Kira Sounan

Dossier médical

Nom & Prénom- Mon nom? Kira... C'est un joli nom vous ne trouvez pas? "Détester"... Ah, et mon nom de famille? Sounan... Littéralement "détresse"...
Sexe- Féminin
Âge- 15 ans... Eh oui, il n'y a pas d'âge pour ce genre de choses...
Traits physiques- Je suis rousse, plutôt petite, avec un air de gamine... Mon visage, fin et pâle, habrite deux grands yeux bleus/violets qui m'ont certes toujours valus bon nombre de compliments. Je suis tout ce qu'il y a de plus normalement proportionnée.
Taille- Ma taille? Quelle question... Tssss, 1m48, vous êtes contents?
Poids- Je n'aime pas trop le dire mais... 30 kilos. Point.
Maladie ou handicap physique- Je suis anorexique. Depuis... A vrai dire je ne m'en souviens pas vraiment. Mais c'est devenu depuis quelques temps un véritable complex pour moi.
Autres- Ne pouvant pas qualifier cela de "maladie", j'avoue avoir un penchant pour le sang... Et la violence... Seulement je ne le laisse jamais paraître. Sauf si l'on me fait sortir de mes gonds... Considérez donc moi comme une psychopathe, et je n'ai pas peur des mots.

Dossier psychologique

Qualités- Des qualitées, hein? Voyons... On me trouve charmante, mignonne à croquer, serviable, sociable, etc. Un vrai petit ange. Sinon, je suis tenace; très tétue et effrontée, si je veux quelque chose, je l'obtiens.
Je garde aussi toujours mon sang-froid, quoi qu'il arrive.
Défauts- Egoïste, violente, paranoïaque, effrontée... Je ne pourrais réellement lister tous les défauts qui m'habitent. Aussi, que je sois encore une "gamine" ne m'empêche pas de répondre éffrontément aux adultes.
Aime- J'ai un penchant pour la violence et surtout... Le sang... Ne trouvez-vous pas cette couleur merveilleuse? Ce que j'appelle mon autre moi aime les choses mignonnes genre poupées, goodies, vêtements lolitas, costumes de cosplay...
N'aime pas- Je déteste que l'on me mente. Si vous me le faite un jour, je jure vous le paierez du tranchant de mon arme... Enfin, si un jour j'ai la chance de m'en ré-emparer...
Pourtant, chose ironique, je mens sans cesse aux gens en masquant mon côté "schizophrénique".
Comportement avec les gens- Je suis charmante envers tous ceux qui me le rendent bien. Avec mon sourire d'ange toujours au coin des lèvres, je ne suis impolie envers personne. En réalité je suis d'un caractère détestable. Je n'adresse la parole qu'à peu de personnes lors de mes phases "schizophréniques", si ce ne sont ceux que je m'apprête soi à tuer, soi à donner une bonne leçon.
Maladie ou handicap mental- Je suis atteinte de ce que je qualifierais de schizofrénie "douce". Je ne peux pas dire réellement que j'ai des dédoublements de personnalité, non, mais plutôt deux états d'esprits très différents qui alternent en fonction de mon humeur. En réalité, je ne sais pas si je peux qualifier cela de schizophrénie, étant donné que je suis à chaque fois consciente de ce que je fais... Non, pour faire plus simple, qualifiez-moi juste de personne extrêmement lunatique...
Ah, et j'entend aussi des voix et la sensation d'être observée ne me quitte jamais... Les rendez-vous avec les psys, je les collectione.
Valeurs- Moi? Avoir des valeurs? Si ce n'est la tuerie...
Tics- Mon coup est sans cesse couvert de ce qui semble être des plaques rouges, mais la réalité est que je ne peux m'empêcher de me gratter à cet endroit... Un tic qui m'a valu plus d'un saignement...
Passé- Née dans une famille allemande de petite bourgeoisie, je tenais mon prénom et nom à mon père, japonais. Nous n'étions pas riches, mais pas pauvres non plus; nous vivions pauvrement car mes parents détestaient le gaspillage, mais ne nous manquions de rien. Je faisais le bonheur de mon "papa" et de ma "maman", paraissait-il... Mais eux, mutuellement, ne faisaient jamais le bonheur de l'autre. Tant et si bien que l'année de mes 9 ans, ils ont divorçés. Horrible chose qu'est le divorce... Avoir à faire un choix entre aller vivre chez "maman" ou "papa"... Quasiment contre mon gré, j'ai quitté Cologne et suis partis avec mon père pour le Japon, son pays d'origine. A la surprise de ce dernier, j'ai maitrisé la langue en moins d'un mois...
Mes ennuis ne faisaient que commencer. A peine le premier jour d'école, j'ai été victime de discrimination; de part mon origine, ma couleur d'yeux, et celle de mes cheveux... Chaque jour j'en souffrait un peu plus, et manque de bol mon père s'est retrouvé enseignant dans l'école primaire où j'allait. Le collège s'annonçait comme un échapatoire; nouvelles têtes, nouveaux profs, plus d'étrangers peut-être... Hélas j'avais fait fausse route, et cette même discrimination me suivit comme mon ombre tout le long de ma scolarité. Accablée de moqueries, et même violentée parfois, j'ai commencé à cultiver au fond de moi une tout autre partie de mon être... Et ce n'est que plus tard que j'ai réalisé que cette même autre partie allait devenir la moitié dominante de mon être.
Plus le temps passait, plus je devenais soudainement violente avec les élèves; l'ange que j'étais commençait à devenir lunatique limite schizophrène... Grâce à cela, tout a rapidement cessé; on ne me regardait plus de haut, au contraire on m'évitait... J'aurais voulu que ça s'arrête là, mais un mot appelé "vengeance" vint tout chambouler. J'éprouvais de la haine envers tout le monde, y compris mes parents. D'ailleurs un jour, ma mère débarqua au Japon... D'après ce que j'ai entendu, ce n'était sûrement pas pour essayer de se réconcilier, ah ça non... Un soir, probablement l'une des plus grosse dispute qu'ils n'ont jamais eu éclata. Je n'ai pas vraiment essayé de comprendre ce qu'ils se disaient, mais je pense pouvoir dire qu'il s'agissait de problèmes d'argent du côté de mon père... Endetté jusqu'au coup, je l'ai ensuite entendu dire...
- Sais-tu seulement les responsabilitées dont tu m'accables??? Ta fille est en train de me ruiner!
C'en était trop. Fragile mentalement comme je l'étais, je me serais évanouïe si ma schizophrénie n'avait pas pris le dessus...
Armée d'une machette utilisée pour couper le bois trouvée dans le garage, j'ai sauvagement assasinée mes parents... Cette couleur rouge qui s'avérait être du sang... J'ai finis par y devenir accro...
Plus tard seulement, j'ai compris que la phrase dite par mon père ce jour-là ne venait que de mon imagination. Car cela s'est reproduit un nombre incalculable de fois. Ma paranoïa me faisait entendre des choses que seule moi voulait entendre. Je m'en servait "d'excuses" pour tuer...
Comme plus de parents = liberté, selon moi, j'ai commencé à pêter un boulon et... Me suis un beau matin pointée au collège, la machette à la main. Mes yeux vides, mon air neutre, tout cela en a terrorisé plus d'un.
J'ai eu alors une idée folle que j'ai tôt fait de mettre en place; une prise d'ôtage du collège... Tout ceux qui m'ont résistés ont péris sous le tranchant de mon arme, si bien que les murs des classes et des couloirs se sont retrouvés tapissés de sang. Il y avait bien des profs qui ont tentés de me stopper en me menacant d'un revolver, mais les pauvres, ils n'osaient pas tirés... La police et l'ambulance ont rapidement débarqué sur les lieux, évacuant le peu de survivants, tandis que moi me trouvait toujours à l'intérieur. Une cachette par-çi, une cachette par-là... Je n'ai pas eu de mal à échapper à la surveillance des flics. Une fois qu'à peu près tout le monde était sortis, j'ai foutu le feu... En enflamant de l'essence vite fait disposée aux points "principaux" du bâtiment. L'incendie s'est propagé dans l'édifice tout entier en une douzaine d'heure, brouillant toutes traces que j'aurait pu laisser.
Ce fut juste après cet évènement que j'ai réalisé que j'aurais dû éliminer absolument tout le monde... Car grâce aux témoignages des survivants, mon portrait robot a été élaborée et mon dossier criminel n'a pas tardé à voir le jour. Durant ces temps que je qualifierais de "sombres", jouer à cache-cache s'avérait être un passe temps auquel je m'abandonnais à contrecoeur jours et nuits. Mais il y a eu ce jeune homme; le seul à avoir trouvé ma petite cachette... Il ne m'a pas dévoilé sa véritable identitée, et s'est juste présenté à moi comme étant un type s'étant fritté et ayant eu plusieurs grosses embrouilles avec la police nippone. Me retrouvant seule, je n'avait d'autres choix que de m'allier à quelqu'un pour étendre mes projets certes vagues mais ambitieux; mettre des bâtons dans les roues de la police de Tokyo. Il devait bien faire la vingtaine, ainsi sur le coup j'avoue m'en être amourachée... ce qui n'a pas tardé à causer ma perte d'ailleurs...
Ses connaissances dans le domaine criminel se sont vite rendus utiles; c'était maintenant sous le doux nom de Sakura Tenjou que la plupart des gens me connaissaient. C'est aussi grâce à lui que par un piratage ordinateur, toutes les informations à mon sujet ont étaient effacées des archives policières.
Je suis donc retournée en Allemagne, toujours lui sur les talons, mais aussitôt arrivée à la sortie de l'aéroport de Berlin j'ai bien sentis que quelque chose n'allait pas...
Avant même de me rendre compte de ce qui se passait, je me suis retrouvée garottée et jetée au fond d'une voiture noire en tout point semblable à celle d'un corbillard. Alors ce sale type était flic...
On m'a donc premièrement envoyée dans un camp de redressement pour mineurs, malgré le nombre effarant de crimes que j'avais commit. Pendant mon séjour en ce lieu, j'eu la raisonnable idée de me calmer et de me reprendre en main. Tout ce temps, je me suis faite petite, ne voulant pas me faire remarquer par les "terreurs" qui ne manqueraient pas de me violenter et de me faire re-basculer du coté du crime. Mais ma discretion m'attira le regard d'un homme en particulier... Un des gardiens du camp, dont la perversion était plus redoutée que connue... Ce véritable déchêt de la société m'a fait des avances, quasi-sexuelles ou non, pour finir par me violer... Le traumatisme qui m'a rongée suite à cet abus pédophile m'a fait sombrer une nouvelle fois dans ce que j'avais eu la sage idée de nommer "mauvais côté".... Ainsi, cet endroit sombre et miteux n'échappa pas à ma violence. Le soir où ce type réessaya d'abuser de moi fut sa dernière... La même nuite, rongée par la folie, j'ai égorgé le peu de personnes peuplant ce camp de redressement durant leur sommeil...
Autant vous dire que cela ne passa pas inaperçu; on me jugea coupable d'une liste impressionnante de gens lors d'un procès donné peu de temps plus tard, et me condamna à la prison... à perpétuité...
Voilà donc comment je suis atteris ici, à Sadismus.
Autres- //

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- Homicides d'un nombre incalculable de mineurs et d'adultes, ainsi que de sa famille; prise d'ôtage d'une école entière puis incendie de celle-çi avec de l'essence; faux passeport et carte d'identitée; détournement de dossiers policiers.
Matricule- 719145 ("Haine", dont les lettres sont transformés en chiffres de part leur place dans l'alphabet)
Rang- Un poison humain
No. de cellule- //
Gang désiré- //
Personnage sur l'avatar- Rena Ryuugu dans Higurashi no Naku Koro ni.