Rin Ayake

Dossier médical

Nom & Prénom- Ayake Rin
Sexe- Masculin
Âge- Vingt ans
Traits physiques- He, suis assez petit... À peine 1 mètres 60, je n’ai que la peau sur les os, mais reste avec un musculation correct. J’ai une peau très pâle et six piercings en tout au niveau du torse et du ventre. Je porte un bandeau noir sur mes yeux étant donner qu‘il ne me servent à rien, ils sont d‘ailleurs devenue très pâle et légèrement bleuté. Mes cheveux sont blanc et touchent presque mes épaules. J’ai les dents très blanches et droites, mais mon maître me les a fait couper en pointe, alors je peux faire de très beaux sourires(XD). Par contre, la majorité du temps, j’ai une sorte de bâillon dans la bouche, parce que moi... Je mord... Non ce n’est pas une blague...
Taille- 1 mètres 60
Poids- 45 kilos
Maladie ou handicap physique-Il est aveugle...
Autre: Je sais parler, mais je ne le fais que très rarement... Le fais que j’aille perdu le sens de la vue ma permis de développer énormément mon odorat et mon ouï, donc peu de bruit ou d’odeur m’échappe.

Dossier psychologique

Qualités- Je suis loyale, enfin, il faut avant gagner ma loyauté, bien sur. Habituellement je suis calme. Enfin, autant qu’on puisse l’être quand on ne voit rien et que l’on sais que l’on peux recevoir un coup à tout moment. Les rares personne que j’aime peuvent profiter de mon affection qui est sans borne et de mon coté joueur. Je suis franc et attentif à mon environnement. Je suis curieux, patient et très travailleur. J’ai une bonne sensibilité de ce qui m’entoure. Il faut dire que peux de personne peuvent prendre note de mes qualités, car je les montre seulement à ceux que je considère au dessus de moi.
Défauts- Je suis d’une nature méfiante, nerveuse et violente. Je n’écoute personne, excepté mon maître, mais il est mort. Je suis très têtu et j’ai un comportement des plus animal. Je n’éprouve jamais de pitié et ne connais qu’à peine la peur, en fait je n‘ai qu‘une grosse phobie, mais vous verrez bien tantôt... Je suis très possessif et replié dans ma bulle. J’ai tendance à blesser les autres physiquement pour un rien. Juste pour avoir le plaisir de sentir le sang de ma victime et ses cris. Je ne pense presque jamais au conséquence. Je ne résous jamais mes problèmes avec des mots, car je ne parle que très peu et quand c’est le cas, c’est pour les murmurer tout bas.
Aime- J’aime les gens qui prennent le temps et l’énergie de me remettre à ma place. C’est bizarre, mais c’est comme ça, je suis un peu à la recherche de quelqu’un qui méritera mon respect et ma loyauté... D’un maître, quoi?! Du coup, je suis un peu masochiste et du même coup sadomasochiste... Sinon, j’aime le sang et son odeur, même son goût. J’adore le goût de la chair et je suis loin d‘être végétarien, par contre les pâtes passent aussi sur le menu... J’aime les endroits exigus et calme, car le bruit trop fort me percent les tympans. J’aime bien qu’on me laisse tranquille. Sinon, il y à une foule d’odeur et de goût que j’aime, mais sa serais trop long à dire. Pourtant, il y à en particulier l’odeur du sang, de la drogue et de l’alcool qui agisse comme un aimant sur moi.
N'aime pas- Je n’aime pas les bruits trop fort ni ce qui ne sent pas bon. Je n’apprécie pas ceux qui ce mêle de ce qui ne les regardent pas ou ceux qui vienne me déranger. Je déteste et ai une peur panique de l’eau... Ce doit bien être une de mes seules peur... Sinon, je n‘aime pas qu’une personne que je ne respecte pas me touche ou me donne un ordre, que je m’empresse de désobéir, bien sur. Je n’aime pas du tout les légumes et les fruits quelle qu’ils soit. Les escaliers, je ne les portent pas dans mon coeur, car j’ai tendance à les débouler. Je n’aime pas non plus les endroits trop grands, parce que quand on ne vois pas c’est difficile de bien se situer.
Comportement avec les gens- Sa dépend des personnes, ceux qui ne m’embête pas, je ne m’en occupe pas. Ceux qui m’embête risque de recevoir des coups. Ceux que aime bien, ils peuvent venir me voir, mais ne doivent pas s’attendre à une grosse conversation. Ceux qui sont bourré m’attire à cause de l’odeur, de même que ceux qui traîne avec eu de la drogue, ça ne veux pas dire que je vais bien les aimer, mais je vais avoir tendance à aller les voir. Finalement, si jamais quelqu’un décide de faire de faire de moi son esclave, sa propriété, qu’elle que soit le terme qu’il utilise, il vas devoir frapper et fort parce que c’est la seule manière d’obtenir ma soumission. Par contre, une fois soumis, je suis docile et affectueux...^^’
Maladie ou handicap mental- Ne se considère pas comme ’humain’ et adopte surtout le comportement d’une bête...
Valeurs- C’est quoi une valeur...?
Tics- Faire grincer ses dents sur son bâillon...*Se bouche les oreilles*
Passé-

Je suis née le 14 décembre à une heure indéterminé. Mes parents étaient des gens pauvres et peu honnête qui utilisaient leurs enfants pour ramener de l’argent à la maison. Moi, par contre, je ne servais à rien. J’étais née aveugle et ne parlais presque pas. J’étais un peu rejet dans la famille, le bon à rien de service. J’ai été battu les huit premières années de ma vie par mes propres parents, mes frères et soeurs qui les voyaient me faire cela prenaient l’exemple et me blessait aussi. Quand j’eu 8 ans, mon père décida qu’il n’avait que faire de nourrir une bouche qui ne ramènerait jamais rien en retour. Il me vendit donc à un homme très riche. Bien sur, le tout fut fais sur le marcher noir, car les lois l’interdisent. Moi, je n’eu pas mon mot à dire, de toute façon ça m’étais égale. Mon transport ne fut pas des plus doux. Je fut placé dans une boîte, bâillonné et attaché pour être trimbalé pendant des heures.

Finalement, on me sortit de la boîte et on me déshabilla sans faire de détour. Je me débattis... Je ne voulais pas être nue devant du monde que je ne connaissais même pas! Pour une des rares fois, je cria, je ne suis pas un genre à crier moi... Ça ne sembla pas poser problèmes à ceux qui étaient autour de moi. Ils me lavèrent, pas que je fus sale sois dite en passant... Et m’habillèrent avec des vêtements qui n’étaient pas à moi. C’était des habits très serré qui laissaient la majorité de mon torse à découvert et mes bras et mes mains caché. Il y avait aussi des attaches partout sur ces vêtements. On compléta ma tenue avec un bandeau sur mes yeux et une sorte de bâillon entre les dents. Je n’apprécia pas ce dernier, mais je n’arriva pas à m’en défaire sans aide.

On me conduisit ensuite à l’homme qui m’avait acheté. Celui ci était très grand et très fort, je ne le sais pas pour l’avoir vue, mais pour avoir sentit sa force à travers les mains qui m’agrippèrent et en comparant sa grandeur à la mienne. Il me pris dans ses bras et alla s’installer sur un divan ou un fauteuil, je ne saurais le dire. Moi, je me tortilla dans tout les sens essayant de me libéré, mais il était trop fort. Par contre, sa patience fut courte. Après quelques minutes il ce leva pour me laisser tomber sur le sol, j’ai pus constater aussi à ce moment qu’il était vachement grand(XD). Je le sentit attacher quelque chose autour de mon cou, puis il tira très fort dessus. Sur le coup, je poussa un gémissement, ne pouvant pas crier à cause de mon bâillon. Il tira plusieurs coups et m’ordonna de le suivre. Sur ce il s’éloigna, me traînant dans son sillage, je me résolu à suivre, mais à quatre pattes, car je n’arrivais pas à me lever. Je me souvient avoir débouler un escalier avant d’arriver là ou il voulait aller.

Il m’attacha avec ce qui semblais être une laisse à un poteau et je l’entendis s’éloigner un moment. Puis, sa voix se fit toute proche et il me dit ça: «Maintenant petit, on vas mettre quelque chose au claire. Oublie tout ton passé, que ce soit tes proches ou le nom qu‘il ton donné. Tout ce qui compte c‘est le présent et le futur. Les deux tu vas les passer avec moi. Tu n‘est plus un garçon, tu n‘est plus humain, tu est un chien, mon chien à moi et à personne d‘autre, tant que je vivrai. Tu vas m‘écouter et m‘obéir. Sache que je peux être très gentil, je peux, je suis l‘être le plus important dans ta vie et tu me doit respect et loyauté. Tu est ma chose et je suis ton maître. Si tu ne m‘écoute pas, je serai méchant, cruelle. Je te punirai comme le mérite un mauvais chien. J‘ai le droit de vie ou de mort sur toi, retient le bien. Maintenant, je dois te punir pour tantôt, pour que tu sache que je peux faire mal. Tu n’a pas à te débattre quand je te prend, tu dois aimer ça et te laisser faire, soit docile et tout ira bien. Maintenant, petit, tu t’appelle Rin et rien d’autre.» Sur ce j’entendis un étrange sifflement et sentit en même temps la morsure du cuir sur la peau de mon ventre. Il n’y eu que deux coups. Deux premiers coup, pas que je n’eu pas déjà été battue, mais jamais fouetté. Les deux coups furent ponctuer de deux gémissement. Je me roula en boule comme pour protéger mes plaies qui saignaient. Je ne l’entendis même pas s’approcher, il me pris dans ses bras, me détachant du même coup. J’étais tout petit et tremblant entre ses bras qui aurait pus me broyer en quelques secondes. Je ne me débattis plus jamais quand il essaya de me reprendre dans ses bras. Sa première leçon et ses paroles étaient gravé dans ma mémoire en lettres de feu. Mes deux premières marques aussi restèrent gravé sur ma peau formant un X.

Les années qui suivirent, je perdis beaucoup de mon humanité. Pas en le faisant exprès, mais parce que je ne fessait plus ce que je voulais, je devais obéir, j’étais souvent attaché et ne faisait presque plus rien seul. Mon alimentation n’était plus la même, le moindre de mes comportements qui était typiquement humain était punis. Je ne pouvais plus parler non plus. Mon maître dédia aussi ce temps à me rendre des plus dociles. Au début j’avais peur de ses coups, mais je finis par surmonter ma douleur. La pire chose qu’il pouvait me faire était de me plonger dans l’eau et de me maintenir la tête sous l’eau pendant un moment. J’en développa carrément une phobie. Je finissais toujours par céder. Il me soumis aussi à quelques caprice de sa par. Considérant qu’un chien avait les dents pointues, il me les fit tailler en pointe. Ce fut certes douloureux, mais je n’y pus rien. Il me fit aussi faire des piercings sur le torse et le ventre, six en tout.

Je compris aussi rapidement que s’il pouvait être méchant quand je n’écoutais pas il pouvait être très gentils quand j’obéissais. Il s’occupait de moi, c’était presque la seule personne avec qui j’avais des contacts. Il me caressait -Non, je n‘ai pas eu de traitement pervers avec lui... Il était hétéro... C‘est juste qu‘il voulait une bête plus intelligente que la normal XD- jouais parfois avec moi, me gâtais, me parlais et me montrais pleins de chose que je ne connaissais pas. Bref, après quelques années de dure labeur des deux cotés, je me plaça et il me frappa de moins en moins. J’arrivais dans la quinzaine à ce moment.

Mon maître était un trafiquant de drogue et d’alcool. J’apris rapidement à identifier l’odeur des deux. À vrai dire, j’adore cette odeur. Je devint aussi de plus en plus en plus agressif, pas envers mon maître, mais envers toute autre personne. J’étais méfiant et toujours alerte dès que j’étais en présence d’une personne qui était autre que mon maître. D’ailleurs j’intimidais beaucoup les personnes qu’il rencontrait. Dès que le ton de voix montait, je poussais un grondement sourd de bête, menacant. Habituellement, les voix se fessait plus petites.

Étant donné que j’étais toujours avec mon maître qui me punissait de moins en moins, car je le cherchais de moins en moins. Je finis par développer une réelle affection pour lui. De la loyauté aussi. Il aurait put me sortir tout seul dehors sous la pluie et me dire de rester là, partir et revenir le lendemain, je serais resté là, même détaché. Devant ma docilité et mon agressivité grandissante, il décida de faire de moi plus qu’un animal de compagnie. Il m‘appris à me battre au corp à corp, car les armes à feu m’étaient interdites. J’apris donc à faire mal, à tuer que se soit avec une arme blanche ou mes poings, mes ongles et mes dents... À vrai dire il m’encourageait pour que je ne me serve que de ce que l’on m’avais donner à la naissance. Il n’y avait que les humains qui utilisaient des armes et je n’étais pas humain. Après un certain temps, il m’ordonna de tuer des hommes. Je le fit, il n’y avait que les humains qui hésitaient à tuer les autres. Au début, je le faisais, mais en restait mal à l’aise. Mais avec le temps j’en vint à aimer le goût du sang, son odeur aussi, je me délectais des cris de mes proies et les sentir se débattre sous mon poids me rendais fébrile et excité.

Pourtant tout finis toujours par avoir une fin. Celle de ma vie avec mon maître vint à mes vingt ans. Étant un trafiquant, il est normal que les policiers finissent par lui tomber dessus. Un soir, il y eu une fusillade, les hommes de mains de mon maître et les policiers tirèrent beaucoup de coup, moi j’étais près de mon maître quant celui ci fut touché. Il mouru sur le coup. Paniqué en me retrouvant sans personne pour me guider, enrager parce que l’on venait de tuer la seule personne pour qui j’éprouva de l’affection, je me jeta sur le qui était le plus près de moi. Il échappa son arme sur le coup de l’impact et planta mes dents dans son cou ou passais l’oesophage. Je mit tant de pression que je trancha le conduit. Il mouru au bout de son sang. Délaissant le cadavre, je m’attaqua à un autre policier, je le mordis avec force, mais n’arriva pas à endommager quelques chose de vitale pour sa santé. J’entendis des cris et finalement un coup de feu. Une douleur cuisante se fit sentir dans ma jambe gauche. Je lacha un peu prise sur le coup, mais ça suffit pour qu’ils s’approchent assez pour me saisir et me faire lacher prise. On m’attacha les mains et les pieds, car je me débattais comme un beau diable en grognant. Puisque j’essayais de mordre, ils utilisèrent le bâillon que j’avais la plupart du temps. On m’embarqua dans un véhicule. Le reste est assez flou dans ma tête. On s’occupa de ma blessure et on me mis sous sédatif pour que j’arrête d’agresser tout se qui me passait sous le nez. Je me retrouva dans un procès que j’écouta plus ou moins. Ce que je retiens, c’est que je fut accusé de meurtre, dont un à l’endroit d’un policier, d’agression sur plusieurs policiers et que tout cela me donna comme peine la prison à perpétuité. C’est comme ça que je me retrouva dans ce trou à rat...


Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)-
- Meurtres
- Agression d’agents de police lors de l‘arrestation.
- Meurtre d’un agent de police lors de la même arrestation.
Matricule- 147157
Rang- Chien-chien aveugle et meurtrier
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Inu de Nitro Chiral ou Togainu no chi

Magnifique! Tu as une très belle fiche, bienvenue parmi nous!

Pour moi tout est règlementaire alors je te Valide. Si tu as la moindre question n'hésite pas. Tu peux déjà commencer à poster devant les portes et je te met dans la cellule ... 4

Voilà, si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas, ont est pas bien méchant héhé.

Wow OO La vitesse OO J'en revient pas XD Je viens à peine de poster ^^

Sinon merci^^

Coucou Rin!!

Welcome To Sadismus

Merrrccciiiiii XD

*Le chien-chien est de bonne humeur XD*