Balade nocturne

Il ralentis à mes paroles...Esperons qu'il entende raison! Il s'arrête et au même moment, j'entend des pas. En regardant Stan, je remarque qu'il les a entendu. Il semble tendu. Je me tourne en me rendant compte que les pas sont de mon côté. Sans voir qui est derrière moi, je reçoie un cou dans les côtes. Une matraque...C'est un gardien. J'aurais pas dû trainer ici...Je me tiens les côtes en me tordant de douleur. Quand je relève mes yeux...Tout ce que je vois c'est Stan par dessus le gardien lui frappant le visage.

Laisse-le vaut mieux dégagé! Lui-lançais-je en poussant déjà quelques pas dans une direction...

Invité

Je tourna la tête vers elle pour voir si elle allait bien mais elle était déjà debuot et avait fait quelques pas dans l'autre direction. Mon inattention de quelques secondes me vallut un coup de poing dans le visage qui me fit voler de l'autre côté. J'essuya le filet de sang qui s'écoulait de ma lèvre et lui ressauta dessus en l'entendant crier à l'aide. Je réussit à lui enlever sa matraque et à l'assommer avec. Je me relève agilement, gardant la matraque avec moi et cours derrière Jade. Après quelques enjambées elle faiblissait déjà et des pas s'entendaient déjà plus loin. Je lui donna une bonne pousser dans le dos pour qu'elle garde le rythme.

Je me sens un peu coupable quand Stan reçoie un autre cou...Mais, il reprend vite le dessus et l'assome. Nous courons maintenant ensemble, mais au bout d'un petit moment je commence déjà à ralentir. Stan me donne une petite poussé dans le dos...Je reprend un peu de vitesse...Note à moi-même: mon cardiaux ne va pas trop fort en ce moment...Si je passais moins de temps dans la bibliothèque aussi...Par contre Stanley ne semble avoir aucun problème pour ça...Chacun son domaine quoi. J'ented d'autre pas...Ce ne sont nis les miens nis ceux de Stanley...Et merde. Il y a une séparation dans le couloir à gauche ou à droite...Je décide instinctivement de prendre la droite par contre je ne sais pas si Stan devrait me suivre ou si nous avions plus de chance séparé...Je lui fais signe dun cou d'épaule que je vais vers la droite...Qu'il se dirige où il veut quant à lui.

Invité

Je réfléchis à toute vitesse, je ne courrais pas très vite puisque je restais derrière Jade pour la pousser un peu et, je devais me l'avouer, l'idée de la laisser seul avec cette bande gerdien qui était presque arriver à nous rejoindre ne m'étais très agréable. Pourtant si j'en attirait quelques uns vers moi, je les maitrise et après je prends les autres qui court après Jade par derrière. À moin qu'ils soient beaucoup ...
Bref je ne pensais pas vraiment à ça alors que j'accélérais vivement à l'intersection vers la gauche après avoir donner une dernière grosse pousser dans le dos de Jade qui respirait déjà bruyamment. Cinq gardiens arrêtèrent à l'intersection en réfléchissant dans quelle direction aller. Les plus paresseux partirent vers Jade alors que deux plus téméraire entamèrent une course rapide derrière moi. Je courais maintenant à toutes jambes, ce qui laissait une bonne distance entre moi et mes assaillants. Ceux-ci, fatigués, sortirent leurs armes et essayèrent de me tirer dans les jambes.

Tandis que Stanley va dans l'autre direction, les gardiens se séparent et vont chacun de leur côté...Eh merde...Pas si con que ça ces bouffons. J'essaie de garder une rapidité constante. L'un se décident sortir son arme.

Arrête-toi!

Je ne m'arrête pas. Il commence à tiré...J'évite quelques balles de justesse...Je ne suis pas rapide mais je sais comment esquivé! J'aurais peut-être dû m'arrêter...Comment gagner une telle course? Stan a décidement mauvaise influence sur moi. Un autre tournant...Je le suis puis peu de temps après un autre tournant...Gauche ou droite...Je reprend la droite encore une fois. Le dos collé au mur, je reprend ma respiration.

Invité

J'accélère de plus en plus, l'adrénaline combiner à mon endurance me fesait courir comme je n'ai pas couru depuis un bon bout de temps. Je pense à Jade et j'espère qu'elle s'en tire avec les trois autres gardiens. Je me débrouillais pour fuir les gardiens et en même temps mon sens de l'orientation était à plein régime pour essayer d'aller aider Jade qui devait déjà avoir arrêté de courir. Je ressens une douleur vive à la jambe, non je ne pouvais pas être touché ?! Je sentais ma course rallentir, mon front commençait à se couvrir de sueur et je sentais un liquide tiède s'écouler le long de mon mollet. Je bifurque vers la gauche alors que les gardiens furieux me tiraient toujours dessus. Je voix une silhouette appuyer à un mur qui respirait bruyamment, Jade ! Je tentais de dissimuler ma boiterie pour cacher au gardien ma faiblesse et couru vers Jade. Pas le temps de la pousser dans le dos, je la prend brusquement par la taille, la vitesse de ma course la fesant frôler le sol. Les gardiens sont encore au coin alors que j'ouvre la porte d'un placard et la pousse violemment dans la placard qui en refermant la porte. Le placard était tellement étroit que nos torses se frottait. Elle respirait trop bruyamment, je lui couvris la bouche avec ma main. Moi je contrôlais habilement ma respiration, écoutant le moindre bruit qui aurait pu nous trahir.

Tandis que je reprends ma respiration, je vois Stanley qui cours vers moi...Je ne suis pas certaine, mais je crois qu'il boite...Et bien on m'a bien tiré dessus...Ça dû être son cas non? Il me prend brusquement par la taille et continue à courire. Moi je suis trop essouflé, j'ai un peu honte. Je frôle pratiquement le sol, Stan n'arrêtant pas sa course. Je tourne la tête quelques secondes. Les gardes arriveront bientôt, mais ils n'ont pas encore tourné le coin. En à peine quelques seconde nous nous retrouvons dans un placard. Avec la force à laquelle il m'a poussé, j'aurais bien pu tomber, enfin, si le placard n'aurait pas été si étroit. On peut à peine bouger...Comme si je pourrais tomber. C'est tellement étroit que moi et Stan sommes collé. Je sens nos deux torses se toucher. Stan pose sa main contre ma bouche pour faire cesser le bruit de ma respiration. Pendant ce lapse de temps, bien que Stan ne fasse pas de bruit, collé comme nous sommes je sens sa respiration. Je sens son torse monter et descendre, se coller contre moi pi se decoller d'une courte distance.Je calme un peu ma respiration. Je prend sa main et la laisse tomber...Il n'en a plus besoin, je suis maintenant totalement silencieuse. J'entends les pas des gardiens dans le couloirs. Je ne dis pas un mot. Je reste à l'écoute en regardant la porte du placard. Il s'éloigne mais il serait peu sage de sortir pour le moment. Je regarde Stan, inquiète.

Tu es blessé? Dis-je avec le ton le plus bas possible

Invité

Je plaqua encore une fois ma main sur la bouche de Jade mais plus brusquement. J'avais entendu des pas se diriger dangereusement proche. Ma jambe !!! Elle saignait, les gardiens ont dû suivre les traces de liquide rouge sur le sol , je les entendais chuchoter dans le couloir. L'angoisse me rpenait la gorge, je faisais de mon mieux pour contrôler ma respiration mais elle était de plus en plus difficile, bruyante et irrégulière. Ma claustrophobie avait déjà commencer à faire effet et mon corps était reluisant de sueur. Jade devait le sentir elle était très proche de moi. J'entendis un bruit de serrure et entendis un déclic qui déclancha aussitôt une des pires crises de paniques que j'ai eu depuis des années ...

- Bonne nuit les amoureux ! hahahahahaha

Ils avaient verrouillé la porte ...
Il me frappe encore, il me frappe tout le temps, j'avais déjà un oeil au beurre noir mais il s'en fiche et il frappe. Je hurle de douleur, je lui supplie d'arrêter mais lui aussi il hurle, il hurle tellement fort qu'il ne m'entend pas. Il me pousse violemment vers le placard. Non pas encore, j'avais tellement peur de ce placard, je pleurais déjà trop, je vomis malgré moi. Ça l'énervait, il me frappa encore et me jetta dans le placard pour fermer la porte à clé ...Je tappe dans la porte, je voulais sortir, je pleurais et je hurlais mais il ne faisait que hurler et frapper plus fort dans la porte. C'était inutile, il allait me laisser là dedans pour plusieurs jours encore. J'avais faim et soif, je voulais que ça s'arrête mais il n'y avait aucun moyen d'être libéré ...Aucun moyen de se tuer ...encore ...
Les gardiens étaient déjà partis en riant, je paniquais vraiment, ma respiration était incontrolable, une boule d'angoisse m'écrasait la gorge et l'estomac, je dégoutais de sueur. Je poussa un crie en me jettant contre la porte, encore et encore, je ne sentais pas la douleur, des souvenirs douloureux me revenait en tête. Des images que je voulais oublier. Je poussa un autre cri de douleur et de terreur en fonçant encore dans la porte.

Les pas que je croyais partis pour de bon reviennent. Stan plaque sa main contre ma bouche. Je retiens ma respiration. Ils chuchotent. Ils se rapprochent. Je commence à angoissé un peu. Je sens que Stan stresse aussi. Il n'est pratiquement plus capable de retenir sa respiration. Il a peur? Oui, il en a des sueurs froides. Moi aussi je n e me sens pas très bien. Allez reprends-toi Jade! Qu'est-ce qui pourrait bien arriver de pire? Tu es à Sadismus. D'ailleurs, depuis quand tu perds ton sang froid? Non je ne le perds pas. Non! J'essaie de paraître le plus calme possible...Il ne me reste qu'une petite nervosité en moi mais je suis très loin de la panique. Les gardiens sont juste devant la porte. Je le sais, je l'ai entend. J'entends un declic dans la serrure. Ils l'ont verrouiller ces boufons!

- Bonne nuit les amoureux ! hahahahahaha

Ah, ah, ah...Très drôle...Me dis-je interieurement. Quels crétins!

Ils s'éloignent, ils ont vraiment l'intention de nous laisser là...Pour combien de temps? Stan est paniqué! Il hurle, il dégoute de sueur et essaie de defoncer la porte. Qu'est-ce qui lui prend.

Arrête ça ne serre à rien!

J'essaie de le retenir. Bien sûre il est plus fort que moi! Mais au moins il ne risque pas de se broyer les os contre cette porte.

Calme-toi...Ça va aller, d'accord?

Invité

- Calme-toi...Ça va aller, d'accord?

Ça va aller ...Je me le disais tout bas alors que j'étais tout seul, saignant et pleurant dans le petit placard funèbre. J'étais recroqueviller sur moi-même en me disant des mots de réconforts, ces mots que jamais je n'ai eu de personne. Ses mots qui ne me font pas effet, ils n'ont jamais été sincère, je l'entends à peine et je me débats contre ses bras qui me retenaient dans cette enfer. Elle devait sentir la sueur qui recouvrait mon corps, je respirais effroyablement mal ...l'hyperventilation se faisait sentir, ou plutôt entendre. Je n'avais pas assez d'espace pour prendre mon élan, mon épaule prenait plus de dommage que la porte mais je continuais à me jeter contre elle. Ce que l'être humain en état de panique pouvait faire ...

Il continue à se débattre comme si je n'avais jamais été là. Il est paniqué, incontrolable...Je comprends enfin. Bien sûre! C'est évident. Un autre...Un claustrophobe...

Écoute-moi Stan! Criais-je...Énervé par cette panique qui me rendait moi-même un peu nerveuse. C'est con quand même...Je suis nerveuse quand il a peur mais pas quand il est en colère. Je calme rapidement ma voix...Pensant que crier était une mauvaise idée. J'essaie d'adopter une voix douce...Tant bien que mal...

Calme-toi...Tout va bien ce passer... Qu'est-ce qui pourrait bien arrivé?

Ferme les yeux d'accord? Respire...

Je ne lui demande même pas si c'est vraiment de la claustrophobie...Vu ses reaction, vaut mieux se taire sur le sujet.

Invité

- Écoute-moi Stan !

Son crie m'énerva encore plus, je pris ma tête à deux mains en m'empoignant des cheveux. Je secoua la tête pour chasser les sombres souvenirs qui m'envahissait, je cogna ma tête contre le mur pour que ça s'arrête, pour les chasser de ma mémoire. Je ne sentais pas sa présence et je commençais sérieusement à manquer d'air mais j'ignorais la douleur. Ma bonne oreille était tournée vers elle, j'entendis sa voix plus douce que la dernière fois tenter de me calmer.

- Calme-toi...Tout va bien ce passer... Qu'est-ce qui pourrait bien arrivé ?... Ferme les yeux d'accord? Respire...

Je ne la discernais mal dans le noir, j'essayais du mieu que je pouvais mais ma panique grandissant à chaques instants. Je pris mon coude et frappa dans la porte à plusieurs repris en poussant des grognements d'effort. Lorsque la douleur devint insoutenable, j'y alla avec l'autre poing mais je manqua rapidement de souffle et je perdais des forces. Je mis une main sur ma poitrine, cherchant de l'air.

Il ne veut décidement rien entendre. J'essaie de m'éloigner de lui, d'aller le plus possible dans le fond du placard pour lui laisser son air. Sans grand succès à vrai dire avec la grandeur du placard...La petitesse devrais-je dire. Il continue de frapper dans la porte jusqu'à l'essouflement.

Ça va maintenant?

Je le vois chercher sa respiration, chercher de l'air.

De l'air...Il y en a partout autour de toi...T'as qu'à respirer...

Ça va? répetais-je...Bon sang qu'il m'inquiète celui-là.

Invité

- De l'air...Il y en a partout autour de toi...T'as qu'à respirer...

Je secoue violemment la tête, comme si des milliers de mouches tournaient autour de ma tête. En fait, les mouches étaient des mauvais souvenirs ...Mon estomac se contractait douloureusement et ma gorge se reserrait sur elle même, je n'arrivais plus à penser, j'étais totalement paniquer. Il fallait que je sorte d'ici ...

- Son air ...Pas le droit de ...la respirer ...Il va ...Frapper ...

Je pensais à haute voix, je me parlais souvent dans son placard, car tout lui appartenait ...même moi. Il y avait un seau en métal et un balais dans un coin, je cogna dans la porte avec. C'était effrayant comment je me défonçai pour la liberté. À l'aide de mon coude, je frappa de toutes mes forces. Un craquement fracassant se fit entendre, mélange de mon coude qui se cassait et du trou dans le boix de la porte. Je donna un dernier coup d'épaule avant d'enfin défoncer la porte. Je m'effronde carrément sur le mur opposer du couloir. Je grimace en gardant mon coude à demi plier, il faisait vraiment mal. Je repris bruyamment mon souffle.

- Son air ...Pas le droit de ...la respirer ...Il va ...Frapper ...

Mais de quoi il parlait lui? C'est à n'y rien comprendre. Il continue de se debattre comme un fou. Je ne suis plus capable de le contenir. On entends finalement un craquement. Il a réussit à défoncer cette fichu porte. Je sors et je vois Stan contre le mur, le coude plié. Je m'approche et lui touche le bras et il grogne de douleur. Je m'éloigne. Je jette aussi un rapide coup d'oeil à sa jambe.

Il faut que tu ailles à l'infirmerie le plus vite possible...Tu es capable de marcher avec la jambe dans cette état?

Je le regarde un moment. S'il a pu aller jusqu'au placard avec sa jambe, il peut surement marcher je le sais bien...Mais ça doit pas être super non plus...

Invité

Je pousse un grognement agressif lorsqu'elle tâte mon bras, mon coude me faisait franchement mal et malgré ma fierté je ne pouvais m'empêcher de grimacer de douleur. Ma respiration était encore haletante mais j'étais soulagé ...J'avais réussi à sortir. Si le gardien aurait tiré sur ma jambe je n'aurais pas été capable de marcher, le missile avait seulement egratigné mon mollet. Je plia mon genou valide et m'accouda dessus, reprenant lentement mon souffle. J'avais vraiment paniqué, des haut le coeur me prisent l'estomac mais je réussis à les ravaler, rien de grave juste le stresse. Je secoua la tête catégoriquement.
- Pas besoin d'aller à l'infirmerie ...

- Pas besoin d'aller à l'infirmerie ...

Tu plaisantes? Regarde ton bras...

Je soupire d'exaspération. Son bras est cassé et il ne veut pas aller à l'infirmerie? Quel gamin il fait quand il veut celui là! Mais bon, je ne devrais pas m'obstiner...J'ai bien compris que c'était peine perdu avec lui.

De toute façon, il ny a sûrement pas d'employé dans l'infirmerie la nuit...Tu devrais au moins aller en cellule...

Je m'appuis le dos contre le mur du couloir et soupire à nouveau. Il faut dire que, même si c'est Stan qui a eu l'épreuve la plus éprouvante, se n'est pas de tout repos d'être dans un placard avec un claustrophobe.

Invité

- De toute façon, il ny a sûrement pas d'employé dans l'infirmerie la nuit...Tu devrais au moins aller en cellule...

Je relève la tête lorsqu'elle reprend la parole et pousse un soupire colérique. J'étais stressé et ça me rendait excessivement agressif, je lâche d'un ton énervé:

- Mais arrête de me dire quoi faire tu m'énerve !
Je lève des yeux menaçants vers elle et m'appuie contre le mur pour tenter de me relever. Je garde prudemment mon bras à demi plié contre moi et marmonne des jurons alors que je me redressait sur ma jambe valide. Elle avait vraiment le tour de me mettre sur les nerfs et pourtant mon instinct protecteur jouait tout le temps sur ma rancune. Je fais quelques pas maladroit puis commence à boiter lentement dans le couloir.

- Dépêche je veux me faire reprendre ...

- Mais arrête de me dire quoi faire tu m'énerve !

Il me regarde, menaçant...Comme si ça me surprenait...Il marmonne des jurons tandis qu'il essaie de se tenir sur sa jambe valide. Il commence à aller dans une direction et je le suis...

Je tiens à dire pour ma défense que je ne te dis pas quoi faire mais ce que tu devrais faire...Mais si ça te soulage je me la ferme...

Je garde le silence quand nous avançons. Cette fois, c'est moi qui me retrouve devant...Moi ma jambe est valide elle...Par un coup de chance je sais, mais c'est pas grave. La chance est quand même de mon côté et l'a toujours été...Sauf quand je me suis retrouvé ici.

Invité

Je la fusilla d'un regard menaçant lorsque qu'elle repris la parole. Elle argumentait, encore. J'étais prêt à lui sauter à la gorge mais elle proposa de se taire. Je cracha d'une voix agressive.

- Bonne idée !
Je marchais comme je pouvais, la plaie me piquait pas mal, rien de plus. Je n'allais pas très vite et rapidement Jade se retrouva en avant. J'accéléra un peu, puis tanpis qu'est-ce qui me prenait de l'accompagner comme ça. Mon instinc protecteur n'analysait pas la personne on dirait. De plus, je n'avais pas du tout envi de retrouner dans ma cellule après le placard. Je respirais encore bruyamment et la sueur froide couvrait mon corps, j'avais besoin de me calmer. Je serra les dents pour m'empêcher de trembler et partit dans une autre direction.

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