visite impromptue.[Shieft Lance]

Mes pas m’amènent jusque dans le couloir des prisonniers. Je flâne un peu avant de revenir dans ma chambre. Pas que je m’ennuis, cette journée avait été très riche en rencontre. Je veux être sûr que tout se passe pour le mieux avant de me relaxer pour de bon. Je jette un coup d’œil dans les cellules, je ne capture que des regards mauvais dans ma direction. C’est très bien, ça me fait presque sourire.
Je n’étire un peu les bras, je repense aussi qu’il y a quelques minutes à peine je tenais dans mes bras le doux Saki. Il m’a vraiment fait de l’effet celui-là. Son double m’a donné du fil à retordre mais finalement ce n’était pas si mal que ça.

Je passe près d’une cellule ou un homme essais de chiper un truc d’un autre détenu qui gueule au point de me percer les tympans. Je lui saisis par les cheveux et lui ordonne de rendre ce qu’il a dans les mains. Une fois fait je l’envoie bouler avec un coup point dans les cotes. Je déteste ce genre de mec, je le préviens que les sous sol ne sont pas si loin que ça de lui. L’effet est immédiat, il s’allonge pour ne plus bouger.

Je continue ma visite et je m’arrête devant une autre cellule ou rien ne se passe en particulier. Non ici tout est tranquille. Il y a un homme allongé sur son lit. Je le mate un peu plus longuement que les autres. Il a la même couleur de cheveux que moi, c’est assez marrant. Pas mon genre de proie. Mais il n’y a que cela que nous avons en commun. Je ne crois pas l’avoir déjà vu, ils sont tellement nombreux que l’on si perdait.

Il me parait être un gars très sûr de lui, peut être même un imbu de sa personne. C’est ce qu’il me semble au premier abord. Je m’appuis contre la grille de la cellule, mes yeux regardent un peu partout autour de lui. J’aime voir comment il habille leur nouvel environnement.

Arf, je rentre des sous-sol je suis complètement crevé, et de dormir par terre ça m'a tué le dos. Je décide donc de piquer un petit somme en attendant la bouffe du soir. Je m'endor assez facilement, mais bizarrement je n'arrive pas a voir de quoi je rêve en faite, c'est flou dans ma tête je vois de silouhette, mais je n'arrive pas a les distinguer. Je sens une certaine tension dans l'atmosphère, quelque chose de génant, je pense que c'est dans mon rêve, mais sans vraiment savoir ce que je fais, j'ouvre les yeux. La tension que je ressent ne fait pas parti de mon rêve, mais de la réalité.

Il régne un calme des plus déroutant, je n'arrive pas a comprendre d'habitude tout le monde fait au moins un minimum de bruit, mais ce silence est trés inquiètant. Est ce qu'il ce passe quelque chose ? je ne pense pas.....puis c'est a ce moment que je remarque qu'on m'observe. Ca semble être une femme, mouai, habillé d'une drôle de façon les cheveux de même couleur que les miens et plate comme une planche a pain. Qu'est ce qu'elle me veut ?

Elle est en train de scrupter la cellule. Je vois pas pourquoi il n'y a rien de bien particulier. Enfin peut être qu'elle veut quelque chose ! Mais attend voir, c'est parce qu'elle est la que tous les prisonniers se taisent ?

Je me lève, j'ai encore mal a mon genoux et a mon ventre mais je ne le laisse pas paraître. Je me dirige d'un pas sur, sans aucune peur vers l'entrée. Je la regarde, avec indifférence, j'ai même une tête de zombie. Je baille, maintenant bien évidement ma main devant la bouche, puis me gratte les cheveux montrant bien que je viens de me réveiller. Cette femme est vraiment un garçon manqué, aucune féminité, c'est pas comme Vlana.

"Désolé madame....ou mademoiselle, mais je sais pas ce que ou qui vous cherchez, mais pour le moment il n'y a personne a part moi, et vous le voyez bien j'essaye de dormir tranquillement.......c'est pas que vous me géné, mais j'aime pas me sentir observé même quand je dors....merci de votre compréhension.....", dis je d'une vois froide et basse.

Oula, je venais de parler comme si j'étais chez moi dans un apparte. Je me regratte les cheveux, et retourne ur mon lit, me laissant tomber. C'est a ce moment que je me rend compte de ce que je viens de faire....ce que je vien de dire c'est comme leur manquer de respect, au et puis trop tard, si jamais elle ne dit rien, elle me foutra la paix et je dormirais tranquil. Ne pensant même plus a cette histoire j'essaye de me rendormir bien sagement.

[^^ j'adore !]


*Non mais c’est quoi ce con … *madame*. Il se fout de ma gueule ou quoi !*

Je me remets droit sur mes pieds. Il vient de me manquer de respect. Il vient de m’insulter. J’ai réveillé môssieur et ça ne lui a pas plus. Je suis furax, je n’aime pas du tout être pris pour une gonzesse. S’il a mal vu je vais lui ouvrir les yeux en grand.

Instinctivement je pose une main sur mon sabre et je le caresse lentement. Je fais toujours ça quand je suis énervé, mais là le mot est faible. Cela me redonne aussi le controle sur mes émotions, je n'aime pas montrer aux gens ce que je pense réellement. Mais cette fois je crois que je ne peux pas faire autrement. Je n’avais pas l’intention de lui faire quoi que ce soit sauf qu’il vient de faire une grosse bourde. Et pour moi elle est de taille.

Je m’approche doucement de son lit. Il est de nouveau en train de s’endormir mais je ne vais pas lui laisser ce loisir. Je donne un grand coup de latte sur lui au niveau de son bassin. C’est le meilleur moyen pour qu’il prenne conscience de ma présence. J’aime assez ce genre de réveille matin. Le dernier qui a eu l’audace de me manque d’égard s’en souvient encore. C’est certain que maintenant saki aura un souvenir impérissable de moi. Et j’ai bien l’intention de recommencer.

L’autre sur son lit vient de se rendre compte de ma présence. Je lui lance un regard mauvais, ce n’est que le début. Se sera un véritable plaisir, j'aime vraiment cette journée.

-Debout et plus vite que ça … Je vais t’apprendre à faire la distinction entre un homme et une femme.

Je m’éloigne légèrement pour qu’il puisse se lever mais surtout pour me tenir sur mes gardes. Je ne connais rien de ce type. Mais ce que je sais c’est qu’il va passer un sale quart d’heure en ma compagnie.

Je me réveille alors a cause du coup que j'ai reçu dans le bassin. La vache je pensais pas que ca me ferait aussi mal. J'ouvre alors les yeux pour voir qui a eu l'audace de me donner un coup pendant que je dor, et je remarque cette même femme. Punaise, elle a vachement de force ! Pourquoi elle ne fou pas la paix ? Aprés tout je lui ai rien fait de bien méchant non plus. Je suis trop crevé pour riposter et puis je suis pas du genre a frapper, par contre si par malheur je réveille mon double, la je sais que je n'aurais aucun regret a le faire. C'est fou de prévoir les actions d'une autre personnalité qui habite a l'intèrieur de vous.....j'ai tellement de mal a expliquer comment ça se passe et ce que je ressent alors que ça me fait raconter des trucs bizarre.

Pour le moment faut que j'arrète de me concentrer sur moi, mais plutot sur cette femme. Elle me regarde bizarrement, et nerveusement aussi...enfin c'est ce que je pense. Tiens, voila qu'elle me parle, ça voix est assez grave, ca lui donne vraiment un air masculin, s'en est même marrant, mais j'ai pas l'impression qu'elle soit d'humeur a rigoler. Je me lève sans faire d'histoire toujours la tête dans le brouillard, seulement je reste sur mes gardes. Si l'envie lui reprend de me frapper je peux toujours essaye de bloquer son attaque.

"Désolé, mais je fait trés bien la différence entre les hommes et les femmes, voyez vous.....", je m'approche prés d'elle, je colle presque mon corps contre le sien.."Il suffit de quelques secondes pour vous dire que vous....", je commence a m'emporter c'est pas bon signe, je ne me rend pas vraiment compte, mais ma deuxième personnalité commence a prendre le dessus.....ma main se pose tout de même sur son entre jambe.

QUOI ! MAIS ELLE N'A PAS LES CARECTERISTIQUE D'UNE FEMME A CE NIVEAU LA !!!!!!!!!!!!!!!!!

Le choc, c'est terrible, j'ai en face de moi un transexuel............ma tête ne donne pas l'impression que je suis surpris, mais là, j'avou que je suis même effrayé.

"Que vous.....êtes un transexuel....."

J'en reviens pas, elle a pourtant un visage magnifique même si elle n'a pas de seins....et voila que je découvre une verge a l'a place du sanctuaire sacré....mais c'est quoi ce bordel, je vire ma main, qui était resté un peu collé, car j'étais tellement surpris que j'avais oublié de l'enlever.

Je ne sais pas si j’ai déjà eu un air con mais là je crois que je frise l’apoplexie. Je le regarde sans comprendre sur le coup. Puis je réalise la teneur de ses paroles.

*il vient de me traiter de … TRANSSEXUEL !!!!!*

Mes yeux s’agrandissent sous le choc. Les bras m’en tombent

*C’est quoi cet abruti, il est miraud ou quoi ???*

Je me recule de lui quand sa main quitte mon entrejambe. Sans plus de cérémonie je le frappe en plein visage. Je n’ai jamais été autant humilié de toute ma vie. Je suis dans une colère noire. Pour la première fois je ne contrôle plus mes émotions. J’ai une envie folle de lui arracher la tête.

De ce coup il est stoppé par le mur, sinon je crois que je l’aurais mis à terre. Il porte une main à son menton. Je l’ai frappé fort mais c’est encore trop peu.

-Et tu te permets de dire que tu fais une différence. Tu n’as jamais vu une femme de ta vie ou quoi. Si c’est les mecs qui t’attirent tu vas être servi avec moi pauv’con.

Je l’agrippe par ses fringues, le retourne contre le mur. Son visage est pressé contre celui-ci. Je me colle ensuite à lui. Mes mains viennent immobiliser ses hanches. Puis mon bassin se comprime contre ses fesses charnues. J’approche ma bouche de son oreille et lui souffle doucement.

-Tu me sens là … Tu vas voir si je suis un transsexuel … je suis et j’ai toujours été un homme. Tu viens de faire une belle gaffe. Mais peu importe, tu vas comprendre et faire une différence. Mais dis moi tu ne serais pas puceau … parce que là t’as même pas été capable de faire la distinction. Ou alors je suis si irrésistible que je te fais de l’effet.

Je commence à retire le bouton de son pantalon. Mes doigts sont agiles, et cette situation finalement m’excite. Je sais très bien qu’il ne le veut pas ; mais il m’a insulté. Il m’a pris de haut tout en sachant que j’étais un gardien et l’on ne commet pas cet impair.

-Je suis partant et toi ?

Je mets tout mon poids contre lui, je ne voudrais pas qu’il s’échappe. Le jeu vient de commencer.

Elle vient de me frapper....la vache c'est rare de voir une force aussi grande pour une femme. J'ai l'impression d'avoir la machoir déboité, mais peu a peu, je ne sent plus rien. Elle s'avance vers moi, sa voix me paré plus grave que tout a l'heure. Elle s'avance et me dis encore que je n'arrive pas a faire la différence entre homme et femme....depuis quand j'arrive pas a la faire ? C'est pas ma faute si c'est un trans.....peut être qu'elle a pas envie de dévoiler sa sexualité qu'elle s'énerve comme ça contre moi. Cependant, la fin de sa phrase me laisse perplexe. Comment ça j'ai une attirance pour les hommes ? Ca voudrait dire que c'est un mec......j'en suis pas sur, mais la fin de sa phrase m'en laisse douter.

Ma deuxième personnalité a prit cette fois ci le dessus.....

Je me retrouve coller contre le mur, mon visage pressé contre ce dernier. Elle...il.....je sais pas.........pose ses mains sur mes hanches, et colle son corps contre le mien. Même si c'est un homme, j'avou que je prend un certain plaisir a me faire toucher de la sorte. Je souris, et me mord la lèvre infèrieur. Mais il y a toujours un problème...même si je ne cherche peut être pas a me dégager, je sens bien qu'il m'en serait bien difficile.

Ca prochaine phrase me montra finalement que c'est un homme. Je comprend un peut mieux pourquoi il c'est énervé comme ca, mais cela ne fait que m'excité d'avantage. J'avou que son visage est tellement beau qu'on aurais pensé a une femme...enfin c'est ce que je pense, et j'avou qu'il peut être aussi trés attirant. Les hommes c'est pas vraiment ce qui m'attire, ca jusqu'a présent aucun d'eux n'étaient assez beau pour être l'équivalent d'une femme.....mais lui c'est une perle rare.

Il commence a défaire un bouton de mon pantalon, avant de me dire qu'il est partant. Je me met a rire, d'un rire a la fois malsain et quelque peu sadique. Je lui donne ensuite un coup de coude dans la tête, il n'a pas immobilisé mais main, et donc, sonné par le coup, il relache un peu prise. Je ne veux pas m'enfuir, non seulement être un peu plus a l'aise. Je me retourne, pour me trouver en face de lui. Il se touche la joue, et je continu a sourir. J'empoigne ses habit, et le tire vers moi pour qu'il me colle a nouveau.

"T'inquiète mon beau...."dis je en lui touchant le visage.... "tu n'es pas le seul a être partant.."

Ma deuxième personnalité commence a faire n'importe quoi. J'essaye de reprendre le dessus mais impossible.

Je rapproche alors mon visage du sien, dépose mes lèvres sur les siennes, puis je recule un peu mon visage, avant de l'embrasser avec fougue. Ma langue s'infiltre entre ses lèvres et joue avec sa jumelle.

Le choc m’a fait reculer de quelques pas. Putain il m’a fait mal, mais pas au point d’avoir la tête qui tourne. Je me masse ma joue endolorie. Je suis en parti en colère, une autre partie de moi est trop excitée pour lui en vouloir. Je scrute son visage, à la fois viril et sombre. J’aime ce mélange, j’en ai le cœur qui bat plus rapidement. Mais je ne dois lui laisser le dessus, ce n’est pas mon genre. Je suis celui qui a toujours dominé, il n’y aura pas d’exception.

Je n’aime pas vraiment ce sourire qu’il affiche. Ça ne me rien qui vaille. Pour un peu j’en aurais peur pour ma vertu, si elle existait encore. Soudain il s’approche de moi, un carnassier ce type. Cette fois s’est lui qui m’attire vers lui. Mon uniforme va en prendre un coup et je déteste qu’il soit froissé.

"T'inquiète mon beau....".... "tu n'es pas le seul a être partant.."

*Hein ??? Qu’est-ce qu’il entend par là, c’est moi qui doit diriger les opérations. Il ne fait quoi comme plan là ! *

Sa bouche dépose un baiser sur la mienne avant de la libérer. Un simple petit baiser, s’en est presque timide. Quand brusquement, il reprend mes lèvres pour un baiser moins chaste, il est effréné. Je suis tellement surpris que je ne fais aucun geste pour l’arrêter. Mon cerveau vient de se déconnecter de la réalité.
Je me rends soudain compte que je suis même en train de lui répondre.
Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Pourquoi je ne fais rien ? Est-ce qu’il me fait tant d’effet que je ne peux plus rien faire ?

Mais ma raison, mon honneur de gardien et d’homme est en jeu. Je pose mes mains sur son torse pour le repousser. J’ai même un peu de mal à le faire lâcher prise. Quand se fut fait, je le toise pour lui dire ces quatre vérités. Je ne supporte pas de ne pas avoir le dessus sur un détenu. Je le regarde droit dans les yeux, ce que j’y vois me fige sur place.
Tout reflète le désir, j’ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Pour la première fois je reste comme un con devant un mec aussi sexy que possible à cet instant.
Mu par je ne sais quelle pulsion, je lui saisis la nuque et l’amène contre moi, c’est rude, mais tellement bon. Maintenant c’est à moi de capturer ses lèvres. Le baiser est d’une force violente. J’introduis progressivement ma langue. Celles-ci joutent, tournent dans une danse sensuelle. C’est absolument divin.
Je veux prendre le contrôle, c’est moi qui dot mener le ballet. Mon autre main je tiens par la taille tout contre moi. Je stoppe le baiser si intense et le fixe droit dans les yeux.

-Je t’interdis de me parler sur ce ton …

Je sais qu'il en a envie, je le sent rien qu'en l'embrassant. D'ailleur j'aime beaucoup cette expèrience, mais avec un autre je ne pense que je ne ferias jamais. Non, c'est cette a la beauté d'une femme qui m'attire je veux pouvoir le connaitre dans ses moindres recoins le problèmes c'est qu'il est gardien et moi prisonnier. Donc je ne fut pas étonné quand il mit une barrière entre nous. A ce moment la, je regarde la cellule d'en face. Heureusement il n'y a personne donc personne ne saura ce qui ce passe dans la cellule. Le temps de me rassurer en regardant la cellule, je me remet a regarder cet Apollon, il a la bouche a moitié ouverte. Je pense qu'il veux me dire quelque chose, mais apparament mon baisé l'en a empéché.

J'éprouve une certaine attirance pour lui il faut que je me l'avou.....il est d'une telle beauté et son côté autoritaire et droit lui donne un certain charme. Il e rapproche de nouveau de moi et cette fois ci c'est lui qui prend possession de mes lèvres, j'adore ça, et je fait participer ma langue a la danse que mêne celle de mon partenaire. Cependant, il s'arrète, et cela me laisse le temps de revenir moi même.

Il a le temps de prononcer une phrase avant que je me rende compte de ce que j'ai bien pu faire. Mon égo en prend un grand coup et par reflex je le repousse, crachant par terre, comme si je veux me purifier. Qu'elle horreur moi qui aime tellement les femmes, je n'accepte aucunement ca....pourquoi je me suis autant laissé emporter ? Je m'essuis la bouche d'un revert d'une de mes manches. J'ai maintenant la facheuse impression d'être impur....mon corp si magnifique soit il est maintenant souillé......... Je le regarde, le gardien se tient a un mètre de moi, et son regard reflète l'incompréhension total. Je compte lui en coller une, mais mon corps ne bouge pas, il tremble de plaisir même....c'est effrayant, j'en ai plus qu'assez de ce double, je veux qu'il parte...pourquoi il a été créé ?

Mais il est maintenant trop tard, je reprend le dessus sur l'esprit faible de Lance. Je regarde alors mon Apollon avec beaucoup de désir et je vois que mon double a tout fait foirer....je li de l'incompréhension das les yeux de mon objet de désire. Il ne faut pas...je ne veux pas le perdre pas maintenant du moins....non....il faut le conquérir a nouveau pour qu'il ne se doute de rien. Je me rapproche donc de lui, et lui prend le cou d'une façon un peu brutal. Les cheveux me cache le visage et on peut apercevoir mon regard rempli d'idée les plus malsaine les une que les autres. Je souri de la même façon que tout a l'heure et je rapproche son visage du mien, avant de lui chuchoter a l'oreille...

"Excuez moi pour cet écart de language, je ne recommencerais plus je vous le jure, mais seulement laissez moi gouter a vos lèvres encore une fois..." , ma voix est calme, posé, un peu froide, et surtout on peux sentir l'envie que j'ai de l'embrasser encore une fois...

Je n'attend même pas sa réponse que mes lèvres se pressent aussi tôt sur les siennes, mais là j'attend sa réponse et donc je n'ose pas y mettre la langue.

Je ne comprends plus rien. Je le vois se reculer, cracher. Il va même s’essuyer la bouche.
Pourquoi ? Pourquoi m’a-t-il embrassé comme ça, pour l’instant d’après prendre un air dégoûté ?

Je sens ma colère monter d’un cran. Son expression me fige, m’insulte. J’ai les bras ballant le long de mon corps, je ne fais aucun geste envers lui et pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manque.
Pourquoi je reste comme ça ?
Je dois lui mettre une raclée, il ne doit pas rester impuni pour ce qu’il vient de m’infliger. Il doit payer pour son audace, pour l'offense, pour m’avoir pris pour un con … pour avoir stoppé net ce qui avait si bien commencé.

D’un coup ses yeux changent d’expression, il me sonde, je lis dans son regard du désir. La même nuance que tout à l’heure avant qu’il ne me repousse. Qu’est-ce que ça veut dire ? Je ne le comprends décidément pas. Il y a deux personnes en lui ou quoi.
Vraiment je les choisis … j’ai du prendre un abonnement en arrivant ici sans le savoir.

Il s’approche de moi, que dois-je faire partir en courant … rester. Je ne bouge pas d’un pouce, j’en ai d’ailleurs pas envie. Je veux voir et savoir ce qu’il compte réellement faire. Il murmure à mon oreille des excuses pour son langage et … Il veut me goûter encore … Mes lèvres.

Il pose les siennes sur ma bouche, mais ne fait rien de plus. Qu’est-ce qu’il attend, le dégel … c’est assez chaud comme ça. Ce n’est pas assez à mon goût personnel. Je veux plus … sa langue … ses mains sur moi. Quelque chose, vite. Ma langue s’insinue entre ses lèvres; nous reprenons le baiser ou nous l’avions laissé quelques minutes auparavant. Je me presse contre lui, qu’il sente l’effet qu’il produit sur moi, sur mon corps.

Que m’arrive-t-il ? Que m’a-t-il fait ?

Je n’arrive plus à penser correctement. Je n’ai plus aucun contrôle sur moi, et lui. Il ne peut pas faire ça, je ne dois pas le laisser faire.

Dieu … ses seins… Ses saints … aidez-moi !

Je suis maintenant persuadé qu'il a un gros faible pour moi. Si a beaucoup de personne il est signe de terreur et de sadisme, pour moi c'est plutot de plaisir. J'avou, je ne pensais pas que ça serait aussi facile que ça pour le manipuler. En plus de me faire découvrir de nouveaux horizons, je peu peut être le rendre dingue de moi. Mon séjour deviendra alors plus agréable, et amusant. Mais,le problème est cette Vlana. Je n'aurais pas du autant m'amuser avec elle, maintenant l'autre commence a l'aprécier beaucoup trop sous ses airs préservé. Il faut que je trouve une solution.......ah, j'y penserais plus tard pour le moment je veux continuer ce que j'ai commencé.

J'en suis donc a déposer mes lèvres sur les siennes, et j'attend qu'il me réponde en ajoutant lui même sa langue. Une fois encore mes désires sont assouvis et je l'embrasse en lui mordant quelques fois la lèvre supèrieur. Il se colle a moi, et je passe alors mes mains dans son dos, les pose sur ses fesses et me met a définir chaque trait de son corps en partant du bas du dos, pour arriver au cuisse.

Qu'est ce que c'est excitant ! Je ne pense jamais avoir touché un mec de cette façon, et j'en prend beaucoup de plaisir. Plus on s'embrasse, et plus je peux le contrôler a ma guise. Je l'emmène alors doucement vers mon lit, je me tourne et tombe l'emportant avec moi dans ma chute. Je sent bien son corps sur moi maintenant.....mais pas que sont corps.....il faut dire qu'il en a pas mal sous la ceinture....mais je ne vais pas penser cul, surtout que sous les douches je me suis assez vidé.

Même si j'évite de penser au sex, j'aime le sentir collé a moi comme ça. Mes mains sur ses fesses, les pressent légèrement pour qu'il n'y est plus le moindre espace qui nous sépare. Mes lèvres reste collé aux siennes, je commence peu a peu a vouloir plus que de simples baisé et caresses.....je veux son corps tout entier, dans ses moindres recoins...il faut que je me calme sinon je serais bien capable de le déshabiller sur le champ. Non, je ne veux pas que ça ne ressemble a rien, je veux de la sensualité mine de rien. Même si nous n'avons pas vraiment le profile de personne sensuel, je ne veux pas que ce soit une simple histoire de cul....j'en ais énormément besoin de cet homme....que ce soit pour l'attirance que j'épprouve, ou encore pour son utilité pour mon évasion...

Je stop au fur et a mesure le baisé, et garde mon visage a quelques centimètres du mien. Je le regarde dans les yeux, et je sens qu'il est quasiment complètement a moi, il ne me reste plus grand chose a faire......peut être le corrompre......en lui faisant gouter les joies de la fellation.....j'hésite longuement. Même si j'aime l'embrasser, je ne vois pas encore en train de lui faire une fellation, mais si j'y suis un peu forcé je le ferais quand même.

".....je peux te tutoyer ?.........et veux tu qu'on aille plus loin mon beau ?..." , dis-je en lui caressant les cheveux.

".....je peux te tutoyer ?.........et veux tu qu'on aille plus loin mon beau ?..."

*Non mais il me fait quoi là ! Comment s’adresse-t-il à moi !*

Jamais on ne m’avait parlé de la sorte. Que j’assouvisse mes plus bas instincts ok, mais il y a des limites à la correction. Je ne supporte pas ça. Et le mon " beau " est vraiment de trop. Je sais très bien que je suis quelqu’un d’assez séduisant, on me l’avait déjà dit, j’en suis le premier gêné. Mais là c’est dit d’une manière indécente.

Je dois dire qu’il me fait un certain effet. Il n’est pas mal non plus. Mais ça reste que du désir, rien de plus. Si je le souhaite, je peux mettre un terme à mes pulsions.

*Mais est-ce que je le veux vraiment ?*

J’aime le sentir sur moi, sentir ses mains me parcourir. Jusqu’ou peut-il vraiment aller. C’est le genre homme à femmes, alors pourquoi le ferait-il avec moi. Quels sont ses vrais dessins ?
Cet homme m’étonne, me surprend par de telles audaces. Apparemment il n’a pas peur de moi, de ce que je suis. Ca ce n’est pas normal, je dois mettre un frein dans sa façon d’être envers moi. Ce regard sur moi me donne des frissons. Mon corps le réclame, il me trahi. Ma respiration s’accélère.

*Ai-je besoin de lui à ce point ? Ai-je besoin qu’il me prenne, là, maintenant ?*

Ce n’est pas vrai, je ne peux me laisser aller comme ça. J’ai ma fierté tout même. Si je n’étais pas à Sadismus, je la foutrais dans un coin en attendant qu’il s’occupe de moi.
J’entoure sa taille de mes bras, et le serre fort. Apprécier encore son corps, juste quelques instants, rien qu’un moment. Ses lèvres sur les miennes, oui pourquoi pas, je veux un dernier baiser. Mes sens sont en fusion, mon esprit s’égare, va chercher très loin dans mes souvenirs depuis combien de temps je n’ai ressenti une telle extase. Un nouveau souffle dans ma vie, juste un break pour me voir ailleurs que dans cette prison. je crois que j'ai besoin d'une pause sympathique de "tendresse". Si je puis m'exprimer ainsi.

D’un coup de hanche, je le fais basculer sur le dos. Je m’allonge sur lui de tout mon poids. Cette fois, je reprends le contrôle de la situation. Enfin presque, mon excitation est loin d’être parti.

-Je ne veux pas que tu me parles de cette façon … S’il en a un qui doit tutoyer c’est moi … Mais dites-moi « monsieur je ne sais qui », jusqu’ou veux-tu aller exactement, Monsieur Tombeur de femmes ?

Mon visage vient près du sien je peux sentir son souffle chaud. Mes lèvres se pressent contre les siennes, avides. Ma langue s’insinue dans sa bouche à la recherche de sa consœur. Il ne fait plus aucun geste envers moi. Je me sens frustré. Ou est passé hardiesse, sa fougue?
A mon humble avis je crois que monsieur recule. il ne pensait peut être pas que j'irais vers lui. qu'il sache cependant que ce n'est pas gagné pour autant. Je suis loin d'être le mec facile à possèder.