marche sans s'avoir ou je vais

Invité

Jen marche tranquilement a travers le couloir sombre et mal entretenu de cet foutu prison. Mais bon il faut dire que je ne suis pas vraiment habituer a la propreté vut la d'ou je viens. N'empèche que rien que le fait de penser que je vais passé mes prochaines années à croupir dans cet prison merdeuse me fait froid dans le dos. Puis je repensa a comment j'étais arrivée jusqu'ici et je pense que je ne suis pas a plaindre Mayli a eut beaucoup moin de chance que moi, elle...
Un coup venant de l'épaule me fit tirer de ma réverie, un gars me poussa en me donnant un gros coup et une douleur se fit paraitre. Frottant mon épaule endolorie je pensa tout bas non mais pour qui il se prenait celui là? Putain les machos comme sa qui pousse sans dire pardon c'est un truc qui me fait tro chier. Et sans mème un soupçon de gentillesse je lui gueula:

-"Non mais sa va pas? Regarde ou tu marche imbécile"

Ce gros lourdot me répondit du plis simplement qui soit:
"Ouai c'est bon calme toi petite, je t'avais pas vu."
"Casse toi."

Après cet bref entrevue je repris ma marche sans trop d'embrouilles...

(post au présent c'est dans les règles

.)

Je me promène joyeusement dans cegrand établissement qu'est ma nouvelle demeure quand je ne peut qu'entendre l'échange de deux êtres inférieur. Un gros tas et une jeune maigrelette.
Le pire qu'au moindre contact elle se met à beugler.
Vraiment pitoyable. Pourquoi suis je donc aux côtés d'inférieurs pareils.
Ils m'ennuient et sont si prévisible.
Mon ventre gargouille et me tire des mes rêveries. Peut être arriverais je à trouver quelque chose à grignoter
Je me dirige donc vers ce menue gibier.

Bonjour. Vous avez des problèmes? Ca ne sert à rien de crier.Et la politesse n'est pas une qualité utile par ici.

Invité

[ A oui désolé j'ai pas l'habitude merci]

Je me retourne et vis face a moi un gars qui était en train de nous faire la leçon. Voyant l'autre gars s'en aller tranquilement je me retrouve seule avec cet ètre qui avait l'air de me prendre pour une grosse demeuré. Je le dévisagea et lui demanda sans politesse:

"A qui est je affaire?"

Puis le regardant une seconde fois je supposa que ce jeune homme là n'avait pas trop l'air d'appartenir a notre monde. Mais voyant que je l'aggresait un peu je lui redis plus gentiment:

"Salut moi c'est Keira et non c'est bon il n'y a plus de problèmes."

Mes doux yeux se posèrent sur cette insolente.
Comment osait elle me parler ainsi à moi son supérieur. Deplus elle est d'une impolitesse désobligeante. La politesse ne sert à rien sauf lorsque l'on s'adresse à moi.
Et puis en réalité qu'ai je à faire d'une gamine comme elle?
Tout ce qu'elle mérite c'est une paire de baffe et un coup de pompe pour la remettre sur le droit chemin.

Le pire est qu'elle me prend pour un demeuré moi son maître.
Aussi je l'attrape par la gorge et la plaque violement contre un mur la soulevant alègrement du sol.

Tout d'abord sache que tu me dois respect et surtout tu me parle sur un autre ton. Ici je suis le plus grand , je suis dieu et le diable reunifié. Rien ni personne ne peut ou bien pourrait oser me surpasser.
Deplus j'ai que faire de ton nom petite sotte. Ici il ny'a pas beaucoup de moyen pour laver un affront.
Mais tu as de la chance tu es trop jeune pour moi et un poil trop vivante. Mais pour le second critère ça peut s'arranger rapidement.

Je la relache aussitôt ma tirade terminé. Elle sonne bien , normale je viens de l'inventer. Je lui lance mon regard de méchant sadique pervers que je suis je le reconnais. Mais j'en suis fier parcontre une idée me vient elle doit être extrèmement tendre pour son age.

Invité

Le bras de ce fou allier était arriver sans que je ne puisse nulement répliqué. De plus il était complètement con et le mot était bien faible. De toute ma vie je n'avais jamais entendu pareil sottise, lui dieu réunifier pfff la bonne blague. Il me donnait plus envie de rire que de pleuré. Son cas était vraiment desespérant. Quand il me relacha enfin je lui dit en le regardant comme le pire des crétin:

"Non mais pour qui tu te prend.Tu n'étais absolument pas obligé de me tenir de la sorte tu sais je n'allais pas m'enfuir. Je vois qu'il ne ton pas mis au bon endroit un asile t'aurais beaucoup mieu convenu. De plus quand on est ici la mort ne fais plus peur c'est plutot une délivrance. Franchement quand je vois des cas aussi desespéré que le tien j'ai envie de pleuré de pitié."

Sur ceux je m'addossa au mur et le regarda d'un air dédaigneux. Est ce que ce grand fou aller me tuer sur le coup ou allait t'il faire preuve de plus de diplomatie. La diplomatie lui ? Il ne devait mème pas savoir ce que voulait dire ce mot.