Une nouvele vie

J'étais dans une petite prison en attendant qu'on vienne me chercher pour qu'on m'ameme a cette prison, Sadismus. J'en avais entendus parlé a la télévision, il parait que cette prison est la plus stricte du monde. J'attends de voir cela. Tout d'un coup, un sorte de gros policer barbu arrivait dans la prison, il salua les gardes et je ne pus entendre ce qu'il se disait mais c'étais problablement a mon sujet. La police du quartier étais fier de m'avoir capturé, sa faisais 3 mois qu'il essayais. J'arrivais a chaque fois a m'échapper avant que la police arrive. Mais cette fois, ils ont été rapide... Le policier ouvra la porte ou j'étais emprisonné. Il me prit violament par le coup, me jetant en dehors de la cellule. Tout de suite, je me retournais vers lui et lui fit un coup de boule aux niveaux du ventre, je ne pu que toucher son ventre. Il mesuré 30 cm de plus que moi.

"Je peux me lever tout seul!"

Le grand barbu se taisais. Il me mit juste un coup de poing dans le ventre. Je me coucha par terre de douleur. Un coup de poing dans le ventre fait aussi mal. Il me trainais dans sa voiture. Entre le siège arrière, ou j'étais, et le siège avant, il y avait un morceau de grillage pour eviter tout contact physique. Le trajet fut extrement long, je m'occupa alors a dormir. Le policier n'étais pas très causant. Quand je fut enfin arrivé a Sadismus, le policier descendas et partis ouvrir ma porte. Il me prit par l'éaule et me propulsa en dehors de la voiture. Il me tenais fortement par le bras.

"Je peux marcher seul..."

Une enorme porte se dressait devant moi, il y avais du barbelet aux bout des mur. C'étais surement pour éviter que l'on échappe. Le policier s'avancea vers deux autres gardes qui semblait garder cette prison. Il me jeta par terre, je me leva J'ai voulu courir vers lui mais les deux gardes m'avait fortement aggrpé pour aps que je bouge en disant de me calmer. Le policer repartit directement après. Les deux gardes qui me tenait très fortement, il m'écrasait le bras, je craignais pas partir la, c'est sur. Ils ouvrirent la porte rapidement. Il me balancea fort dedans, emportés je tomba par terre. Je me relevant énever, quel utilite de me lancer comme cela, deux fois de suite...Je me retourna ver sla grande porte puis je cogna un grand coup dessus.

HS/ pour la fin je suis pas sur...

Je passais par là et j'entendis cogner à la porte, quoi? habituellement nous étions avertit des nouveau venus. Je leve les yeux vers le gardien qui se charge de la porte et je lui fais signe qu'il est temps de l'ouvrir. Je sors ma matraque au cas où.

Lorsque la porte fut finalement ouverte, je jette un coup d'oeil sur le détenu. Je regarde autour de lui et je fronçe les sourcils.

-Où sont les gardien?? Demandais-je d'une voix seche.

Depuis quand les gardiens lassaient les détenus seul devant la porte? Surtout qu'il n'était même pas attacher. Je me dépeche d'aller rapidement lui attacher les poignets avec de bonne menottes.

Si cet homme avait fait fuir les gardiens il ne devait pas être des plus commodes, alors je restais sur mes gardes.

Je lui donnais une petite poussée pour le faire avancer. Je ne dis rien, je n'aimais pas faire la conversation avec ces maudits bagnard, ils me répugnaient. Je ne savais pas ce que lui avait fait et je ne voulais pas le savoir, Si il était à Sadismus ce n'était absolument pas un enfant de coeur, c'était un danger pour la sociétée.

Je le pousse à nouveau pour qu'il avance plus vite.

Je resta la, attendant un homme m'ouvrir. J'avais attendut assez longtemps. Bizarrement, les gardiens s'étais un peu éloigné mais il resté assez près de lui pour le surveillé. Je m'étais dit que j'aurais pus m'échappé avant que quelqu'un arrive mais, c'est quand j'allais courir au sens opposé de la prison que quelqu'un ouvrit la porte. Il m'enfila une paire de menottes. Je le regarda méchament, il me poussa pour que j'avance, une fois, deux fois. Cela m'enervais. Je me retourna vers lui.

"C'est pas la peine de me pousser!"

Je le regarda méchament, il se prenait pour qui, aussi. Il m'avait poussé, je detestais sa. J'essaya de lui un coup de boule.

Je fis un mince sourire ... Il n'avait pas à me parler sur le ton et je me ferais un plaisir à lui rappeller. Je le poussais une nouvelle fois et je dis d'une voix seche:

-Je te pousserais si j'en ai envi ... Comprend que tu n'as plus aucun droit ici.

Je m'amusais de ma réponse, il comprendrais qu'à Sadismus plus rien ne lui était du. Les gardiens mennaient la danse. Je gardais ma mattraque dans mes mains. Je lui agitais sous le nez et je dis:

-Si tu n'avance pas plus rapidement ... Je trouverais un moyen de te faire avancer ...

Je le regarda méchament. Je détesté être poussé. J'étais assez tetu, et il pouvait me donner des coups, ca serait pa sa qui me feras avancer.Je bougea pas. J'étais face a lui, il allait surement me donner des coups de matraque après. J'ai deja endurer pas mal de coup.

"Vas y cogne moi, je me défendrais, même avec ces machins dans les mains."

Je le regarda amusé en montrant mes menottes qui étais beaucoup trop sérré.

Je le fixais d'un air désinteressé. Et puis quoi encore, il me menaçais? Il n'avait pas beaucoups de chances, même détaché. Je soupirais et je dis:

-Garde donc ton énergie pour la prison ... Je n'ai pas de temps à perdre avec toi ...

Je le poussais une nouvelle fois, puisqu'il avait arrêté d'avancer et je dis:

-Et puis ... Je n'ai aucun probleme à te mettre directement au trou ...

Jesoupira quand il me repoussa pour que j'avance encore. Il s'étais a moitié dégonflé. Je marcha encore plus lentement que tout a l'heure. Je regarda autour de moi, sa n'étais aps très joli, il aurait pu faire un petit effort pour la déco.

"Tu parle, ta que sa a faire de ta journé, de ramener les prisonniers dans leurs cellules...."

Je sortis ma matraque et la lui abbatit sur l'épaule. Je me plaçais ensuite devant lui lui dit d'un ton agressif:

-Surveille tes paroles ... Car je me trouverais un autre passe-temps ... Et tu en sera le centre ...

Je le fixais toujours méchament. Dieu que je détestais les prisonniers. Alors qu'il se ferme la gueule et qu'il avance, sinon je me ferais un plaisir de lui arracher la tête ...

Le coupde matraque me fit aveancait de quelque pas. Cela me faisais pas mal, j"appreciais presque sa de me faire frapper. Je continuais tranquillemen a marcher aussi lentement que tout a l"heure. Je me retourna de temps en temps pour voir cette abruti de gardien. Je lui souriais méchamment, sa allé pas être son ami.

"Enfaite, tu t"appelle comment? Tu t"es meme aps presenté."

Je me mis à rire doucement ... Ce prisonnier était pres amusant je dois dire ... Comme si j'alais lui dire mon nom. Ce n'étais pas un secret mais je n'étais pas obligé de le crier sur les toits ..

-Ferme ta gueule­. Dis-je d'un ton toujours sec.

Je n'aimais pas les petits impertinants, et c'était tout ce qu'il était lui. Je lachais un soupire et nous arrivames devant une cellule.

Je lui enlevais ces menottes et je dis:

-Tu peux aller dans ta cellule ... Ou bien aller te ballader, c'est toi qui voit, c'est l'heure des sorties.

J'attendis de voir ce qu'il faisait, et de plus il était détaché, je voulais voir si il tenterait quelque chose ...

J'avanceais très lentement. Je fus même surpris que le gardien ne me donne pas de coup. Il avait pourtant dis que si j'avanceais pas vite, il me ferait plus vite. Je soupira. Quand je fus enfin arriver devant ma cellule. Il m'enlevea mles menottes, je pouvais me ballader tranquillement. J'y croiyais pas, il m'amene devant la celulle puis me dit que eut se balader après.

"Vous servez a rien ou quoi, tu m'amene ici puis après tu dit que je peux me balader..."

J'aquiessais doucement et je dis:

-Ouais. C'est ça ... Cause toujours petit con ... C'est bien parce que j'ai autre chose à faire ... Maisj e me ferais un plaisir de te faire un petit trou à mon agenda pour te faire faire une visite de la salle de torture ... Un endroit très plaisant ...

Je lui fit un clin d'oeil méchant, puis je partis en direction opposée de celle du jeune homme.

Je reçu le coup de pied dans le dos sans m'y attendre. J'aurais du y songer, mais je ne croyais pas ce jeune homme assez stupide pour me frapper apres toutes les menaces que je lui avait fait.

Je me relevais rapidement et je sortis mon arme et ma matraque. J'approchais dangereusement de lui et je lui abatit ma matraque une fois, puis deux fois dans la figure.

Je pointais mon arme sur sa tête et je dis d'une voix forte:

-Releve toi sale con! Tu t'en va au trou ... Et pendant longtemps!!!

J'attendis qu'il se releve, car mes coups avaient été assez violent il était tombé par terre. Je pointais toujours mon fusilm sur lui et je surveillais le moindre de ses mouvements

Je lui remis rapidement les menottes et je dis:

-Aller directement au trou ... Belle arrivée . Bravo Gamin!

Je le poussais à nouveau. Il passerais une bonne semaine au trou. Ha moi je m'en fichais, c'était son probleme. Et j'avais été plutot gentil je trouve.

[Qu'est que t'apelle le trou? :) ]

(la salle d'isolement ... lol dsl ... c'est le nom le plus commun pour moi)

((Je vais faire un post pour toi dans la salle d'isolement))