Dossier médical
Nom & Prénom-VonTassel Angeliqua.
Sexe- Féminin
Âge- 23ans
Traits physiques- Mes cheveux sont vraiment longs, ils m'arrivent au-dessous des fesses, ma mère ne les aimaient pas, soi-disant qu'ils faisaient gamine...tss...je n'ai jamais aimé cette femme. Ils sont chatains vraiment clairs, oscillant entre le blond et le roux. Mon regard est assez déconcertant à ce qu'on m'a dit, d'un doré presque surnaturel, on arrive pas souvent à me fixer dans les yeux, mais ça j'ai du mal à y croire, Mélissa y arrive très bien ! QUestion vêtement, oh, on s'en fou vu que je vais devoir garder l'uniforme de la prison ! Mon teint est vraiment pâle, comme une poupée de porcelaine, j'adoooore les poupées d'ailleurs ! Je ne suis pas grosse, plutôt mince, j'ai de longue jambes ! Je suis tatoué sur la nuque et mes traits sont fins. On peut voir des traces de piqures sur mes avant-bras mais je ne les cache pas, mes lèvres sont assez épaisses.
Taille- 1m76
Poids- 60 kilos
Maladie ou handicap physique- /
Autres- /
Dossier psychologique
Qualités- Je ne sais pas raiment pourquoi, ceux qui veulent bien m'approcher ont du mal à me cerner, certain disent que c'est agréable ce mystère, que ça donne une certaine envie de connaître la personne. Il paraît que je peint bien aussi et que ça m'aide dans ma maladie mentale. Mais je ne suis PAS FOLLE ! Il est vrai que je m'exerce à la peinture depuis des années déjà, depuis toute petite, je tiens le coup grâce à elle... Vous me laisserez mes pinceaux hein ? Je suis jalouse aussi ! Et possessive j'avoue... J'aime pas qu'on touche à mes affaires et à mes amis, dans tous les sens du terme et disons que quand je me mets en colère et que Mélissa aussi, ça peut faire mal ! Le policier qui m'a arrêté, l'enquèteur chargé de mes meurtres il m'a dit que j'étais intelligente ! PLuis que j'en avais l'air d'ailleurs ! Je ne sais pas trop comment je dois le prendre...
Défauts- Ma mère disait que j'étais un défault en moi-même, un déchet de la société. J'aurai aimé sentir mes doigts sur sa gorge et serrer...serrer, cette sensation me donne des ailes. J'ai lu mon dossier, il était écrit : sadique, agressive dessus. Bon je me mets facilement en colère mais c'est un peu à cause Méli' "hein!" mais bon... Je suis perspicace et je ne me laisse pas marcher sur les pieds et quelque fois c'est mauvais ! Surtout que je n'y vais pas par quatre chemins, je te lance ce que je pense à la gueule point. Si ça ne te plaît pas et bien tant pis ! Je suis assez marginale d'ailleurs... et je n'apprécie pas vraiment le contact physique sauf si c'est moi qui le décide !
Aime- J'aime pas répéter ! T'entends ! J'ai dis que j'aimais la peinture ! Je peins depuis toute petite, j'ai l'impression d'être une vieille à tout rabacher... Ce que j'aime aussi... c'est la pluie, j'ai l'impression de redécouvrir le monde sous la pluie ! J'espère qu'il pleuvra beaucoup en prison pour que je puisse courir dans la cour sosu l'eau... Les bruits sourds aussi, c'est rassurants et ça me calme d'ailleurs, j'ai un métronome dans mes affaires ! Voilà, c'est rythmés à la perfection aucun bruit de plus et je me calme instantanément. Oh et puis...j'aime la drogue ! j'ai tout essayé il me semble, le joint, la cocaïne, l'héro, le LCD... Regarde mes avants bras, ils te le diront maus chuuuuut ! J'adore la violence ou du moins quand moi je vous fait affronter la dure réalité de la vie, mentalement ou physiquement...
N'aime pas- Je déteste, je hais et je banni toute sorte de bazar ! Tout doit être PARFAITEMENT rangé point, c'est comme ça ! Jen 'aime pas qu'on me contredise et qu'on me disent ce que je fois faire, hey ! J'ai 21ans merde ! Quoi ? Moi une gamine ? Tss... Je n'aime pas quand les gens ignorent Mélissa ! Nan mais oh, elle est là quoi !
Comportement avec les gens- J'aime la solitude. Ou du moins sauf quand Melissa est avec moi, elle devine tout chez les gens, si ils sont gentils ou méchants, d'ailleurs c'est grâce à elle que j'ai tué ces personnes. Merci Melissa. Je ne suis pas vraiment quelqu'un de sociable sauf si on s'interesse à moi et à Melissa, mais souvent les gens ne m'approchent pas trop même quand il ne savait pas que je tuai, ils s'éloignaient le plus souvent, une sorte d'instinct. Hein méli' ! Tu les as bien eu, ces vieux pervers hihi...
Maladie ou handicap mental- Schizophrénie, hallucinations importantes, crises...
Valeurs- Des valeurs ? Non pas vraiment...
Tics- Oui j'ai des tics, beaucoup mais ca m'aide après tout. Je range tout, n'importe où et n'importe quand. J'aime l'ordre que tout soit bien fait, classé... Regarde ma chambre ou du moins ma cellule, elle est parfaite ! J'ai l'habitude de parler avec Melissa, tout le monde dit qu'elle existe pas mais je n'y crois pas...
Passé- Je me balançai sur ma chaise, les pieds dans le vide, observant la plante qui trônait sur le centre de la table basse. La salle d’attente était pratiquement vide à une telle heure, je portai portai une petite robe rose et mes cheveux blonds regroupés en deux couettes tombaient le long de mes maigres joues. Accompagnée par ma mère, je ne savais pas trop ce qu’il se passait… Une femme se leva de son siège derrière son bureau, un papier à la main et un sourire mal imité aux lèvres.
« Mademoiselle VonTassel s’il-vous-plait ! »Je ne réagis pas tandis que ma mère se levait de son siège. La femme attrapa fermement mon poignet et m’obligea à la suivre jusqu’au bureau du psychologue.
« Bonjour mesdames ! Installez vous je vous prie. »« Bonjour Docteur, voilà, je vous amène ma fille. »« Que se passe-t-il ? »« Et bien Docteur, je pense à de la schizophrénie, un dédoublement de la personnalité, du moins je ne sais pas. Je vous explique…mais je compte sur le secret professionnel. »Flashback
Une voiture de luxe stoppa à l’entrée d’une villa digne des plus grands milliardaires. Un chauffeur en descendit, habillé de manière professionnelle : costume, gants blancs… Il s’avança jusqu’à la porte arrière et l’ouvrit en me laissant descendre à mon tour: Je devais alors avoir sept ou huit ans. Fille d’un possesseur de fortune de Moscou, je me devai d’en être fière et digne. Un domestique m'ouvrit la porte, je me glissai à l’intérieur, posai mon cartable sur le sol : le domestique rangerait pour moi, et prit mon chemin habituel après les cours : le bureau de ma mère.
Je frappai deux coups et entra sans attendre la permission de ma génitrice.
« Bonsoir mère. »
« Bonsoir Angeliqua. » Répondit-elle, plongée sur sa calculatrice et sur son ordinateur.
Sans un mot de plus, je refermai la porte et courut dans les escaliers jusqu’à ma chambre et m’enferma à l’intérieur. Je quittai mes petites chaussures et m’approchai de la fenêtre que j'entrouvris et chuchotai en observant le sol :
« Mélissa ! Mélissa ! Viens, la voie est libre ! »
Il n’y avait personne. Ou du moins personne pour tout être normal, pour moi, il y avait ma meilleure amie en train d’escalader le mur afin de pénétrer dans ma chambre.
« Mère ne sait pas que tu es là ! En ce moment, elle m’énerve tu sais ! Et puis j’ai si peur des fois, je m’observe dans la glace et je vois quelqu’un derrière moi, un garçon ! Et il me dit de me libérez, tu sais je ne comprends pas ! »
A ces mots, la poignée de la porte s’abaissa mais le battant ne s’ouvrit pas vu que la pièce était fermée à clé.
« Angeliqua ! Angeliqua ouvres cette porte immédiatement ! »« Non ! »
Quelques secondes plus tard, un domestique avait ouvert la porte à l’aide d’un tournevis. Madame VonTassel fit son entrée dans la chambre avec un visage furieux.
« Où est-elle ! Où est Mélissa ? Tu me parles de cette copine depuis des jours et tu l’as invité où est-elle ? »La tête baissée, je montrai mon lit du doigt, comme si il y avait une amie assise dessus.
« Mère, elle est gentille, laissez-la ici s’il-vous-plaît… »
La mère resta bouche bée, ébahie. Il n’y avait personne ! Personne ! Elle devait se demander si j'étais fille...
Flashback
« Voilà Docteur. Mais ce n’est pas tout… et sachez que j’ai plus de pouvoir que vous et que toute dénonciation sera prise pour une banale blague et vous serez rapidement réduit au silence. »« Continuez, continuez… »
Assise sur la chaise, j'observai avec une fausse curiosité l’écran d’ordinateur du psychologue sans prêter attention à la conversation.
Flashback
Même voiture, même villa, même ville, même famille, deux ans plus tard. Je descendis de la voiture et commençai à monter les escaliers, seulement, je me retrouvai nez à nez avec une jeune femme, inconnue, jeune, belle. Puis, mon père sortit de la chambre de mes parents en trombe vêtu d’un simple pantalon.
Je les observai la tête légèrement penchée sur le côté. La maîtresse de mon père sortit de la villa, monta dans sa voiture et partit sans demander son reste.
Mon père se tourna vers moi et s’agenouilla devant moi.
« Chérie, écoutes, ce n’est pas ce que tu penses ma puce ! »« Dis papa,… tu m’aimes ? »
« Mais oui bien-sûre quelle question ! »« Tu aimes maman ? »
« Arrêtes tes bêtises ! Pourquoi cette question ? »« REPONDS ! »
Je fus victime d’une de mes nombreuses crises habituelles et me mit à hurler, je griffai le visage de son père à l’aide de mes ongles puis tombai sur le sol, à genoux en me tenant la tête. Me balançant d’avant en arrière, mes cris perçants redoublèrent d’intensité. Soudainement, je me levai, courut jusqu’à la chambre de mon père et dévasta la pièce en quelques instants, les tableaux hors de prix déchirés, les vases rares, fracassés, l’armoire vidée…tout cela au milieu de mes hurlements.
Soudain, je ne criai plus et avec une terrifiante lenteur, je m’approchai de mon paternel, le regard fou. Celui-ci ne bougea pas.
« Calme toi Angie, calme toi ! »
En quelques secondes, je me précipitai sur lui, m’accrochant à son torse de mes minuscules jambes comme un serpent, enroulant mes doigts pâles sur sa gorge, la serrant de mes petites mains innocentes. Le père ne réussit pas à se débattre, il tomba sur le sol, eut un petit hoquet et ne fut plus de ce monde.
*flashback*
L’influence de ma mère au niveau de ce meurtre fut importante, une enquête fut menée mais grâce à un paquet d’argent discrètement distribué, il n’y eut pas de coupable… Je grandis jusqu’à arriver jusqu’à mes seize ans, un jour ma mère m’appela et me lut un article parut dans le journal du matin.
« Un homme âgé d’une quarantaine d’année a découvert ce matin quatre cadavres enfouie dans la forêt municipale en se promenant hors des sentiers.
-Oh je suis tombé dessus par hasard, un joli boulot ! C’est mon chien, il a gratté la terre et une main sortait de la terre…Horrible.
Voici ses propos. Le premier cadavre est un homme d’une cinquantaine d’année, tué il y a de cela plusieurs années, 5 ans selon les policiers et le dernier, il date de quelques jours. Voici les dires de l’enquêteur chargé de l’affaire :
-Le meurtrier, étant multirécidivistes, ne va sûrement pas s’arrêter là. Seulement la découverte de sa cachette va l’amener à changer sa manière de faire… Chaque victime a été portée disparue avant sa mort. Toutes selon le même mode opératoire, on a affaire à un criminel intelligent… Je ne préfère pas vous en dire plus sur l’état des cadavres et la souffrance que les victimes ont du endurer….
Une affaire qui chambouler toute la Russie… »Les sanglots dans la voix, ma mère s’arrêta de lire.
« Angie…. C’est toi n’est-ce pas ! Pourquoi…POURQUOIIII ! »La femme se leva, en furie, elle attrapa un vase et l’envoyer valser contre le mur où il éclata en morceaux. Au pied de l’escalier, je ne bougeai pas, l’air calme et totalement normal. Soudain, je tombai à genoux et me prit la tête entre les mains.
« Angeliqua ! Ne hurle pas ! CA SUFFIT ! »
Les cris commencèrent, grimpant en crescendo, hurlement sur hurlement. Je me se relevai, criant toujours, tapant du pied puis, je dévastai la cuisine, brisant les verres, me coupant les mains et les avant-bras en même temps, le visage défiguré par la folie qui m'animait.
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Après trois autres meurtres, on m’arrêta malgré le peu d’indices et le peu de preuves que l’on avait. Mais ma mère ne pouvant plus me supporter m’avait dénoncé et faute de preuves on l’a cru et après avoir vu mon comportement…il n’y eut aucun doute. Je fus donc envoyée à Sadimus.
Autres- /
Dossier criminel
Crime(s) commit(ts) 7 meurtres avec torture physique et mentale importante.
Matricule- 616178
Rang- Prisonnière follement dangereuse
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Iconnue (pour moi en tout cas)