Sadismus Jail Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus. |
|
| Retraite Forcée | |
| | Auteur | Message |
---|
Maya Cañopez 749203 Bang !
Nombre de messages : 290 Age : 46 Localisation : Cellule 2 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Retraite Forcée Jeu 2 Aoû - 14:10 | |
| Le bruit du fourgons sur la route. Je me réveille, mais je n'ouvre pas les yeux pas encore, je prends d'abord conscience de mon environnement. Le banc, usé et presque hors d'age, la paroi du fourgon sur laquelle je suis adossée, les vibrations à peine atténuées par les amortisseurs. trois autres présences, les gardiens, et le chauffeur. Les menottes, serrant mes poignets et mes chevilles, au poids je devine la chaine qui les relie. La douleur revient aussi, les impacts de FlashBalls lors de ma dernière tentative d'évasion, avant le Bateau. C'est pour me faire monter qu'ils avaient été forcé de m'administrer une dose de calmant qui aurait comaté un cheval. J'ai la migraine maintenant.
J'ouvre les yeux, le gardien en face de moi se racle la gorge pour prévenir son collègue qui détourne son attention de la fenêtre du fond pour me regarder. Tout deux connaissent mon dossier, ça se vois à leur regard, la façon dont ils m'épient. Rien d'obscène non, très professionnel, sans ouverture. J'ai réussit plusieurs fois a leur fausser compagnies, ils ont retenus la leçon. Je fais craqué mes épaules, ils se raidissent. On a dus leur passer un sacré savon à leur dernier rapport. c'est que le chemin est long entre Brasaville et Berlin, et plus encore jusqu'à Sadismus. "On est presque arrivé" dit le chauffeur, j'ai eu du mal à comprendre son accent. Mes courbatures me lancent et je ne peux pas m'étirer. J'ai soif.
Le fourgon s'arrête enfin, les chaos résonnent encore dans mon crane. la porte s'ouvre, le gardien qui me faisait face descends le premier, pour me réceptionner, le second me prend le bras et m'aide à me relever. au seuil du fourgon, je vois le chauffeur qui me tien en joue avec un Taser. le premier garde me prends l'autre bras, m'empêchant de trébucher, le seconds garde descends à son tour, sans me lacher. le Premier garde fouille sa ceinture pour en sortir les clés. J'ai froid.
Le premier Garde se baisse pour me délier les chevilles, je suis vaseuse, l'autre garde me tient fermement par les bras. Une Crampe, je me raidit, mes chaines se tendent brusquement. Les deux gardes ont un mouvement de recule, le seconds me lache, pendant une fraction de seconde, je flotte, je n'ai pas le temps d'émettre un son. Un bruit sec, je sens deux aiguilles se planter sous mon sternum. Un crépitement, tout devient blanc autour de moi, je bascule et je ne comprends pas. J'entends le râle d'un animal blessé, il se passe une éternité avant que je me rende compte qu'il s'échappe de ma gorge. le Chauffeur a appuyé par réflexe sur la détente de son arme, des centaines de volts parcours mon corps qui tressaille. J'ai mal.
Le crépitement cesse, mais pas la douleur. je suis incapable de bouger, de penser. je sens la bile remonter dans ma gorge, je voudrais avaler ma salive, je voudrais tousser, mais je ne peux pas. Mes muscles ne me répondent plus, ils se contractent tous en même temps. J'ai les yeux fermés et mes paupières sont scellées, mes larmes me piquent, ma gorge me brule, ma respiration est sifflante, je me sens perdue, je gémis, je sombre.
Trou noir.
Dernière édition par le Sam 4 Aoû - 20:22, édité 1 fois | |
| | | Ralph Fiennes 5987 Gardien Corrompu
Nombre de messages : 370 Age : 31 Date d'inscription : 17/02/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Sam 4 Aoû - 19:00 | |
| Maya Cañopez. On m'a chargé d'une nouvelle arrivée. On m'a donné cette corvée si vite que je n'ai pas eu le temps de lire son dossier. Tout ce que je sais c'est son nom et bien tentendu son matricule. C'est quand même incroayble de retenir tout ces chiffres aux nombres de prisonniers qu'il y a ici...Je pleins surtout ceux qui s'obstinent à appeler chacune de ses merdes par leur matricule. Moi, je ne vois pas pourquoi je prendrais le temps de faire une telle chose...Ce n'est que trop inutile.
Je traverse les couloirs. Les prisonniers sont silencieux aujourd'hui, je n'entends que mes pas qui résonnent sur le parquet de la prison. J'entre le code pour ouvrir les portes. Mes mouvements sont las. Routine, routine, routine...Moi qui croyait que la prison, c'était plus que cela.
Quand j'arrive dehors. Je vois des gardiens et la détenue pratiquement au sol si ce n'était pas de la main d'un des gardes qui la retenait par le bras. Je sens mon impatience qui commence à boûillir en moi. Mais c'est quoi ce bordel?
-Mais qu'est-ce que vous foutez? Dis-je d'une voix forte et agacé.
Je m'approche de Cañopez et lève son visage tombant pour la regarder.
-Mai qui qui m'a foutue des cons comme vous? C'est quoi l'idée de la droguer et de ma la refiler inconciente? Vous croyez pas que j'ai mieux à faire que de la traîner dans toute la prison?
Grâce à mon air énervé, j'ai quand même le droit à des réponses rapides...Ils m'expliquent la situation...Elle a essayé de s'échapper à de multiples reprises...Blablabla...Terrorisme...Des morts...Bref, j'ai le droit à tout son "C.V." en détail...Au moins, je n'ai pas eu à lire son dossier... | |
| | | Maya Cañopez 749203 Bang !
Nombre de messages : 290 Age : 46 Localisation : Cellule 2 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Sam 4 Aoû - 20:13 | |
| Trou noir.
Je ne sens plus rien, c'est agréable. J'entends un Tambour, il bat très vite, sans temps mort, je n'aime pas ça, c'est comme si on voulait me presser. Pourquoi ? il n'y a plus rien d'urgent ! Il n'y plus rien du tout en fait, juste du noir et ce son de tambour.
On me tire un bras, bras que je redécouvre, comme si il venait d'apparaitre au bout de mon épaule. Tient ? j'ai une épaule aussi du coup. Le tambour ralentit sa cadence, c'est plus supportable. Devient il raisonnable ? J'ai l'impression de connaitre ce bruit, plus je l'entends plus il m'est familier. C'est mon coeur, je le reconnais maintenant. Comment ai je pus l'oublier ? comment ai je m'oublier ? Mon corps se redessine autour de lui, chaque battement repousse mes frontières jusqu'à ce qu'elles devrait être.
Je reconquière chaque parcelle, chaque fragment du puzzle que j'étais sans en discerner le motif, jusqu'à ce que je le place. Mes nerfs me parlent à nouveau, un afflux de sensation m'assourdit l'esprit. Mes Muscle refusent de négocier pour le moment. J'ai mal partout.
Le monde extérieur s'impose à moi de nouveau. Les sons m'agresse les tympan, il ne viennent pas de moi. des voix, Masculine, emprunte de colère, d'autorité aussi. - Citation :
- -Mais qu'est-ce que vous foutez ?
Je sens un contact nouveau sur mon menton. On m'examine ? Je veux ouvrir les yeux mais cela ne suffit pas pour que les paupières accepte de s'ouvrir. On parle de moi, le ton monte. je reconnais mon nom. Maya Cañopez. on parle de moi. A quel sujet ? les mots se bouscule dans ma tête, sans cohérence. On parle de moi. On décide de mon sort ? je dois me défendre, je ne suis pas un objet. J'ai la Langue collée au palais. Je tousse, c'est venus tout seul, sans que je le demande, mais je suis soulagée. J'ai un frisson, mon corps s'anime. mon bras me tire, on me tient toujours. Mes jambes tentent de trouver un appui, mes genoux rencontre le sol, la traction diminue mais pas la pression.
J'ouvre un oeil, enfin. Mais je ne vois rien, aveuglée. L'autre s'ouvre aussi. la Lumière résonne dans mon crane. Je gémis dans un soupir. La lumière finit par me révéler son message, je perçois le monde de moins en moins flou. j'ai peur de se que je vais découvrir.
IL est là. je ne sais pas qui IL est mais IL est là, se dressant devant moi. c'est LUI qui me tient le menton. IL a l'air en colère. Contre moi ? Je ne vois pas mes tortionnaires, mais je les entends, ils m'accablent. Est IL en colère contre eux ou contre moi ? Les deux ? Son ombre m'écrase, tout comme son regard et sa voix, elle m'écrase.- Que ... Je... IL me tiens. | |
| | | Ralph Fiennes 5987 Gardien Corrompu
Nombre de messages : 370 Age : 31 Date d'inscription : 17/02/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Dim 5 Aoû - 1:23 | |
| Je prends le bras de Cañopez, l’arrachant des mains du gardien. Elle ne réagit pas…Inconsciente. Pas seulement sonné comme j’aurais pu le croire…Mais, à quoi ils se sont amusé ceux-là? Je ne leur demande pas. Ces crétins me donneraient la même réponse qu’il y a deux secondes. Je soupire, agacé.
Je m’exaspère à leur dire qu’il est hors de question qu’il me rapporte un autre prisonnier dans cet état et que si ce cas arriverait, qu’il le ferait entrer eux même. Les prisonniers? Je ne me soucie pas d’eux. Leur sors me préoccupe autant qu’il préoccupe le reste du monde, c’est à dire, pas du tout. Qu’ils en fassent ce qu’ils veulent mais qu’ils ne viennent pas compliquer mon travail…
Incapables! Des incapables! Mais qui les a engagé!? Si ce n’était que de moi vous pouvez croire que…Arrête Ralph, tu es de mauvaise humeur, détends toi…
Incapables.
Les mots, les arguments, les insultes sortent de ma bouche à une vitesse fulgurante et de façon complètement inné, laissant les gardes de la détenue fortement bouche-bée…J’arrête de manière nette de parler quand j’entends une voix féminine et étouffé sortir de nulle part…De Maya…
-Que… Je…
Je prends avec mon autre main, lachant ainsi son menton, pour prendre son second bras encore pendouillant. J’essaie de la remettre debout. Si elle pourrait se tenir d’elle-même, ça m’enlèverait un poids bien qu’elle ne soit pas très lourde. Je la regarde dans les yeux, essayant de croiser le sien un peu perdu, ignorant ainsi ces imbéciles.
-Que tu quoi?
Je marque une pause et lève son visage encore une fois, lâchant finalement son bras. Je tiens moins fortement l’autre aussi, la forçant à se tenir sur ses deux pieds…Elle me fait presque pitié dans cette état...Bon, presque j'ai dis.
-Il y a quelqu’un là dedans? Allez, réveille-toi…Tu peux te tenir debout? Dis-je d’une voix clair et précise bien que tout ce que je voudrais, c’est soupirer…Si je pourrais me faire comprendre de cette détenue quelque peu sonnée…Cela pourrait être un bon début.
Si je n’ai pas à la soulever jusqu’à sa cellule, je serais déjà moins colérique de l’inaptitude de mes collègues… | |
| | | Maya Cañopez 749203 Bang !
Nombre de messages : 290 Age : 46 Localisation : Cellule 2 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Dim 5 Aoû - 7:09 | |
| IL me tient
Ma tête va éclaté. Je veux me frotter le visage avec mes mains, mais les menottes m'en empêche. Je renonce à la première traction sur mes poignets. - Citation :
- Il y a quelqu’un là dedans? Allez, réveille-toi…Tu peux te tenir debout?
IL me parle ? Mon esprit daigne se remettre en marche, par Intermittence. Mes jambes tentent de me relever avant que je comprenne SES paroles. Elle tremblent, et je chancelle avec elles comme un faon nouveau né. Les menottes aux chevilles ne m'aident pas.- Oui ... je peux Mon équilibre est précaire mais c'est déjà une victoire. Je cligne des yeux, la tête me tourne. Misère mais ou je suis ? Je croise SON regard. Mon esprit cesse de vagabonder, mon attention se fixe. IL est impressionnant. Il m'hypnotise. Mon esprits s'éclaire un peu plus. Je comprends ou je suis, je dois être arrivée. Mon regard se porte presque malgré moi sur les portes, massives, dominantes. Vu de ma position, IL semble en être une émanation. Face a cet avatar le l'autorité, je me sens toute petite, sans défense ni recourt, comme nue. Cette pensée déclenche un frisson dans tout mon être, Il me faut faire un effort pour que mes jambes ne se dérobent pas sous moi.
Les Portes du fourgon claquent. Ceux qui m'ont amené sont sans doute pressé de partir. Je voudrais qu'ils partent moi aussi. On jeta un sac à mes pied: mes affaires | |
| | | Ralph Fiennes 5987 Gardien Corrompu
Nombre de messages : 370 Age : 31 Date d'inscription : 17/02/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Dim 5 Aoû - 16:19 | |
| Elle ne semble pas avoir tout compris ce que j’ai dis…J’en viens presque à me demander si elle est consciente d’où elle se trouve. J’attends une réponse. J’ignore même si elle sera capable de prononcer d’autres mots, mais, je me trompe. Elle finit par parler tant bien que mal.
-Oui ... je peux
Je finis enfin par discerner ses yeux qui n’étaient, tout à l’heure, que des pupilles vagues sur des globes fatigués, enfoncé dans ses orbites. Je lâche sa tête, satisfait. Je lâche complètement son bras. Elle semble fragile et à deux doigts de tomber. Ses jambes sont dangereusement tremblantes. Mais, elle est debout.
-Bien, dis-je simplement et avec une voix détachée.
Je fais signe à l’un des gardiens de lui enlever ses menottes. Il hésite, prétendant qu’il serait imprudent de…Blablablabla…Je n’attends même qu’il termine de parler. Je rétorque avec impatience que la détenue ne risque pas de faire quoi que ce soit dans son état lamentable.
-Que voulez-vous bien qu’il arrive? Elle tient à peine debout…
Non seulement j’ai affaire avec des incompétents mais, ils sont paranoïaques sur les bords. Il m’obéit, détachant ses chevilles lentement…Puis, c’est au tour des poignets…
-Ça ira mieux pour l’amener jusqu’en cellule…
Je fais signe aux gardes de partir. L’un d’eux jette un sac…Ses affaires? Rare sont ceux qui apportent quoi que ce soit.
Il y a quoi là-dedans? Dis-je en prenant le sac.
Je prends le bras de Maya pour la faire avancer devant moi. Je crois que l’énumération de règles viendront plus tard puisqu’elle ne semble pas apte à comprendre tout ce qui se dit… | |
| | | Maya Cañopez 749203 Bang !
Nombre de messages : 290 Age : 46 Localisation : Cellule 2 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Dim 5 Aoû - 17:37 | |
| -Que voulez-vous bien qu’il arrive? Elle tient à peine debout…
Un des garde vient détacher mes chevilles, je trouve cela étrange, il agit comme au ralentit. je vois sa petite clé briller comme une allumette. Je sens comme une brulure, le sang irrigue à nouveau mes pieds, j'ai des fourmis mais mes appuis sont un peu plus stables. Mes poignets aussi sont libérés, mêmes symptômes. Je n'ose pas toucher ma chair à vif, mais je fais jouer mes articulations, elles craquent, ça fait du bien.
-Ça ira mieux pour l’amener jusqu’en cellule…
Les gardes partent enfin. je ne suis pas mécontente de les quitter. IL ramasse le sac
Il y a quoi là-dedans ?
En fouillant IL ne trouvera que quelques sous vêtements sports, trois débardeurs identiques à celui que je porte, de même qu'une salopette, une brosse à dent, une brosse à cheveux et des élastiques à cheveux. Tous ce qu'il reste de ma vie est là, dans cette besace.
La cavale m'a apprit à voyager léger, mais je regrette de ne pas avoir de souvenir familiaux. Mais peut être n'ai je plus de famille ? personne n'est venus me voir en prison jusqu'à présent, pas un coup de fil. J'aurai tellement voulu entendre la voix de mes parents...
IL me prends le bras, je suis obligé de mettre un pied devant l'autre. Chaque contact avec le sol me remonte la colonne vertébrale pour retentir dans mon crane. Je ne marche pas tout à fait droit, mais l'idée est là, j'avance. J'avance vers la Prison, Sadismus. Les Portes semblent vouloir me happer. Je tourne ma tête vers LUI, IL est imperturbable. Le désespoir me gagne, et le soulagement aussi. Je vais arrêter de fuir, je suis fatiguée de courir vers nulle part. | |
| | | Ralph Fiennes 5987 Gardien Corrompu
Nombre de messages : 370 Age : 31 Date d'inscription : 17/02/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Lun 6 Aoû - 14:54 | |
| Je n’ai aucune réponse de sa par. Bien, qu’elle se taise, je m’en fiche…Tout en avançant, je secoue le sac…Il est très léger et il n’y a aucun son métallique ou suspect qui vient chatouiller mon oreille…Les lourdes portes se referment derrière nous. Je lâche son bras. De toute évidence, elle ne peut pas aller bien loin de toute façon. Sans parler de son état, elle est entre les mûrs de Sadismus et elle est ici pour de bon. Elle a essayé de s’échapper ont-ils dit? Elle n’en aura pas l’occasion maintenant. J’ouvre son sac et le fouille…Rien, que quelques vêtements, une brosse à dents, à cheveux, des élastiques…C’est tout. Pas d’arme. Même pas un paquet de cigarettes, dommage, je l’aurais très volontiers confisqué…
Ton matricule est 749203…J’espère que tu pourras le retenir car il peut t’être demander n’importe quand…Dis-je, détaché…
J’ignore si elle peut retenir quoi que ce soit, encore moins une série de chiffre, mais bon…Si elle ne le retiens pas, ça ne rendra son séjour que « plus amusant »…Pour les gardiens, pas vraiment pour elle.
Le sous-sol et l’aile des employés sont interdits d’accès aux prisonniers…
Ça, si elle ne le comprends pas…Ça ira vraiment mal pour elle. Ça fera un joujou pour les gardiens. Nous continuons notre marche. Après avoir passer un certain nombre de couloirs, nous voilà finalement dans l’aile des prisonniers…Ça ne prend pas trop de temps puisque sa cellule est la B.
Vous êtes 4 la dedans à titre d’information…
Je la fais entrer à l’intérieur et lance son sac au sol. | |
| | | Maya Cañopez 749203 Bang !
Nombre de messages : 290 Age : 46 Localisation : Cellule 2 Date d'inscription : 31/07/2007
| Sujet: Re: Retraite Forcée Lun 6 Aoû - 16:56 | |
| - Sept quatre neuf deux zéro ... trois Je répète comme un automate, mon inconscient enregistrant plus que ma mémoire.
Je marche, m'appuyant sur les murs, cela facilite ma progression. Les couloirs s'enchaine, innombrables, on tourne à droite, à gauche, encore ... la sortie est déjà un souvenir lointain, embrumé. Tout mon corps me rappelle son existence, le calmant n'anesthésie plus mes nerfs mais continus de me faire penser au ralentit. j'endure chaque pas comme un chemin de croix. Je suis comme lesté par du plomb mais j'avance, je doit LE suivre, c'est mon seul repère ici.- Sept quatre ... neuf deux ... zéro trois Il parle de sous sol, d'ailes ... je ne comprends pas. IL me fait entrer dans une pièce, le voyage s'arrête ici. Mon sac est jeté à coté de moi, il glisse vers un lit. Personne dedans, aucune affaire dessus... il me fait envie. Je fais encore quelques pas, les plus durs de ma vie et je m'effondre dessus. A plat ventre, je n'ai même pas la force de me retourner, mon dos me fais très mal, j'ai reçut de nombreux coup dessus depuis quelques jours. Mes yeux se ferment seuls, mais je dois encore faire une chose, je puisse dans mes dernières réserves, après je pourrais me laisser aller. Courage ma fille, tu vas y arriver- Mer...ci Trou Noir[suite Reveil Difficile ] | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Retraite Forcée | |
| |
| | | | Retraite Forcée | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|