Rael Pajiste

Dossier médical

Nom & Prénom- Rael Pajiste

Sexe- Masculin

Âge- 19 ans

Traits physiques- J’ai les cheveux blonds cendrés coupés courts, le plus souvent coiffés en bataille. Mes yeux sont verts émeraudes quoique un peu pale. Mince mais pas maigre, je me contente de la corpulence nécessaire pour pouvoir jouer des instruments les plus lourds et les morceaux les plus rapides. Ni trop grand ni trop petit à mon goût je ne passe pourtant pas inaperçu car j’ai une façon étrange de marcher, en harmonie avec la musique du lie.

Taille- 1m87

Poids-69kg

Maladie ou handicap physique- aucun

Autres- /

Dossier psychologique

Qualités- Je suis le plus souvent calme et posé car c’est nécessaire pour pouvoir bien écouter. Autre qualité d’après le peu d’amis que j’ai c’est que je sais écouter justement. Evidemment ils ne peuvent pas savoir que j’écoute autant le rythme et l’intonation de leur voie que ce qu’ils ont à me dire. J’ai une capacité de concentration à toutes épreuves quelque soit la situation.

Défauts- Je suis parfois trop perfectionniste et je n’arrive jamais à être pleinement satisfait de ce que je fais. Je suis extrêmement curieux en ce qui concerne tout ce qui tourne autour de la musique et malheureusement parfois trop curieux, ce qui me conduit dans de sale situations comme dans le cas présent. D’après le bonhomme sui agitait son maillet je suis également dissimulateur, perfide, assoiffé de sang, calculateur et dangereux.

Aime- J’aime la musique par-dessus tout, pas seulement la musique conventionnelle, aussi les sons et tout ce qui sonne joliment. J’apprécie également le silence, car le silence est une musique particulièrement belle.

N'aime pas- J’exècre les imbéciles qui osent dirent du mal de la musique et les gens trop bruyant quand ils ne produisent pas des sons agréables.

Comportement avec les gens- Je suis la pluspard du temps froid et indifférents avec les autres mais il m’arrive parfois d’avoir en vie de compagnie et de donc m’arrêter pour discuter. Je ne suis habituellement pas hostile sauf quand les autres le sont ou que j’ai une irrépressible envie de les entendre mourir. Parfois aussi j’ai juste envie de me bagarrer et de cogner dans quelqu’un…

Maladie ou handicap mental- aucun de recensé

Valeurs- euh musique ?

Tics- aucuns

Passé- Ma mère était une pianiste renommée qui avait fait scandale en ayant un enfant sans être mariée et de fait j’ignore qui peut bien être mon père. En tous les cas, elle fit fi des rumeurs qui couraient sur son compte et décida de m’élever avec amour malgré tout ce qu’on pourrait dire d’elle. Le seul problème étant qu’elle n’avait probablement aucune idée de ce que « élever avec amour » pouvait signifier. En fait je ne sais même pas si elle savait ce que le mot « amour » signifiait. Si sans doute, elle aimait la musique, passionnément alors je suppose qu’elle n’avait plus la place pour autre chose. En tout cas, elle me confia à une gouvernante et reparti faire des tournées, donner et assister à des concerts à travers le monde en revenant très rarement me voir. Comme ma mère était musicienne, elle avait choisit en plus d’une gouvernante divers professeurs de solfège, piano, violon et autre pour moi. C’est ainsi que dès mon plus jeune âge on m’apprit à jouer de plusieurs instruments. Quand ma mère revenait me voir, elle restait très peu de temps et ne s’intéressait qu’à mes progrès en musique. Afin de lui complaire et de pouvoir passer plus de temps avec elle je fis donc énormément d’efforts pour jouer, déchiffrer les portées et avoir la meilleure oreille possible. Je commençais à composer mes propres morceaux (assez simples bien sûr) vers mes 6ans. Ma mère se montra ravie de mes rapides progrès mais devint de plus en plus exigeante. Je finis très rapidement par ne plus faire que ça du matin au soir et même pendant la nuit. J’écoutais en permanence tous les sons insolites ou non que je pouvais capter, j’expérimentais avec divers outils afin de créer de nouveaux sons plus justes ou plus étranges, j’apprenais à jouer avec de plus en plus de facilité de nouveaux instruments et je devenais un vrai virtuose avec mes instruments de départ. Si ma mère a bien réussit une chose c’est à m’inculquer la passion de la musique. C’est dans cette ambiance de félicité musicale qu’un jour la police vint arrêter ma gouvernante pour séquestration d’enfant et pour ne pas m’avoir mis à l’école alors que j’approchais des 10 ans.

Ma gouvernante tenta bien d’arguer qu’il m’avait été donné une éducation à domicile. Malheureusement si je savais parfaitement lire et écrire afin de pouvoir lire les revues musicales et si j’avais une bonne connaissance de l’histoire (principalement axée sur les grands et petits compositeurs et le style musical des époques, ma connaissances de la biologie avoisinait le zéro, je ne connaissait que les mathématique qu’à travers l’étude du rythme et la physique ne m’était connue que par la connaissance de la fabrication des instruments et du son. Ma gouvernante fut donc condamnée mais pas ma mère puisque le juge estima qu’étant souvent absente elle ne pouvait être tenue pour responsable. A la suite de quoi ma mère me confia à quelqu’un d’autre qui prit immédiatement la décision de m’envoyer à l’école. Avec ma conscience d’enfant je ne comprenais pas bien pourquoi la vieille dame que j’aimais tant et qui avait une voie si douce n’était plus là, ni pourquoi je ne pouvais plus voir mes professeurs quand je voulais.
Je baptisais ma nouvelle gouvernante « la harpie ». C’était une jeune femme à la voie criarde qui estimait qu’un jeune garçon devait être énergique et non pas passer autant de temps à rêvasser les yeux fermés ou avec ses gens sinistres qui l’encourageait à regarder des vieux parchemins usagés et passer un temps fou à jouer de tel ou tel instrument. Je la détestais pour plusieurs raisons.
Premièrement elle m’avait obligé à aller à l’école. Je détestais cet endroit. Ayant l’esprit vif je comblais vite mes lacunes dans les différentes matières mais je ne pouvais toujours pas supporter cet endroit excessivement bruyant et les espèces de démons miniatures qui y vivaient. J’avais compris très rapidement en arrivant là bas pour la première fois que j’étais différent des autres et que je ne les appréciaient pas. Le seul intérêt que j’y ai vu c’est que j’ai pu encore d’avantage affiner mon oreille et m’entraîner à distinguer des petits bruits précis au milieu d’un vacarme. Pas un seul de ces gnomes ne faisait d’un instrument et ils chantaient presque tous passablement faux. Ce fus en entrant au collège l’année suivante que je me rendis compte d’un autre inconvénient majeur : Si je ne les appréciaient pas, eux non plus. Après m’être pris plusieurs raclées les trois premiers jours, je pris ma décision et demandais à la harpie de m’inscrire à des cours de karaté et de self défense, la mort dans l’âme car cela me faisait passer moins de temps à ma musique. Celle-ci ravie de me voir vouloir faire une activité « d’homme », m’inscrivit aussitôt. Si j’avais commencé les arts martiaux par nécessité de survie, je finis par apprécier vraiment ce sport et me mis à m’entraîner également au tai jutsu, en aikido et dans divers style de boxe.
Deuxièmement elle renvoya tous mes professeurs précédant et m’interdis de les voir. Je bravais l’interdiction au début mais elle me surpris une fois et me fouetta férocement avant de m’enfermer deux jours dans la cave. Ce ne fut pas ma punition mais plutôt le fait qu’elle ai fait accuser et condamner mon professeur pour pédophilie et violence sur mineur qui me convainquit de n’effectivement plus les voir… et qui me fit la haïr d’autant plus.
Troisièmement elle revendit tous mes instruments de musique et presque toutes mes partions mis à par celles que j’avais cachées dans mon cartable. Heureusement ma mère s’y opposa mais la harpie la convainquit de les emmener avec elle et je ne les revis plus. Elle m’interdit même de m’inscrire à un cour ayant un quelconque rapport avec la musique.
Fort heureusement, elle finit par se rétracter sur ce point à mes 15 ans. En effet voyant que je ne la convaincrais pas en boudant ou en la menaçant je pris le rôle du parfait élève. Je fréquentais assidûment le dojo, ne ratais jamais les cours, ramenais des notes exemplaires. Tout en relisant mes très chères partitions restantes dès qu’elle avait le dos tourné bien entendu. Je me fis des « amis » enfin des gens un peu moins détestable que la norme soit à mes cours au dojo soit à l’école qui appréciaient la musique et que j’avais connu parce qu’il étaient venu me demander si ma mère était bien ma mère. Là je me posait la question, elle ne venait plus jamais me voir et était à l’apogée de sa gloire alors que je n’avait plus touché à un violon depuis si longtemps même si je jouais encore du clavier sur un en papier que j’avais dessiné (et soigneusement planqué). Je pris même une petite amie pour la forme même si elle ne m’attirait franchement pas.
Donc, pour mon entrée au lycée, la harpie me permit de m’inscrire dans une école de musique et même dans la chorale du lycée. J’y rencontrais des gens que j’aimais vraiment bien et que j’estimais pour leurs connaissances. En moins de 6 mois je fus enfin débarrassé de la harpie. Mon école de musique me proposa de passer les concours d’entrée d’une prestigieuse université musicale. Grâce à leur recommandation je le passait en laissant la harpie dans l’ignorance et le réussit brillamment. Elle tenta bien de m’empêcher d’y aller mais ma mère me soutins de manière inattendue. Elle récupéra ma garde en me disant qu’elle était très contente de moi et je pu y aller. Je fus très heureux pendant deux ans, je devins pianiste puis violoniste puis chef d’orchestre et compositeur. Je m’entendais très bien avec ma mère. Malheureusement tout ne peut pas aller bien dans la vie sinon c’est étrange. Le jour de mes 17 ans que je fêtais avec ma mère, un inconnu la poignarda dans le dos alors que j’étais dans une autre pièce. Je me figeais devant cette étrange scène en revenant. Le meurtrier se tourna alors vers moi et lança un autre couteau. Je l’évitais et me précipitait sur l’agresseur pour lui mettre une manchette à la nuque. Sa tête se figea dans un angle étrange. La police arriva ensuite. La seule chose dont le me souvint est que le craquement était vraiment très beau. J’en tirais une symphonie magnifique qui fut applaudie dans le monde entier.
Durant les deux ans qui suivirent je devint un meurtrier en série, expérimentant différentes manières de tuer, appréciant les cries d’agonies les supplications, les craquements ou les coups de feu… et m’en inspirant je devint ainsi encore plus célèbre que ma défunte mère. Je découvris que le son que je préférais était celui du sang qui giclait hors de la plaie. Et puis un jour j’eu envie de faire pleuvoir une pluie de sang. Alors, lors d’un concert dans une des salles les plus réputées réunissant plus de dix milles personnes j’ai organisé avec le plus grand soin un grand bain de sang. Et puis malheureusement je n’ai pas pu m’empêcher de rester pour jouer immédiatement le morceau qui m’est venu à l’esprit, je me suis donc fait arrêté et condamné à perpétuité à Sadismus Jail.

Autres- /

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- multiples assassinats parfois particulièrement cruels

Matricule- 514348

Rang- mélodie sanglante

No. de cellule-

Gang désiré – aucun

Personnage sur l'avatar- Euh très bonne question…

Présentation validée ^^

Bon jeu

Tu seras dans la cellule ... Z.

(p'tain ... faut que je trouve quelque chose pour les autres cellules ...)

Les numeros, c'est pour les gardiens.
tu as remplis toutes les cellules, maybe ? il reste pas de la place dans la B par exemple ?
Et puis, tu avais pas dit que tu mettrais plus de monde par cellule ??

elle pourrait faire...A1 A2 A3 etc...

Ouais mais mettre plus de monde par cellule ça virerait compliqué après un moment ... je crois que je vais seulement doubler les lettres :)

tu pourrais mettre l'alphabet grec

euh ... laisse moi réfléchir ... nah

pourquoi donc?

,... * cherche une excuse bidon*

je l'ai pas sur mon clavier ..

pfff

et l'alphabet Jadinien?
Arabe?
hébreu?
latin??

l'alphabet Jadinien ? C'est quoi ça ?

Ou alors oui, mettre plus de personnes dans les cellule :/

Non mettre plus de personnes par cellule, c'est assurément non.