Mission torture

Je suis arrivée depuis un moment, Keira, avait trouvé une proie et m'avait savamment prévenue. Le rendez-vous était au sous sol...

Qui est-ce ?

Cette fille m'intrigue, je suis sure que le gardien qu'elle a trouvé doit-être coriace. Un de ceux qui profitent bien de leur position supérieure et qui jubilent de voir les prisonniers défiler devant eux tous les jours, un de ceux qui n'hésitent pas à user de leur force physique sans raison.

Mais ce ne sont pas eux les pires !

Le pire gardien que j'ai rencontré n'utilisait pas la torture physique il ne laissait aps de traces, il torturait l'esprit sans arrêt secondes après secondes, jusqu'à ce que les prisonnières en deviennent folle !

Si le gardien que Keira a trouvé est comme ça... Je me ferais une joie de le faire souffrir, encore plus que si c'était une brute sans cerveau !

Je regarde autour de moi, j'entends des pas qui se rapprochent. Je me recule dans un recoin sombre pour me cacher à la vue d'éventuels patrouilleurs. Cet accès est strictement interdit, et je suis ici non pas pour me retrouver attachée dans une de ces chambres mais bien pour attacher quelqu'un !

La personne passe devant moi! Je ne bouge pas, ne respire pas je me fonds dans le mur. Ça y est il est passé. Il avait la lueur de la tuerie dans les yeux.

En fait c'est ça la solution si tu es un tueur en puissance pour ne pas être condamné il faut être gardien de prison !

Je commence à m'impatienter, je sort de mon recoin et avance vers la chambre où l'on était quelques jours avant. J'entends des éclats de voix venant de l'intérieur. Je mets mon oreille contre la porte, une vois grave se fait entendre, je la reconnaitrai entre milles, c'est le gardien de mon secteur !

Je m'éloigne un peu plus et je trébuche sur un objet en fer un grand bruit se fait entendre. Je ne cherche pas à savoir ce que c'est, je coure me mettre à couvert. Bientôt je vois le gardien sortir sa tête regarder alentour, il a la mine patibulaire et son air renfrogné. Il a quelques gouttes de sang sur les joues, mais aucune blessure... Aucun doute, il n'est pas seul à l'intérieur et sa victime n'a même plus la fore de crier sa douleur, ou bien c'est une personne forte qui garde la bouche scellée. LE gardien parcourt le couloir de ses yeux perçants puis ne notant roen de particulier il entre à nouveau fermant la lourde porte ne laissant derrière lui qu'un grand bruit qui se répercute sur les murs. Je respire très doucement pour ne pas me faire repérer. Je décide de rester à couvert en attendant Keira.

Quelques jours plus tôt, je ne m'attendais vraiment pas à avoir une excellente semaine. J'étais dans un gouffre si monotone, je ne croyais plus à rien. Tout était ennuyant, calme, j'en devenais folle...

Puis, par le pur des hasards, je rencontrai une jeune femme, Zita était son nom. Si je me rapelle bien. Elle était tout aussi désespéré que moi. Je me souviens, nous nous sommes rencontré dans la salle de torture, comment sommes-nous arrivé là? Je ne me souviens plus... à oui, je l'avais suivit dans la vieille salle de torture. Alors seulement, nous nous somme parlé, et une plan machiavélique s'était enclanché...

Maintenant, cela fait quelques jour que nous nous voyons en secret, nous parlons de nos plan, de qui va être la victime. Le sort tomba sur Pythagoras. Selon des sources, il était le gardien parfait pour cette "mission" et il était plutôt corriace, à ce que l'on disait. Alors il va y avoir plutôt de l'action...

Samedi matin, nous somme dans l'avant-midi et je me dirige vers la chambre de torture. je viens de teminer mon repas. Mais cela ne m'importe peu, ce qui va suivre m'interreste bien d'avantage... Rendu dans le couloir, tout près de la chambre de torture, je vois Zita qui m'attend, à moitié caché. Je m'approche d'elle et dans un murmure, je lui dit;

- Alors, tout va toujours bien de ton côté? Car de mon miens, tout va pour le mieux. Il faudra juste aller chercher notre gardien... as-tu vu quelqu'un dans la salle? Si oui, alors cela va nous causé des ennuis à notre plan...

Je me tourne fièvreusement derrière moi avant de revenir vers Zita, qui avait parlé...

Dans notre salle il y a un des gardiens de notre aile. Mais il y a d'autres salles ce n'est pas ce qui manque ici !

J'avais parlé doucement les sens aux aguets, à l'affut de la moindre présence qui pourrait s'avérer néfaste pour nous. Après tout le sous-sol était strictement interdit aux prisonniers.

Je regarde Keira et lui demande tout bas

tu sais ou il est ?

Je reste très calme rien dans mes attitudes ne trahissent mon anxiété et mon impatience. Ma voix est posée et froide comme à l'accoutumée. Je regarde le couloir sombre.

On a une chance sur un million que ce gardien passe ici et maintenant

Je ne supporte plus de reste ici à ne rien faire, je sors de l'ombre et avance un peu vers les escaliers. Je pousse une porte et entre dans une des nombreuses salles de torture qui peuplent ce couloir, elle sont toutes presque identiques. J'appelle Keira.

Demoiselle viens par là, ne restons pas dans le couloir.

Elle hésite, acquiesce et entre après moi.

Tu sais ou le trouver ? il doit faire des rondes tu sais à quelle heure il doit passer ici ?

La pièce est sombre je m'avance vers l'interrupteur et allume. Une multitude de néons s'éclairent d'un coup, faisant briller les instruments tous plus effrayants les uns que les autres pour une personne normale. Keira et moi paraissons comme des poissons dans l'eau.

Je regarde la jeune fille, je la sonde, épiant le moindre signe d'anxiété, de peur ou de renoncement, j'observe son regard, ses mains cherchant à déceler un tremblement infime un mouvement incontrôlé.

Soit elle sait parfaitement garder le contrôle soit elle est sereine.

Que ce soit l'une ou l'autre des solutions ça me plaisait. Je lui dit avec un sourire

Bon on a la salle, les tortureuses, il ne nous manque plus que le torturé...

Je l'écoute distraitement parler, car l'impatience qui m'habite est aussi puissance que je ne peux pas penser à autre chose qu'à ceci. Je regarde donc tour à tour ma coéquipière, puis le corridor, puis la porte où se trouve le gardien...

Nous avions bien planifié notre plan. À cette journée et bientôt à cette heure, le gardien que nous avions choisit devait bientôt venir faire son tour. Je l'avait particulièrement observé, au point de me faire voir, car je voulais savoir tout les détails de celui-ci; Le jour où il passait par ici, l'heure qu'il y passait, ainsi que les salles qui devait fouiller...

Perdu dans mes pensées machiavélique, mais ingénieuse, je ne vois pas tout de suite Zita qui entre dans la pièce désigné. Je la suis. Un moment, la pièce est noir, puis l'insant d'après, mes yeux se font éblouir par la vive lumière des néons.

À la vue de cette pièce, à nouveau, mon sentiments de jouissance refait surface. J'aime encore et toujours cette salle, et j'ai tellement hate qu'elle serve...

Je me tourne vers Zita, qui venait de parler. Je l'observe. Elle était calme, mais je vois dans ses yeux la flamme vive de la passion. Elle a hate. Comme moi. Avec le même sourire, mais malicieux cependant, je répond à toutes ses questions;

- Effectivement, il manque le gardien... en fait le torturer. Il ne devrait pas tarder. sa ronde dans cette pièce ne doit pas tarder. Alors il faut vite nous préparer. Ceulement, je ne suis pas certaine que le prisonier male viendra. Mais bon, on verra bien ce qu'il nous réservera.

Je souris encore. Je fais signe à Zita de se préparer de son côté de la porte, puis j'en fais de même. Je ferme alors la lumière attendant fiévreusement qu'il s'ammène dans les pièges de la souffrance...