Alix Tudor - Terminé, correction/orthographes

Dossier médical

Nom & Prénom- Je viens d’une famille de riche voici mon prénom et mon nom en entier : Alixianne Naïla Tudor. Toutefois, j’ai changer mon nom et prénom pour : Alix Tudor.
Sexe- Féminin
Âge- 20 ans, mais j’ai l’air d’une adolescente de 16 ou 17 ans, selon les personnes que je croise ou qui m’aborde.

Traits physiques- (3 lignes)
J’ai les yeux dissemblables et ils sont d’une intensité plutôt étonnante. J’ai le visage d’un ange, comme le disait mon père. Toutefois, mon visage « d’ange », comme il le disait si bien, est trompeur. J’ai de fins traits qui attirent le regard des hommes. J’ai les cheveux d’un brun presque noir, ils sont longs et ont toujours été plus bas que mes omoplates. Ils ont une apparence différente tous les jours. Une journée, ils peuvent être plats, comme le lendemain, ils peuvent être très frisés. Toutefois en temps normal, ils sont simplement frisés dans le bas. J’ai également une frange qui couvre mon front et qui ce termine à mes sourcils. J’ai des lèvres pulpeuses et légèrement rosées. En ce qui concerne mon corps, certains disent que j’ai un corps d’athlète, d’autre un beau corps de femme. Moi je dis que j’ai un mélange des deux. Ayant fait de la gymnastique toute mon enfance (voir histoire), mon corps est bien découpé. Il est garni de belles formes courbes. Une poitrine proportionnelle à ma taille et formée par l’entraînement et des hanches bien définies sans avoir l’air d’un sablier. En bref, j’ai un beau corps, du moins, j’en suis satisfaite. De plus, j’ai une certaine flexibilité qui me permet de faire de beau mouvement de gymnastique si l’on me donne l’espace requis. Gare à cela, puisque c’est de cette drôle de façon que je me défend ou encore en dansant.

Taille- Je ne suis pas la plus grande du monde, je ne fais seulement que 1 mètre 65.
Poids- Je ne suis pas tellement lourde non plus, 105 livres ou 47 kilos, environ. Entraîner depuis mon tout jeune âge, il est difficile de ne pas remarquer mon ventre bien défini par des abdominaux, de bonnes cuisses musclés et des biceps bien découpé sans toutefois aucune exagération.

Maladie ou handicap physique- //
Autres- Elle a une brûlure au deuxième degré sur l’avant-bras gauche (voir l’histoire) et elle est ambidextre.

Dossier psychologique

Qualités- (3 lignes)
Qualité, que dire... Je suis d’un silence désarmant. Je ne parle pratiquement jamais. Je passe mon temps à écouter les conversations dans mon coin, seule. Puisque j’écoute beaucoup, on peut dire de moi que je suis une personne curieuse. Puisque, pour moi, parler c’est un moyen de dévoiler ce qu’on est, nos défauts, notre caractère et particulièrement nos faiblesses. C’est pourquoi je ne parle que lorsqu’il est nécessaire. Donc on peut dire que je suis silencieuse et attentive. Je dis rarement des commentaires désobligeants, ce qui fait en sorte que je réfléchis énormément avant de parler. L’une des raisons pourquoi je ne parle pratiquement pas. Je peux me décrire comme étant une personne discrète, qualité qui m’est resté de mon ancien boulot (voir histoire). Je n’ai pas vraiment d’émotions apparentes, ce qui peut être considéré comme étant une qualité. Je suis donc plutôt douce et sans indifférente aux stupidités que peuvent me dire d’autres détenus. Je suis également très obéissante, je ne vis que pour obéir rien de plus. Ce qui fait que je suis une bonne détenue en temps normal. Donc pour résumer, je suis silencieuse, obéissante, attentive, curieuse, discrète, indifférente et réfléchis, en général. Oh ! J’oubliais, elle est très fidèle à elle-même et aux personnes en qui elle fait confiance (très peu). Elle est donc l’une des dernières personnes à dénoncer un coéquipier.

Défauts- (3 lignes)
Mes défauts maintenant... Mon principale est le suivant : je suis peu émotive. Oui, je le considère comme étant un défaut. Je garde pratiquement tout pour moi, ce qui fait de moi une personne trop réservée. Je me compare à un produit contenu dans une bouteille sous pression. Plus c’est comprimé et entassé, plus il risque d’exploser. Je suis pareille. La chose que je souhaite le plus est que personne ne me voit en colère. Je le suis rarement, donc gare aux personnes qui ont envie de me faire éclater. Je suis considéré comme étant sans cœur. J’ai rarement de la pitié et je suis l’une des dernières, probablement, à appliquer la règle du bon samaritain si l’on ne me l’ordonne pas. Je suis une perfectionniste, étant tueuse à gage avant mon arrestation, je suis une maniaque de précision. En bref, elle est sans cœur, psychopathe de précision et réservé à l’extrême.

Aime- J’adore le silence et la tranquillité. Chose qui est difficile de retrouver dans une prison. Je suis une personne curieuse ce qui fait que j’adore apprendre et lire. Chose encore une fois plutôt difficile. Lorsque les sortis sont permises, elle adore courir. J’ai un énorme faible pour les hommes mystérieux et charmeurs à la fois. Lorsqu’un homme cherche mon attention, j’adore les faire languir et me faire désirer. Bref, j’adore tout ce qui me permet d’être seul.

N'aime pas- Je déteste les pédophiles. Malheureusement, il y en a dans cette prison, comme dans toute les autres. Ce qui fait en sorte que je les ignore. Je n’aime pas vraiment être enfermé trop longtemps, puisque comme dit plus haut, j’adore courir. Je n’aime pas trop me faire déranger ou interrompre lors de mes occupations.

Comportement avec les gens- (gardiens, détenus, etc...)
Gardiens et supérieur : Je leur dois le respect et obéissance. Et je le sais, c’est pourquoi je ne fais rien pour les contrarier. Cependant, je suis prête à désobéir si jamais on lui demande des faveurs sexuelles. Autrement, j’obéis au doigt et à l’œil. J’ai par contre la manie de lancer des regards qui veulent souvent tout dire, si j’en ai envie ou non.
Détenus: En ce qui concerne les détenus, pour la plus part je n'ai que de l'indifférence. Je suis la dernière à être compatissante avec eux, particulièrement si ce sont des agresseurs d'enfants ou simplement violeurs.

Maladie ou handicap mental- (facultatif)
J’ignore si ça fait parti d’une maladie ou d’un handicap, mais bon je le mets ici quand même. Je parle énormément à ma conscience. Je ne parle pas à voir haute, mais je lui parle en pensé, si l’on peut dire comme ça. Ma conscience qui peut s’avérer totalement emmerdante ou d’une grande utilité.

Valeurs- La fidélité, je ne trahirais un ami pour RIEN au monde. Le respect aussi est très important pour moi, même si parfois j’avoue être légèrement irrespectueuse.

Tics- J’ai besoin de courir régulièrement, donc lorsque les sortis sont permises, j’en profite pour me dégourdir un peu. J’ai également pour habitude de frictionner ma brûlure au bras gauche lorsque je suis nerveuse. J’ai une obsession pour la perfection.

Passé-
Voir le poste si dessous. Pour des raisons de lisibilités et de propreté je préférais la mettre en dessous puisqu'elle est longue... Remarqué ma présentation est terminée, mais il me reste à corrigé mes fautes d'orthographes et etc.

Autres- //

Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)- J’étais une tueuse à gage. Je me suis fait arrêté, accusé d’avoir tuer mes parents et soupçonner d’une centaine d’autre meurtre. Cependant, faute de preuves, je n’ai plaidé coupable que pour celui de ma famille et de l’homme avec qui j’ai été retrouvé. Toutefois, ils sont toujours à la recherche de preuves qui allongerait mon emprisonnement, même s’il est déjà à vie.

Matricule- 231307
Rang- Docile et soumise
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Liv Tyler

Voici mon passé...

Passé- (10 lignes minimum)
Mon passé... Il n'est pas douloureux... Du moins, selon-moi il est seulement déplorable... J'ai 20 ans... À peine ça... et voici mon histoire...

Je suis née d'un père militaire et d'une mère travaillant dans un hôpital. Donc, financièrement c'était plutôt aisé. Nous habitions une banlieue à Londres. Dans un endroit, suffisamment grand pour que nous puissions avoir des chevaux. J'avais le mien, Bucéphale en l'honneur du destrier d'Alexandre le Grand . Je n'ai jamais manqué de que rien. Surtout étant fille unique, j'étais gâtée sans le demander. La seule chose que j'ai demandée à mes parents c'est de pouvoir faire de la gymnastique. J'ai commencé à l'âge de 3 ans. Et oui, 3 ans, petite gamine inoffensive qui attirait déjà bien des regards parce que j'avais du coeur au ventre. J'adorais ce que je faisais. J'ai continué ainsi pendant 5 ans. À l'âge de 8ans, aussi surprenant que ça peut le paraître, je faisais partie de l'espoir. Comme quoi, j'étais vraiment douée. Mon éducation ce faisait avec un tuteur. Mon père travaillant à la maison et ma mère de nuit à l'hôpital, je tissai rapidement des liens avec mon paternelle. Tous les jours, il m'emmenait à mes entraînements. Mais voyant que les déplacements étaient fréquents, il fit bâtir juste pour moi un mini gymnase. Qu'est-ce qu'une gamine de 8 ans pouvait espérer de mieux ? Rien du tout dans mon cas, j'étais au paradis. Il m'engagea même un entraîneur privé. Le rêve de toutes gymnastes passionnées de ce sport! Ma mère ne pouvait rien dire, puisqu'elle n'était jamais là. Mon père lui, avait fait des arrangements pour travailler à la maison, pour pouvoir passer plus de temps avec moi. Bref, j'étais la fille à papa et à personne d'autre. Je n'allais pas m'en plaindre ! Quel genre de fille aurais-je été ?

Entre 8 et 13 ans tout allait bien... C'est après que ça ce gâte un peu... 13 ans, chiffre chanceux selon-moi et bien d'autres personnes. Enfin, je suis à la maison. Je traîne dans la maison après avoir terminé mon entraînement quotidien. Personne en vue, sauf les femmes de ménages habituelles qui s'affèrent à la tâche. Il a le valet, comme un vrai boulet de prisonnier, qui me suit partout pour s'assurer que je ne manque de rien. Maman, étrangement, était rentré plus tôt et décida de me faire un gâteau pour son plaisir et le mien par la même occasion. Tout va bien jusque là. Je l'aide à faire le mélange pour vite le mettre au four. Cependant, ma mère ne m'avait pas vue. Elle préparait le souper en même temps. Une grosse marmite d'eau bouillante dans les mains, elle se retourna et c'est mon bras gauche qui écopa de tout, brûlures et eau bouillante comprises. Le valet, toujours sur mes baskets ou non loin appela le maître de la maison. Ma mère m'emmena à l'hôpital. Ma mère, trop en état de choc de m'avoir brûlé et ébouillanter, n'était pas en mesure de faire quoique ce soit. Les médecins déclarèrent que c'était une brûlure au deuxième degré. Et que je devais stopper TOUTES activités pouvant érafler ou aggraver ma blessure. Dans ma tête d'adolescente, c'était ma carrière de gymnaste qui partait en fumer. J'en voulue longtemps à ma mère et mon père également. Je pris une décision sur un coup de tête et demanda qu'on m'envoie à une école « normale ». Mon père acquiesça à ma demande. C'est ce jour-là, que je compris que je le menais par le bout du nez et franchement, aussi surprenant que cela puisse l'être, j'en avais assez. On ne me disait jamais non, on acceptait toujours toutes mes demandes aussi capricieuses qu'elles pouvaient l'être.

Bref, j'entrai à l'école afin de connaître la VRAIE vie. Lorsque je mis les pieds, pour la première fois dans l'école, sa première réaction fut de rester sur place. Dans son uniforme scolaire, je restai là, béante devant les grandes portes. J'inspirai à fond et entra. N'étant pas habituer, je ne demandais pas mon chemin à personne. J'arrivai à son premier cours en retard et vous savez quoi ?! On me colla une retenue ! Ma première punition à vie ! À la fin des cours, je me dirigeai vers la salle de retenue. Et étonnamment, je pris rapidement le goût d'y aller. Il y avait autant de garçons que de filles et entre vous et moi... Ce n'était pas vraiment une « retenue ». Nous étions plutôt du genre à séquestrer le surveillant sur la chaise ou encore à l'enfermer à l'extérieur de la classe. Je me fis rapidement « admise » dans la bande. Nous étions tous des gosses de riche qui n'en pouvait plus de tout avoir. Ce n'était pas tout avoir qui nous rendait heureux, mais bien les défis. Cependant, lorsque mes parents l'appris, ils n'en furent pas si fiers, mais mon père passa tout de même l'éponge. Je répétai le manège à plusieurs reprises, mais je me retrouvai en retenue pour différente raison. Les raisons étaient les suivantes : absences répétés en cours, non remise de travaux ou devoirs, dérangements en classe etc. En bref, je devenais une « rebelle » et bizarrement j'adorais ça... À la fin de l'année scolaire, son père prit ENFIN une décision. M'envoyer dans un camps où j'apprendrai obéissance, organisation et respect. Ce qu'il ne savait pas c'est que pendant l'année scolaire, lorsque je séchais les cours, je me droguais. Donc par le fait même, il m'empêchait de sombrer encore plus dans l'enfer de la drogue, si je peux dire ainsi. Cependant, ce camps causa selon-moi sa perte.

J'allai dans camps de concentration militaire. N'ayant plus d'arrêt dû à ma vilaine blessure, je recommençai la gymnastique. Cependant, l'entraînement était très différent. Il était plus ardu et bien plus exigent. On m'appris l'organisation, la recherche de la perfection, le respect et par-dessus toute autre chose l'obéissance. Elle développa aussi l'entêtement à vouloir réussir un mouvement de gymnastique à la PERFECTION. Tout ce qui pouvait se perfectionner je le perfectionnais et encore aujourd'hui je le fais. Bref, j'ai été dans ce camp de concentration l'été qui a suivi et l'année entière. C'est à ce moment, que je me détachai de mes parents. Surtout de mon père puisque ma mère, je ne lui parlais pratiquement jamais au départ, donc ce ne fut pas un changement très radical dans son cas à elle. Lorsque l'été suivant je revins à la maison, je ne parlais pas, j'obéissais au doigt et à l'oeil. J'étais complètement changé. Je m'entraînais selon des horaires fixes, j'étudiais selon des horaires fixes et je retrouvai mon tueur que je grondais lorsqu'il était en retard. Mon père ne me reconnaissait plus et m'adressait la parole que lorsqu'il en avait l'occasion. C'est-à-dire une fois semaine. Je dirigeais déjà ma vie à cette époque. Je ne dépendais plus d'eux, de rien ni personne. Le valet qui me suivait constamment le faisait toujours, toutefois il me semblait moins encombrant. Probablement parce que je ne m'occupais pas de lui ni de sa présence.

Enfin... à 16 ans, je demandais une faveur à mon père. Je lui demandais de m'offrir la chance de pratiquer le tir de précision. Tout ce qui se rattachait à l'arc et les snipers commençaient à me passionner. Moi qui aimait et qui aime toujours la perfection, le sniper était et est l'arme parfaite dans mon cas. Une journée, alors que je m'entraînais dans le centre que mon père m'avait recommandé, je me fis remarquer. Un homme étrange, un sexagénaire sans doute, vint me voir et me parler. Il me dit à quel point j'étais précise dans mes tirs et à quel point j'avais de l'avenir dans un domaine de tireuse élite. Il dû partir, mais me laissa sa carte en me disant qu'il aurait bien besoin de mes services. Je réfléchis à cette proposition un long moment. En fait, une semaine durant, mes pensées étaient tournés vers cet homme mystérieux qui demandait mes services. Je finis par accepter. Je pris le téléphone et pris rendez-vous dans un café. J'arrivai au rendez-vous de manière classe et discrète. Mes yeux dissemblables bien étaient bien apparents, aucune mèche de cheveux n'osait se placer devant ceux-ci. Cette journée là, ils étaient éclatants. Habillé de noir, j'attendais l'arrivée de l'homme. Enfin, il arriva, mallette à la main. Une mallette noire qui me faisait penser à celles que l'on voit dans les films. Du coup, ça ma fait peur, mais je ne l'ai pas montré. Je suis restée assise le visage dégagé attendant qu'il parle. Il prit place devant moi et plaça la petite valise devant lui. Mes yeux étaient fixés sur elle. Je levais les yeux de celle-ci et découvrit que les rides de l'homme étaient plus étirées que la normale. Il souriait, probablement à ma curiosité et ma manière de fixer cette idiote valise noire. Je brûlais d'envie de savoir ce qu'elle contenait. Et je fus rapidement contenté. Ou plutôt déçu... en fait, déçu de savoir ce qu'il y avait à l'intérieur, mais contente d'avoir pu découvrir ce qu'elle contenait. C'était des dossiers, je pouvais entrevoir le nom de famille suivant « Tudor », mon nom de famille. Mais que pouvait-il vouloir de moi ? De l'argent, d'accord, mais il semblait déjà plein à craquer. Il me passa un petit document qui expliquait ce qu'il voulait de moi. Aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche et aucun mot ne sorti de la sienne d'ailleurs. Je lis le document en entier, lisait toutes les phrases que je suivais avec mon doigt pour être bien sûr de ne rien manquer. Il y avait un portrait rapide de ma mère et mon père, les futures victimes de mon tout premier contrat en tant que tueuse à gage. L'homme finit par parler. Il me dit que j'avais le choix d'accepter ou de subir le même sort qu'eux. Qu'auriez-vous fait à ma place ? Bon d'accord, mes relations n'étaient pas les meilleures, mais ce n'était pas une raison de les assassinés. Je lui demandais alors pourquoi. J'avais fini de lire le document et au bas de la page il était manqué, noir sur blanc : « Doivent être liquidés dans les 48h suivant la lecture. Faute de quoi, une autre personne s'en chargera et éliminera tout témoin ayant lu ce document. Excepté le propriétaire de ce document. »

Je ne pouvais plus reculer, c'était la vie ou la mort. Hypocritement et malgré moi, je tenais à la vie et je choisi cette option. J'acceptai d'un hochement de la tête et lui redonna son document pratiquement au visage. Je partis alors d'un pas sur et déterminé. Une fois à la maison, mon père et ma mère ne me parlèrent pas. Durant la nuit, je me levai de mon lit, n'ayant pas trouvé le sommeil. Ne sachant pas comment m'y prendre, j'appelai mes vieux copains de classe avec qui j'avais consommé autrefois. Je me droguai et me saoulai, un des pires mélanges. Alors, étourdi et inconsciente de mes mouvements. J'appelai mon valet qui vint me chercher et me ramena à la maison. Il ne posa aucune question et je lui dis qu'il pouvait aller dormir, que je n'avais plus besoin de lui. Il ne se fit pas prier. Il me reconduit à ma chambre. J'attendis qu'il parte pour aller à l'étage en dessous, où se trouvait la chambre des maîtres. Tous les deux étaient endormis. Couteau en main, je leur tranchai la tête aussi rapidement que je quittai la chambre. Et comme une ombre, je disparu.

J'appelai alors d'une ligne sécurisée de la maison et dit à l'homme que c'était fait. Celui-ci me félicita. Moi, toujours sous l'effet de drogue je lui dis de m'en trouver un autre au plus vite et demanda un lieu où aller. Celui-ci arriva rapidement, comme mon valet. Mes mains n'étaient couvertes d'aucun sang, le couteau était dans un étui que j'avais pris dans la cuisine. Je le remis à l'homme, qui le pris soigneusement et me promis de s'en débarrasser lui-même. Tant qu'à moi, il l'a gardé et ma dénoncée lorsqu'il en eut assez de mes services. Enfin, suite à ce double meurtre, j'enchaînai contrat par-dessus contrat. Ça me faisait oublier mes parents. Il s'occupa de raccourcir mon nom et de faire en sorte que je me fasse porter disparu. Mon nom raccourcis, il passa de Alixianne Naïla Tudor à Alix Tudor, tout simplement. Il me procura arme et outil qui me serait utile à mes contrats. Sniper de haut calibre, arc à poulie, bref tout ce qui pouvait me combler en terme de précision et perfection. Il m'installa dans l'une de ses villas en Europe et me faisait parvenir les contrats soient par ses messagers privés ou bien il venait lui-même me les porter. Cependant, lorsqu'il venait c'était généralement mauvais signe. Souvent,il demandait sois des faveurs sexuelles, soit qu'il n'était pas satisfait de mon dernier contrat qui était souvent trop sanglant, ou encore parce qu'il avait de nouveaux équipements à me montrer. Toutefois, la plupart du temps c'était pour des faveurs sexuelles. Il n'y avait qu'à lui que j'obéissais. J'étais en quelque sorte son esclave et c'est pour cela que je déteste et hais tous violeurs.

J'étais totalement soumise et insensible à quoi que ce soit. C'est pourquoi mes assassinats que j'enchaînais les uns après les autres étaient de plus en plus sanglants et macabres. Durant quatre années, je fus sa seule et unique tueuse à gage. Du moins, jusqu'à mon arrestation. Je venais de faire une victime, une de plus. J'étais au courant qu'on me cherchait. La radio et médias en parlaient. J'étais connue dans tout l'Europe. Après mon meurtre, je m'étais assise devant le foyer de la victime. Le feu brûlait, comme je brûlais de rage dans mon fort intérieur. Haineuse envers moi-même d'avoir appelé cet homme, alors que j'étais si jeune et innocente psychologiquement. Je regardais mon bras gauche à la lueur des flammes, me relatant des souvenirs. Puis les sirènes retentirent. Des lumières bleues et rouges parcouraient les fenêtres de la demeure. Ils entrèrent et découvrirent bien sûr le cadavre de l'homme plutôt méconnaissable. Il était dévisagé par ma balle de sniper qu'il avait reçu en pleine fausse nasale. Au moins, il n'avait pas souffert. Comme la majorité de mes victimes. Les policiers s'approchèrent du foyer, arme en main. Ils étaient accompagnés de la sûreté nationale. Et tout un tas de monde qui faisait partie de l'autorité. Ils étaient au moins une bonne vingtaine dans la maison, sans compter ceux qui attendaient sagement à l'extérieur. De mes yeux dissemblables, je regardais le chef de cette embuscade. Il me donna des ordres, je les suivis sans protester, je ne pouvais faire autrement de toute façon. Ils m'attachèrent les mains à l'aide de menotte à quatre pour être bien certain que je ne me débatte pas. J'eu la promesse de comparaître.

Comme de fait, je comparue je fus juger coupable pour trois meurtres et soupçonnés d'une centaine d'autre. Condamné à la prison à vie. Mon avocat, je n'en avais pas, j'avais choisi d'accepter la sentence qu'on me donnerait. Prison à vie, ce n'était pas trop mal, simplement la pire que l'on pouvait avoir. Ils m'envoyèrent donc en prison, la plupart me refusèrent, ils optèrent donc pour la pire d'entre toutes : Sadismus Jail. Elle ne s'opposa pas et elle fut alors transférer dans cette prison.

Bienvenue Parmi nous ^^

Tout dabord, tout me semble parfait, il n'y a que ton avatar qui me pose problème. Je ne crois pas que ce soit un dessin non? C'est une véritable photo. Enfin j'attends ta réponse avant de valider, car pour moi je ne vois que ça comme problème ^^

Très belle fiche, c'est toujours agréable de voir de longues histoires ^^

Si ce n'est que l'avatar je peux le changer nimporte quand ;)
(Bref lundi, le changement sera fait.)

D'accord, car l'avatar doit être un dessin, merci ^^

Voilà j'ai changer mon avatar

Alors tout est parfait! Tu as une très belle plume c'est vraiment bien!

Alors tu es Validée. Tu es dans la cellule 5

Si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas! Tu peux aller poster ton premier message à l'entrée. Bienvenue parmi nous!