Punition numéro 1 : détenu Anzore ( terminé)

--> Couloirs

Maintenant que j'avais la prisonnière en main je l'entraine dans les sous sols de force, je suis toujours vigilante quand à ses gestes et si elle tentait quoi que ce soit elle trouverait ma matraque dans son dos pour lui briser. Nous arrivons enfin en salle de torture, je ferma la porte à clé derrière nous et obliges la jeune femme à se retrouver allongée sur la table. Tandis que je l'olige à rester tranquille pendant que je l'attache, je souris à l'idée de ma dernière visite dans cette pièce. Une fois que je l'ai attachée je m'appuie d'une main sur la table près d'elle et lui demande

" Connaissez vous Carl Hyde ? Il était ici à votre place la fois où je l'ai rencontré. Apparemment il n'apprécie guère les lieux fermés."

Je la regarde quelques instants, les yeux vides d'experssion ainsi que le visage. Je soupire alors.

" Qu'est ce qui vous a poussée à enfermer le gardien Neylen dans la salle d'isolement?"

" maltraitée.....de quelle façon ? Dites moi ce qu'il vous a fait."

Je me déplace vers les instruments et recommence mon inventaire comme avec Hyde. Je découvre de plus en plus de choses que je n'avais pas vu précédemment et m'en réjouie.

" Il vous a simplement bousculé ?"

Ohhh de l'arsenic !! j'adore cet endroit je me balade dans la pièce, calmement, instruments divers en main, jouant avec matraque, scalpel, pince, couteau à dépecer, mini broyeur, chalumau.....Whaaa ! Je l'avais pas vu ! Il fonctionne encore ? J'ouvre la vanne et réussit à le mettre en marche devant la détenu. OH oui il mache! Un sourire sadique au lèvres je pose mon regard sur elle
" Et bien je vous écoute"

Je pose le chalumau près d'elle pour qu'elle puisse ressentir la chaleur et voir si son esprit était aussi borné que ses mots.

Ainsi Neylen avait usé de violence envers cette jeune personne mais une question me tracassait tandis qu'elle m'annonça qu'elle n'avait pas trop le temps pour une torture. Une seringue en main je me tourne vers elle avec un grand sourire

" Oh mais moi si ! Et j'adore faire bien même si cela doit prendre du temps !"

Je pose mon petit outil et prend un autre plus gros, dont je suis obligée de tenir à deux mains. Charmant ! avec ceci je suis sure qu'ils séparaient les côtes du sternum pour étudier les entrailles humaines.

" Et puis vous êtes condamnée ici à vie ! Vous avez tout le temps !! Sauf si je décide de votre mort prochaine."

Je repose la grosse pince dans un bruit sourd et métallique et prend une plus petite, celle ci était surement faite pour couper la langue.

" Y a -t-il eu viol lors de cette rencontre avec le gardien Neylen ?"

J'eu un petit rire dédin, je ne l'avais pas assez bien attachée à la table la jeune demoiselle, la voici reculant face à moi. Je continu à faire l'inventaire des outils, les remettant en place, dans l'ordre, de la plus petite douleur à la plus importante. Quelle perfectionniste j'étais ! Je ne perds pas autant de vue la jeune femme, du coin de l'oeil je l'observe. Finalement mon perfectionnisme me sert, il manques quelques outils qui douvent se trouver çà et là dans la pièce et donc à portée de Anzore. Je ne suis pas sure de ce que j'avance mais je veux toujours me préparer à des éventualités et le petit couteau avec lequel j'avais martyrisé Hyde je ne l'avai pas remis à sa place.
Ma main trouve le tisonnier qui me plaisait tant. Je l'empoigne et je me ravie de détenir plus destructeur que ma matraque. Je me tourne vers elle faisait habilement tourner le tisonnier dans ma main.

" Assez subie ? Vous vous rendez comptes que vous avez osée toucher à un de mes employés ? Certes je n'ai pas de coeur selon les dires, mais personne ne touche à mon personnel"

J'abas le tisonnier sur la table en fer dans un fracas terrible et recommence à la faire tournoyer.

" Aucun détenu ne me connais vraiment, personne n'a prit le temps de découvrir préférant penser que je n'ai aucunes valeurs. Mais à ma question précédante vous m'aurez répondu oui cela vous aurait peut être été favorable."

( H.J: tu m'avais attaché :O Désolé )

Je l'écoutais parler mais avec beaucoup moin de crainte qu'au début. J'avais toujours eu ce sentiment avant de tuer je me sentait plus puissante qu'à mon arrivée !Puis je m'approcha si près du visage de Bosë que je sentit son souffle sur mon visage

- Favorable ???

Je me mis a rire bruyamment et le son résonna dans la petite pièce

- Je vous en pris nous savont toutes le deux que peu importe mes réponce, peu importe ma collaboration vous allez me maltraiter car celà vous fait bien trop plaisir !

Je ricane tandis qu'elle s'esclaffe, et une pulsion pousse mes membres, mes mains ne peuvent s'empêcher de pousser le tisonnier pour qu'il trouve la machoire de Anzore. Un craquement se fait entendre mais je sais que je ne lui ai pas brisée, je sais combien j'ai donné de puissande à mon cou, qui devrait d'ailleurs la dissuader de rire de nouveau de cette façon. Je serre les dents, je me suis laissée emporter par une petite pulsion chose rare mais bon, je n'ai pu m'en empêcher. Je l'attrape par les cheveux et l'oblige à se pencher en avant avec force.

" Certes j'ai du plaisir à vous voir tous souffrir, mais sachez que j'ai des principes et des priorités. Le viol en est une, vous aurez la chance de ne pas vivre ce que j'inflige aux violeurs et violeuses. Seulement si vous insistez !"

Je la maintien toujours, comme si elle pensait que je faisais tout pareil pour tous, non je varie et cela peut aller du plus radical au plus languissant. Je souris tout de même, mes pensées se confirment : ils pensent tous que je suis sans âme ni coeur, et va faire changer une réputation ! Je n'éssairai pas, inutil au moins ils me crègnent

" L'ennui est une chose vraiment nuisible, je suis ravie que vous ressentiez cela. Vous ennuyer un peu plus ou un peu moins qu'importe alors ? Veuillez rester en ma compagnie un peu plus longtemps alors".

L'attrapant par le col je la soulève brutalement et la fait retomber en fracas sur la table où je l'avais posée à mon arrivée. Cette fois ci je ne l'attacherai pas, inutil vu que je ne veux pas perdre de temps. Ma main se referme autour de sa gorge pour la maintenir allongée, je commence à avoir un peu de sang sur les mains après le coup que je lui ai porté, mais ce n'était que le sien. Je monte sur la table de façon souple pour venir poser mon genoux sur sa cage toracique, si elle essayait de se lever je n'hésiterai pas à lui casser quelques côtes et à lui couper le souffle.

" Donc si ce gardien ne vous a pas violer je peux me permettre de vous punir sans ménagement. Sachez mademoiselle qu'il est interdit à tous les détenus de lever ou même d'insulter l'un de mes employés sous peine de se retrouver entre mes mains dans un lieu où les cris ne sont jamais entendu. Recommencez à vous en prendre à un gardien et je ne donne pas cher de ce qui vous reste de vie ici."

Pour bien me faire comprendre je serre un peu plus sa gorge et enfonce un peu plus mon genoux. Le tisonnier dans l'autre main j'étais prête à lui infliger un coup si jamais elle tentait autre chose, déjà sa machoire commençait à devenir bleue à la suite du premier coup infligé.

Je sursauta lorsqu'elle me coucha sur la table. Il me restait encore une chance si elle ne m'attachait pas ! Puis elle plaça son genoux sur ma cage toracique !!! Et merde maintenant j'était prise au piège !!! Je regarda le plafond crasseux et verdâtre et me surpris a suplier Dieu de m'accorder le pardon éternel. Je me savais prise au piège et je ne savais pas si j'allais pouvoir m'en sortir. Puis elle serra ma gorge. J'avais déjà mal à la mâchoire, à la chevelure et maintenant elle m'étoufait je resortis le couteau un peu de ma manche et me prépara a lui planter dans le dos et ainsi lui aracher la colonne vertèbrale si elle ne me laissait pas mais lorsque vint le temps de déchirer la chair de son dos je réalisa que peu importe ce que je lui ferais subir elle reviendrait toujours me gâcher la vie tant et aussi longtemps que je ne la laissais pas accomplir ce qu'elle voullait et même là je n'en étais pas certaine.

- La... lâchez moi !!!

J'vais réussi a dire cette phrase péniblement entre deux souffles mais maintenant je manquais vraiment d'air. Je commenca a me débattre à la recherche de souffle. Si elle ne me lâchait pas bientôt je la tuerais !!! Je n'avais pas le choix.

Je me redresse, me tenant droite pour la toiser de haut avec le regard plus dur qu'à mon habitude.
" La mort peut être proche n'est ce pas en ces lieux ? J'espère seulement que vous avez bien compris qu'il ne faut jamais toucher à mes employés."

Je relève légèrement mon genoux pour qu'elle reprenne son souffle, j'attend quelques secondes et saute de la table pour lui faire face. Je la prend à nouveau par le col et la fait descendre brusquement l'obligeant à se tenir debout.

" Marchez la tête haute, la dignité personne ne peut vous l'enlevez dans cette prison."

Je la regarde froidement, tisonnier en main, son col dans l'autre, pour voir si je m'étais bien fait comprendre.

( hj: Désolé du retard )

Je lança un regard ébahis à Bosë. Elle n'était pas si mauvaise après tout. Je m'avança et m'arrêta à quelques centimètres de Bosë.

- Si jamais un de tes employés ou même vous madame ose me rabaisser de la sorte je le tuerai et, croyez moi cette personne va même regretter d'être née. Vous faites peut-être les règle ici Madame mais plus jamais je vous laisserai détruire ma vie car l'espoir c'est tout ce qui me permet de survivre ici. Et sachez madame Bosë que malgré le fait que vous m'ayez menacé je ne vous méprise pas. Cet homme, Ryan ne m'as pas respecté et nous le savons toutes les deux. Si vous ne voulez pas que je respecte vos employés, tâchez de les faires devenir des gens respectable.

Je fis un petit sourire a ma détentrice et me redressa un peu. Je ne voulais pas parraître effronté ou même méchante, juste lui faire comprendre mon point de vue

Je souris, fière de sa réaction. J'hoche la tête d'un air entendu.

" Maintenant permettez moi"

Tandis que je la maintien toujours je la fouille par précaution, la dernière fois avec Hyde je ne l'avais pas quitté des yeux mais Anzore était sortit de mon champ de vision un moment. Tandis que je la fouille tranquillement je m'adresse à elle avec un calme effrayant par rapport au sadisme et à la brutalité dont je fesais preuve quelques minutes plus tot.

" L'espoir personne ne peut l'enlever, tout comme la foi, la haine, la mélancolie. Seul l'être portant ces sentiments peuvent y faire quelque chose. Tout comme je ne peux modifier votre esprit je ne peux le faire à mes employés, personne n'est un ange."

Je me stoppe un moment, avec un petit sourire et lorsque je me redresse je lève la main vers ses yeux lui montrer le petit couteau qu'elle dissimulait avec un petit sourire et un hochement de tête.

" Nous avons toutes deux du sang sur les mains, mais des valeurs différentes. Ce qui fait que nous ayons notre place ici mais différemment. Et un autre point commun : nous sommes humaines."

Oui même moi je le suis, c'est ce que je voulais lui faire comprendre. Je me dirige tranquillement vers la table à outils et pose le petit couteau, parfaitement aligné aux autres instruments. Je me tourne alors vers elle.

" Tout comme vous avez eu la votre Neylen voudra sa vengence; je ne vous apprends rien mais sachez être plus valeureuse que lui dans ce cas là. Si vous dites qu'il n'a aucunes valeurs, prouvez lui que vous en avez. Soyez fière comme vous le serez en sortant d'ici."

J'hoche la tête avec un petit sourire, me dirigeant vers la porte je la déverouille avec la clé que j'avais prise et lui ouvre la porte pour qu'elle la passe.

Je ferma les yeux lorsqu'elle fouilla ma manche et en sortit le petit couteau. Heureusement pour moi, elle avait radicalement changé de comportement. Je fit un petit sourire lorsqu'elle ouvrit la porte et me laissa sortir. Je n'avais pas apprécié ces méthodes et le fait qu'elle me torture mais elle avait tout de même raison. En me vengant de Ryan je n'avais guère été mieux que lui. Enfin bref je décida de chasser cette histoire de ma mémoire. Je m'en était bien tiré après tout. Seulement un gros mal de tête et une dent cassée par le tisonier.

- À la prochaine madame, en espèrant qu'il y en ait une.

Je gravis rapidement les marches avant qu'elle ne change d'idée et me dirigea vers l'infirmerie. Je m'attendais a sortir de la salle de torture avec un bras en moins. La docteur aurait moi de travail que prévu.

----> Suite: De retour de la salle de torture.