as aimé ça !"

Ma voix enflent alors que je m'avance.

"Tu bandais comme pas possible ! Tu t'agitais dans tous les sens. Tu étais accroché à moi. Ca t'a plu ! Tu n'étais pas contre ! Tu ne me lâchais pas. Tu as aimé ! Et tu aimeras encore la prochaine fois ! Quand je reviendrai et que je t'ordonnerai d'écarter les jambes. Tu obéiras et tu aimeras. Encore. A chaque fois tu aimeras. Personne ne t'apportera autant de plaisir que je t'en apporterai. De toutes façons personne ne te touchera. Tu es à moi. A moi !"

Je m'arrête. Haletant. Je me suis approché de lui et quand je m'en rends compte, je recule. Je sors de la pièce. Je fuis. Instinctivement, ma main plonge dans ma poche, j'en ressors mon briquet. J'allume la flamme et passe nerveusement mes doigts dedans alors que je marche dans le couloir. Je m'arrête. Eteins le feu. Reviens vers la salle. Allume. Repars. Reviens. Passe mes doigts dedans. Eteins. Je glisse une clope entre mes lèvres. Simple réflexe puisque je ne l'allume pas. Je m'éloigne à nouveau puis reviens à pas rapides. Mes doigts passent à nouveau dans la flamme du briquet.

"Bouges toi, on monte !"

Ma voix est tranchante. Mais tout mon être trahis mon état…
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Moxie Flanagan
454215 Mister self destruct
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeSam 2 Fév - 10:32

Là, j'ai marquer un but. Il l'air d'avoir vu un fantôme, il recule d'un pas, à quoi pense t'il ? Je le fixe, l'ai vide, une larme coule sur son visage. Vas y, pleure un centième de ce que j'ai pleurer. Même une larme me suffit, ça a tellement d'importance pour moi, cette larme ... Il est dans tout ses états, effrayant l'impact des mots. Mes pleurs l'ont moins touché en fait.

" C'est faux ...

Il me dit ça d'une voix ridiculement basse. Puis sa voix s'élève, il avance vers moi, j'ai peur. j'ai peur qu'il me frappe, mais il me dit des choses pire que les coups, j'ai encore mal à la lève d'ailleurs.

-Tu bandais comme pas possible ! Tu t'agitais dans tous les sens. Tu étais accroché à moi. Ca t'a plu ! Tu n'étais pas contre ! Tu ne me lâchais pas. Tu as aimé ! Et tu aimeras encore la prochaine fois !

Ses paroles sont terribles, et totalement vrai, oui, j'ai jouit. J'ai lu quelque part qu'on pouvait jouir d'un viol. Mais même. Je culpabilise ... Je ressere mes jambes contre moi. Il m'a fait du mal ... Et il continue ... Il enfonce le couteau dans la plaie, je ne voudrais même plus y repenser, mais il m'enfonce. Je voudrais oublier ...

-Quand je reviendrai et que je t'ordonnerai d'écarter les jambes. Tu obéiras et tu aimeras. Encore. A chaque fois tu aimeras. Personne ne t'apportera autant de plaisir que je t'en apporterai. De toutes façons personne ne te touchera. Tu es à moi. A moi !

- ...

Je me met à trembler encore plus fort. Ses paroles sont si violentes, la possession je ne la discuterai pas, rien que l'idée d'être intime avec quelqu'un me révulse, et puis de toute manière, si il viens me voir en voulant me baiser, je peux difficilement resister face à lui ... Trop d'armes pour lui, trop de faiblesse de ma part ...
Et il s'avance, la peur s'empare totalement de moi. Je fuis loin, au fond du lit, le plus loin possible de lui. Peur. Il vas me frapper ! Je protège mon visage avec mes bras ...
Mais là, il recule et il sort de la pièce, son briquet à la main. Et moi je prend conscience de la peur que j'ai eu en sentant un liquide chaud sous moi.
J'me suis pissé dessus.
J'ai donc si peur que ça ?
Je suis seul dans la salle, je ne sais pas quoi faire, elle est grande, elle est vide. Pyth parti, les instruments terribles redeviennent de simples objets. Mais il revient, et repart, ne m'accordant pas un regard. Il tient son briquet à la main. Puis il s'en vas de nouveau, je suis assis dans ma pisse et je le regarde. Et là il revient. Il porte sa cigarette à ses lèvres ... Une cigarette.


-Bouges toi, on monte !

Il a l'air mal, je n'aime pas son regard, il tremble. Et là, j'ai l'illumination, je ne sais pas pourquoi, mais je vais preserver son auto-persuasion. Qu'il n'assume pas ses actes, j'assuemrai les miens... Je me lève, les jambes tremblantes, un peu de pisse coule sur le sol. Je suis si fatigué ... je le regarde d'un air de cocker battu et dit .

- Tu m'passes une clope s'teu plaît ? et du feu aussi si c'est pas trop demander ...

Ouais, il a dit qu'il me donnerait des trucs materielles si je le voulait hein ? Contre mon corps ? Ben voila mon coco, à toi de jouer. Il me la refuse, il admet, il me la donne, je suis sa pute. La logique est simple, je renonce, j'abandonne. Ok, j'était volontaire, j'ai jouit tout ça. Files moi ma clope !

Je me rassois et je me remet à pleurer .... Quel originalité ... Enfin c'est une bonne occasion là.
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MessageSujet: Re: En dessous.   En dessous. Icon_minitimeSam 2 Fév - 16:51

Il se lève. Parfait, je vais lui montrer sa chambre… il me demande une clope… Je m'immobilise. Une clope ? Ouais, une clope. Le paquet, même, je m'en fous. Je le lui balance. Je sais même pas combien il reste de clopes, là dedans. Par contre pour le feu… Hors de question que je lui file mon briquet. Faut que j'en taxe un à quelqu'un pour lui donner, mais le mien il restera à moi… De toutes façons, je doute qu'il veuille un briquet aux armes des De La Flaam… Quoi que, ça lui permettrait d'avoir une idée de ce qu'il a dans le dos… T'es con, Pyth !

"Pour le feu, faudra te démerder. Et évite de fumer dedans de toutes façons. Tu te ferais griller trop vite. Y a un coin dans la cours où vont les fumeurs. Tu devrais y trouver des allumettes."

Il est de nouveau assis et il pleure. Fait chier ! J'ai repris contenance. Est-ce parce qu'il m'a demandé une clope ? J'en sais rien. Vraiment… Et je m'en fous totalement. Maintenant, il m'énerve. Vivement que je le foute dans sa taule.

"Merde ! C'est pas bientôt finis le gosse larmoyant, là ? Il est où le mec qui m'insultait ? T'as aucune fierté mon gars ! Lève toi et arrête de jouer la comédie. Oh ! Putain ! Tu t'es pissé dessus ? Non, mais j'hallucine, là ? C'est la première fois qu'on me la fait, celle là !"

En quelques enjambées, je suis à sa hauteur. Je l'attrape par le bras et le force à se lever… N'était-ce pas comme ça que je l'avais amené ici ? Je le pousse en avant et le regarde tituber vers la porte. C'est une vraie loque ce merde. Agréable à détruire et à sauter, mais après, y a plus rien, plus personne… Abonné absent.

"Tu fais pitié."

Et il n'a même pas mis de chemise. Il n'a même pas cherché à cacher la marque que je lui ai faite… C'est pas plus mal. Il est ma chose, que les gens le sachent, il ne me l'abîmeront pas. Le pose ma main à plat sur la marque.

"Allez, avance !"

Et il le fait. Il part dans le couloir. J'éteins la lumière de la salle et lui indique l'escalier. Il a l'air de moyennement tenir sur ses jambes alors je me mets derrière lui, dans l'escalier. Mais vu l'odeur, je préfère qu'il se casse pas la gueule… Il chancèle à un moment, mais on sort indemne de cette épreuve. Là. C'est par là, les cellules, Moxie… Je le pousse sans trop de douceur…

Cellule B.

"Tiens, c'est là qu'est ta piaule. Tu prends le dernier pieu libre. C'est le tien. Non, non, n'entre pas. C'est pas là qu'on va. C'était juste pour information, ça. Tu vas au fond. La dernière porte là bas. Ouais. Les douches !"

J'ouvre la porte et l'y pousse.

"Là, y a des uniformes et là du savon et des serviettes. Tu demanderas à tes coloc' où est la laverie. Amuses toi bien… Et à bientôt."

Je referme et je me barre.
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