Le sourire aux lèvres, le bic entre les doigts … Dossier médical
Nom & Prénom- Deval Alexandre.
Sexe- Masculin
Âge- Vingt-deux ans
Traits physiques- Dans l’ensemble, je suis un jeune homme plutôt bien proportionné. De taille moyenne, je pèse mon poids en muscle. Peut-être pas comparable à un « bludozère » mais tout de même bien formé. J’ai des origine latino ce qui explique la couleur noir jais de mes cheveux. Qui eux, sont d’ailleurs, pour la plupart du temps en bataille et mal coiffé ( il parait que ça fait son charme ). J’ai de temps à autre des foutues mèches qui me tombent devant le yeux. Par contre, rien n’explique la pigmentation de mes yeux ; gris clair. A savoir qu’ils deviennent parfois bleus à la lumière. J’ai une peau claire en hiver et mate en été (vive le changement de couleur !). J’ai plutôt une tête sympathique même si je ne reste pas moins assez « sombre » ou mystérieux. Etalon espagnol, il suffit de l’être pour dégager un charme fou dit-vous ? J’y crois pas forcément, plutôt posé sur un fait qui dit : « ne pas faire attention à ce qu’on est, attire toujours l’attention sur vous ». Enfin voilà en gros mon pedigree.
Taille- 1m85
Poids-78Kilos
Maladie ou handicap physique- Je souffre de La Maladie de Mc Ardle. Héréditaire, elle ne m’est pas très dangereuse. Se manifeste sous forme d’une tension musculaire douloureuse accompagnée d'hypertonie. Pas de quoi paniquer, au bout de quelques minutes, la douleur disparaît, et je peux repartir vagabonder comme un lapin.
Autres- Je suis marqué à vie. Par quoi ? Par un espèce de délire qui me lie à elle … Dans le creux de l’omoplate gauche, sommeille un cercle au rebord brisé avec en son milieu la lettre « A ».
Je parle couramment l’espagnole, l’anglais, le français et l’allemand (dans un accent plutôt … Loin d’être parfait). Je fume …
Dossier psychologique
Qualités- Un homme a-t-il besoin de qualités pour être ce qu’il est ? J’pense pas, fin bon. Je suis quelqu’un d’assez énergique. Que ce soit dans les études ou dans un autre milieu, je donne toujours le meilleur de moi-même. Je suis relativement calme, par conséquent, peu bavard. J’ai une bonne volonté, donc ne vous inquiétez pas, je sais que j’ai une langue et je sais l’utiliser -pas de sous entendu, s’il vous plait-. Confiant, je n’ai pas peur de m’imposé. J’ai une affreuse tendance à me montrer protecteur envers une certaine demoiselle. Voir même jaloux. (Qualité ça ? Va savoir). Conscient, je sais comment tourne le monde et ses gens. Par conséquent, ça prouve que j’ai les pieds bien ancrés dans le sol, voir peut-être de trop. J’observe beaucoup, même si je fais mine de m’intéresser à rien. Je sais facilement trompé les gens sur mon vrai moi. J’vois ça comme une qualité à partir du moment où, je ne fais que protéger mon intimité. Manipulation peut-être aussi de la partie, mais je n’use de ça qu’en ayant vue sur des fins bienveillante.
Défauts- J’ai dit que j’étais calme, mais en aucun cas, cela signifie que je suis patient. Justement, je suis le pire des impatients que le monde n’ai jamais vu. Genre, faire les courses, s’il y a une longue file ou si il faut deux heures à une personne pour payer au lieu de parler, bah ça, ça à le don de m’énerver. J’ai aussi une tare : dans mes mauvais jours, je peux me montrer très brusque et assez froid. Alors là, ce sera directe : « Fou moi la paix ». Et encore. Je ne supporte pas qu’on me tienne tête, je suis mauvais joueur par moment. Je peux aussi me montrer très sauvage, mais cela reste assez rare et exceptionnel. Je ne me fais pas facilement des amis. Ma confiance se gagne. J’ai l’habitude de rester seul malgré qu’elle soit là, un solitaire endurci. Avec facilité, je repousse les gens, montrant alors une mauvaise volonté de dialogue, mais encore une fois, c’est dans les mauvais jours. Je suis très possessif … Et très contradictoire.
Aime- J’aime le silence. Voyager, tout particulièrement en Espagne. J’adore la voir près de moi, jusqu’à passer mes nuits auprès d’elle. Il faut que tout soit prévu, bien carré. J’ai toujours fait passer la difficulté avant la facilité, c’est peut-être hard, mais je préfère de loin ça. J’aime me prouver que je suis capable du meilleur comme du pire. La pluie, la neige, l’été, j’aime observer le changement de la nature au gré des saisons. J’aime pas vraiment la cigarette, mais elle me calme. Et de me dire que je peux arrêter quand j’veux, me prouve que je ne suis pas l’un de ces indépendants … Faut aimer la vie pour vivre nan ?
N'aime pas- J’aime pas savoir que des mâles tournent autour d’elle. Je supporte pas qu’on se joue de moi. Ni qu’on vienne me demander un certain contact. J’apprécie pas les « câlins-bisous » des autres, si ce n’est d’elle. Le bruit, j’ai horreur de ça. Surtout le son que provoque les horloges ‘’tic, tac’’. Je ne suis pas du tout romantique, par conséquent, les histoires à l’eau de rose ne m’intéressent pas du tout. J’suis plutôt genre « asexué », je m’intéresse pas de près ni de loin à la reproduction humaine. J’aime pas vraiment le monde qui m’entoure. Et j’aime pas raconter ma vie.
Comportement avec les gens- Je suis plutôt du genre « neutre ». Tant qu’on me laisse dans mon coin moi, ça m’va.
Maladie ou handicap mental- RAS
Valeurs- Négatif, la vie est un jeu … je la vis c’est tout.
Tics- J’ai tendance à venir caller l’ongle de mon pouce entre mes dents quand quelque chose me préoccupe. Et de lâcher un soupire accompagnée d’un « Tsseuh » quand je suis agacé.
Passé-
Ce que forme la vie. Un passé, un présent et un futur. On garde toujours en tête que les affluents d’hier, ont un impacte direct avec ce que nous sommes aujourd’hui. Et ce que nous serons demain. Ma vie a moi à réellement commencer par un bête jeu. Les voitures, c’était trop ennuyeux pour moi, cache-cache, trop familier. La marelle ? Trop féminin. Non, c’était une autre forme de jeux, plus osé, plus attirant. Celui qui met nos capacités en avant, un courage peut-être … On joue et on a jouer.Je suis né dans un petit village de France, la Bruyères le 24 Décembre 1986. Mon enfance était telle que, j’ai été directement marqué par une absence d’amis. Solitaire très tôt, cela ne m’a jamais empêché de vivre ma vie. Plutôt positif, je me classais parmi les meilleurs élèves. Je me souviens encore, durant l’une des récréations, j’étais affalé dans l’herbe. Je devais avoir sept ans. Une fille s’est approchée de moi …
« Cap de manger la fleur ? »A ce moment là, je n’aurai jamais douté que ma vie prendrait une autre tournure.
« … Cap»Et je l’ai fait. Goût dégoûtant, pas du tout comestible à mon avis. Ce jeu amusant a duré un bon moment. Vous savez, quand vous êtes jeune et con, vous n’avez rien d’autre à faire. Notre adolescence a tourné autour de ça. Une simple phrase à deux choix ; «
cap ou pas cap ». C’était drôle et on s’amusait bien entendu. Mais vient un moment où on doit stopper les machines. C’est ce qu’il arriva à mes dix-huit ans. Le bac était présent, elle et moi, s’étions fait la promesse de ne plus jouer. Qu’il fallait qu’on soit sérieux parce que notre avenir en dépendait. Difficilement, on a baissé les armes, pris sur nos épaules la lourde responsabilité de devenir un peu « sérieux ».
Quatre ans plus tard, me voilà âgé de vingt-deux ans. Etudiant à l’université, où je suivais des cours de Psycho. Premier de la classe, je n’avais pas à m’en faire. Sur le côté, je bossais un peu de gauche à droite. Toujours en restant en contact avec Angéla. Pour preuve, nous passions la plupart de nos vacances ensemble … Voir même partager nos nuits. Elle était ma meilleure amie, et l’est toujours d’ailleurs. Quelques années plutôt, nous avions eu la superbe idée de nous lancer un défi. Si ce n’est que d’être lié, avoir une trace de l’autre sur la peau. Un « A » très significatif.
Je me souviens encore de ce fameux soir. Angéla était sortie à une fête, alors que moi, j’devais bosser. Pas du tout rassuré de la laisser partir seul, j’ai dû me résoudre. Et puis, elle était avec des connaissances, ce qui atténuait mon inquiétude. Le temps passait très lentement, et je n’avais plus qu’une seule hâte : rejoindre mon lit. Vers 3h du matin, j’étais enfin chez moi. Totalement épuisé, je n’ai eu que le temps de prendre une douche rapide, avant de me laisser lourdement tomber sur mon matelas. Je cherchais le sommeil quand mon portable sonna. A tâtons, ma main saisit l’appareil …
« Alex...je...besoin de toi ... »Angéla. La voix tremblante, je la sentais en pleure. Sans attendre, j’ai bondi de mon lit, agrippé mes habits. En quelques minutes, j’étais déjà devant chez elle. Tout en m’engouffrant dans le hall, je cherchais dans la pénombre sa porte. Une fois trouvée, je ne me fis pas attendre. En faisant le tour de l’appartement, je la retrouve accroupis dans un coin sombre de sa chambre en pleure. Blessée sur le visage est sur tout son corps. Ce soir là, j’ai senti mon cœur se serrer ainsi qu’une rage me monter le long de la gorge. Dans mes bras, je lui ai lentement murmuré que c’était fini. J’ai passé la nuit à ses côtés …
Par la suite, elle avait enfin décidé à répondre à mes questions. Viol … Ils avaient osé la toucher. Jusqu’à la frapper sans ménagement. Ils me le payeront d’une façon où d’une autre.
Les semaines passent, et Ange se remet assez rapidement de son cauchemar. De mon côté, l’envie de vengeance ne me quittait pas le ventre. Je me rappelle d’une soirée, on était chez elle, affalé sur le canapé. Elle couchée sur mon torse, elle jouait. Riait au éclat. Jusqu’à me poser un choix qui n’en n’était pas un pour elle : «
Cap ou pas de me venger ? ». Je lui ai tendrement souris en l’embrassant sur le front. Oui je suis cap Angele, c’est bien ça le problème. Le jeu est de nouveau lancé.
Quelques jours plus tard, j’avais pris connaissance d’une soirée. Exactement là où elle avait été abusée. Je m’y suis donc rendu sans la prévenir. Je n’ai pas eu trop de mal à repérer le groupe. Enfin plutôt une meute tournant autour d’une jolie femelle seule. Le piège se refermait sur elle sans qu’elle le sache. Une fois qu’ils l’avaient attiré dehors. Dans l’une des ruelles sombres où personne ne risquait de s’aventurer. La mascarade commençait. J’étais posé là, à regarder. Le flingue à la main, j’ai tiré plusieurs coups. Je ne sais pas combien exactement, mais j’ai tiré comme un acharné. Je voulais qu’ils payent pour le mal qu’ils lui avaient fait.
Une fois fini, j’ai tourné mes talons. J’ai composé son numéro. Sa voix au bout du file … «
C’est fini … ». Je savais que la police n’allait pas tarder. Mais je ne me doutais pas là voir elle. Essoufflée, devant moi. Je lui ai bêtement souris, comme lorsque nous étions enfant. Je me suis approché d’elle tout en la serrant contre moi. «
Cap ou pas de me suivre? ». Je l’ai laissé, en m’avançant vers le fond de la rue. Là où retentissaient les alarmes de police.
Si je la reverrai ? Sans doute. Le fusil est toujours sur le sol, près des victimes. Cinq minutes s’écroulent. Un bruit sourd retentit et moi, je souris …
La vie est un jeu … Je perderai contre elle. Mais pas contre Toi …
Autres- Je suis insomniaque. Je dors rarement une nuit complète, mais ce n’est pas pour cela que je suis fatiguée, et puis, avec l’habitude. On s’y fait.
Dossier criminel
Crime(s) commit (ts)- Meurtres avec préméditation.
Matricule- 749204
Rang- Cap ou …
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Niiih ? Bonne question.