Chasse au rat?....

C'était ma première promenade dans la prison. On m'avertis des heures d'ouverture des cages (OUPS cellules pardon...), et donc j'en profitais, bien évidemment. Je ne voulais surtout pas mourrir d'ennui dans cette place terne et fade. Je sortis donc de ma cellule, et marchai aléatoirement. Les prisonniers passant par-ci par là n'avaient pas l'air de prêter attention à ma petite personne, mais je ne leur en veux pas, vu que je ne leur prête aucune attention non plus. Nous somme quittes.

Bref, je cherchais un moyen de me distraire... Et comme je suppose qu'il n'y a pas d'ordinateur dans cet endroit, flâner me semblait être la seule occupation principale des prisonniers de cet endroit.

En plein milieu d'un couloir, je tournai mon regard vitreux vers une légère fente au pied du mur. Je m'approchai lentement, et m'abaissai pour y jeter un oeil. Avant que je puisse m'approcher de plus près, un rat hideux en sortit.

- Un rat?... Donc cette petite faille mènerait à l'extérieur?....

Non. Je ne croyais pas vraiment ça. En fixant le bas de la fente, je pouvais voir l'ombre qui changeait légèrement, ce qui signifiait que de l'autre côté, il y avait du monde, sûrement l'aile des gardiens puisque la déviation de l'ombre n'était pas suffisamment importante pour laisser penser à un couloir de prisonniers, sachant que le nombre de prisonniers dans cette prison est au moins 100 fois plus grande que le nombre de gardiens....

Le rat commença à courir. À l'école, on m'avait toujours appris que les animaux connaissent toujours un petit chemin pour sortir d'une maison en cas de tremblement de terre. Je ne pensais pas qu'il pourrait y avoir un séisme, mais ce rat m'aiderait peut-être à trouver une faille sous ces murs...

Sans vraiment croire à cette théorie, je commença à suivre lentement le rat, la tête penchée, ne regardant pas trop où je vais...

Je sortais de ma cellule après une nuit de rêve avec un homme que je connaissait a peine. Comme d'habitude je sentis le regard de plusiers hommes se poser sur moi ! Mais ils me prenaient pour qui une fille facile !(je sais ça cloche avec ma première phrase XD)

Je commença a avancer dans le couloir sombre en faisant bien attention pour éviter les couloirs isolés afin que la situation de l'autre jour ne se reproduise pas !

J'apperçus un homme au loin qui regardait le sol et avan çait d'un air décider vers moi. J'était tellement concentré a chercher ce que cet homme suivait que je ne me rendis compte qu'il m,avais foncé desus que lors du choc

- Je suis désolée j'étais distraite

Je lui fit un petit sourire gênée. J'était à cette prison depuis a peine un mois et déja j'avais enfermé un gardien nu au trou, manqué de me faire violer et percuté un inconnu !

Je tendis la main pour aider l'homme a se relever puis apperçus le petit rat j'en avais vu des centaine depuis mon arivée mais celui-ci semblait paniqué et longeait le mur. Je ne compris pas sur le moment pourquoi cet homme le poursuivait

- Heum tu en poursuis souvent des rats ?

Je ne m'apperçus qu'après de la manière malpolie avec la quelle je lui avais parlé. J'avais souvent tendance à être impulsive.

Aussi affreux et puéril soit-il, le rat était par contre rapide, et très agile. Celui-ci profitait d'ailleurs de cet atout pour passer au travers des jambes des prisonniers. J'étais peut-être à la limite fou, mais pas au point de faire pareil, j'évitais le plus de contact possible avec le monde. Je réussis à suivre ce rat pendant 2 ou 3 minutes, avant de me faire heurter de plein fouet par une inconnue.

- Oups, pardonnez-moi....

- Je suis désolée j'étais distraite

Je ne voulais pas perdre ce rat de vue. Je m'étais pardonné, elle s'était mise la faute sur elle, tout était parfais. Tout en continuant à fixer le plancher pour relocaliser le rat, j'allais contourner la dame pour continuer mon aventure, sans vraiment prêter attention à l'aide qu'elle voulait m'offrir en me tendant sa main.

- Heum tu en poursuis souvent des rats ?

Ça y est. Une discussion se devait d'être engendrée. Elle m'avait posée une question, ça me serait normal de lui répondre... De toute façon, j'ai perdu le rat de vue, mais shut, ne lui disons pas... Je me levai, et la fixai de mon regard globuleux, perçant et sans émotions.

- Hai. Tu connais un meilleur moyen de passer le temps?...

Ma voix restait fade, et je parlais en gardant le même ton. Non parce que je m'ennuyais, mais plutôt parce que mettre de l'émotion dans sa voix attire toujours du trouble. Si je prend un ton joyeux, elle voudra devenir mon amie. Si je prend par contre un ton fâché, elle deviendra mon ennemie. Restons neutre, c'est la solution.

Je le regarda me fixer sans émotions. Il n'était pas le premier a me regarder bizarement ! Ils étaient tous bizarent ici, enfin presque tous.

- Hai. Tu connais un meilleur moyen de passer le temps?...

Je ne compris pas trop au début si l'homme me posait réèlement une question ou si il me faisait un blague. Je replaça une mèche de cheveux derrière mon oreille puis le regarda quelques secondes un peu déstabilisée.

- Ben ya une salle de musculation là bas et puis tu peux apprendre a connaître les autres. Tu sais je suis pas pour combien de temps tu es en prison mais si tu es ici tu en as pour minimum 10 ans alors poursuivre des rats ne t'occupera pas tout ce temps.

Je lui avait dit tout cela avec un ton très doux qui ne me resseblait guére. Je n'étais pas quelqu'un de méchant mais je n'avais jamais aimé les contacts avec les autres que malheureusement je devais avoir dans cet endrois que je détestais tant.

Avec le ton de l'homme j'en déduisis que je l'importunais mais celà m'importais peu. Si je l'énervais il n'avais qu'a le dire et je aprtirais. Je continua donc la discution comme si de rien n'étais

-Alors t'es ici pourquoi ?

Je desait tout cela d'un ton nonchalant mais même si je semblait être une prsonne normale au fin fond de moi l'envi de uer me démangeait. Je n'avais pas tué depuis déjà cinq mois. Je reporta mon regard sur les yeux glouleux de l'homme. Il n'était pas laid mais il avait un petit quelque chose ... d'épeurant. Quoi que je ne pouvais pas me dire mieux.

J'attendais une réponse, la dame semblait réfléchir à quelque chose sur ce que j'ai dit... Elle bougea sa mèche derrière son oreille. Je regardai rapidement cette mèche, j'ai eu l'étrange réflèxe de faire de même, ou du moins essayer. Je gardais la bouche entre-ouverte en fixant la mèche de cheveux qu'elle venait de déplacer. L'extremité de mon pouce droit vint alors s'installer dans le creu de ma lèvre inférieure.

- Ben ya une salle de musculation là bas et puis tu peux apprendre a connaître les autres. Tu sais je suis pas pour combien de temps tu es en prison mais si tu es ici tu en as pour minimum 10 ans alors poursuivre des rats ne t'occupera pas tout ce temps.

La musculation? Elle m'a bien vue? Ce n'étais pas mon truc, mais alors là, pas du tout. Je ne suis pas le genre à me bâtir des pectoros d'acier, et d'ensuite avoir peur de détruire ton sandwich juste en le tenant dans tes mains...

Je fixais toiujours la mèche de cheveux, mais il me parut un minimum poli de regarder mon interlocuteur. 10 ans?.... Ne sait-elle pas que nous sommes ici pour la vie? J'éviterai de le lui rapeller, pour ne pas passer pour un rabat-joie. Je tournai donc le regard vers elle, et fermai ma bouche qui devenait un peu sèche...

- Hai. J'y penserai, merci.

-Alors t'es ici pourquoi ?

Elle cherche la conversation. Pourquoi pas... autant passer le temps. Je la fixai, toujours de mon regard sans émotion. J'aurais pu lui parler de tout le plan de mon vol de banque que j'ai moi-même élaboré, elle m'aurait sûrement ensuite admiré à un plus haut point, mais qu'est-ce que celà changerait dans ma vie. Allons-y simple.

- Un collègue m'a trahi lors d'un vol de banque. Il a averti la police que je n'étais pas un voleur normal, alors ils m'ont envoyés dans cet endroit pour être sûr que je n'en ressorte pas vivant...

Mon visage s'approcha lentement du sien, l'extremité de mon pouce était toujours bien installé dans le creux de ma lèvre inférieure, rendant mes phrases légèrement moins compréhensibles, mais tout de même comprenables. Je la fixais lourdement de mon regard.

- Et toi?

J'écouta l'homme avec attention. Lorsque je déplaça ma mèche il sembla y porter un interêt particulier et posa son pouce sur sa lèvre... C'est un drôle de manie !

- Hai. J'y penserai, merci.

Et bien au moins j'avais recu des remerciements même si mes propos ne semblaient pas avoir été pris au sérieux.

- Ouais et bien je te disait surtout ça dans le sens que les prisonniers qui attirent trop l'attention ici sont souvent maltraités ou violés.

En fait ce n'était pas tout a fait faux. Car moi aussi j'attirait l'attention mais par mon physique heureusement j'avais rencontré des hommes succeptible de me défendre.

- Un collègue m'a trahi lors d'un vol de banque. Il a averti la police que je n'étais pas un voleur normal, alors ils m'ont envoyés dans cet endroit pour être sûr que je n'en ressorte pas vivant...

Je fût surprise de voir l'homme me répondre j'étais certaine que je l'avais dérangé dans son étrange chasse aux rats ! Mais après tout je ne savais rien de lui peut-être qu'il était un maniac sexuel !

- Et toi?

Il voulait engager la conversation maintenant et bien pourquoi pas me faire des amis n'empirerais pas ma situation ! Je pouvais tout lui raconter en détail si il le désirait mais je crus mieux de ne lui dire que les crimes en gros.

- J'ai assassiné, mutilé, brûlé et éventré plus d'un vintaine de personnes.

- Ouais et bien je te disait surtout ça dans le sens que les prisonniers qui attirent trop l'attention ici sont souvent maltraités ou violés.

Oui, sur ce cas-la, elle avait raison. Du moins, je crois. Je n'avais jamais été en prison avant, car je n'avais jamais été capturé par la police. Mais dans les films de prisonniers que je regardais, je pouvais facilement dépister le style de vie qu'on adopte à l'intérieur de ces cages. Ça n'avait pas l'air vraiment jovial...

J'acquiesai tout simplement d'un geste affirmatif de la tête. Je ne savais trop que dire sur ce sujet.

- J'ai assassiné, mutilé, brûlé et éventré plus d'un vintaine de personnes.

Malgré le fait que je restais neutre, sans émotion, à la fixer du regard, j'ai quand même eu un petit saut après ce qu'elle venait de dire. C'est vrai, je ne m'en avais pas rendu compte, mais les prisonniers de cet endroit ne sont sûrement pas tous saints d'esprits, je devais me rendre à l'évidence que j'habite maintenant avec des détraqués mental, des tueurs sans peur et des violeurs pervers en manque de sexe...

Une seule question me venait alors à l'esprit: ses motifs.

- Pourquoi?

- Pourquoi?

Pourquoi ??? Je lui jetta un regard. Si il me demandait ça c'est qu'il avait un meilleur état mental que moi car il aurait comprit ce qui poussait a tuer. Je fermai les yeux quelques secondes et repris la parole

- Dis-moi tu as déja eu le sentiment d'être seul, abandonné dans les rues alors que tu n'es qu'une petite fille ? Tu as déja demandé l'aide pour pouvoir survivre et la seule chose que les gens on essayer de faire pour t'aider c'est profiter de ton corps ?

Puis je pris une ptite pause et quand je releva la tête une inquiètante lueur brillait dans mes yeux

- Tu as déjà vu une personne et sentir ton sang bouilloner en toi et tes pensées souhaiter sa mort a tout prix. Je savais que ce que je faisait était mal mais je n'ai pas pu m'en empêcher.

Je pris une autre pause et soupira. maintenant il va me prendre pour une folle ! Mais après tout peut-être l'étais-je ?

--->( entrée de Sadismus)

Après cette charmante rencontre avec le nouveau gardien je me suis mise en quête de Catrina Anzore, matricule 769903, la jeune fille qui avait enfermée le gardien Neylen dans la salle d’isolement. Les idées fusaient dans mon esprit mais l’une d’entre elle me plaisait un peu plus, je cherchai donc cette demoiselle dans les cellules tout d’abord. Hum ainsi elle ne m’avait pas écoutée, je lui avais demandée de regagner sa cellule attendant que je vienne la trouver. Elle a donc fait abstraction de mon ordre et a du filer après que le gardien l’ai raccompagnée, et bien je vais alourdir ma peine. Je vais faire travailler cette infirmière alors, en espérant qu’elle possède un cœur bien accroché. Quoi que les blessures peuvent ne pas être entièrement physiques mais aussi morales.
Je m’avance dans les bâtiments et aperçois au loin deux individus, je me rend discrète et entend leur conversation. La voix féminine me rappelle quelqu’un, un large sourire sadique apparaît sur mon visage, je l’avais trouvée ! Mais le jeune homme qui était là m’était inconnu, sûrement un nouveau détenu que je n’avais point accueillit. J’ai la chance de me trouver du bon côté : derrière la jeune femme, je m’avance et arrive à sa hauteur, passant ma main dans ses cheveux doucement je les agrippe avant qu’elle se retourne pour voir qui était derrière elle. Le jeune homme ne peut voir que je tiens son interlocutrice ainsi, ce qui m’amuse un peu plus. Je serre un peu plus fort ses cheveux, l’empêchant de tourner la tête vers moi et commence avec une pointe d’amusement dans la voix

« Et bien mademoiselle, je vous avais dit de m’attendre en cellule. »

Je tourne mon regard vers le jeune homme et le considère de haut en bas, tournant mon visage vers Mademoiselle Anzore.

« Vous ne me présentez pas à monsieur ? »

Je resserre un peu plus ma poigne pour qu’elle joue le jeu et lui montrant bien qu’un simple aïe de sa part pourrait aggraver un peu plus la douleur.

Je revala un cri de surprise lorsque je sentis qu'on me tirais els cheveux ! Qui cela pouvait bien être Ryan probablement ! Ou un de ces maniaques.

-Et bien mademoiselle, je vous avais dit de m’attendre en cellule.

C'était la directrice les rumeurs étaient donc vrais a son sujet !

Je serra les dents setant le mal de plus en plus fort. J'étais impuissante afce a elle et je savais ce qui allait m'attendre. Probablement une torture et ensuite on me laisserait au trou histoire que mon mal ne s'agrave et on me guérirais peut-être si la directrice se lassait de moi.

-Vous ne me présentez pas à monsieur ?

Le présenter ??? J'étais peut-être soumise mais j'avais ma dignitée et je n'allais pas la laisser faire du mal a un inconnu pour moi

- Laisse le tranquille il n'a rien a voir avec cette histoire. Si tu veux rabaisser plus faible que toi pour te revaleuriser aux yeux des autres et bien prend au moins ceux qui t'on causé un quelqonque mal.

Je soupira me disant que si je ne me soumettais pas je serais chauve d'ici quelques minutes.

Puis fit un regard désespèrée a Basu Kun lui signifiant qu'il devait fuir. Je devais accepter ma sentance

J'écoutais attentivement ce que la prisonnière disait, le pouce toujours et encore accoté dans le creu de ma lèvre inférieure. J'allais répondre, quand je vis une dame arriver, puis agripper violamment les cheveux de celle avec qui je discutais. Je restai sur place, intrigué de ce qui allait se passer.

-Et bien mademoiselle, je vous avais dit de m’attendre en cellule.

Une gardienne. C'était une gardienne, et non une prisonnière. Du moins, c'est ce qu'il semblait être. Elle se tourna vers moi, et sembla m'analyser de haut en bas. J'attendis, sans bouger, en fixant les yeux de la gardienne de mon regard vide et sans émotion.

-Vous ne me présentez pas à monsieur ?

Quelle arrogante...

- Laisse le tranquille il n'a rien a voir avec cette histoire. Si tu veux rabaisser plus faible que toi pour te revaleuriser aux yeux des autres et bien prend au moins ceux qui t'on causé un quelqonque mal.

Une histoire... Et bien, il s'en passe des choses dans cette prison. Mon interlocutrise semblait vouloir me dire quelque chose de subtile. J'avais rapidement deviné, mais je voulais jouer le jeu. J'ai vite compris la situation.

- Böse.... celle qui nous prend pour ses jouets... Comme l'a si bien dit le gardien qui m'a rentré dans cette prison.

Mes mots étaient lents et réfléchis. Je m'avançai à quelques centimètres du visage de la dame, fixant ses yeux lourdement. Mon pouce restait installé sur ma lèvre inférieure. Je ne voulais pas la provoquer, je voulais seulement l'analyser.

- Je m'apelle Basu....

J'eu un petit rire lorsqu'elle me répondit en me tutoyant. Resserant un pe plus ses cheveux je l'oblige à basculer légèrement sa tête en arrière, gorge accéssible, oh si j'avais un couteau ! Les sons censé me rabaisser sortiraient directement de la gorge sans passer par la bouche. Je lui murmure tout bas à l'oreille la tenant toujours immobile.

" Voyon ma chère pourquoi voudrais je me "revaleuriser" face à vous petites choses insignifiantes et vouées à la mort ? Vous êtes pires que des ordures, des déchets, de la pourriture, la moisissure de la Terre, pourquoi voudrai je avoir de la valeur à vos yeux alors que j'en aurai jamais envers vous ? Personne ne m'a fait de mal mais je suis chargée de punir ceux qui on fait du mal...et vous en faites partie ma belle."

Je relève le visage et le pose sur le jeune homme qui prononce une phrase avec mon prénom à l'intérieur, apparemment les gardiens l'avaient informés sur ma personne. Il s'approche doucement, hum tu veux jouer avec moi ? Tu vas être servi. Il me décline son identité et je le toise de ma hauteur, la jeune fille encore entre mes mains, un sourire franchement sadique vient durcir mon regard.

" Et bien Basu bienvenuu à Sadismus je n'ai guère eu le plaisir de vous accueillir mais j'ai bien lu votre dossier. J'espère qu'on vous a tenu au courant sur les rêgles officielles et officieuses ?"

Je reste immobile comme à mon habitude, je ressere quelques secondes mon poing pour montrer à la détenue que je l'ai toujours en main et que si elle veut défendre ce jeune homme c'est elle qui en patirait.

- Voyon ma chère pourquoi voudrais je me "revaleuriser" face à vous petites choses insignifiantes et vouées à la mort ? Vous êtes pires que des ordures, des déchets, de la pourriture, la moisissure de la Terre, pourquoi voudrai je avoir de la valeur à vos yeux alors que j'en aurai jamais envers vous ? Personne ne m'a fait de mal mais je suis chargée de punir ceux qui on fait du mal...et vous en faites partie ma belle.

Tout ce charabia ne m'intéressais pas, je restai donc sur place à fixer Böse. Ça restais pourtant intéressant de savoir qu'elle nous prenait vraiment pour les ordures de la planète. Je n'ai jamais fait de mal à personne, je n'ai jamais tué aucun de mes otages durant mes vols de banques, et elle parle de moi, de l'autre prisonnière, et de tout les autres comme si nous étions tous des assassins...

Je trouve qu'elle généralise légèrement....

Un sourire sadique se dessina sur sa face. Je ne reculai pas d'un poil, je continuai à la fixer dans les yeux, le pouce accoté à ma bouche qui est elle-même légèrement ouverte. J'étais à quelques centimètres de son visage.

- Et bien Basu bienvenuu à Sadismus je n'ai guère eu le plaisir de vous accueillir mais j'ai bien lu votre dossier. J'espère qu'on vous a tenu au courant sur les rêgles officielles et officieuses ?

J'attendis quelques secondes, fixé sur son regard.

- Hai,

Une autre pause....

- Je les connais...

Puis une autre.

- ...Par coeur...

Son visage à quelques centimètres du mien, il me répond lentement, phrases entrecoupées de poses. Ce petit voleur s'il voulait jouer avec moi ne savait pas que je n'étais pas d'humeur maintenant que je tenais la détenu que je cherchais entre mes mains. Soupirant j'esquisse un geste vif et ma main libre vient trouver la gorge de Kun , je resserre ma main autour de sa gorge et de cette " poigne de fer" dont parlaien les gardiens si souvent, je le soulève légèrement.
" Et bien tenez vous y, apprendre par coeur est une solution mais continuez à vous comporter de la sortes et vous n'aurez plus de coeur."

Lorsqu'on me défie ou tout simplement lorsqu'on essaye de m'analyser pour comprendre mon esprit chaotique j'ai le chic pour devenir violente. Je sentais le souffle du détenu faiblir, je le serrais un peu trop fort je dois avouer. Je le lâche en le poussant un peu plus loin afin de me laisser le passage libre.

" Maintenant si vous voulez bien m'excuser j'ai à faire avec cette demoiselle. Allez viens toi."

J'emmène de force Anzore dans les couloirs, je croise un gardien à qui je fais signe de veiller à ce que Kun ne nous suives pas. Ce qui allait se passer entre elle et moi n'était pas pour grands public.

--> salle de torture

J'etais entrain de me promener dans ma nouvelle habitation a la recherche de... quelque chose d'intéressant... n'importe quoi je m'ennuiyais alors que j'entendis au loin des bruits manifestement humains , Je m'approchai silencieusement et je reconnu rapidement ma cochambreuse... Nous n'avions pas beaucoup tisser de lien moi et elle et je ne la connaissait pas beaucoup sinon pas du tout

alors je me fit discret , silencieux dans l'ombre n'essayant pas par tout les moyens de passer inapercu mais bien de rester quelque minutes la a les ecouter... Espionnage ? Non pas rellement puisque je ne me cachait pas rellement.