Dossier MédicalNom & Prénom : McCallister Sebastian-Dorian.
Sexe : Masculin.
Âge 32 ans.
Traits physiques : J’ai un visage très fin avec une peau pâle et et des yeux d’un bruns clair
ambré que certains qualifient de fascinants. Mon corps est svelte, peu musclé
mais sans une trace graisse. Je possède aussi un tatouage sur l’omoplate
droite, représentant un lune grimaçante et symbole d’un groupuscule
d’extrême droite Américain que j’ai longtemps défendu.
Taille : 185 centimètres
Poids : 63 Kilogrammes
Maladie ou handicap : /
Autres : Je n’ai généralement de relation sexuelles qu’avec des femmes sous
l’influence de drogues, le plus souvent de la cocaïne ou de l’ecstasy.
Dossier PsychologiqueQualités Je suis un excellent juriste et ai de ce fait une connaissance approfondie de
diverses législations sur les impôt et la création de sociétés. En tant qu’avocat
je possède aussi une bonne faculté de persuasion doublée de qualités
oratoires certaines.
Défauts L’arrogance constitue certainement mon plus gros défaut. Je suis en effet très
imbu de moi-même. On compte aussi l’égoïsme et le manque de sentiment
au rang de mes défauts. Je suis par ailleurs un menteur quasi pathologique, ce
qui dans mon cas n’est rien de moins qu’une déformation professionnelle.
Aime : La cocaïne, les femmes asiatique en général et Japonaises en particulier.
J’adore aussi les débats de toute sorte. J’aime aussi apprendre de nouvelles
façons de détourner la loi et la justice. J’ai une fascination pour les jeux de
devinettes et la découverte de sens cachés derrières les choses les plus
évidentes. On peut dire que j’ai le culte du secret à 100%.
N’aime pas : L’idéalisme est une chose que je ne supporte pas car je considère l’être
humain comme fondamentalement vénal et mauvais. Je n’aime pas non plus
la pitié et les dévots de toute sorte. Je déteste aussi les criminels qui agissent
sans motivations financières et/ou de façon impulsive.
Comportement avec les gens : J’ai une forte tendance à sympathiser avec les gens qui m’entourent histoire de
voir en quoi ils peuvent m’être utiles. Doté d’un bon sens de l’humour (bien
que très noir et cynique), je n’ai généralement pas de problèmes majeurs à
me faire des amis, même si mes sentiments ne sont le plus souvent pas réels.
Avec les gardiens et les gens m’étant supérieur c’est généralement une
relation de partenariat que j’instaure, à grands coups de corruption si
nécessaire. Je suis aussi tout à fait prêt à mettre mes nombreuses
compétences légales à disposition pour aider mes geôliers, si cela permet de sauver ma
peau ou d’obtenir des faveurs. Mais attention je suis aussi très rancunier et
n’oublie jamais une vengeance (et ceci est vrai sur des années).
Maladie ou handicap mental : /
Valeurs : Aucune si ce n’est peut-être celle de l’argent facile. Je suis très flexible et
aucunement attaché à une idéologie en particulier. Cela dit j’adore lire du
Kant car je trouve ce philosophe véritablement pathétique.
Tics : Je joue constamment avec un briquet en or Dunhill.
Passé : Issu d’une famille aisée, j’ai passé ma jeunesse dans un pensionnat
catholique duquel j’ai finalement été renvoyé pour comportement sadique
envers mes camarades de classes. Mon père me battait régulièrement et m’a
enseigné la dureté. Ma mère est morte dans des circonstances troubles alors
que j’avais 8 ans. Mon père s’est finalement suicidé en découvrant que ses
placements l’avaient ruiné lors de ma seizième année. J’ai à partir de cet
instant été forcé de beaucoup tricher pour arriver au succès et de nombreux
anciens partenaires ont fait les frais de mon ambition. À 24 ans, alors que je
préparais mon barreau, plusieurs personnes déposent plainte contre contre feu
mon père en l’accusant de pédophilie. Ce scandale risque de briser ma future
carrière et c’est de cette époque que date ma première association avec la
mafia, à qui je propose mes services en échange du silence des détracteurs de
mon père. S’en suivent trois meurtres mais aucun n’a jamais pu m’être
officiellement imputé. Puis, une fois ma formation juridique terminée, je me suis mis à défendre les pires éléments de la société. En combinant habilement corruption, intimidation et connaissance approfondie du droit j'ai réussi grâce à mes réseaux à sauver la peau de plusieurs criminels. Je me suis progressivement spécialisé dans les “criminels en col blanc“ bien que j'ai aussi défendu des groupuscules pro-nazis américains et bon nombre de pédophiles.
Puis à 28 ans j'ai commis le premier crime qui allait quatre ans plus tard m'envoyer dans cette geôle sordide: le blanchiment de l'argent venant de la vente d'une nouvelle drogue de synthèse mise sur le marché européens par les milieux mafieux Russes. Pour échapper aux taxes j'ai créé d'innombrables sociétés-écran et même de fausses œuvres de charité destinées à rendre mes clients respectables
Quelque part dans un strip-club Londonien
Sergueï Illovitch (chef du département “reconversion“ de la mafia Moscovite) : "Dorian, c'est quoi ce putain de bordel, on donne notre fric aux cancéreux anglais maintenant? Le Boss ne ne va pas être contant."
Sebastian D. McCallister : "Calmez vous mon cher; que croyez-vous donc ? Tous ces enfants sont déjà morts et enterrés depuis longtemps, c'est simplement une invention de ma part pour faire de vous des mécènes. De la poudre jetée aux yeux de la société. Réfléchissez un instant, vous y gagnez sur tous les tableaux : faire de l'argent avec votre produit miracle et pouvoir baiser les jeunes pétasses idéalistes qui vous prendront pour un homme du monde. Mais que demande donc le peuple ?"
Sergueï Illovitch : "Le boss sera ravi de l'apprendre, si vous continuez comme ça vos honoraires seront encore augmentés. Mais comment avez-vous fait pour obtenir les listings d'enfants morts, camarade
?"
Sebastian D. McCallister : "Haha, je ne suis pas communiste camarade, et ne révèle pas mes secrets non plus. Disons simplement qu'un certain employé à la morgue à eu des problèmes de mœurs il y a quelques années. Vous savez comme moi que les mangeurs d'enfants sont lâches."
Sergueï Illovitch : "Les pédophiles? Oui c'est vrai, je les connais bien avec tout ce que nous leur vendons. En tout cas, vous ne reculez vraiment devant rien pour le profit, mon cher Dorian."
Sebastian D. McCallister : "C'est pour cela que nous sommes amis voyons."
Une année plus tard, enivré par mes récentes réussites, je décide de me mettre à mon compte et manipule une comtable afin de détourner 600'00£ de mon cabinet d'avocat. Tout marche parfaitement et elle est accusée à ma place. D'après mes informations elle pourri toujours dans une prison au nord de l'Écosse.
Enfin, c'est à 31 ans que je commet l'erreur de ma vie: l'assassinat de mon associé de toujours qui commence à avoir des remords. Depuis près d'une année il menaçait de dénoncer nos affaires aux autorités. J'ai bien essayé de le raisonner mais sans aucun succès. Puis, un soir cet imbécile m'appelle en m'annonçant qu'il a compilé un dossier complet relatant nos méfaits sur des années. Ma décisions est alors prise, plus le temps d'appeler la mafia, je me rend chez lui armé de mon 9mm.
À peine arrivé dans sa luxueuse villa que je lui loge une balle dans le genoux droit. Je suis dans un état de rage incroyable et ne contrôle plus mes actes. Il me supplie d'arrêter et commence à déblatérer une série de conneries religieuses sur la rédemption. À ce moment précis je n'en peut tout simplement plus et lui loge deux balles dans le crâne.J'avais enfin commis un meurtre. Lentement, mon esprit cartésien reprend le dessus et je me décide à appeler les nettoyeurs de mes amis mafieux. Ils arrivent peu de temps après et découvrent les deux filles de mon associé à l'étage. Je ne sais pas vraiment quoi en faire et me décide finalement à les vendre comme prostituées à l'est. Les négociateurs acceptent proposant toutefois un prix dérisoire. Mais je n'ai vraiment pas le temps de faire la fine bouche et le deal est scellé rapidement dans la cuisine au mur couverts de sang; celui de mon ancien ami et mentor. Malheureusement, je découvre à ce-moment là que mon ancien associé avait prévu ma venue et qu'il avait envoyé ses preuves au ministère de la justice.
J'ai alors tenté de quitter le pays pour aller retrouver mes contacts en Russie, mais les agents de Scotland Yard ont été les plus rapides. Mon procès à été largement relaté dans les médias et s'est soldé par ma condamnation à vie, et à Sadismus qui plus est. Pour mon plus grand malheur, il a aussi été révélé que j'avais à l'âge de 26 ans assassiné ma fille illégitime en donnant un coup de couteau dans le ventre à mon ancienne secrétaire enceinte. Elle a survécu à mon attaque, contrairement au fœtus et j'étais parvenu à la convaincre de ne pas porter plainte grâce à l'argent; mais une fois mes avoirs gelés, elle m'a dénoncé sans aucun remord. Pour couronner le tout, ma femme a conclu un pacte avec l'accusation lors du procès et m'a dénoncé pour l'empoisonnement de sa mère. En vérité nous avions comploté ensembles pour toucher l'héritage plus vite.
Autres : J’ai parfois des flash-backs de mon enfance et il semblerait que j’ai subi
diverses tortures à caractère sexuel dans mon pensionnat. Rien de ceci n’est
pourtant prouvé et je n’ai aucune certitude à ce sujet.
Dossier CriminelCrimes Commis :
- Blanchiment d’argent (pour diverses organisations criminelles).
- Corruption régulière de plusieurs juges et officiels de la police Anglaise.
- Détournement de fonds (de mon ancien cabinet d’avocat, 600’000 £).
- 3 meurtres (ma fille illégitime, un ancien associé et la mère de ma femme).
- Vente des deux filles de mon ancien associé à un réseau de prostitution.
Matricule :843210.
Rang : Maître (je suis très attaché à ce titre qui me rappelle mon ancien métier).
N° de cellule : À la discrétion de l'admin.
Personnage sur l’avatar : Personne, l’avatar a été créer par votre serviteur.
Dim 31 Aoû - 15:38
