Dossier médicalNom & Prénom- Cayne, Hana-Kaede
Sexe- Féminin
Âge- 24 ans
Traits physiques- J’ai les cheveux noirs, descendant au milieu du dos, légèrement ondulés. Coté de la couleur de mes yeux, ils sont de deux couleurs différentes; l'un vert sombre, l'autre bleu qui est tout aussi sombre que l’autre, reflétant mon âme. J’ai un teint blanc, et un expression d’indépendance quasi-toujours là. Mon habillement se résume à quelques bouts de tissus noirâtres de la tête aux pieds.
Taille- 5 pieds et 4 pouces
Poids- 125 livres
Maladie ou handicap physique- Nada
Autres- un gros tatouage d’une tige noire épineuse de rose qui lui parcoure le corps en entiers et ainsi qu’une partie de son visage.
Dossier psychologiqueQualités- J'ai beaucoup d'attention et de compassion envers les gens en général, mais je ne suis pas pour autant délicate… La paresse est un mot inexistant dans mon vocabulaire… N'était pas très loquasse de nature, ça m'évite des ennuis. Mais je ne tourne pas autour du pot. Je pense que l'on doit être unis pour réussir, malgré que je sois de nature solitaire. Bien que plongée dans la folie, je suis tout de même quelqu'un qui garde en tête ses objectifs, et je m'égare très rarement dans mes pensées. Rien n'a de limite pour moi… Rien n'égale ma détermination.
Défauts- J'aime contredire les gens, ayant des tendances assez belliqueuses. La provocation fait partie intégrante de ma personnalité. La curiosité, chez moi, devient assez rapidement de l'obsession. Tuer, il parait, est un défaut… Et mentir aussi.
Aime- La littérature, les contes et les légendes urbaines peuplent mes idées et mes nuits mouvementés en tout temps. Il n'est pas rare que mes fantasmes sanguinaires sortent de là. J'aime les endroits ou la nature est, j'aime les grands espaces. J'aime aussi faire tomber dans mes mensonges les gens.
N'aime pas- L'etre humain. La justice que les humains ont imposée. Je n'aime pas… Les pédophiles ou les violeurs. Du coup, je peux tout aimer ou tout détester. Mais tout ce que je sais, c'est que si je déteste quelque chose, je vais le faire disparaitre.
Comportement avec les gens- Cela dépend. Certaines personnes me donneront des envies de meurtres, d'autre une envie de compatir... Il y a certains qui deviendront mes amis, d'autre de la chair à paté. J'ignore comment je serai avec telle ou telle personne...
Maladie ou handicap mental- J'ai sombrée dans une folie étrange, incurable...
Valeurs- Immorale comme je suis, la seule valeur qui m'est restée c'est la vengeance, la justice, la vérité... Mais est-ce que je les respectes?
Tics- Elle s'humecte les lèvres avec ses doigts, et s'automutile très souvent avec ses longs ongles.
Passé- HKC –
Naissance, famille, traumatismesLa nuit étendait ses rideaux noirs sur la soirée qui arrivait, quand je vis le monde pour la première fois. Mais je ne pu pas vivre cette vie qui aurait été mienne comme prévue. À la naissance, je fus jetée dans les bras de d’autres personnes. Des inconnus dans la rue. Va savoir ce pourquoi il en fut décidé comme cela. Du fait, l’on m’a raconté, il y a des années de cela, que j’étais le produit de l’accouplement d’une mère malchanceuse et d’un violeur. Mais cette réalité était fréquente dans les rues infectées de ma ville natale. Cela ne me fis rien. Ce qui me frappa, ce fut l’existence d’une sœur jumelle. L’une des deux filles avait été donnée, moi, et l’autre gardé entre les bras du violeur en question. Ma sœur. Qui est-elle? Je l’ignore. Et du coup, je m’en fou.
J’avais 17 ans quand la raison à commencée à me fuir, et 20 ans lorsque toute ma morale m’a abandonnée. J’avais en fait 14 ans quand mon ‘père’ de remplacement avait commencé à abuser de moi. Simultanément, à l’école, les gens me détestaient. Celle qui m’avait élevée comme une fille me détestait également. Sans foyer sûr ni soutient, j’ai tout fait pour qu’il ne me déteste pas, ce père. C'était le seul qui semblait se préoccuper de moi. Donc j’ai obéis à ses désirs. Cela dura 3 ans. Car après ces trois ans d'agression sexuelle, j’ai commencée à ne plus rien vouloir faire avec lui. Il avait répondu assez violemment à mes objections d'ailleurs. Mais il eut peur d’avoir des problèmes. Et il me jeta à la rue. Ce fut un coup dur, certes, mais j’étais sûrement sous une bonne étoile, car quelques semaines plus tard l’on m’hébergea pour le reste de mes jours de liberté.
L’histoire aurait put finir là, sans que personne ne se doute de rien. J’aurais finis par oublier cet épisode, à refaire ma vie. Mais les histoires de contes et de princesses n’étaient pas pour moi. J’étais en balade lorsque je revis mon agresseur. Il était dans une ruelle sombre, semblant guetter l’approche de quelqu’un. Quand ce quelqu’un se pointa, ils s’enfoncèrent et je ne pus point les voir. Mais, à pas feutrés, je les suivis. Je dû passer par une porte, des chemins sinueux, et ce, jusqu’à voir l’horreur absolue. Des jeunes femmes et des enfants attachés, nus, dans un coin de la pièce dans laquelle nous étions. Certains étaient ensanglantés, certains pleuraient…
Mais le seul cri qui fut réellement fort, ce fut le mien. Le visage de ce père qui s’était montré violent et blessant envers moi s’était retourné et, me reconnaissant, il vint dans ma direction, menaçant. Je reculai d’un pas, et, me penchant, je pu prendre un long bâton de fer que je serrai dans mes mains, laissant mes yeux vidés de leur étincelle rivés dans ceux de mon agresseur qui fonçait sur moi. Je n’aurais jamais pensé aimer la sensation du sang et de la souffrance à ce point. Je l’ai frappé à l’estomac, puis à la tête. Il tomba lourdement sur le sol et immédiatement, tel une furie, je me précipitai sur l’autre homme qui était avec lui, poing serré et barre de métal dans l’autre. Celui-là n’eut pas de chance. Je lui avais assené des coups jusqu’à ce que son corps ne soit plus que gelé non consistante. Ma haine s’était déversée. Plus rien n’était à sa place sur son anatomie. Mais rendu là, y avait-il encore une raison d’appeler ça un anatomie? Puis, me retournant vers mon agresseur, je me mordis la lèvre, laissai la barre de métal dessus et j’allai appeler la police pour qu’elle vienne aider ces enfants. Mais je venais de commettre deux meurtres. Que m'arriverait-il? Cela ne me dérangea pas. Je restai sur les lieux et attendit les policiers.
Je fus internée durant 1 an, et je fus obligée de vivre dans une nouvelle famille, sous surveillance constante et en consultation, avec médication. Ils avaient été indulgents avec moi. Mais cette année en prison m’avait surtout rendue plus… Folle. Les rires déments devenaient de plus en plus présents chez moi. Ils étaient incontrôlables. Car il y avait une chose que j’avais mal accomplie. Une chose qui me rongeait de l'intérieur, qui m'ordonnait de suivre mes bas instincts. Car le 'père' que j'ai crue abattre ne fut pas mort. Gravement blessé, certes, mais pas mort. J'en étais révoltée.
Mais ces médicaments laissaient mon corps sans vie et mes pensées enfermées dans les confins de mon âme meurtrie. Mais le pire était encore à venir. L'année de mes 19 ans avait sonnée. La médication devenait moins forte, mais toujours là. Un soir, des hommes s'introduirent dans la maison ou j'étais. Incapable de me lever, je vis, incapable de faire un mouvement, la dame qui s'occupait de moi approcher des hommes près de moi, ses paroles confuses mourrant dans un bruit étouffé. Ils venaient de la tuer. Les larmes perlèrent de mes yeux, silencieuses, pendant qu'ils se saisissaient de moi. Pouf… L'obscurité m'envahit…
Lorsque j'ai repris conscience, il y avait un bain de sang autour de moi. Que s'était-il passé? En regardant mes mains de plus près, leurs rougeurs me dirent plus que ce que je voulais en croire. Je me mis à rire, et à rire encore plus, tout en me saisissant d'un couteau qui semblait être à l'origine du carnage, et je continuai le travail –la libération!- que j'avais déjà commencée sans vraiment savoir comment. Je peux vous assurer, mes amis, que tous leurs yeux étaient arrachés, que leurs intestins étaient étalés par terre et que leurs engins reproducteurs n'existaient plus.
HKC –
Ma vie désormais… Ensuite, j'ai errer, l'âme insensible, à la recherche de pédophile à tuer, de violeur à massacrer, de ma conscience à retrouver. Sans le vouloir, je suis devenu comme eux : Sans morale et en détruisant tout. Je me suis perfectionnée dans les arts du poison, de la torture, de la démence. Je ne pourrais pas écrire ici tout ce dont j'ai fais, car même vous, pauvres amis, vous ne le croiriez pas. Peut-être est-ce que je tue par vengeance, mais combien de vie aurai-je vengée et sauver? Je ne suis plus que le glaive de la justice. Dommage que l'autorité ne le voient pas comme ça.
HKC –
Arrestation Lorsque les villes et villages autour du mien furent nettoyés de leur impureté humaine de mon sadisme, je ne trouvai plus sur qui faire vengeance. Mais où sont les plus infâmes criminels qui s'en prennent à des enfants et des femmes et hommes innocents? La prison serait mon prochain lieu. Un lieu de non retour peut-être, mais dieu sait que je me sentirais en paix avec mon âme là-bas. Ce fut facile… J'arrivai au poste de police avec une tête de pédophile évadé dans une main et ses organes génitaux dans l'autre. Fus-je convaincante? Je crois que oui puisque je m'en vais vers Sadismus…
J'ai 24 ans maintenant, et toute ma fougue. Les gens me demandent si je vais être capable de résister aux prisonniers… Mais moi je leur répond "Est-ce que les prisonniers vont être capables de résister à moi?" J'en doute mes amis… J'en doute…
Autres- J'invoque autant la douleur physique que la douleur psychologique…
Dossier criminelCrime(s) commit(ts)- Meurtres sur des pédophiles et violeurs empreint d’un sadisme inégalé, se prétendant à tous tortionnaire, d’une façon justifiée, empoisonnements divers même sur des civils innocents pour retracer des gens. Automutilation. Quelques vols…
Matricule- 271106
Rang- Sacrifices morbides
No. de cellule- Gang désiré – Va savoir ce qui arrivera une fois rendu à l’intérieur…
Personnage sur l'avatar- ((J'ai le meme personnage que Keira Demeros, car Hana-Kaede et Keira sont soeurs jumelles. C'est déjà arrangé
))
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Finit, Gna!