Macabre Rencontre...[Pv Ian Mon Petit mari <3]

Elyan

Je m’avance doucement, pourtant une main sur le mur pour me tenir. J’avais mon autre man sur mon visage et la douleur règne entièrement dans ma tête. Je sens que tout autour de moi va s’écrouler sur mes épaules. J’ai un mal de tête affreux qui me hante mes pensés et mes mouvements. Je marche un peu croche en me collant un peu sur le mur. Je ne sais pas ce qui s’est passé….vraiment…

Je pense que depuis que j’ai tombé tête première sur la roche, mes sens se mélangent comme un tourbillon de tornade qui me détruit le cerveau. Je vois flou et je vois des visages qui rient de moi. J’essais de les ignorer en sachant que je dois pas redevenir fou….comme autre fois. Moi, Elyan…je suis un homme qui se battait de sa maladie avec sa folie…et je dois encore me battre dans un corps qui n’est pas le miens…

Je respire fort et je panique. Avec ma plus grande des malchances, j’essais d’éviter les gardiens ou autre personne. Je vois que je suis seul dans le couloir qui me parait profond, long et sombre. Je me sens très malade, alors je ne veux pas que quelqu’un viens. Sinon je ne sais pas ce que je ferais à cette personne…innocente ou non…Je me suis promis de ne faire mal à personne depuis la mort de mon dernier enfant et ma bien-aimée.

Après quelques minutes à marcher et à essayer de trouver un endroit où je pouvais me calmer, je vis une personne non loin de moi. Je reste figé pendant quelque instant. Je remarque que c’est une femme….triste? Je la contemple pendant quelques secondes et puis…j’essais de contrôler mes pulsions d’enragé meurtrier. J’aimerais lui dire de partir…mais rien veut sortir de ma bouche…rien me vient dans la tête.

Je me redresse avec un grand effort et puis je marche quelque pas à l’aveuglette, toujours ma main sur ma tête.

- Dé….soler….

Je tombe à genoux par terre. Ma tête tourne vraiment et je pense que je vais devenir de plus en fou sans contrôle. Je ferme mes yeux et je gémis de douleur.

- Dé…soler….

Dis-je encore. C’est les seuls mots que je pouvais prononcé et qui viens dans ma tête. Je ne pense plus à la femme que j’ai vue et c’est comme si elle devenait une autre personne. Celle que j’ai….violé avant de mourir…pour venger celle que j’ai aimée…

- Dé..soler….

Elyan

Ça ne va pas...? Où avez-vous mal? Voulez-vous que je vous emmène à l'infirmerie...? Vous avez besoin de quelque chose en particulier? Je peux vous le ramenez…

Sa main de pose sur mon épaule avec tant de douceur que je ne savais plus quoi faire. Sa voix et son aura est d’une telle féminité que mes pensés croche se misent à danser autour d’un feu. Pourquoi m’aidait-elle? Elle ne sait pas ce que je vais faire à elle si elle ne part pas. Mais dans un fond, je lui ai demandé de l’aide…sot que je suis.

Je pris son bras. Je lève les yeux avec un regard de douleur imprégné de bestialité. J’ai tellement mal que je pourrais faire n’importe quoi pour apaisé la douleur. Cet agoni peut me rendre fou et insensible aux choses. Je déteste cela.

- Non…j’ai besoin de rien pour l’instant, dis-je bas et étouffé, je ne veux pas….aller dans l’infirmerie…je ne veux pas…tout ce que je veux c’est…

Soudainement, je perçu une ombre derrière elle. Ma tête heurta quelque chose, mais rien n’était là pour me frapper. Je commence à devenir bizarre avec une douleur dans ma poitrine. Je pris la femme dans mes bras et je lui flatte ses cheveux avec une douceur sombre. Je ne sais pas ce que je fais. Je me suis mis à penser à Tessa et Toky. Ma femme et ma fille que j’ai tant aimé qui m’ont changé la vie. Je ne laisse pas une ouverture dans mon emprise. Je serre donc très fort en me balançant. Je chantonne en fermant mes yeux. Ma douleur ne veut pas s’estomper. Ma douleur….

- Ma chère et tendre douleur dans mon cœur, pourquoi ne veut-tu pas partir pour alléger ma souffrance depuis tant d’année. Ô toi qui est si sombre et pure…pourquoi me hante tu comme une croix dans mes cicatrices? Comme le sang qui coule dans les draps noir du berceau de la mort? Pourquoi…pourquoi moi?

Elyan

Vous… vous pouvez me parler … si …si vous voulez.

Je ne me rendis pas compte qu’elle parlait. Je continue de jouer avec ses cheveux avec le bout de mes doigts. J’accote ma tête ensuite sur la sienne et mon chantonnement se fut plus mélodieusement sombre.

- Non….non chère et tendre douleur… Je suis rien qu’une lueur dans le néant de la peur. Toi, douleur si profonde qui tombe dans les catacombes, tu me fait chavirer dans le plus sombre de mes pensés.

Je pris son bras fermement et je la porte vers moi. Je me frotte sa main sur mon visage avec une douceur tendre et passionnée. Je profite de sa peau si féminine et soyeuse au toucher. Je sens la féminité à travers la douceur que je contemple. Je la tien de plus en plus fort.

- Tu est si noir que je ne peu pas te voir. Tu me berces en me perçant le bonheur de mon cœur. Tu es la douleur que je n’ai jamais voulu…

Je lèche le bout de ses doigts et je me frotte encore sur celle-ci. J’aime la douceur des choses…que j’en deviens fou. Ma voix est de plus en plus rauque et paisible imprégnée de colère.

- La douleur représentant le fantôme de mes entrailles. Tu es la folie de ma vie, la mort de mes remords….

Je pris sèchement une poigné de cheveux de la femme et un rire démoniaquement aigu s’échappe de ma gorge. Je tire par en arrière pour voir la gorge si appétissante. Je dépose mes lèvres doucement avec sensualité.

- Ô toi douleur que j’ai toujours détesté….je veux te dominer…je veux te montrer ma vie que je veux vivre…mais pourquoi tu est toujours à mes pieds…me donnant tout ses souvenirs….toute cette honte?…toute cette colère?

Je continue de rire. Ah! Quelle joie…….très belle joie…

(merci )

Elyan

La...Lachez..moi!

Quel joie….quel joie…sa voix résonne en moi. Résonne comme un tambour de plaisir.

Lâchez moi! S'il vous plaît, lâchez moi! Arrêtez...!

Oh…comme sa voix aigue me fait sourire et trembler de joie. Je me réjoui soudainement et cela m’excite. Je l’ignore à moitié, ne voulant pas lâchez prise. Mes lèvres adorent sa peau …et ma langue veut goûter aussi. Sur ce, je la lèche avec délicatesse en déposant un peu de salive pour donner goût.

- Cela donne rien, toi douleur, de crier et suppliez l’aide. Tu ma longtemps suppliez pour que je t’endure. Maintenant, c’est...ton tour..oui…ton tour toi douleur si cruellement vraie…

Je dépose avec férocité le corps de la femme par terre en lâchant prise ses cheveux. Je l’immobilise les bras avec une main et mon corps sur elle. Je la sourie...avec une innocence sombre. Je me réjouie et je m’amuse…tellement…

- Aimerais-tu que je te fasse ce que tu m’as fait faire à ses nombreuses qui hurlaient dans la nuit de la pleine lune?

Un sourire mesquin et lourd apparaît sur mon visage.

- Tu vas voir…comment tu vas avoir…honte de ton hôte!

Je l’embrasse avec une tendresse et une douceur bestiale. Ma main libre se décide d’enlever les boutons doucement sur la chemise de la femme et l’autre tiens fermement ses mains. Je ris avec une voix aigue…encore.

Quand j’enlève le premier et le deuxième bouton je commence à chanter toujours avec une voix joyeusement sombre et très étrange.

- Un deux…se cachant dans l’ombre …

Ensuite, le troisième et le quatrième.

- Trois quatre… le tueur sans vie attend et attend…

Ensuite, le cinquième et le sixième.

- Cinq six…pour assouvir sa vengeance…de sa douleur éternelle…POUF!

Je détache tout les autres avec un mouvement de main rapidement.

- Il tue…tue pour le plaisir …pour ensevelir son passé et ses remords…

J’ouvris sa chemise pour mettre ma tête sur sa poitrine. J’essais de rechercher un peu de chaleur féminine pour m’exciter encore plus. J’en veux plus..plus…plus…

Je pris son soutien gorge avec mes dents pointus et je la déchire avec un coup violent. Je sais comment m’y prendre…j’ai toujours fait cela. Je remis ma tête en j’attend quelque seconde. Mon corps se balance étrangement en ronde et je ris comme un fou en cachant mon visage. Je chantonne en frottant ma tête comme un chat sur son maître…j’adore cela…

Elyan

Elle se débat avec force, mais pourquoi? Suis-je dangereux? Suis-je un monstre?

Je la retiens plus fortement et un rire rauque s’échappe de moi encore plus fort. Un monstre…c’est ce que je suis?...Maintenant je suis atteint et perdu. Je tremble et sourire amèrement. Je pose ma bouche sur un de ses seins et ma voix se fit très sombre.

- Un monstre n’est-il fou? Un monstre n’est-il seul? Seul le monstre est….fou

Je lèche doucement la peau et je serre ma prise.

- Non douleur si sombre…si tu continues…je serais si exiguë …non douleur…reste dans ta stupeur…

Une colère noire s’empare de moi. Je tremble et de haine. Je me lève la tête vers elle, cheveux qui cache la moitié de mon visage.

- Tu est ce que je déteste…tu est ce qui empeste…

Mes mains se rejoignirent sur mon visage et un rire aigu et fou s’échappe. Ma tête se penche par en arrière sèchement. Je ris et je ris et je ris…

- La folie n’est pas permise? La folie est ma mise! Le monde me fui…dans la plus grande des envies…Je suis un monstre…


Ma tête reviens par en avant et je me balance d’en avant et arrière.

- Se cachant dans l’ombre … le tueur sans vie attend et attend… pour assouvir sa vengeance…de sa douleur éternelle… Il tue…tue pour le plaisir …pour ensevelir son passé et ses remords…?

J’arrête subitement de me balancer et je pris la femme pars les bras. Colère envahi mon visage.

-Toi! Toi qui est ma douleur!...tu dois savoir le sors de mes pleurs!

Je la tire vers moi et je pris la tête contre ma poitrine. Tristesse et douceur s’empare de moi. Je détache doucement mon veston tout en chantonnant.

- Tu à été ma reine, ma richesse, ma force…mais…tu a été ma perte, ma négligence…ma morale…toi…

Je lève sa tête et je l’embrasse. Un sourire dément se glisse sur mon visage.

- Maintenant…montre moi ta mort de ton sort…

Elyan

Elle me donne quelques coups de poing très faiblard sur moi. Je l’ignore, continuant mon but ultime. Oui…mon but….ultime de ma vie…Elle n’aime pas mes baisers? Elle me déteste…parce que je suis un monstre….oui…un monstre…un monstre sans cœur et sans âme…

-Arrêtez!Je vous hais…Je ne suis pas ce que...vous dîtes!

Elle hurle et elle hurle et elle hurle et….elle pleur et elle pleur et moi je souris et elle pleur et moi je souris…et…

- Ô comme ta voix est si stridente…comme une flûte qui chante…

Je pris ses deux bras et je souris…encore et encore et encore…en la regardant pleuré…mais…

- Arrête de pleurer, toi ma douce et belle douleur…sinon…

Je la frappe dans le visage avec une gifle et moi….je ris avec un accent aigu et je me balance la tête…je ris et je me balance la tête avec un air de colère.

- Je vais être le plus pire des monstres! Je me fou de ta douleur. Ô toi qui est sur ta splendeur. Tout ce que je veux c’est mon plaisir…comme l’amour qui me désir…

Je prends sa tête avec une main avec prenant sa chevelure très brutalement….très bestialement…très dangereusement…Mes geste son animal…et mon sourire assoiffé fait très cannibale…

- Je suis ce que tu est…tu est ce que je suis. Ô toi…toi qui es ma loi...Penses à ce que je t’aie dit…

Avec mon autre main, je lui pogne un sein.

-Arrête de te débattre...sinon je serai très méchant...oui…très très méchant

Je ris et je lui enlève son veston. Je vois sa poitrine si ferme et appétissante...oui…miam…Je la regarde fixement avec une douceur incomprenable.

- Et je serais le pêché de tes pensés!

Tout cela me rend comme un enfant gâté. Je suis si excité que j’ai envie d’aller encore plus loin…oui…plus loin….

- Laisse moi te goûter…