Rael au trou

Devant m'occuper de la tâche vraiment chiante mais pourtant atisfaisante d'amené Pajiste au trou, je le traîne jusqu'au sous-sol. J'avais confié la tâche avant de partir à l'un des gardiens d'en avertir notre charmante directrice. Je considère que la charge de s'occuper de ce genre de comportement lui revient de droit. D'ailleurs, je crois bien savoir qu'elle a bien plus les qualifications requises que moi qui se contenterait nettement d'une simple balle dans la tête mais bon...Ça nous est bien évidament interdit. Je lui fais confiance pour trouver le châtiment qui convient. Je trouve une salle d'isolement de libre et le pousse brutalement à l'intérieur. Je n'ai pas plus envie que ça de m'attarder alors que j'ai du travail qui m'attend...Bah quoi? Ce travail ne me plaît peut-être pas à 100%, mais j'aime le travail bien fait.

Vous risquez d'avoir une visite malencontreuse bientôt...Böse sera ravie de s'occuper de vous...Ah...Et surtout...Bon séjour à Sadismus...En esperant ne pas vous revoir....Dis-je avec un semblant de courtoisie.

Je ferme la porte et la vérouille derrièrement moi avant de retourner à ma tâche de la journée.

Je n'ai pas vraiment le temps de m'attarder sur mon nouveau lieu d'habitat, le gardien me traîne derrière lui le long des couloirs sans même faire mine de s’arrêter. Je ne le lui demande pas j’ai vaguement l’impression que ça ne servirait qu’à me prendre un coup alors je le suis. Il me fait descendre un tas d’escaliers. Il m’emmènes dans les sous sols ? Probablement… J’ai tué un flic alors je suppose que je vais rester au trou un certain temps m’enfin bon de toute façon j’ai pris perpette alors ce n’est pas comme si je ne savais pas que j’allais rester longtemps enfermé… J’ai beau me répéter ça pour me rassurer, une pointe d’angoisse glacée subsiste au creux de mon estomac. J’ai entendu ce qu’on raconte sur cette prison et sur ses gardiens et ça me fait froid dans le dos. On arrive devant une rangée de portes fermées. Des cellules ? Le gardien en ouvre une et me pousse dedans sanas la moindre douceur et je m’étale par terre. J’essaye de me relever, maladroitement du fait des menottes, et me retourne pour lui faire face.

Vous risquez d'avoir une visite malencontreuse bientôt...Böse sera ravie de s'occuper de vous...Ah...Et surtout...Bon séjour à Sadismus...En espérant ne pas vous revoir....

Malencontreuse ? Pourquoi malencontreuse ? Quoique toutes les visites doivent être malencontreuses ici… Et qui est Böse ? La directrice ? Je n’ai pas le temps de lui demander, de toute façon lui aurais je demandé ?, qu’il est déjà sorti. Je l’écoute verrouiller la porte derrière lui. Il n’avait pas l’air d’avoir envie de s’attarder… Bah moi aussi j’espère ne pas le revoir et il devait être pressé voilà tout. Je frissonne. Les murs de la salle sont en pierre, elle est vide et froide… Je m’éloigne le plus possible de la porte et vais m’adosser contre le mur dans un coin. J’essaye pendant un instant de desserrer au moins un peu les menottes qui m’entaillent cruellement les poignets sans autre succès que celui de mettre du sang un peu partout autour de moi. Murmurant un juron je cesse mes tentatives dérisoires et pose ma tête contre le mur. J’ai peur. Je ne sais pas qui est cette directrice mais pour diriger cet endroit ça ne doit pas être quelqu’un de très recommandable. Pour tromper mon angoisse, je ferme les yeux et cherche à écouter les lieux. Il en sort une mélodie torturée et angoissante qui remarque convient parfaitement à cet endroit mais ne contribue pas vraiment à me calmer. Mais c’est toujours une mélodie. Alors je me concentre dessus écoute toutes ces variations et m’imagine les transcrire sur une portée. Je me plonge dans son étude pour oublier ma situation, c’est ce que je fais toujours et ça marche très bien.

Gardien Fiennes...oui c'était lui qui était venu me trouver pour m'informer de l'arrivée d'un détenu qui s'était fait remarqué en tuant l'un de mes autres gardiens à l'entrée. Débordée entre les papiers et les envies de calme plutôt que d'inventivitée pour tortionnaire je le laissai mariner dans le trou pendant au moins une semaine...Peut être plus je ne me souviens plus, de toute façon j'aime me faire désirer, il sera sûrement un peu affamé et avec un peu de chance peut être sera t il mort avant que je vienne lui rendre visite.
J'arrive devant la salle après m'être équipée de petits joujoux dans la salle de torture, j'ouvre la porte et le trouve là, encore vivant...Et merde il est pas mort ! Bah, ça ne saurait peut être tarder !! je referma la porte derrière moi doucement et la verrouille tandis que je m'approche de lui ensuite pour lui donner un grand coup de pied dans les cotes.

- On se lève jeune homme, je suis la visiteuse qui devait passer mais j'avais quelques trucs à rêgler çà et là....Et puis vous faire mariner ici m'a beaucoup amusée !

Je fais craquer mes doigts tandis que je le regarde...Hum j'ai peut être tapé un peu fort j'ignore si ses côtes ont résistées.

- Pouvez vous me rappeller la raison de votre présence ici ?

J’ai faim…. Je crois que c’est ma pensée dominante en ce moment… En fait j’en suis même certain, c’est quelque chose d’assez obsédant. Si on y pense trop c’est une pensée qui finit par enfler au point de prendre toute la place et on est plus capable de penser à autre chose. Donc stop. Pensez à autre chose. Tout de suite. J’ai faim. Autre chose j’ai dit ! Heureusement que les murs sont humides parce que sinon je crois que e serai mort… N’empêche que je n’aurais jamais cru en être un jour réduit à lécher des murs pour survivre… enfin pour combien de temps encore ?… J’ai faim. Ca suffit ! bon je vais pour la énième fois avoir recours à la seule chose qui a un effet calmant efficace sur moi présentement. Je m’allonge dans un coin propre de ma cellule (enfin propre tout est relatif … j’ai revu mes critères à la baisse ces derniers temps…). Confortablement allongé (la encore tout est relatif…) je ferme les yeux et j’écoute. Aussitôt un sentiment de paix profonde m’envahit, je plonge dans la mélodie tortueuse de Sadismus . Merveilleux, je commence à bien la connaître mais je ne m’en lasse pas ; C’est une mélodie suffisamment complexe et mystérieuse pour m’occuper pendant encore des années, d’autant plus que d’infimes variations se produisent souvent.

Plongé dans un monde fantastique de sons et de bruits, j’était complètement déconnecté de la réalité quand la porte de ma cellule s’ouvrit. Et, de fait, ce bruit ne fut pour moi qu’un parmi d’autres, tout comme le bruit d’une porte qu’on verrouille et celui d’une femme s’approchant de moi… Une forte douleur au niveau de mes côtes me fit par contre hoqueter et me sortit violemment de ma transe. Recroquevillé sur moi même et un peu confus du fait de cette douleur soudaine, je me demande vaguement si une ou plusieurs de mes côtes ne sont pas cassées. Le fait de poser ma main sur mes côtes ce qui provoque une nouvelle vague de douleur aiguë et me fait pousser un gémissement plaintif me renseigne sur ce point : au moins une ou deux fractures. Je lève les yeux sur mon tortionnaire qui s’avère être une femme. Elle me dit quelque chose comme quoi me faire mariner ici l’a bien amuser. Elle a aussi dit quelque chose avant mais j’avoue avoir été préoccupé par autre chose que par ce qu’elle pouvait bien raconter, de toute façon le parallèle n’est pas bien dur à faire, il me semble qu’à la base le but n’était pas de me laisser mourir ici et une femme devait effectivement venir me voir d’après ce qu’avait dit le gardien qui m’a laissé là. Mais je ne me souviens plus de son nom… c’était un nom court il me semble… Elle fait craquer ses doigts et ce bruit que je n’apprécie guère sur l’instant ne m’aide pas davantage que la douleur à me souvenir de son nom. Essayons plutôt de se souvenir de la tonalité de son nom le gardien prononçait son nom d’une manière sinistre assez mélodique… Ah oui ! Böse, c’est ça. Je comprends mieux pourquoi le gardien en parlait d’une manière sinistre en tout cas.

- Pouvez vous me rappeler la raison de votre présence ici ?

Euh… a vrai dire je ne sais plus très bien. Voyons c’était pourquoi déjà ? Etre dans cette prison induit des problèmes de mémoire ou quoi ? A moins que ce ne soit la faim ou la soif ou la douleur de mes côtes cassées ou tout le sang que j’ai perdu avant que mes plaies au poignet ne cicatrisent… Toujours est-il que sur le coup je ne m’en souvient plus du tout.

« Euh non, je ne sais plus… »

Ma voie se bloque, un léger tintement métallique vient de me faire remarquer ce que cette femme a apporté avec elle…

je le regarde se tordre sous le coup que je lui ai donné...Pourtant il n'était pas si fort ! Il me regarde et il semble qu'il cherche dans ses souvenirs la raison de sa présence ici.

« Euh non, je ne sais plus… »

Cela me provoque un petit rire, j'ai du le laisser mariner trop longtemps...Je m'appuie contre le mur opposé à lui et sort de tout mon attirail une petite boîte métallique. Cette dernière fait tinter tous mes outils favorits pendus à ma ceinture ou présent dans le petit sac que je tenais dans ma main mais je me concentre sur la petite boite que j'ouvre et inspecte le contenu pour voir si ce que j'avais demandé y était. Parfait.
Glissant le long du mur pour venir m'assoir sur le sol, dos collé contre la pierre agréablement froide.

- Laissez moi vous rafraîchir la mémoire : lors de votre arrivée on m'a rapporté que vous aviez commis un crime de plus. Tutututut c'est vilain ça, on aggrave son cas avant même d'entrer en prison...

Je referme la boîte et lui lance, elle éttérit sur le sol dans un bruit lourd et glisse jusqu'à ses pieds.

- Racontez moi tout cela pendant votre repas...

Un demi sourire intéressé et franchement peu bienveillant vint se dessiner sur mes lèvres tandis que j'attendais qu'il me décrive comment tout s'était passé et les raisons de son acte. Acte d'un désespéré ?! Peut être...Tranquillement assise je sors un couteau assez large de ma ceinture et commence à jouer avec, le faire tourner entre mes doigts.
je regarde le petit Pajiste et lui désigne de la lame de mon joujou la boîte

- Je n'ai rien empoisonné de la nourriture qui se trouve dedans je vous assure.

ce serait pas marrant...Je continue à jouer attendant qu'il daigne faire quoi que ce soit et si ce quoi que ce soit était agressif il risquait de dire bonjour à mon joujou.

Je suis tiré de ma contemplation, qui oscille entre la fascination et l’horreur, de l’attirail de mademoiselle Böse, puisque je suis à peu près certain que c’est son nom maintenant, par la réaction que provoque ma réponse chez elle. Elle rit, étrangement ça ne me rassure pas du tout. Ce son me fait même au contraire dresser les poils des avants bras. Je leur jette un coup d’œil, étrange ça fait longtemps que je n’avais pas eu la chaire de poule. De nouveaux bruits métalliques parviennent à mes oreilles et je relève les yeux vers ma gardienne, elle inspecte visiblement avec attention le contenu d’une boite aussi métallique que les objets qui pendaient à la ceinture de cette étrange femme et peut être encore plus menaçante du fait de son contenu mystérieux. Gardant les yeux fixés sur elle, j’abaissait mon regard au fur et à mesure qu’elle se laissait glisser le long du mur pour finalement s’asseoir par terre.

- Laissez moi vous rafraîchir la mémoire : lors de votre arrivée on m'a rapporté que vous aviez commis un crime de plus. Tutututut c'est vilain ça, on aggrave son cas avant même d'entrer en prison...

Un crime ? ah oui ! C’est vrai l’autre con au cou fragile, il avait qu’à pas essayer de m’empêcher de m’enfuir ! Bon c’était un petit peu son métier quelque part… Aucune importance il n’avait pas à le faire c’est tout. La seule chose qui m’afflige dans cette mort c’est bien que ça risque de me causer de grave problème… enfin risque c’est pas comme si j’étais pas à moitié mort de faim et que j’avais léché les murs pendant des jours pour ne pas mourir de soif, hein. Je lève à nouveau les yeux en entendant un sifflement et assiste à l’atterrissage de la fameuse boite apparemment refermée à mes pieds. Mon interrogation quant à cette boite ne dure pas bien longtemps puisqu’elle m’éclaire sur ce point.

- Racontez moi tout cela pendant votre repas...


Rien que d’entendre ces mots fait hurler mon estomac. J’ouvre doucement la boite et contemple effectivement de la nourriture… J’ai l’impression que je vais me mettre à baver tellement j’en ai envie, mais je me retiens d’un puissant effort de volonté. Comment savoir si je peux manger cela en toute sécurité ? Un seule moyen de le savoir. Je m’immobilise ferme les yeux et écoute. Je fais abstraction de la mélodie de Sadismus pour me concentrer sur son chant à elle. C’est une musique puissante et assez étrange… Est ce qu’elle essaye de me tuer ? Comme je ne connais pas sa mélodie habituelle c’est difficile mais j’y arriverais, un crissement d’ongle suspect, un mouvement trop vif et je saurais qu’elle attends mon agonie, qu’elle la désire… J’entends une lame fendre harmonieusement l’air, elle doit avoir dégainer une arme…

- Je n'ai rien empoisonné de la nourriture qui se trouve dedans je vous assure.

Là je suis rassuré, je ne suis pas sûr de pouvoir décrypter sa mélodie mais je suis certain de pouvoir entendre un mensonge, elle n’a pas menti. Je n’attends même pas une seconde de plus et me jette sur le contenu de la boite. Pendant quelques minutes je n’ai conscience de rien d’autre que du fait que je me rempli enfin le ventre avec quelque chose. Ce n’est que quand la boite est vide de la moindre miette de comestible et que je renonce déçu à manger la boite elle-même que je me rappelle de ce qu’elle m’a demander.

« Racontez quoi ? »

Je referme les yeux, je préfère être comme ça je la « vois » mieux d’une certaine manière en l’écoutant.

Erf, il se jette sur la nourriture comme un morphale...Quel spectacle écoeurant...C'est là que je me dis que l'homme descend vraiment du singe. Adam et Eve c'est que des conneries, de toute façon il faut pas se demander pourquoi l'humain a été chassé du paradis. Et si les femmes doivent avoir le mauvais rôle autant bien l'assumer. Tiens cela me fait sourire...

Mes doigts font tourner la lame de façon habile en un doux bruit sifflant. Je le fais sauter en l'air, elle fend l'air et retombe entre mes doigts tandis qu'il me pose une question absolument absurde.

- Raconter quoi ?!

je ricane et cesse de jouer avec mon couteau pour regarder la lame briller à la faible lueur entrant dan sla pièce.

- Cela vous fait quoi d'entendre le craquement de la nuque d'une personne ?! L'entendre se briser en mille morceaux dans un bruit sinistre...Vous sentir une nouvelle fois meurtrier?

Je souris et d'un geste vif je lançe ma petite arme vers lui en silence, il n'y a que la lame qui fend l'air, fonçant vers ma cible. Ce n'est que lorsque j'entend le couteau se planter dans sa chair que je prononce la suite de ma phrase.

- Moi j'adore cette sensation.

Bien évidemment je n'avais pas visé le coeur et les organes...je ne voudrais pas qu'il me claque trop vite sous les doigts.

J’ai fermé les yeux parce que j’ai une meilleure perception de mon environnement comme ça mais finalement je ne suis pas tout à fait certain d’avoir envie d’avoir une meilleurs perception de mon environnement. Le bruit de sa lame qui fend l’air alors qu’elle joue avec est omniprésent et rend encore plus angoissante la mélodie déjà si tortueuse de Sadismus. Mais si le bruit de ses jeux avec sa lame était angoissant, le ricanement qu’elle émet après que je lui ai demandé ce qu’elle voulait que je raconte au juste est tout simplement glaçant… mais s’accorde tellement bien avec la mélodie de la prison que je ne peux m’empêcher de sourire devant ces beaux accords. Le doux sifflement de sa lame s’interromps et je trouves cela tellement dommage…

-Cela vous fait quoi d'entendre le craquement de la nuque d'une personne ?! L'entendre se briser en mille morceaux dans un bruit sinistre...Vous sentir une nouvelle fois meurtrier?

Ce que ça me fait ? Ce n’est même pas descriptible, c’est un bruit si parfait, si pur… Chaque fois différent oui chaque craquement est unique et à la fois si semblable si accordé aux autres.. C’est tellement jouissif, ça n’a pas d’équivalent nul part ailleurs il n’existe de bruit aussi purement parfait. Les mélodies complexes sont fascinantes, envoûtantes mais ce simple bruit brut si net est sans équivalent. Mais je n’ai pas l’impression d’être un meurtrier pourtant, je n’en ai jamais eu l’impression. Les vies qui s’envolent à chaque craquement, je ne les perçoit pas, je n’entends que le son qui sonne dans l’air et ses échos qui résonne silencieusement par la suite. Mon esprit tout entier accaparé par lui n’a pas assez de place pour prendre en compte quoi que ce soit d’autre.

La mélodie de Sadismus est légèrement modifiée, j’entends clairement la lame qui scinde l’air en deux dans ma direction… Je voudras l’éviter mais c’est si triste le son d’une lame qui se brise sur un mur et c’est si agréable et chaleureux celui d’une lame qui s’enfonce dans la chaire… Je finis par faire un compromis avec moi même et ne me déplace que très légèrement avant de sentir la lame s’enfoncer superficiellement dans mon bras. Etrange comme le temps a paru se dilater durant cette note, c’était pourtant une note vive… Je ne pousse pas le moindre cri ou le moindre gémissement, ça n’aurait pas été approprié, pas encore… Sa phrase en revanche l’est tout à fait tout comme le moindre son qu’elle émet, j’ai l’impression que cette femme se fond parfaitement dans cet endroit, qu’elle en fait partie intégrante.

Je lui fais un grand sourire. Si ça continue comme ça je fait finir par la considérer comme un mur de la prison qui bouge et qui parle. Ca ne m’étonnerai pas qu’elle ait créé cet endroit, je ne veux pas dire qu’elle l’ai construit bien sûr mais plutôt qu’elle en ai construit ou transformé l’ambiance pour qu’elle lui ressemble parfaitement. Enfin non, pas parfaitement, il y a beaucoup d’autres gens qui vivent ici et qui chacun font partie de cet endroit à leur manière mais il y a surtout aussi une autre personne je crois. Je me sens mal, mon bras me lance et je crois que mes pensées commencent à dériver en conséquence surtout. De la main opposée à mon bras transpercé je saisit la poignée de l’arme et la retire de moi en poussant un léger soupir en accord avec la mélodie ambiante. La main crispée sur le manche de la lame recouverte de sang je souffle.

« Moi aussi… J’adore ça. »