Angoisse matinale [Ludwig]

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Moi, me faire crier dessus... Et l'accépter, non, décidément elle m'avait fait quelque chose.

Elle secoua la tête, personne ne pouvait il donc me répondre ? Je frappais violament le sol avec mon poing, puis, je levais a nouveau mon regard vers la jeune femme. Pourquoi fesais je tout cela, je n'avais qu'a m'en aller, tout simplement, aller voir ailleurs si j'y étais, ou lire un des nombreux livres au sujet douteux que je pouvais avoir dans mes valises.

Mais ce n'est pas ce que je fis, je l'attrapais par la taille, ce qui la fit lisser du lit, et elle se retrouva comme moi a genoux sur le sol. Je la serrais alors contre moi. Comme si rien ne c'était passé ? Non, car mes lèvres tout près de son oreille, je ne cessais de répéter la même phrase, juste un murmure, presque inaudible, mais je continuais toujours et encore...

-Excuse moi... Excuse moi (etc.. lol)

Il semblait que j'ai enfin répondu a cette question qui me tordait l'esprit depuis quelque temps. Pourquoi Ludwig était il devenu une limace pitoyablement soumise... Je levais alors le regard vers elle, on m'avait prévenu, je serais moi aussi un jour piqué par ce genre de chose, et je ne l'vais pas cru.

-Sybille, je... Je crois que je t'aime...

Lorsque je reposais mon regard sur le jeune homme, je m'attendais à tout, tout, qu'il me crie, hurle dessus, me frappe, ou tout simplement qu'il s'en aille, me laissant seule ici... Mais certainement pas à ça...

Sentant soudain ses mains se poser sur ma taille avant qu'il ne m'attire vers lui, je glissais doucement du lit - heureusement bas - sur lequel j'étais assise. Me rattrappant aux épaules du gardien pour ne pas perdre l'équilibre, je plongeais mes yeux verts emplis de larmes dans les siens, n'osant y croire. Mais quand il me serra doucement contre lui, me faisant sentir la chaleur de son corps, tandis qu'il répétait dans un murmure à mon oreille, me faisant frémir, des mots que je n'aurais jamais cru entendre de sa bouche, je sentis mon coeur exploser de bonheur.

Me jettant à son cou avec la force du désespoir, je me serrais contre lui en tremblant, laissant cette fois-ci des larmes de joie couler le long de mes joues, déposant un baiser au creux de la nuque du jeune homme blond. Puis, tout à coup, il cessa de s'excuser, et releva lentement la tête, et prononça les deux mots que jamais, jamais au grand jamais, encore moins que les précédents, je n'aurais espérer entendre sortir de ses lèvres, ni de celles de quelqu'un d'autre.

Immobile, muette, abasourdie de bonheur, j'esquissais un doux sourire qui vint illuminer mon visage à la peau pâle, sur lequel se mêlaient larmes de joie et de tristesse. Doucement, n'osant y croire, je portais ma main à son visage, effleurant lentement sa joue, essuyant du bout des doigts les dernières larmes qui y brillaient, murmurant doucement :

- Je t'aime aussi...

Puis, lentement, je posais mes lèvres sur les siennes, les scellant dans un doux baiser, promesse de ma sincérité et de l'amour que je portais au jeune homme. Car, ne niont pas l'évidence, je l'étais, moi aussi...

Invité

Bon, c'était bien beau tout cela... Je t'aime moi aussi, on s'appelle on se fait une bouffe ? Non, ici, c'était bien plus compliqué, en fait, le simple fait que je sois melé a cette histoire rendait tout compliqué, mais il y avait bien sur aussi la situation.. La situation détenu gardien, et bien sur, le lieu.

Interrompant enfin le baiser, je reculais mon visage du siens, je soupirais par la suite. Je me dis alors, qu'il fallait que je m'assagisse, que je lui sois fidèl, mais je savais très bien, que je risquais de faire des écarts.

Sur une voix d'un ton assez grave, je lui dis, très bas :

-Personne... Personne ne doit le savoir...

Ou j'allais avoir des problèmes, peut etre qu'elle moins, mais moi en tout cas, j'allais m'en prendre plein la tete... Je pris une grande inspiration, tout en lui caressant doucement, mais nerveusement le dos.

-Je...

Je voulais lui dire que je ferais mon possible pour lui etre fidèl, enfin, tout ce que j'avais sur le coeur, mais rien ne sortit, je la serrais juste un peu plus contre moi.

De toutes manières ce n'était pas du tout mon genre. Mais bn, passons. Je savais que cette relation ne serait pas des plus idylliques, ni des plus faciles à gérer... Le murmure du jeune homme résonna sur un ton grave à mes oreilles, me faisant frémir. Evidement... Je n'osais même pas imaginer ce qui pourrais lui arriver, m'arriver, nous arriver si quelqu'un découvrait le lien qui nous unissait... Et il valait mieux...

Fermant les yeux, j'appuyais doucement ma tête contre son épaule, inspirant profondément. Dieu que c'était compliqué... Tout en caressant son épaule du bout des doigts, j'hochais légèrement la tête, acquiessant silencieusement. Il était évident que les enjeux de cette relation étaient graves, très graves... Un spasme me parcouru le dos, me faisant frissonner, et je me serais un peu plus contre lui, me mordant la lèvre. Pourquoi fallait-il que ce soit comme ça...? Enfin, je n'avais pas été là, jamais je ne l'aurais rencontré...

Doucement, je relevais la tête, plongeant mes prunelles mordorées dans ses yeux bleus, effleurant doucement sa joue du revers de la main. Je voyais bien le doute qui se lisait dans ses yeux, le malaise, l'apréhension. Un léger soupir s'échappa de mes lèvres, tandis que je lui murmurais à l'oreille, tout en taquinant celle-ci de ma langue et de mes dents, avant d'en mordiller doucement le lobe :

- Tu peux encore faire demi-tour... Si tu penses que...

Je ne finissais pas ma phrase, ayant peur de trahir l'émotion qui m'habitait et de me mettre à nouveau à pleurer devant le jeune gardien. Je ne l'avais fait que trop de fois déjà depuis mon arrivée, une fois suffisait... Luttant pour cacher mon émoi, je fis lentement descendre mes lèvres le long du cou de Ludwig, tout en frémissant en sentant ses mains caresser mon dos, tandis qu'il me serait un peu plus contre lui, allumant un doux brasier au plus profond de mon corps qui s'enflammait petit à petit...

Invité

Voila qu'elle se mettait a titiller mon oreille, chose qu'il ne fallait pas mieux faire avec moi si on ne voulait pas que... Trop tard. Eyh, on se calme en dessous >.< ! Voila un nouveau problème a résoudre, je ne voulais pas lui faire peur, après tout ce que j'avais lu sur son passé... Cela aurait été mal avisé de ma part.

Tandis qu'elle m'embrassais dans le cou, je pris sa tete délicatement entre mes mains, pour la lui redresser. Plus elle regardait mon visage, mieux c'était pour le moment. Ma mine était bien qu'un peu triste, rassurante pour la jeune femme, elle semblait aussi inquiète que moi, elle savait ce que je risquais en faisant cela, elle savait aussi ce qu'elle même risquait d'ailleurs. Je hochais la tête, avec un maigre sourire aux lèvres, avant de lui dire :

-J'ai déja tenté de faire demi tour, il y a a peine quelques minutes... Je ne peux pas recommencer, mais je... Je compte sur toi, pour ta... Ta discrétion.

Encore pour l'occuper, je l'embrassais, en faisant durer le plus possible le baiser, remetant une main derrière sa tête, pour la tenire, et etre sur qu'elle regarde en haut, et non en bas. Je n'avais pas envie qu'elle pense que je voulais lui sauter dessus, car c'était justement ca que je ne voulais pas avec elle, ca qui me metait mal a l'aise, car je ne me genais pas pour sauter sur n'importe qui du moment qu'il ou elle me plaisait.

Délicate intention de sa part... Mais qui se révélait quelques peu inutiles. A vrai dire, il était vrai que, sur le coup, j'en aurais peut-être été surprise, voir effrayée pendant quelques instants. Après tout, qui ne le serait pas après avoir vécu tant d'horreurs ? Mais là, c'était différent... Je lui faisais confiance, il m'aimait, je l'aimais, alors pourquoi...?

Tout à coup, je sentais ses mains me reprendre à nouveau la tête, la remontant doucement. Esquissant un léger sourire, je hochais doucement la tête à ses paroles, le coeur transporté de joie en réalisant ce qu'il venait de me dire. Je n'osais y croire... Comme quoi, chaque être humain a droit à sa part de bonheur, quel qu'il soit, où qu'il soit...

Répondant avec fougue à son baiser, j'entrouvris légèrement les lèvres tout en me cambrant dans ses bras, émettant un léger soupir étouffé en sentant sa main se glisser derrière ma tête, caressant doucement mes cheveux. Me serrant un peu plus contre lui, je sursautais légèrement en me rendant compte de l'ardeur qui l'habitait et de son émoi, avant de me détendre et d'esquisser un léger sourire. Doucement, je rompis le baiser, et, tout en faisant glisser mes mains le long du torse du jeune gardien, caressant sa peau à travers le tissu fin de sa chemise, je relevais la tête avant de souffler doucement à son oreille, d'un ton mystérieux :

- Tu peux compter sur moi...

Réponse à sa demande antérieure ou promesse symbolique ? A vrai dire, je ne le savais pas vraiment moi-même et je ne me préoccupais pas de cela, me laissant dévorer par le feu qui brûlait mon corps petit à petit dans les flammes du désir..

Invité

Je sens qu'elle descend tout doucement ses mains sur mon ventre, qu'elle s'est encore un peu plus collée a moi. L'a t-elle remarqué ou pas ? Pourquoi les hommes ne peuvent ils pas lire dans l'esprit des femmes ? Cela serait tellement plus simple ! Elles sont si compliquées... Ayant peur qu'elle ne soit effrayée, mon rythme cardiaque augmente un peu, avec ses mains sur mon torse, elle doit le sentire...

Elle a bien sursauté, mais était ce pour cela ? Je n'en avais pas la certitude, aussi, je gardais un peu d'apréetion vis a vis de sa réaction, car si jamais elle continuait comme cela, elle allait bien finir par le voir si ce n'était déja fait...

Comme pour m'occuper l'esprit, je fais descendre mes lèvres dans le cou de la jeune femme, l'embrassant senssuellement, je la mordillais aussi un peu, sans lui faire mal, enfin... Par rapport a ce que je faisais d'habitude en tout cas, je ne le faisais pas fort du tout.

Voyant comment elle réagit, c'est maintenant certain, elle a remarqué, alors autant aller jusqu'au bout maintenant. Je remonte doucement mes lèvres jusqu'a l'oreille de Sybille, que le lèche sensuellement, avant de lui glisser ces simples mots :

-Tu l'as bien vu mais je dois te le dire j'ai... J'ai envie de toi.

Attendant une réaction, je lui caresse le dos de faon un peu plus déterminée.

Que de questions... Pourquoi se compliquait-il la vie ainsi ? Ah les hommes... Après c'est nous qui sommes compliquées...

Le coeur battant, je frémis en sentant ses lèvres brûlantes caresser la peau fragile de mon cou, sentant de temps à autre ses dents la mordiller doucement. Penchant la tête en arrière, mes cheveux roux ondulant en une cascade flamboyante dans mon dos cambré, je lui offris ma gorge et mon cou, tout en laissant échapper un léger soupir de désir.

Il y avait si longtemps que je n'avais pas ressentis cela... A vrai dire, jamais... Sentir le désir nous envahir, petit à petit, avant de nous submerger, et de se sentir aimée, désirée par un homme... Tout à coup, je le sentis remonter le long de mon oreille, et je frissonnais en sentant la langue la taquiner, tandis qu'il me murmurait doucement à l'intérieur de celle-ci, sa voix chaude m'arrachant un autre soupir.

Silencieuse, je me contentais de lui sourire avant de l'attirer vers moi, passant mes bras autour de son cou et de l'embrasser fougueusement, délaissant ensuite sa nuque pour faire glisser mes mains le long de son cou avant d'ouvrir petit à petit les boutons qui fermaient sa chemise blanche, mes gestes rendus tremblants par le désir qui m'habitait et qui me dévorait de l'intérieur.

Invité

Je mis a nouveau la tête en arrière, pour qu'elle puisse plus facilement avoir accès a mon cou, je sentais ses mains descendre doucement sur mon torse, et au fur et a mesure, ma chemise me serrer de moins en moins. Le tissu était fin, et très léger. Quand elle eu finit, avant qu'elle n'ai le temps de me l'enlever, me rendant bien compte de ce qui allait se passer, je me dis que le sol dur et sal d'une cellule de prison n'était peut etre pas l'idéal.

Aussi, je placais une main sur ses cuisses, puis, je la fis glisser jusque sous ses genous, l'autre alla se placer sur la taille, puis, tout en me redressant, je le soulevais, pour la placer sur un des lits de la cellule. Avec u peu de chance, cela allait etre le lit de sybille, sinon... Tant pis pour le propriétaire.

Je posais délicatement sa tete sur l'oreiller, puis, le reste de son corps sur le matelat, et je me positionnait ensuite au dessus d'elle, légèrement redressé. J'avais toujours ma chemise, mais elle était ouverte, et l'on voyait mon torse.

Lentement, je baissais la tete, pour venire l'embrasser, et mes mains, qui étaient au début sur ses joues, glissèrent vers son cou, puis vers sa poitrine, principalement vers les bouton de sa chemise de détenue, que j'enlevais, sans même les regarder, car de toutes facon, j'étais en train d'embrasser la jeune femme.

Quand elle fut complètement déboutonnée, je passais ma main derrière la taille de Sybille, pour la redresser un peu, afin que son corps ne colle plus au matelat, puis, je lui enlevais doucement sa chemise, elle était maintenant en soutient gorge. J'approchais alors ma bouce de l'oreille de Sybille, et je lui dis :

-Ne te crois pas obligée de quoi que ce soit.

Profitant du fait qu'il renverse sa tête en arrière, je rompis doucement le baiser avant de faire glisser lentement mes lèvres de long de son cou, taquinant de temps à autre sa peau avec ma langue, tout en terminant de déboutonner sa chemise blanche. Mais, avant que j'ai eu le temps de la lui retirer, je sentis sa main se poser sur ma cuisse, me faisant frémir, avant de glisser sous mon genoux, tandis qu'il placait son autre main sur ma taille avant de me soulever doucement et de me porter vers l'un des lits de la cellule. Lequel ? Je n'en avais strictement aucune idée et je m'en fichais complètement, la seule chose qui comptait en ce moment à mes yeux c'était le jeune homme qui me portait dans ses bras et dans lequel je plongeais mon regard, comme envoûtée par les deux prunelles merveilleusement bleutées du gardien.

Me laissant faire sans rechigner, je me laissais déposer sur le lit, m'installant confortablement sur le matelas avant de répondre au baiser du jeune homme, frissonnant et me cambrant dans ses bras en le sentant ôter petit à petit ma chemise, l'embrassant de plus belle. Quand il me redressa, j'en profitais pour passer mes mains autour de son cou, déposant un baiser au coin de ses lèvres avant de sourire :

- Tais-toi donc au lieu de dire des bétises... Lui répondis-je d'un ton malicieux, avant de lui retirer complètement sa chemise.

Moi en soutien-gorge, lui torse nu, tous les deux enlacés sur un lit, quel charmant spectacle... Si quelqu'un survenait à ce moment là, je n'osais imaginer ce qui allait arriver... Mais pour le moment, je n'y songeais guère, et, déposant à nouveau un baiser sur les lèvres de Ludwig, je fis glisser lentement mes mains le long de son torse, caressant la moindre parcelle de la peau du jeune homme, caressant doucement ses muscles du bout des doigts.

Invité

Lui obéissant, je ne disais plus rien, c'est d'ailleurs ce que je faisais d'habitude, mais la... avec elle, après ce que j'avais lu sur son passé, je la voyais si fragile, j'avais presque peur de la casser, rien qu'en la touchant. Elle avait du dubire un nombre impressionant de viols, et il était normal qu'elle soit maintenant effrayée par les hommes, surtout quelqu'un comme moi, bien qu'elle reffuse obstinément de me croire quand je lui dis qui je suis réellement.

Je la laisse retirer ma chemise, mais le tissu est tellement fin, que je sens a peine la différence. Le fait qu'elle soit cambrée me permet de glisser mes mains entre son dos et le matelat, et doucement, de lui dégraffer son soutien gorge, puis, enlevant mes mains de son dos, j'en place une sur la joue de Sybille, la regardant dans les yeux, et de l'autre, je lui enlève doucement les bretelles, une a une, pour ensuite la débarasser complètement du sous vetement, que je laisse tomber sur le sol.

Je me colle alors a elle, sa poitrine est tellement douce... L'embrassant, je descend mes lèvres, sur le cou, puis sur la poitrine, que j'embrasse doucement pour commencer, puis, j'y met plus de sentiments, j'y vais avec plus de fougue, je lui mord un peu la poitrine, mais toujours raisonnablement par rapport a mon habitude.

Violée peut-être, un bon nombre de fois, c'était vrai. Mais il y avait une différence entre cette situation et tout ce que j'avais jadis vécu : c'était que, aujourd'hui, j'étais consentante, et seul mon amour pour le jeune homme me poussait à faire ce que j'étais entrain de faire.

Le laissant ensuite retirer mon sous-vêtement, je me cambrais encore plus dans ses bras, penchant la tête en arrière tout en caressant de plus belle le dos du jeune homme de mes mains tremblantes de désir. Sans un regard pour le soutien-gorge qu'il venait de m'ôter et de laisser tomber à terre, je répondis langoureusement à son baiser, avant de pencher une nouvelle fois la tête, dévoilant ma gorge que j'offris à sa bouche brûlante, parcourue de frissons. Mais lorsque je le sentis descendre plus bas, effleurant doucement ma poitrine de ses lèvres, je me mordis la lèvre inférieure, fermant les yeux, lâchant un soupir de bonheur. Jamais je n'avais encore connu une telle douceur dans les bras d'un homme, ni même ressentis une telle ivresse. C'était si bon... Lentement, mes mains glissèrent le long de son dos, l'une remontant jusqu'à sa tête, lui caressant les cheveux, tandis que l'autre descendit de plus en plus bas, jusqu'au bas de son dos, avant de s'insinuer sous son jean.

Et, tout à coup, je le sens qui se fait plus fougueux, plus pressant, et le contact de ses dents sur ma peau fine me fait frémir, m'arrachant un gémissement de plaisir, tandis que je glissais ma main parmis ses mèches blondes, le corps tendu vers le jeune homme, tremblante de désir.

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Sentant qu'elle aimait ce que je faisais, je continuais, tout en frissonant en sentant sa main entrer dans mon pantalon. Je sentais aussi qu'elle passait sa main dans les long et fins cheveux blonds, et cela continua quelques minutes.

Puis, redressans la tête, et passans une main dans les cheveux de Sybille, je laissais l'autre aller jusqu'au bouton du jeans de la jeune femme, tout en la regardant dans les yeux. La, je le déboutonnais, lentement, puis, je faisais descendre la braguette, toujours aussi lentement, j'aimais bien faire durer l'instant présent.

Après cela, je me redressais complètement, j'étais a genoux, a califourchon sur elle, puis, je passais la main qui quelques secondes plus tot était dans les cheveux de Sybille derrière sa taille, pour la soulever un peu, et ainsi, faire descendre le jeans de la jeune femme jusqu'en bas de ses fesses. Puis, je la reposais, tout en faisant toujours délicatement et doucement descendre son pantalon, pour ensuite m'en débarasser complètement, et il vint rejoindre les sous vetements qui étaient sur le sol.

Elle était a présent en string noir, ce qui lui allait assez bien, je ne pouvais m'empecher de remarquer toutes ces cicatrices sur le corps de la jeune femme... Mais sachant que mon regard ainsi curieux pouvait l'agacer, je cessait, pour a nouveau m'étendre au dessus d'elle, pour l'embrasser. Je laissais alors ma main se balader doucement sur lles fesses de la jeune femme, l'autre se posant sur la joue de celle ci.

Durant les quelques minutes qui suivirent, je continuais à caresser ses cheveux et ses fesses, tandis que ses baisers et le contact de ses dents sur ma poitrine m'arrachaient de temps à autre des gémissements, étouffés par mes lèvres que je mordais pour contenir le plaisir qui me submergeait petit à petit.

Puis, soudain, je sentis sa main se glisser dans mes cheveux roux, qu'il commença à caresser doucement, pendant que de l'autre, il ouvrait lentement mon jean, geste qui me fit, malgré moi, sursauter, avant que je me détente presque immédiatement après. Simple réflexe... Quelques secondes après, sa main quitta ma tête pour venir se glisser sous ma taille, et, avant même qu'il n'ai eut le temps de le faire, je me soulevais, lui permettant ainsi de retirer le vêtement qui alla rejoindre mon soutien-gorge sur les dalles glacées de la cellule. C'est ainsi que, presque nue, à l'exception du string que je portais, je me relevais, plongeant mes yeux verts qui semblaient en ce moment presques noirs, comme noyés dans un océan de désir, dans les prunelles de Ludwig, le corps tremblant. Doucement, je fis glisser ma main qui se trouvait toujours sous son jean vers le bas du ventre du jeune homme, effleurant par ce même mouvement son intimité qui me brûlait le bas du ventre à travers le tissu de son pantalon.

Répondant avec fougue à son baiser, je me cambrais à nouveau dans ses bras, dans lesquels j'étais prisonnière, je me recouchais à nouveau sur le matelas, tentant de dérober mon dos sillonné de longues cicatrices au regard du jeune gardien qui s'étendit à nouveau au-dessus de moi. Me collant contre lui, je caressais d'une main le haut de son torse, mordillant le lobe de son oreille, tandis que de l'autre, j'insinuais lentement mes doigts dans le boxer de Ludwig, le coeur battant, légèrement haletante.

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Quand on se metait a me titiller les oreilles... La, je ne savais pas résister. Je ne savais pas pourquoi, mais cela avait toujours été chez moi une zone érogène, et le moindre contact sensuel m'avait toujours stimulé. Je sentais aussi qu'en bas cela se ressentait de plus en plus, c'est d'ailleurs cela qui était a m'origine de mon errection... Si elle n'avait pas commencé a me mordillé l'oreille, on n'en serait pas là et... et cela serait bien dommage d'ailleurs.

J'accentuais de plus en plus mes caresses sur le corps de la jeune femme, et bien entendu, notament sur ses fesses. Je finis enfin par poser ma deuxième main sursa poitrine, la massant doucement, mais de plus en plus fort, tout en prenant garde de ne pas lkui faire mal, mais il m'arrivait quand même de me laisser emporter par la passion.

Je me mis a nouveau a m'attaquer a son cou, comme un vampire, la mordant tantot délicatement, tantot plus fort emporté par le désire, tantot en l'embrassant simplement etc...

Je ne m'attaquais pas encore a son dernier vetement, je préférais attendre, faire durer tout cela le plus longtemps possible. A cette heure, je devais etre en train de surveiller je ne sais plus quelle salle, qu'importe, je n'y pensais même pas. Je ne pensais même pas que l'on était dans une pièce complètement ouverte sur le couloir, et que tout le monde pouvait nous surprendre, a tout moment.

C'est ce que j'avais remarqué au départ, la toute première fois que mes lèvres avaient effleuré son oreille, et le frisson qui avait alors parcouru son corps ne m'avait pas échappé. C'est pour ça que, à présent, je faisais courir sensuellement ma langue le long de celle-ci, mordillant tendrement son lobe du bout des dents, m'amusant de voir comme quelques simples caresses pouvaient éveiller une émotion aussi rapidement chez le jeune homme. Tout à coup, lorsque je sentis sa main remonter lentement le long de mon dos pour venir se poser sur ma poitrine, qu'il commença à masser avec ardeur, un long gémissement de plaisir s'échappa de mes lèvres entrouvertes et je me cambrais de plus belle dans ses bras, renversant ma tête en arrière, offrant une nouvelle fois mon cou aux caresses et aux baisers de Ludwig qui faisant gronder en moi le volcan de la passion, qui ne demandait qu'à s'éveiller depuis tant d'années.

Toujours en sous-vêtements, j'aurais voulu également retirer le jean du jeune gardien, mais je me retins, de peur de paraître trop brusque. Mais je ne pus néamoins résister à la passion, et, cédant à mes pulsions, tout en frissonnant en sentant son émoi à travers le tissu du pentalon, j'ouvris doucement celui-ci, et, sans le retirer, je glissais lentement ma main droite sous son boxer, commencant à caresser longuement du bout des doigts, le membre palpitant du jeune homme, le corps parcouru de frissons de plus en plus violents. Réagissant à la moindre de ses caresses, la peau en feu, la respiration saccadée, sentant une chaleur intense s'allumer petit à petit au niveau de mon bas ventre. C'était très clair, j'avais envie de lui. Peu importais l'endroit, le moment, je le voulais, lui seul, maintenant...

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Sentant les doigts de Sybille sur mon membre, je poussais un soupire de bien être, en fermant les yeux. Je cessais de l'embrasser pendant quelques secondes, profitant du plaisir que ses doigts de fée m'offraient, puis, je repris mon ambrassade de plus belle, remontant jusqu'a sa bouche, que j'embrassais passionément.

Les cheveux que nous avions tout deux dans le visage me genaient, aussi, je retirais doucement la main que j'avais sur les fesses de sybille, pour venire lui oter doucement les mèches qu'elle avait sur son vusage, et qui étaient collées par la sueur que son corps dégageait déja, le mien en faisait d'ailleurs de même, et k'otais les mèches blondes qui collaient sur mes joues et en partie sur ma bouche.

Puis, posant ma tête sur la poitrine de la jeune femme, je profitais du plaisir qu'elle me donnait, pendant quelques minutes, par la suite, je posais a nouveau une de mes main sur un de ses seins, et je placais a nouveau l'autre derrière sa taille, pour la cambrer un peu, plus, en prévision de ce qui allait suivre.

Constatant, que, malgré mon inexpérience en la matière, il semblait plutôt apprécier, je m'enhardissais donc, et, poursuivant mes caresses d'une manières un peu plus poucée, je continuais mes vas et viens de la main sur le membre de Ludwig. Répondant fougueusement à son baiser, je fis descendre ma main gauche, qui se trouvait toujours dans ses cheveux blonfs, le long de son dos, avant de glisser mes doigts sous l'élastique de son boxer.

Lâchant un léger soupir de déception en sentant sa main cesser ses caresses, se retirant de mes fesses, je souris quand il écarta doucement les mèches flamboyantes qui étaient restée collées sur mon visage qui transpirait déjà, témoin de la chaleur qui habitaient nos deux corps qui se consumaient lentement de passion. Lorsqu'il eut à son tour ôté les mèches blondes de son visage, je l'embrassais doucement, le laissant ensuite poser sa tête contre ma poitrine, et, retirant ma main gauche de son boxer, je caressais doucement ses cheveux, tout en continuant mes caresses de ma main droite.

Lorsqu'il releva la tête, posant une main sur mon sein, qu'il recommença à caresser avec douceur, je laissais échapper un soupir et je me cambrais à nouveau, me collant contre lui, avant de l'embrasser fougueusement, continuant en même temps de m'occuper de son membre, déterminée à ce que tous les deux profitent pleinement du moment présent. Lentement, je fis glisser ma bouche le long de sa joue avant d'atteindre son oreille, que je mordillais doucement, avant d'en sucer le lobe, soufflant doucement au creux de celle-ci, la voix enrouée par le désir :

- Je t'aime..

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Ces simples mots... Ils avaient toujours été ma hantise, la chose que je redoutais le plus, quand j'avais un rapport avec quelqu'un, était d'entendre souffler ces mots a mes oreilles, et pourtant... Quand Sybille les prononcait, ils semblaient tellement doux... Et cela ne me genait pas du tout qu'elle prononc ces mots, bien au contraire, j'aimais les entendre, mélodieux quand elle me les disais enfin euh.... J'arrete la poésie avant de paraitre ridicul, si ce n'est déja fait.

Je sentais la main de sybille aller de plus en plus vite sur mon membre, et je ne pu cette fois retenir un gémissement, qui raisonna doucement dans la cellule vide, en espérant qu'il en soit de même pour le couloir, car on entendait tout quand on était dedans, tout ce qui pouvait se passer dans une cellule était audible dans le couloir, car ici, le moindre bruit raisonnait comme si un fracas infernal retentissait.

J'approchais a mon tour ma bouche de l'oreille de Sybille, lui murmurant la même chose qie ce qu'elle m'avait dit, je n'étais pas vraiment habitué a prononcer ces mots quand j'avais un rapport avec une femme, ou avec un homme d'ailleurs, en fait, cela devait etre une des premières fois que je disais cela en le pensant réellement, et non pour ebobiner la personne.

Le gémissement de Ludwig, qui résonna pendant quelques instants dans le couloir, me fit d'abord appréhender la venue d'un gardien, puis, voyant que personne ne venait, j'esquissais un léger sourire avant de déposer un baiser sur les lèvres du gardien, délaissant lentement son membre pour retirer lentement le jean qu'il portait toujours. De ce fait, il se retrouva en boxer, et, caressant doucement sa cuisse de ma main, je posais l'autre sur son épaule avant de mordiller doucement son cou, jouant tour à tour de ma langue et de mes dents.

Tout à coup, alors que j'étais occupée à l'embrasser, je sentis sa bouche s'approcher de mon oreille, effleurant celle-ci de ses lèvres, me faisant frissonner, avant de l'entendre murmurer un doux " je t'aime " dans le creux de celle-ci. Rien que ces mots me firent trembler violement, comme lorsque je sentais ses mains caresser mon corps, et j'enfouis ma tête dans le creux de son cou, respirant doucement l'odeur du jeune homme, heureuse. Car je savais que ce qu'il venait de me dire n'était pas juste deux mots prononcés dans le vent, qu'il les pensait vraiment. Et ça, c'était l'une des choses les plus importantes à mes yeux.

Remontant doucement ma main le long de l'intérieur de sa cuisse, je fis descendre l'autre le long de sa colonne vertébrale, l'effleurant du bout des doigts, avant de retirer lentement le boxer noir de l'homme, qui se retrouva totalement dénudé. Le sous-vêtement alla quand à lui rejoindre la pile de vêtements qui jonchaient déjà le sol, simple bout de tissu noir sur les dalles gelées. Faisant courir mes yeux émeraudes le long du corps nu de Ludwig, je souriais légèrement avant de fermer les paupières et de l'embrasser à nouveau, tout en passant une main dans son dos, le faisant basculer lentement sur le lit, me retrouvant ainsi à califourchon sur son bassin, entièrement nue à l'exception du simple bout de dentelle noire que je portais toujours.

Invité

Après m'avoir laissé pendant un bon bout de temps garder mon jeans, elle me l'ota, ainsi que mon boxer qui ne tarda pas a aller rejoindre tout les autres vetements sur le sol. Je n'avais maintenant plus aucun vêtement, tandis qu'elle avait encore son string noir, mais pour combien de temps encore ? Me connaissant, je ne dirais, pas très longtemps...

Me faisant basculer, elle se retrouvait maintenant au dessus de moi, les rôles étaient inversés. C'était maintenant a mon tour d'offfrire mon cou a la jeune femme, tout en faisant cela, je laissais glisser mes deux mains le long du dos de la jeune fille, passant sous les ficelles du string qui étaient sur la taille, pour ensuite descendre sur ses fesses, puis sur ses cuisses. J'entrainais avec moi le sous vetement de la jeune femme, qui descendait de plus en plus, assez vite d'ailleurs, quand il fut arrivé au niveau des genoux, je me libérais les mains de celui ci, puis, je l'enlevais totalement, afin que nous soyons Sybille et moi a égualité.

Après cela, je passais une main derrière la tête de Sybille, pour la raprocher de la mienne, et l'embrasser, l'autre elle, se placa d'abord dans le cou de la jeune femme, puis, elle descendit sur ses seins, s'attarda un peu sur son ventre, le caressant, puisque c'était unezone érogène du corps féminin, puis, lentement, elle descendit jusqu'a l'entrejambe de Sybille, éfleurant d'abors, puis caressant doucement l'intimité de la jeune femme.

Ne me faisant pas prier, je me penchais doucement vers le jeune homme, la pointe de mes cheveux roux effleurant doucement son torse avant de couvrir son cou et sa gorge de baisers, certains doux, d'autres plus fougueux, alternant le jeune de mes dents, de ma langue et de mes lèvres, tout en caressant langoureusement son dos. Pendant ce temps, il s'occupait de me dénuder complètement, retirant l'unique vêtement qu'il me restait, qui glissa rapidement le long de mes jambes, me faisant frémir.

Après cela, je le sentis passer une main dans mes cheveux, et, relevant doucement la tête de son cou, je me penchais vers lui en même temps qu'il m'attirait vers sa bouche et je déposais un doux baiser sur ses lèvres, le coeur battant. Palpitante de désir, je tressaillis quand il se mit à caresser ma poitrine puis mon ventre, avant de me mordre les lèvres, le visage crispé, quand sa main effleura doucement mon bas-ventre. Me redressant, je me cambrais, prête à m'abandonner aux caresses de Ludwig, je fis glisser mes mains le long de son torse tout en écartant légèrement les jambes, toujours à genoux sur les hanches du jeune homme.

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Quand elle crispa son visage, j'arretais quelques secondes mes carresses, craignant de ne l'avoir gené. mais voyant qu'elle écartait par la suite les jambes, je vis bien d'après ce signe qui ne trompait pas qu'elle en demandait encore plus.

Je repris alors tout doucement mes carressses de ce petit bouton rose, celui qui procurait tout ce plaisir a ma partenaire... Le fait qu'elle me bloque en étant au dessus de moi réduisait ma possibilité d'action, mais sentant que le corps de la jeune femme était près, quand je sentis le bout de mes doigts mouillés, j'enfoncais tout doucement deux doigts dans le sexe de Sybille.

Je la laissais d'abors s'habituer a ma présence, puis, je commencais un mouvement de vas et viens, très lent pour commencer, mais qui s'accélérait au court du temps.

Tout en faisant cela, ma bouche s'occupait du cou de la jeune femme, mon autre main elle parcourait le corps de Sybille, puis, elle passa derrière le cou de celle ci, pour le raprocher encore plus de ma bouche, afin qu'elle s'abandonne a mes baisers.

Dieu que c'était bon... Jamais encore je n'avais ressentit une telle sensation, une telle ivresse, tant de plaisir... Gémissante, je me cambrais violement, rejettant ma tête en arrière, offrant ma gorge aux baisers du jeune homme, tandis que je tentais de reprendre mon souffle, haletante, les yeux clos, savourant avec délices la douce torture que m'infligeait le jeune homme. M'abandonnant complètement, je passais mes bras dans son dos, que je caressais avec ardeur, avant d'attirer le jeune gardien vers moi, me retrouvant assise sur ses genoux, ma poitrine collée contre la sienne, le corps secoué de spasmes.

Tout en frissonnant sous ses baisers, je me tordais doucement de plaisir sous les caresses de mon partenaire, sentant mon corps s'enflammer à la vitesse d'un brasier, me laissant haletante, la peau brûlante, des mèches de cheveux roux collés à mon visage. M'humectant mes lèvres, qui étaient rendues sèches par le désir, je laissais échapper un gémissement de plaisir en sentant deux de ses doigts s'introduire doucement dans la chaude moiteur entre mes cuisses. Me mordant la lèvre, le visage crispé de bonheur, je penchais de plus belle la tête en arrière, murmurant d'une voix rendue rauque par le désir :

- Ne t'arrêtes pas...

Le corps de plus en plus tremblant, je m'abandonnais complètement dans les bras du jeune homme, offerte, ne pouvant plus me retenir. Enfouissant ma tête dans le creux de sa nuque, je fermais les yeux, la respiration profonde et saccadée, lâchant de temps à autre un soupir de plaisir, étouffé par la proximité de la peau de Ludwig, empêchant ainsi d'alerter toute la prison.

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J'accélérais encore un peu plus les vas et vient de mes doigts, sentant qu'elle aimait cela, il fallait de toute facon que son corps soit préparé, ce qui pouvait d'ailleurs prendre un certain nombre de temps.

Mais cela ne lui procurait pas seulement a elle du plaisire, cela faisait monter en moi l'exitation, je l'embrassais avec plus de passion encore, sentant son corps trembler, puis, sa tête vint s'enfouire dans le creu de mon épaule, je l'entendait gémire, ma peau aténuait un peu les bruit qu'elle pouvait faire, mais cela raisonnait tout de même dans le couloir... qu'un prisonnier arrive, et il serait bien recu, mais en revanche.... qu'un gardien, ou pire une directrice arrive et... c'est moi qui passerait un mauvais quart d'heure.

Au bout d'un moment, j'enfoncais en elle un troisième doigt.

tout en faisant cela, je n'abandonnais pas mes baisers, mes carresses, toute ces morsures que je pouvais lui faire dans le cou, etc... J'allais laisser moi aussi une marque sur son corps, mais cette fois ci, ca ne serait pas une marque de coup.

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