Sadismus Jail
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 Le vrac de Tobby

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Tobias Viatscheslav
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Sybille Hawkins
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 15:59

Mhuhuhu, je sens que je vais me faire frapper...
Le hibou (Ouhouh ! Bref u..u) marche, par contre j'ai une superbe croix rouge à la place des images <3 Site qui déconne peut-être, je sais pas... Je réessaye demain, sinon je laisse tomber, msn powa hein u..u
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Tobias Viatscheslav
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 16:05

*On entend au loin le son ténu d'un caillou tombant dans un profond, très profond puits.*
*plouf*
*0*
(huhu, pas grave, on verra demain, au pire j'essaierai un autre ^^)
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Charity Raven
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 16:11

Moi j'les vois avec le hiboux... ._.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 16:13

Tu me rassures déjà un peu, j'ai donc pas foutu n'importe quoi avec les liens... Je vais tapper ton ordi, Syb ^^
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 16:27

Moi d'abord... Saloperie de pc de grmbl.
Bon, Tobby... Soit tu as la patience et l'immense gentillesse de me les héberger sur servimg, soit tu me les envoies par msn, plus simple et plus rapide...
Encore faut-il que tu te connectes <3 (Sous-entendu ? Ou ça ? Non...)
Nenuit les gens <3
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Charity Raven
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMar 8 Juil - 18:19

* Culpabilise d'être un briseur de couple à force de voir des choses. *
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeMer 9 Juil - 4:58

Briseur de couple ? Où ça ? u..u
*Saute au cou de Tobby et l'embrasse fougueusement*
...
Hem. Excusez-moi.
*Sors discrètement par la porte de derrière*
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeVen 11 Juil - 15:17

Mwarf, on a rien vu u..u
*essuie discrètement la marque de rouge à lèvre*
servimg ? C'est parti ^^ au moins maintenant, je sais où tu vois à coups sûr <3
(ps : non, au fait, je suis pas morte, c'est que mon job a eu tendance à terminer chaque soir vers les 7-8-9 h + préparation le soir... et que maintenant, je suis déguisée en pirate °_°)
et pour msn... gnééééééé, j'ai la flemme de me connecter... niiii, mon téléphone il marche mieuuuuuux. *.* (non, je n'ai pas la tête où je pense...non)

EDIT :
L'Ange de plein pied
Zoom sur le buste et l'enfant
Zoom sur le visage

L'homme rouge

Voilà ^^ comme les autres ne tiennent pas vraiment la route, je ne te les enverrais que si tu le désires, sur msn.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 10:37

(Pirate ? Mwahahahah ! Te connaissant, tu dois être sublime dans ce rôle u..u Couraaage, week-end ! <3)

Bien sûr que je les veux les autres, espèce de bécasse !
*Mode mots d'amour off*
C'est magnifiquement magnifique u..u (Reconnue la chansons Ameno d'Era <3). Un jour, tu me feras un dessin ? *air choupi-trognon*
Je veux savoir dessiner comme toi. Je veux.

(Et merci de ta patience et de ta coopération, au fait <3)
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 11:29

Ma coopération ? T'avais pas dit que tu me lâcherais un perroquet enragé si je m'exéctuais pas ?
...
Non ?
...
EN effet, non u..u Mais ça me fait plaisir XD
Oui, c'est bien ameno... la traduction est intéressante, et allait plutôt bien avec l'idée du dessin, alors voilà. Heureuse que cela te plaise, et oui, bien entendu, je te ferais un dessin. Du thème que tu veux (à moin que tu me rappelles la date de ton anniversaire, et la poste se charge du reste XD)
Piraaaaaaaate (J'étais Joe Face-de-Rat... j'aime les noms nuls)

J'en profite pour ajouter un texte. Je sais plus quand je l'ai écrit, ni pour qui. C'est juste que je l'ai retrouvé parce que je cherche le début de ta réponse XD (et que c'est trèèès bien rangé dans mon ordi...hum)

**********************************************************

Elle s'appelle Mélodie.
Elle a quinze ans. Tout juste. Un brin de fille, la bouche en cœur, les yeux au ciel. Qu'importe la couleur de ses cheveux. Qu'importe la forme de son visage, la profondeur de ses yeux, ou la perfection de son teint.
Qu'importe.
Ses doigts traînent dans l'eau du ruisseau. Elle entend le chant de l'eau, et sourit. Elle est seule, dans cette sorte de forêt brillante, dans sa robe de dentelle blanche, et dans sa tête.
Le ciel n'est pas bleu. Pas de délicat rayon jaune transperçant le toit de feuilles. Pas de lumière rassurante, chaude, amie. Il n'y a que des nuages. Une vaste étendue d'un gris lumineux, tout humide de la pluie qu'il retient.
Elle s'appelle Mélodie. Et Ciel, ne tombe pas sur sa nuque fatiguée. Ne refroidis pas davantage ce front glacé.
Fais ce cadeau, à Mélodie.

Ses yeux sont grands ouverts. Ouverts, sur l'abîme liquide d'une douceur trop dure, d'une dureté trop douce. Mais elle ne voit pas. La voix de l'eau vient effleurer le lobe fragile de son oreille. Mais elle n'entend pas. Un serpent d'eau, curieux, vient ondoyer entre ses doigts trop raides.
Mais elle ne le sent pas.
Mélodie.

" – Blanc… Blanc comme la neige."
Encore un coup de pinceau. Le garçon colore la peau pâle de Mélodie, sur cette feuille, ce bout de rien, posée sur son vieux carton à dessin. Ses yeux sont des papillons. Avec une sorte de fièvre, il se posent sur la forêt, sur le ruisseau, en face de lui, puis hâtivement reviennent caresser un peu brutalement le papier d'aquarelle, y ajoutant par la grâce de son don la silhouette de la jeune fille endormie.
Une plume sur l'eau.
Un baiser sur le front.
Mélodie.

" – Vert… Vert comme les feuilles."
Le doigt du garçon trace le ciel, trace la lumière, et trace l'ombre. Gris souris. Vert dragon. N'y a t-il pas trop d'arbres, dans une forêt ? Respire, Terre, Respire ! Tend vers ce Ciel coupé de branches, coupé de bois !
Une perle sur sa tempe.
Sueur sur son front.
Mélodie.

"- Maintenant…"
Les doigts du garçon se crispent sur ce pinceau qu'il croyait tenir. L'objet lui échappe, roule par-terre.
Silence.
Le ruisseau, la forêt, le ciel et la terre, tout cela, oui, tout cela est loin. Il lui semble qu'il regarde ces choses à travers un miroir flou, embué par l'eau amère de ses propres larmes.
Inspire, expire.
Et fais-le pour deux.

Sa main tremblante vient se saisir à nouveau du pinceau. Il lui semble soulever bien plus qu'une simple brindille de bois. Surtout, le tenir comme un oiseau. Assez fort pour qu'il ne s'envole pas. Mais pas trop pour ne pas l'étouffer.
Son poignet se plie, recueille un peu de ce dernier pigment.
Le pinceau chargé hésite au-dessus de la feuille. Un instant.
Encore, rien qu'un instant, s'il vous plaît…
Mais c'est déjà fait.
La robe est tachée.
Mélodie…

" – Rouge."


Dernière édition par Tobias Viatscheslav le Sam 12 Juil - 13:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 11:50

Tu as du rêver chérie u..u
Mais si ça te fais plaisir xD
Traduction ? Je devrais voir un jour, jamais cherché à comprendre... Mais j'adore cette chanson.
Dessin ? Dessiiiiiiin ! *jubile* Mon anniversaire est plus loin du tien (bientôt, 18 ans hein ?!), 24 février... On va attendre un peu u..u
Joe Face-De-Rat... Bwahahahah ! *Morte de rire*
Ca, ça va rester, crois moi u..u

Réponse ? *Yeux qui brillent*

Bon, on arrête les conneries. Sérieux, le texte... Je l'aime. Je l'adore même. C'est doux, c'est fort, vibrant, touchant. Magnifique.
Chapeau.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 12:58

...que tu dis, ça a pas intérêt à rester XD Fanh des pieds >.<
Contente que le texte te touche ^^ Couleurs...
Dessiiin, ui. Sinon, je peux toujours te faire ton cadeau d'annif à l'avance... le nonè-respect des dates, c'est mon grand truc. Avant ou après, mais jamais pendant... hum.

Je continue de chercher ta réponse, et je tombe sur d'autres trucs... Le début d'une histoire d'un garçon nommé Blue. La suite (qui n'est pas écrite) le fera rencontrer un personnage nommé Prométhée... qui ne lui offrira non pas le feu sacré, mais le pouvoir de faire apparaître n'importe où des papillons bleus, en lui demandant de s'en servir pour changer le monde.
Sérieux ?

"Je m'appelle Blue."


C'est une sorte de malaise.
Oh. Pas grand chose, pourtant… J'ai pas mal. J'ai pas faim. J'ai pas peur. Que demande le peuple ? Rien.
C'est d'ailleurs peut-être ça, mon problème… "rien".
Comment dire… Si je pars du fait que…respirer… est un truc relativement important –vous me suivez ?- et bien… je devrais peut-être m'inquiéter. Un peu. Dans le sens où je ne sens pas ma poitrine se soulever. Ni mes côtes s'écarter, mes poumons se remplir d'un bon air bien pollué et bien citadin, ma gorge généreusement noircie au bon goudron me brûler, comme pour me rappeler sa présence.
Et bien justement… Voilà le dilemme. OK, je sens rien, mais j'avoue qu'en cet instant précis, je donnerais n'importe quoi pour palper mon bon vieux corps de junkie acidifié. Juste histoire de me prouver que je ne suis pas mort.
Non pas que cela me touche particulièrement. Mort, mort, mort… Et alors ? Un pauvre type en moins, voilà tout. Je ne pense pas avoir eu assez d'attentes… d'espoirs à placer dans la vie –dans ma vie- pour me la jouer mélo. Vous voyez ? Je laisse ce genre de beautés aux gens biens. Et c'est tout dire, non ? Bref.
N'empêche… J'aurais bien la haine si j'avais véritablement trépassé…sans savoir pourquoi. Pire : sans m'en être rendu compte. Et…oui. Vous auriez certainement compris, depuis le temps. Mais s'il faut vraiment le dire…
"Je suis complètement largué. "

C'est naze. Et c'est mon drame.
Bref.

Bon. Reprends-toi, boy. C'est pas tous les jours qu'on bascule dans l'Autre Monde. Alors on va essayer de procéder méthodiquement. Si je ne me souviens pas de l'instant de ma mort, j'ai tout de même eu une mémoire… Même approximative, ou pas vraiment exploitée. Mais bon. Je m'en accommoderai. Après tout… Rien ne presse. Je crois que je n'ai même pas conscience du temps qui passe… Tant mieux. L'éternité, ça finit toujours par être un peu long, quand on compte les heures.
Heh… Est-ce que je suis vraiment en train de me parler à moi-même ? Et bien… Cela promet d'être…drôle. Allons. Il est temps d'ordonner un peu la bouillasse spongiforme qui me sert d'esprit. Le trépas ne semble visiblement pas être parvenu à m'éclaircir les idées… Esprit, arrête de partir dans tous les sens ! Et, quitte à converser avec moi-même, autant assumer. De toutes façons, il n'y a pas d'autre petite tête que la mienne pour écouter cette histoire…
Mon histoire.

***
Je m'appelle Blue. (suite pas encore écrite <3)


Dernière édition par Tobias Viatscheslav le Sam 12 Juil - 15:32, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 13:17

"Perdu."

Sa démarche était hasardeuse, la moitié de ses mouvements, superflus. Ses doigts s'agitaient inutilement dans les airs, sans but précis. Ses pas suivaient une ligne connue d'eux seuls, mais en tous les cas, droite d'aucune manière. Ses épaules voûtées faisaient de sa poitrine une cavité creuse et osseuse, tandis que sa colonne vertébrale formait une courbure incroyable. Son visage brouillon était agité de tics nerveux incontrôlables. Sans répit, cette face graisseuse remuait, tressautait au rythme d'une délirante musique intérieure. Deux serpents de salive sinuaient aux coins distendus de ses lèvres humides.
De puis combien de temps errait-il ainsi ? Dans le clair-obscur baveux de sa conscience, depuis trop longtemps. Mais pas assez, en même temps. Encore , encore quelques heures, s'il vous plaît, encore pour oublier. Se vautrer dans la goudron abrutissant de l'alcool, dans la luxure étouffante de ses remontées gastriques, dans le palace oppressant de ses fantasmes et de son oubli.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 13:26

Allez hop, pour la peine, je balance aussi les trucs qui me font honte >.< Celui-là, c'est hyper vieux. Mon premier forum de rp, et j'écrivais vraiment comme une porte de frigo.
Un résumé de l'histoire du personnage, et en vers s'il-vous-plaît... >.<"
(si vous voulez lire un truc agréable, franchement, passez votre chemin)

Loin des grises montagnes, loin de la mer d’azur,
Vivait sur les plateaux le clan Iskillian.
Soigneurs vagabonds, guérisseurs indépendants,
Ne craignaient, pour leurs malades, ni chaînes ni murs.
Ami où ennemi, nul n’était délaissé,
Et le brancard était leur universel lit.
Naaten, semblable aux siens, à ce but fut vouée,
La lutte contre la douleur serait sa vie.

En ces temps troublés, la peur dans les cœurs régnait,
Les humains à la nuit tombée, de frayeur se terraient.
Car deux peuples haineux dans les ténèbres luttaient,
Et de la chair des frêles humains se nourrissaient.
Les atroces nuits de terreurs se succédaient,
Lorsque les canines, les crocs se découvraient.
Laissant au matin corps sans vie, veuves éplorées.
Les Iskillian rageaient, car ils ne pouvaient soigner.

Vint ce sanglant matin, cette aurore aux doigts rouges,
Où l’aïeul, où le maître, fut enlevé dans les bouges.
Traces de lutte, traces de sang, traces de griffes féroces,
Les Iskillian rageurs cherchèrent les bêtes atroces.
Mais avec horreur trouvèrent les effets de l’aîné.
De tristes lambeaux déchirés, ensanglantés,
Laissant à la famille une haine aveugle.
C’est décidé, l’on partirait, l’on se battrait !
Pour que sous leur vengeance, les bêtes meuglent.

Naaten, avec son frère, son père et son oncle,
Partis dans la forêt déloger ces furoncles.
Noir, froid et hostile, le bois les repoussaient,
Comme pour leur interdire toute juste entrée.
La nuit tomba, et la terreur avec elle,
Recouvrant le ciel comme une perfide aile.
Ce fut la nuit des griffes, la nuit des crocs, la nuit du sang,
Et Naaten se réveilla seule, le bras broyé.

Plus jamais elle ne voulut rentrer chez les siens,
Par peur de leur donner du mal, au lieu de soins.
Alors elle rejoignit le Peuple de la Lune,
Qui de leur ancienne vie pleuraient l’infortune.
Cependant, elle garda sa fidèle musette,
Qui caressait son flanc, rassurant sa course.
Un attache à sa vie, tristement fluette,
Pour ne pas changer, ne pas devenir ourse.

Naaten de sa nouvelle vie s’accommoda.
En premier, vint la Vampire Evera,
Qui lui offrit son amitié, la paume ouverte,
Celant le serment par une pierre offerte.
Elle rencontra Loup de Feu, époux au cœur fidèle,
Puis sourit des déboires de Discorde le fol.
Enfin, rencontra Chakra, amant d’Evera,
Qui sur les mœurs lycanes la questionna.

Sans oublier Lyserg, ardent étudiant,
Qui des secrets des plantes voulait apprendre tant.
Et tous ces Lycans qui prirent peur avec elle,
Du perfide mal qui rongeait Evera la belle.
Enfin, tous ces Vampires malconnus,
Aperçus de loin, fuyant sa vue :
Maewa, Argah, BlackCat, Dadjilah,
Aux complexes passés.

Chacun son histoire, chacun son épopée,
Qui un jour, nous sera contée.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 15:37

Dans le genre je commence à écrire mais en fait, on comprends pas en quoi y'a une histoire (1 ou 2 ans à peu près):

Fausse préface des "enfants du ciel"

Salut. Il semblerait que vos mains un peu trop baladeuses se soient risquées à ouvrir ce livre… Bien malgré moi, en fait. Je pourrais même me demander comment ce journal en est venu à être miré par vos jolis petits yeux.
Disons que ce n’était pas vraiment prévu. Enfin, au point où j’en suis… je veux dire dans la situation qui est la mienne, ce sympathique mot de « prévoir » ne signifie plus grand chose.
Hop hop hop ! Je vous vois venir, avec vos gros dicos. Je ne suis pas né de la dernière pluie acide, moi… J’ai l’œil.
Entre nous, moi, pas le livre : une page ne possède que très rarement d’yeux. Vous ne saviez pas ça ? Gamins ! Je sentais qu’il fallait que je vous le précise. Ces phrases à la syntaxe parfaite, racée, et raffinée sont de moi. Pas d’un de ces biographes expansifs, le nez dans les paperasses, et des tâches d’encres sur les oreilles. Et elles viennent encore moins d’un bouquin. C’est simple. Un livre n’écrit pas de livres. Ce que vous tenez entre vos pattes n’est rien d’autre que mon journal de bord. Mon journal intime, pour les néophytes. Ma vie si parfaite, si splendide, riche en émotions, en combats tous vertueux et bien évidemment tous remportés, ne méritait que d’être narrée par mon incomparable moi-même. Je sens que vous commencez à regretter d’avoir ouvert ce paquet de feuilles. C’est bien fait pour vous. On ne vous à jamais appris qu’il ne fallait pas parasiter l’intimité des abrutis ? Ce type de propriétaires à une nette tendance à vous laisser une marque profonde, mais néanmoins gluante dans votre esprit – et accessoirement votre bras, sous forme de morsure primitive – en usant de leur ultime moyen de défense : le gavage intellectuel. Car malheureusement pour vous, je suis un abruti. Les témoins sont unanimes, les faits criants de vérité, la réalité douloureuse. Si j’en suis où j’en suis, c’est à cause d’actes dictés par ma folie et mon égo personnels. Je suis un abruti, et je m’accepte. Circulez, il n’y a rien à voir, fin de la représentation, pas de remboursement prévu à la sortie, rideau.
Tiens, vous avez réussi à me fâcher. Puisque c’est ainsi, vous allez devoir subir toute mon histoire. Je vais vous forcer à avaler ces pages d’encres, moi. Je vous emplirai la tête de songes et d’ombres qui remuent. Je gaverai votre cœur de mes sentiments les plus bas, les moins avouables, et les plus forts. Je soufflerai dans votre mémoire mes propres souvenirs, mes propres sacrifices, mes amours, mes peines, mes espoirs.
Pourquoi ? La raison est simple, gamins. Il est des faits qui ne devront jamais se reproduire. Il est des horreurs qui doivent nous hanter, pour empêcher leur retour en force.
Je suis un parmi le tout, mais tout ne forme qu’un. De ces quelques années retranscrites, tirez vos propres leçons : évitez-en les erreurs, conservez-en les bons points, et comprenez ma fierté de n’être certes qu’un abruti, mais un abruti libre, conscient, et pas tout à fait comme les autres.
Apprenez la fierté que j’ai éprouvé en rendant possible ce qui n’était pas prévu dans l’adversité.
Prévision. Amour. Fierté.
De ces trois mots, n’en retenez que deux.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 15:43

Rhhhhhaaaaaa, Sybou, j'vais finir par la retrouver, ta réponse, à force d'écumer tous mes vieux fichiers >.< Je suis sûre que je l'ai mise n'importe où u..u

"Un jardin" (2 ans)

Un jardin. Une balançoire. Et sur cette balançoire…une jeune fille, qui se balance, assise un pied dehors, un pied dedans. Comme si elle ne savait pas trop quoi faire…continuer de jouer comme une enfant, ou aller marcher parmi les hommes ?
La balançoire grince, la balançoire chante.
Ses longs cheveux voltigent dans la brise du matin : elle a défait sa natte, comme lorsqu’elle était petite. Elle n’a pas très envie de descendre…mais elle commence à s’ennuyer un peu. Oh, pas trop, mais juste un peu…

Un jardin. Une balançoire. Et sur cette balançoire…la jeune fille, mais un tout petit peu moins jeune. Cette fois, ses deux pieds remuent devant elle, dans le vide. Elle se sent bien, mais elle se sent seule, aussi. Oh, pas trop, mais juste un peu…
La balançoire grince, la balançoire chante.

Un jardin. Une balançoire. Et sur cette balançoire…la jeune fille, encore un peu moins jeune que la première fois. Maintenant, elle n’a plus qu’une main sur la chaîne de la balançoire.
La balançoire grince, la balançoire chante.
En ce balançant un peu plus fort que les autres fois, ce matin, elle a vu, par dessus la palissade du jardin, un garçon.
Il était loin, surtout. Oh, pas trop, mais juste un peu…

Un jardin. Une balançoire. Et sur cette balançoire…la jeune fille, certes moins jeune que la dernière fois, mais toujours là. Désormais, elle se balance, accrochée uniquement par ses genoux pliés. C’est un peu dangereux, mais c’est rigolo.
La balançoire grince, la balançoire chante.
C’était tellement rigolo, puisque c’était nouveau. Bien que ce ne fût dangereux. Oh, pas trop, mais juste un peu.
Elle pense au garçon d’au delà de la palissade.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 15:53

(Je vais t'offrir un guide de rangement des fichiers words, écrit par moi-même <3 Tu ne te rappelles même pas du titre ?)

Mais arrête de dire que ça te fait honte... Il est très bien ton poème-histoire, cruchonne ! Puis je trouve ça chou l'histoire de la balancoire... Moi j'aime alors tu arrêtes de râler.
Comme quoi, ça a du bon de pas retrouver un dossier... Continuer à poster, ça me donne de quoi lire, et ça c'est super, surtout quand c'est bien écrit 11
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Tobias Viatscheslav
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:04

Niiiiiiiiiii. Je le veux bien, le mode d'emploi XD A partir de maintenant, je les classerai peut-être mieux... Peut-être XD
Contente que cela te fasse patienter, au moins u..u Je vais la trouver, je vais la trouveeeer ! (l(histoire de la balançoire, je l'avais écrite pour quelqu'un)
Et puis...
J'AIME RÂLER.
*râle* *râle* *râle*

Maintenant, l'histoire d'un personnage : Sandayu Momochi, (mélange de noms de personnages ayant existé), ninja hémophile de son état. Il appartient à un foum de rp que j'avais créé, puis délaissé, faute de temps... et de maîtrise. Le principe :
Kamakura est un vaste pays, divisé en des régions aux climats et aux légendes très divers (Iga, Koga, et je sais plus). Il y a plusieurs groupes : samuraïs, ninjas, ronins (mercenaires), sénateurs, vagabonds, moines. Ces classes donc vivent dans un monde semi-merveilleux, à inspiration du Japon médiéval. Un système de Maître du Jeu y était inclus, ainsi que des listes d'armes à points.

Sandayu était le chef d'un des deux grands clans ninjas (d'Iga, si je me souviens bien), tandis qu'une autre joueuse s'occupait du clan de Koga.
Son histoire (2 ans) :

"Sandayu"

1° Partie : Enfance. Qui je suis ?

« - Bien Sanda, bien ! »
Le jeune moine guerrier riait aux éclats à la vie des cabrioles de ce garçonnet s’escrimant contre un mannequin de bois rotatif.
« - Sanda ?
- Oui, Maître ?
- Attention à la tête ! »
BONK !
Le petit garçon fut projeté au sol, s’aplatissant mollement dans l’herbe moelleuse caractéristique des vertes contrées de Retsu.
Mais au moment même ou ses épaules touchèrent terre, le rire du moine s’éteignit, son expression se glaça, ses sourcils se froncèrent. Changement de faciès d’autant plus impressionnant que le maître de Sanda était connu pour son éternelle bonhomie.
« Relève-toi, dépêche-toi ! » aboya-t-il.
Sanda lui coula un regard surpris, entre crainte et étonnement. Quelle violence dans les propos de son maître ! Mais ces brusques changements de ton ne lui étaient pourtant pas étrangers… A la moindre défaillance, à la plus petite erreur de sa part, le Maître se muait en un homme violent, colérique, intransigeant… comme s’il y avait eu deux Maîtres.
Mais lequel était le faux ?
Sanda secoua la tête. Non. Son professeur devait tout simplement être en colère lorsqu’il ne lui faisait pas honneur aux yeux des autres maîtres. C’était certainement cela…
Sanda, perdu dans ses réflexions, commença à se relever lourdement. Mais déjà, le Maître fut sur lui. Furibond, il le saisit par le col, et le plaqua durement contre le mannequin.
« Quand je t’ordonne de te lever, tu te lèves. » dit-il froidement.
Les jambes de Sanda battaient le vide, en vain.
En un mouvement rageur, le Maître jeta Sanda au sol. Une vague de douleur irradia dans le corps du garçon. Il en fit abstraction, comme d’habitude, et bondit sur ses pieds.
« Ne laisse jamais RIEN ni PERSONNE te toucher, t’atteindre par un quelconque moyen. Tu ne dois pas saigner. C’est un ordre.
Recommence. »
Et Sanda recommença, avec toujours la même question à l’esprit.
« Qui je suis ? Qui est-il ? Qui sommes-nous ? »

2° Partie : Retour en arrière... Histoires de moeurs dans la neige !

8 ans auparavant…

En ce jour, les terres tourmentées de Dokko gémissaient sous l’assaut cruel du blizzard… Mais, regardez ! Des traces de pas ? Dans une telle immensité hostile ? Impossible !

En êtes-vous sûrs ?
Suivons cette piste, à travers la tourmente, par delà les dunes glacées ! Et soudain émerge d’entre les montagnes de glace une forme étrange… Un campement ?
Eh oui, si étrange que cela puisse paraître… Mais laissons la parole aux trois personnages assis dans une des tentes, frigorifiés, anxieux. Parmi eux, deux hommes, et une femme tenant un tout jeune bébé contre son ventre, pour le réchauffer.
La femme se nomme Jinnai Hattori. Elle est la dernière représentante du clan ninja Hattori, avec un des autres hommes. La famille fut victime d’une trahison…venant du chef du clan lui-même, pour raisons pécuniaires.
Oh, il n’eut pas le temps de profiter de la somme colossale qui lui fut remise par un Seigneur : Jinnai et l’autre Hattori, Iburi, introduisirent un poison fulgurant dans son thé… Le pauvre ne se méfiait pas de la splendide Geisha roucoulante qui lui servit le breuvage…et qui n’était d’autre qu’Iburi, habilement travesti en femme.
Le Seigneur à l’origine du pot-de-vin fut éliminé de la même façon, cette fois par Jinnai.
Une fois ces deux assassinats effectués, ils prirent la lourde décision de s’enfuir au plus loin. Et quoi de mieux que Dokko, inspiratrice des pires craintes et de la folie des hommes ?
Mais il leur fallut un guide, un être courageux, fort, et expérimenté. Et ils trouvèrent exactement ce qu’ils cherchaient en la personne de Henso Momochi. Pas Ninja pour un sous…mais avec un formidable potentiel : brillant, charmeur, manipulateur. Jinnai pensa un moment qu’il eût dû naître Ninja, et non paysan.
Et ce qui devait arriver arriva… Jinnai tomba éperdument amoureuse de leur guide, au mépris de l’homme qui lui était promis : Iburi Hattori.
A partir de ce moment, tout se passa extrêmement vite : elle tomba enceinte, Henso Momochi les abandonna, jugeant que l’affaire commençait à impliquer un peu trop de sa personne.
Iburi, quant à lui, fou de jalousie, enleva l’enfant.
« Ce qui est le plus précieux à tes yeux…je te l’enlève, comme tu me vola ce qui l’était le plus aux mien. »
Iburi abandonna Jinnai à une mort certaine dans les steppes glacées, maudissant son déshonneur, et partit sous un autre nom refaire ça vie au loin.
La Province choisie fut Retsu, région de montagnes et de temples, offrant une cache parfaite. Iburi modifia sa personnalité, et se fit passer pour moine aux yeux du garçon. Il le nomma Sandayu, et lui laissa le nom de Momochi. Sandayu, car c’était le prénom de l’ancien chef de caste Hattori, et Momochi, car ce nom ne donnerait jamais aucun privilège à l’enfant. Haine, et honte : voilà ce que signifierait le nom de l’enfant.
Cependant, respectant encore le sang Hattori coulant dans les veines de Sandayu, il se mit en tête de le former à devenir la plus efficace de toutes les machines à tuer : un Ninja.


3° Partie : Que la vérité éclate ! Ultime épreuve.

Et ainsi va la vie. Iburi entraîna Sandayu…allant jusqu’à ses limites les plus extrêmes.
Nombreuses étaient les questions de l’enfant : « Pourquoi cet entraînement, Maître ? D’où est-ce que je viens ? Qui sont mes parents ? ».
Et jamais, non jamais Iburi ne lui répondait. Si Sandayu se montrait trop insistant, il était récompensé par une dérouillée dans les règles de l’art.
Là apparut un des traits premiers du mental de Sandayu. Ne fais confiance à personne. Pas même ceux qui semblent proches de toi… Chacun est un ennemi potentiel.
Plus le temps passait, et moins Sandayu posait de questions.
Plus le temps passait, et plus Sandayu devenait puissant : il gagna en agilité, en force, en solidité mentale.
Les joues rondes de l’enfance firent place à un masque de jeune homme, dont seul le regard trahissait les seuls sentiments qu’il connaissait : rancune, méfiance, et désir de surpasser son maître.
Iburi s’efforça de faire de Sandayu son arme, son pantin. Mais dans le secret de ses pensées, le jeune homme imaginait déjà mille façons de le vaincre.
L’entraînement se poursuivit, entre manipulations et rancune dissimulée. Sandayu passa par milles souffrances. Il apprit à nager de toutes les manières possibles, discrètement, rapidement, et à retenir son souffle. Ceci faillit lui être fatal : Iburi maintenait sa tête sous l’eau, durant le temps qui lui paraissait acceptable…dépassant malheureusement les limites de la condition humaine.
Tout y passa : maîtrise totale du ninja-to, combats à mains nues, techniques d’escalade, de déguisement, de manipulation des faibles, et surtout, d’esquive.
Car Sandayu comprit pourquoi le Maître lui interdisait d’encaisser le moindre coup : le jeune homme, ultime descendant d’une famille ninja décimée, était hémophile. Sa première coupure, due à un Shaken mal lancé, ne se décidait pas à se fermer. Le sang coulait, coulait, tandis que Sandayu de sentait partir…et soudain, tout fut noir.
Iburi découvrit Sandayu, affalé contre un arbre, baignant dans une flaque de sang. Il le soigna à l’aide d’une potion cicatrisante.
Alors que le jeune homme, toujours inconscient, respirait paisiblement, Iburi observait son visage.
Il le reconnaissait, ce visage ! Le visage de Sandayu, en grandissant, s’était affiné, durci.
Et Iburi reconnut dans ces traits la femme qu’il aimait autrefois, ainsi que le fantôme d’un homme qu’il haïssait.
C’est ce jour-là qu’Iburi Hattori bascula dans la démence, pris dans une spirale de haine et d’amours déçus.
Le soir même, il fit charger Sandayu, inconscient, sur une charrette en partance pour Isé, qui traverserait Dokko, le pays de glace. L’entraînement de Sandayu était achevé depuis plusieurs mois. Il avait surpassé Iburi. Et maintenant, Iburi le tuait. Il l’abandonna en plein milieu de Dokko, laissant son corps endormi à la merci du froid meurtrier.
Une ultime épreuve.

4° Partie : L'homme à la face de glace.

Au matin de la nouvelle Lune, Sandayu s’éveilla. Il fut immédiatement pris d’une toux sanguinolente : le froid avait compressé ses poumons jusqu’à l’extrême. Le jeune homme tenta de se relever : il tomba face contre terre.
Son visage fut plongé dans la neige si froide… Sandayu sentait le froid investir son corps…sa face qu’il ne sentait plus, et qui acquit alors cette formidable absence d’expressions. Par la suite, le Ninja s’évertua à chaque instant de reproduire cette sensation de froid intense…de visage immobile, congelé dans une gangue de méfiance.
Ainsi naquit « L’Homme à la Face de Glace ».
Le jeune homme resta longtemps ainsi…à penser, à se jauger. Il en arriva à plusieurs conclusions, dont il ferait les grands principes de sa vie.
« De ta naissance à ta mort, tu resteras seul. »
« Les Hommes sont faibles : ne soit pas Homme, sois Arme. »
« La confiance est faite pour la multitude. La solitude inspire la puissance. »
« Avance masqué, avec ton ombre devant toi. »
« Ne laisse jamais quiconque connaître la longueur de ton ninja-to. »
« Les Hommes sont des outils : sers toi en. »
« Ne vis pas, ne meurs pas : ne fais que vaincre. »
Ca y était. L’ambition de Sandayu Momochi était née. Il fondrait son Clan, il montrerait aux Hommes la voie de la force telle qu’il la concevait. Ainsi apparut le Nindô de Momochi.
« Les Hommes se trompent. La mort et la vie n’existent pas : il n’y a que l’amélioration de ses capacités »

(suite au prochain post)


Dernière édition par Tobias Viatscheslav le Sam 12 Juil - 16:09, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:04

(second post de l'histoire)


5° Partie : Renaissance (où Sandayu se travestit en Geisha)

Alors, Sandayu Momochi se releva. Il marcha…longtemps, longtemps. Si longtemps que le Soleil s’était éclipsé cinq fois par delà les dunes glacées lorsque Sandayu arriva enfin dans une Province nouvelle : Iga.
Amaigri, abreuvé uniquement de neige fondue, Sandayu était en piteux état, sans le sou, dans une nouvelle région.
Et quelle région ! Gouvernée par un arriviste incapable, les lieux baignaient dans la misère la plus noire…alors même que le Seigneur Kugu vivait dans l’opulence. Quelque part au fond de lui, ce fait choqua légèrement Sandayu. Mais il abandonna bien vite sa pitié. Manque de sensibilité, déformation professionnelle ? Le fait est qu’un plan germa immédiatement dans l’esprit du jeune Momochi – âgé alors de vingt-cinq ans : il déposséderait le Seigneur d’Iga de sa fortune et de son autorité, afin installer de solides bases pour son futur clan.
Mais ce n’était pas si simple. Sandayu était, selon ses critères, presque nu : il ne disposait d’aucune arme, pas même le moindre misérable Shaken…et encore moins de son précieux ninja-to.
Mais pour concrétiser son plan, il lui faudrait bien pénétrer dans la demeure de Kugu. Il s’adonnait à ces pensées maussades lorsqu’il mit le pied dans une flaque d’eau abandonnée là par la dernière pluie. Sandayu jura affreusement : il était pieds nus, et commençait de nouveau à claquer des dents. Mais soudain, il se figea. Il venait d’apercevoir son reflet dans la face miroitante. Il s’agenouilla dans l’eau, et s’observa attentivement.
Son visage, émacié, était devenu fin, presque délicat. Deux grands yeux brillaient sur sa peau pâle, et ses cheveux avaient poussé, jusqu’à ondoyer dans son dos.
Sandayu s’éclaira d’un sourire. Il avait la solution.
Le soir même, il entrait facilement dans une boutique de tisserand, y subtilisant ce dont il avais besoin, notamment dans les ateliers, et dans la chambre de la femme du maître de maison. Ce fut un jeu d’enfant.

Le lendemain, une splendide Geisha se présenta à la demeure du Seigneur Kugu, vêtue d’une somptueuse robe vert tendre, coiffée d’un chignon dégageant élégamment son cou, et maquillée avec beaucoup de soin et d’insistance. Une vieille domestique, ridée comme une pomme cuite, lui ouvrit.
Sandayu s’inclina gracieusement, sans laisser transparaître la honte qui lui rougissait les joues sous l’épaisse couche de maquillage.
La femme le toisa du regard, l’observant des pieds à la tête.
« J’imagine que vous êtes venue pour le service de Sire Kugu… » lâcha-t-elle, suspicieuse.
Sandayu battit des cils, sourit modestement, et s’inclina de nouveau.
« Hmm… Vous ne parlez pas beaucoup, ma fille. Et c’est temps mieux pour toi. Entrez. Vous arrivez à point, la dernière s’est enfuie en courant. ».
Sandayu laissa échapper un petit gloussement candide, puis passa la porte.
Première étape de la mission réussie.

Le soir même, Sandayu devait s’adonner à la cérémonie du thé. Agenouillé devant Kugu, il versait délicatement le breuvage devant le Seigneur. Kugu était tout simplement monstrueux. Son visage, pelé par endroits, était la caricature même de l’avarice et du vice. Il dévorait d’ailleurs des yeux cette nouvelle Geisha aux traits volontaires, mais particulièrement subtile et délicate.
Il éructa bruyamment, puis s’adressa à Sandayu, la voix légèrement éraillée par l’alcool.
« Ma jolie… Tu es si froide… Regarde-moi ! »
Sandayu avait un peu de mal à supporter ce ton digne d’un vieux kappa pervers, mais il réussit à garder son sang froid. Il coula un regard charmeur au crapaud qui le regardait fixement.
Dans l’ombre, des domestiques observaient la scène, soucieuses. Elles, malgré le déguisement parfait de Sandayu, ne s’étaient pas laissées trompées. Elles étaient femmes, et avaient réussi à déceler la nature de Sandayu, malgré ses lourds atours. Certains détails ne pouvaient les tromper. Hanches trop peu marquées, port de tête moins haut, mains fines, mais aux jointures un peu trop épaisses.
Mais elles attendaient. Personne n’appréciait Kugu, qui détournait à son profit des fonds gigantesques, laissant la population affamée. Si ce Ninja était là, c’était pour quelque chose d’important.
Elle observaient.
Pendant ce temps, Kugu poursuivait ses avances maladroites, allant même jusqu’à poser ses bras autour des épaules de Sandayu (berk).
C’était ce que le Ninja attendait. Furtivement, il laissa courir ses mains dans la doublure de la veste de Kugu…et victoire !
« Alors, ma douce, c’est mi… »
Le kappa pervers n’eut pas le temps d’achever sa phrase. Le pied de Sandayu percuta son menton, lui faisant voir trente-six chandelles. Dans le même bond, Sandayu fut debout, brandissant des documents signés de la main de Kugu. Le pied dur la poitrine de Kugu, il lut de sa voix véritable :
« Capitaine Enoki. Seigneur de Province voisine éliminé comme prévu. Bon travail. Récupérons ses titres, une part est pour vous. »
Sandayu sourit, et poursuivit :
« Fonds pour création d’un temple réquisitionnés pour compte de guerre à l’étranger. Bien ajoutées au trésor personnel. Comptons sur votre habituelle discrétion.»
Sandayu avait gagné. Il avait mis à jour les détournements de fonds de Kogu. Il était fait comme un rat.
Le Ninja s’agenouilla à côté du corps tremblotant de Kugu, et lui parla longuement.
Ce soir-là, Sandayu obtint le pouvoir d’Iga, ainsi qu’une liberté totale d’action, ainsi que des crédits suffisants pour s’installer discrètement.
Kugu était tenu par le chantage, et désormais continuellement surveillé par les domestiques, ayant tous juré fidélité au clan Momochi. Ils pensaient en effet que Sandayu était leur sauveur, celui qui tirerait Iga de sa misère.
Le jeune Momochi ne pensait pas e la même façon, mais se garda d’en informer le personnel du palais : ils étaient son seul soutien en ville.


Ainsi, Sandayu fit sa place à Iga. Grâce aux fonds extorqués à Kugu, il fit reconstruire un vieux donjon, en y ajoutant quelques modification d’ordre personnel…et guerrières.
Il se découvrit un talent naturel pour le tissage, et dissimula sa vraie nature de Ninja sous une apparence de riche confectionneurs de vêtements de luxe, renommés dans plusieurs province pour leur délicatesse et leur raffinement.
Ici naîtra le Clan Ninja Momochi…à l’abri des regards indiscrets, et des organisations ennemies.
Car il existait un autre Clan Ninja, à Koga, qui recevait l’appui de la population. Sandayu avait entendu dire qu’il était actuellement dirigé par une femme…il n’y croyait pas trop, perclus de préjugés.
Néanmoins, ce Clan était d’une puissance incontestable, c’était le meilleur. Sandayu avait un nouvel objectif : atteindre le niveau d’une telle organisation. Mais il lui faudrait des hommes.


Bonus : Mais pourquoi porte-t-il un bandeau ?

Mais un jour, Sandayu commit une erreur. Il tenta de voler les plans d’une nouvelle arme, à un groupe marginal de Samuraïs.
Ce jour là, le point faible du Momochi faillit lui coûter la vie. Il arrivait en effet, de temps à autres, que son hémophilie lui cause des malaises vertigineux.
Il fit l’amère expérience de sa faiblesse principale : au moment même où le Ninja se saisissait du rouleau tant convoité, un de ses malaises le prit. Tout se mit à tourner autour de lui, à une vitesse folle. Il s’écroula à terre, secoué de mouvements convulsifs.
Alertés par le bruit, les guerriers du campement le découvrirent, prostré au sol.
Un Ninja… Un homme sans honneur… C’était le moment de lui faire payer.
Sandayu se réveilla allongé sur une table, pieds et poings solidement liés. Un visage satisfait se pencha sur lui.
« Salut, Ninja. » dit-il, réjoui. L’homme dégaina un couteau long et fin.
« Tu vas goûter à ce que nous réservons aux hommes sans honneur tels que toi… »
Cette nuit-là, Sandayu fut horriblement torturé. S’esclaffant d’un plaisir sadique, ses bourreaux tracèrent à la pointe du couteau de longues plaies sur le front et le crânes du Ninja. La lame, implacable, raclait l’os en un grincement sinistre. Au comble de l’horreur, ils le firent avec art.
Les hurlements de douleur de Sandayu résonnent encore dans son esprit.
Par chance, un orage fantastique éclata. Un éclair, un aveuglement, et le Ninja avait disparu de la table de torture, abandonnant une flaque de sang.
Les guerriers s’entre regardèrent, les pupilles dilatés par la terreur.
Le lendemain matin, l’on retrouva l’ensemble du groupuscule, mort.
Depuis ce jour, Sandayu porte un bandeau, dissimulant ainsi sa honte d’être tombé aux mains ennemies. Mais si d’aventure quelqu’un passait la main dans ses cheveux, il pourrait sentir de fines cicatrices, témoins de son point faible, et de sa honte.
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:09

Fragment hasardeux des "Enfants du ciel"


Il était une fois, dans des temps si reculés que même le plus vieux ancêtre du plus vieux des arbres n’existait tout simplement pas, un peuple.
Ce peuple n’était pas comme le autres… Oh non, il n’aurait pas pu. Car il était le seul peuple vivant à cette époque. Ses enfants ne vivaient alors non pas sur la terre, tant jeune que brûlante, mais dans les cieux.
On les appelait donc les fils et les filles du ciel. Mais là n’étaient pas leur unique nom… Car en ces fastes jours, chacun donnait le nom qu’il voulait à ce qu’il voulait. Cela engendrait bien quelques confusions occasionnelles, mais cette logique avait amené chaque frère et chaque sœur du ciel à s’ouvrir à l’esprit et à la pensée de l’autre. Les mots étaient à tous, comme la liberté, la différence, la compréhension, et surtout, le ciel.
Les enfants des cieux, donc, étaient aussi les mages des nuages, les aimés des nuées, les nerfs de l’air, les descendants des courants, les élus des nues, et bien d’autres encore, qu’un unique point de vue ne peut pas retranscrite aussi fidèlement que l’aurait fait une classe entière de maternelle, riche de leur nombre, leur différence, et de leur imagination toute fraîche.
Eux, rien ne les retient ici… Si ce n’est leurs parents.
Ah… ! Auriez-vous compris ? Evidemment ! Evidemment, qu’il est possible de se rendre au pays des nuages, à la contrée des cieux, qui exista il y a si longtemps. Evidemment !
Il suffit ne n’être retenu par rien sur cette terre, et de n’être figé par rien en cette époque. Il suffit d’oublier le mot « mien ». Mais est-il si facile de n’avoir rien en commun ni au temps, ni au lieu ? De n’avoir ni parents, ni amis, ni vêtements, ni espoir, ni désirs, ni passions, ni dons, ni conscience, ni maison, ni liberté, ni…amour ?
Je vous l’accorde, c’est très dur. Il faut être particulièrement malchanceux, désespéré, mal-aimé, brisé, seul et surtout, près à mourir, afin de pouvoir seulement oublier ce mot, cet ultime mot : « mien ».
Cette mésaventure –ou bien aventure, c’est tout comme- est pourtant arrivée à quelqu’un.
Cruel parmi les insensibles, loqueteux parmi les miséreux, solitaire parmi les esseulés, amputé parmi les blessés d’amour, mort parmi les vivants.
Moi.
Raphaël
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:13

"Chaque seconde"

Chaque seconde, des gens meurent
Pourtant
Dans notre monde, une lueur
Vraiment
Ferme les yeux, touche ton cœur
Innocemment…


Moi je ne crois pas qu'en moi
Moi j'ai un ciel sous mes pas
Oui, je ne crois pas qu'en moi
Car j'ai un ciel sous mes pas

Je regarde sur les trottoirs
Les écrans, les présentoirs
Mon regard n'en retire rien
Brouillard pas très aérien

Moi je ne crois pas qu'en moi
Moi j'ai un ciel sous mes pas
Oui, je ne crois pas qu'en moi
Car j'ai un ciel sous mes pas

Je croyais y lire l'amour
Toucher la ligne vitale
J'ai collé mon nez tout contre
La ville m'a crevé les yeux

Moi je ne crois pas qu'en moi
Moi j'ai un ciel sous mes pas
Oui, je ne crois pas qu'en moi
Car j'ai un ciel sous mes pas

Les prunelles mortes ne ferment pas
Là quelque part, c'est un bien
(jamais fini)
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeSam 12 Juil - 16:21

Tiens, j'ai retrouvé un vieux rp... Thématique... vous la trouverez (pensez "Wookie") <3

"Rencontre diplomatique" (3 ans)

Le Lieutenant bascula pensivement la tête en arrière, exhalant un soupir discret. Ce type commençait sérieusement à lui courir. Il était buté, fermé, obsédé de telle manière par son œuvre qu'il en devenait incapable de s'ouvrir à ses paroles à elle…
Calme, chou. Réfléchis, agis.


"Hmm… Entendu. Vous ne semblez pas avoir apprécié mon allusion à la confiance républicaine… Entendu."

Elle laissa échapper un petit rire amer.

"J'abandonnerai donc avec beaucoup de plaisir le type de langage qu'exige la bienséance diplomatique. Merci de me libérer de ce poids, Nighmare. Si la République a confiance en vous ? A votre avis ? Qu'est-ce que je fous là, alors ?"

Elle laissa ses paroles en flottement, histoire de faire durer le plaisir, en quelque sorte…

"Oui, ce que je disais : qu'est-ce que je fais ici, sans aucune garde, seule, à peine armée ? Si l'Alliance n'avait eu aucune confiance en vous, ce n'est pas qu'un seul chasseur qui aurait franchi vos lignes. Or quoi ? Où sont-elles, ces avant-gardes ? Ecoutez : pas d'explosions, pas de lamentations, pas de guerre ! Considérez cela comme vous le désirez. La République est consciente que vous pourriez en finir avec son émissaire, et tourner l'affaire à votre avantage. Ne niez pas.
Seulement voilà : il existe encore des gouvernements qui ont oublié de basculer dans la paranoïa la plus totale.
Mais passons, cela n'a aucune forme d'importance."

A nouveau, la femme plongea son regard dans celui de son interlocuteur, un regard non pas hostile, non pas agressif, seulement brillant d'une ténue lueur d'espoir.

"Vous décrivez la République un montre poussif, une entité passée. Mais nom de Dieu, réagissez ! Il ne suffit pas de se retirer et de critiquer le passé, Empereur. Le système est peut-être lourd, sclérosé si vous voulez, mais il n'attend que ça ! Ne croyez pas que pour changer, il faille abattre le système. Si vous proposer, si vous exposez vos idées, il sera heureux de vous écouter et de s'améliorer. L'avez-vous fait ? L'avez vous seulement fait, Empereur ! Peut-être avez-vous raison, peut-être avons nous failli. L'éducation insuffisante, la "mauvaise éducation"… Mais pourquoi n'en avoir fait part au Sénat qu'a l'heure de votre départ ? Pourquoi ? Répondez-moi, je vous en conjure. Je ne comprend pas. Ne désiriez pas vous partager vos connaissances, vos réformes, et de faire d'Ossus un modèle culturel pour les autres planètes ? Celles que vous jugez perdues ? Chacun ses qualités, Nightmare. C'est le principe de notre République. Chacun apporte ce qu'il peut. C'est le principe de notre Sénat.
Malastare, Korriban… Tatooine.(le Lieutenant eut comme une hésitation, un regret sur le nom de cette dernière)... N'auraient elles pas pu profiter de votre sagesse ?
Sachez enfin, que la liberté n'est pas une valeur abstraite. La votre, votre notion, l'est peut-être. Pas la nôtre.
Notre liberté pulse dans le sang de chaque citoyen qui s'estime républicain. Notre liberté permettrait à nos enfants de grandir hors des guerres et du besoin. Notre liberté n'est rien de plus que le souffle de vie qui fait briller les yeux de celui qui va crever pour sa patrie. De celui qui va cultiver son champ pour ses enfants. De celui qui sait se rebeller contre une entité perverse.
Souvenez vous qu'avant d'être Républicains, nous étions Rebelles. Ne nous prenez pas pour ceux qui furent nos maîtres par le passé…Empereur. Je vous en serai grée."

Le Lieutenant changea légèrement de position pour soulager ses muscles tendus. Le léger mouvement de ses jambes fit taper doucement un de ses blasters contre le bois du bureau.

"Alors comme ça, je tente de vous persuader de réintégrer la République ? Je n'ai en aucun cas fait allusion à un probable retour, Empereur. Pourquoi cette impression; cela vous démange ?"

La femme rejeta ses cheveux en arrière, pour se dégager le visage et poursuivre aisément sa conversation.

"Nous voulons d'une alliance, pas d'un retour, Empereur. Mon prime motif était de vous demander les motivations vous ayant poussé à vous défaire de la République.
Les termes de l'alliance ? Parlons plutôt d'une entente. Ils sont simples. Pas de guerre. Le poids de notre conflit avec l'Empire est déjà lourd pour tous les peuples de la Galaxie. Ne leur faisons pas payer plus encore le temps troublé que nous traversons. Ce que nous vous proposons, c'est un pacte de non-agression mutuelle. Si vous avez des termes à ajouter, parlez.
Je serai forcée de vous prévenir qu'en cas de refus non justifié, nos soupçons se porterons sur votre possible alliance avec le camp impérial."


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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Juil - 11:30

Bon, aujourd'hui, j'ai pris mon courage à six mains, et j'ai tout lu.

J'ai beaucoup aimé le truc du samouraï, et puis les couleurs, et puis...

Enfin voilà, ne me consultez pas pour la critique, je suis très nul. Je voulais juste dire que j'ai lu et plutôt aprécié dans l'ensemble, voilà. ._.

( Et le Star Wars (Les blasteeeers. :p ) et les enfants du ciel, j'ai pas compris, honte à moi. )
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Juil - 11:42

Merci d'avoir eu le courage de lire ^^
Pour les enfants du ciel, c'est normal...y'a rien à comprendre. C'est limite de l'écriture automatique... j'ai une histoire en tête, mais je sais pas comment la mettre sur papier, donc je tourne autour du pot... E le Star Wars, c'est normal, ça s'intégrait dans un rp, donc voilà (je voulais juste sourire en me remémorant comment j'écrivais alors)


Dernière édition par Tobias Viatscheslav le Dim 20 Juil - 15:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le vrac de Tobby   Le vrac de Tobby - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Juil - 12:03

Ca ne demandait pas du courage. :p
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