Sadismus Jail
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Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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 Je n'ai rien fait (Libre)

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Doll
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Doll


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MessageSujet: Je n'ai rien fait (Libre)   Je n'ai rien fait (Libre) Icon_minitimeJeu 29 Mai - 8:58

J’ai froid, je suis seule… Tu m’as abandonnée.


Je viens de me réveiller, dans cette cellule étouffante, insalubre. Cet endroit est pire que la maison médicale. Je suis fatiguée mais je ne peux pas dormir, entre ces personnes qui ronflent, les absents. Je me sens fragile. Pourquoi suis-je ici ? Je n’ai pourtant rien fait.

Je décide de me lever et tente d’attirer l’attention d’un garde. Je lui demande d’une voix suppliante de pouvoir sortir… J’ai bien trop envie de voir le ciel, de sentir un peu d’air sur mon visage. Il ne devait pas être bien beau à voir, mon visage.
Il me donne l’autorisation de sortir, je me précipite. Il me suit de près, comme si il avait peur que je m’échappe. Des voix, des gémissements… Cet endroit m’effraie. Pourquoi suis-je ici ? Je veux sortir. Je ne comprends pas, ce n’est pas ma maison de poupée.

Je sors, je suis déçue. La cour est un endroit horrible, le ciel est terne, l’air est crasseux. Tout respire le fade et la pierre sale.

Je me promène le long des murs, en évitant les vieux mégots, le trognons… Je suis dégoûtée par cet endroit. Pauvre Doll que je suis, comment suis-je arrivée dans un tel endroit. J’ai envie de mourir. J’ai envie d’être détruite, m’envoler. Pourquoi suis-je loin de chez moi ? Où est Grace ? J’ai envie de pleurer…
J’avance, les mains crispées sur mes vêtements. Il n’y a personne dans la cour. L’atmosphère est lourde, je ne sais si il fait chaud ou froid. Ma tête me fait un peu mal.
Je tente de trouver un filet d’air pur mais les murs coupent tout. Même pas un petit courant d’air.

Un bruit retentit à côté de moi, je fais un écart et me prend le pied dans une racine. Je chute lourdement au sol. M’asseyant sur le sol dégoûtant, je replie mes genoux et y met mon front. Je me mets à pleurer. Je n’ai pas eu mal mais mes nerfs sont à vifs, je ne comprends rien. Personne ne m’a expliqué ce que je fais ici. En plus, ils ne parlent pas ma langue. Les sanglots secouent mes épaules délicates et enfantines. Mes larmes ne sont pas bruyantes mais on peut m’entendre à quelques mètres, comme un souffle aigu et plaintif.
Mes vêtements sont sales, je me sens sale. C’est abject ici. En plus, je n’ai plus mes rubans, je n’ai plus rien.

On dirait qu’ils veulent me supprimer mes affaires personnelles, comme si cela affichait un risque. Je me sens comme enfermée, on dirait une prison. Mais pourquoi m’emprisonner alors que je ne suis qu’une petite fille ? Je n’ai rien fait de mal. Je ne veux causer d’ennuis à personne.
Personne ne parle finnois ici. Je suis isolée…
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Danyka Mikltov
147270 La Faucheuse
Danyka Mikltov


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MessageSujet: Re: Je n'ai rien fait (Libre)   Je n'ai rien fait (Libre) Icon_minitimeJeu 29 Mai - 9:14

[ Oyo. Je réponds. J'ai répondu. J'espère que ça te va ? n_n ]

Je peux comprendre toute sorte de chose mais certaines choses me dépassent. Par exemple, pourquoi enfermer des innocents ? Pourquoi est-ce qu’ils n’écoutent jamais les voix innocentes qui hurlent « Je n’ai rien fait » ? Oh, la justice de nos jours n’existe plus. J’ai finalement apprit que, même si j’avais été changé de cellule pour cause de comportement asociale, j’ai deux nouveaux copains avec moi, un certain Satoru et une jeune fille appelé Doll. Je l’ai vaguement croisé dans le couloir. Elle n’a pas l’air d’une vilaine prisonnière pourtant. Je viens tout juste d’aller manger. Maintenant, je n’ai rien à faire hormis aller marché dehors. Ce que je décide de faire finalement puisque je n’ai toujours pas retrouvé la trace de Carl dans la prison, sans doute est-il bien occupé. Je ne crois pas qu’il soit sortit. Penser à cela me fait certes mal mais il faut voir la vérité en face ; il a une famille et il est marié, mais personne de sort de Sadismus. Pas vivant tout du moins.

Cette pensé me fait frémir. Faudrait-il feindre une mort pour sortir de Sadismus ? Argh, ridicule ! C’est en sortant justement de mes pensées que je m’aperçois de l’habituelle ambiance crasseuse et peu accueillante de la cour. Bah, c’est comme ça, on ne peut pas avoir un jardin fleurie avec des papillons et un ciel bleu comme jamais en étant en prison. D’ailleurs, le ciel est-il bleu ailleurs ? Ici, tout est morne… Rien ne donne envie de rester dehors à regarder le ciel. En tournant la tête, je m’aperçois ne pas être seule dans la cour. Une autre personne se trouve là. Mais elle ne semble pas bien aller. Souffre-t-elle ? Est-elle perdue ? Je ne sais pas quoi pensé. Je ne suis pas très sociable et donc je ne sais pas si l’approcher serait conseillé pour ma propre personne.

Mais elle semble être si mal à l’aise, perdue, peut-être même peinée. Comment laisser une personne dans un tel état là, sur un sol aussi dégueulasse que celui d’une cour souillé d’on-ne-sait-quoi avec tout ce qui est propice de s’y passer ? Non, je ne veux pas laisser ça comme ça. Les mains dans mes poches, après avoir replacé mon manteau de cuir comme il le faut sur mes épaules, je resserre mon foulard avant de marcher progressivement vers elle sans démontrer que mon intention première était d’aller la voir. Je veux juste lui parler. Je ne veux rien faire de mal, juste discuter, savoir ce qui ne va pas, si elle est ici depuis longtemps. Les prisonniers chagrinés sont souvent ceux qui proclament leur innocence sans être entendu et finissent dans ce trou pourri…

Je ne peux pas juger celle-là par contre. Elle à l’air si fragile, peut-être que quelqu’un l’aurait simplement menacé. C’est en étant à quelques mètres que j’entends des couinements significatifs, des sanglots retenus. Elle ne veut pas être entendue entrain de pleurer ? Peut-être est-ce la meilleure solution. Elle devait penser être seule et elle est venue se réfugier dans la seule aire extérieure possible. En m’approchant, je reconnais Doll. Je ne lui ai jamais parlé. Elle vient d’arriver dans la cellule. Je l’ai juste entrevu en rangeant mes affaires. Je me tiens donc là, à quelques centimètres d’elle. Finalement, je prends la parole en restant debout.

- Tu n’as rien fais, c'est ça ?

C’était presque demandé sur un ton ironique. Mais j’avais demandé cela comme pour déterminé pourquoi elle pleurait actuellement. Ce n’était pas méchant. Ce n’était qu’une question. Elle était plutôt jolie et semblait douce, que faisait-elle dans une prison aussi sale que Sadismus ? C’était presque injuste juste à la regarder. Je ne m’étais pas pencher pour être à son niveau, je n’avais pas posé de main sur son épaule. Par respect. Les mains dans mes poches, j’attendais donc une réponse pour continuer le sujet de conversation. Peut-être m’avait-elle déjà vu après tout, peut-être sait-elle que je suis dans la même cellule qu’elle… Moi je le sais, ça ne veut pas dire qu’elle le sait…
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Doll
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MessageSujet: Re: Je n'ai rien fait (Libre)   Je n'ai rien fait (Libre) Icon_minitimeJeu 29 Mai - 17:28

Je suis sans doute sur le point de m’endormir, de m’éffondrer sur ce sol vraiment… Vraiment dégoûtant, restons corrects. Et cette odeur d’hôpital mal entretenu. Abandonné. Comme je le suis. Dans ma tête, c’est un vrai bazard. J’ai des bribes de bonheur, noyées dans un mazout de malheur. Les larmes ont séchées sur mes joues, si bien que j’ai l’impression que ma peau se craquelle. Les fesses par terre, j’aimerais mieux moisir dans un grenier plein de rats plutôt qu’ici.

J’ai cette étrange impression que je ne vais pas sortir d’ici vivante. J’ai vu peu de monde, mais ils avaient tous l’air déjà plus morts que vifs. Mes yeux s’étaient posés sur leurs visages absents, décharnés. Mais que faisait cette prison sur eux ? Je ne veux pas devenir des zombies, comme eux. Ils sont fades. Même si moi je n’existe pas vraiment, j’ai ma personnalité. Les larmes redoublent… Je ne veux pas devenir comme eux alors que je n’ai aucune raison d’être ici. Il y a du avoir une erreur. Ils vont me ramener chez moi, ou au moins, je vais revoir le docteur Grace. Elle m’a laissée tomber, elle a été vilaine avec moi aussi. Mes larmes coulent encore, sur mes joues froides.

J’entends un bruit derrière moi. Je ne bouge pas. Qu’on vienne m’achever si c’est ainsi, je préfère crever. Une odeur, féminine malgré elle. Pas un parfum mais un fin effluve sucré, légèrement boisé. Une femme, une gardienne véreuse ? Prête à lui prendre les seules choses qu’il me restait ? Pour ce qui me restait… Un médaillon bien caché et autour de mon ventre, une chaînette en argent, que personne ne voit non plus. Ca a une valeur sentimentale, surtout. Je n’aime pas cette sensation d’être observée. Je hais qu’on me passe au crible. Je tentais de calmer une crise de colère. Ce n’était pas le moment de me donner en spectacle. Pourtant, à ma tempe droite bat déjà ma veine si facilement affolée.

Des bruits de pas, je me crispe. Que veut-elle ? Je me mords la lèvre inférieure. J’ai l’impression de revoir cette gardienne, à la maison médicale. Elle me caressait lentement les épaules, je ne comprenais pas. Elle me touchait les seins, me mordillait, me disant que c’était comme un test pour voir comment je réagissais. Je ne disais rien. Je ne dis rien. Lorsque cette phrase retentit dans mes oreilles, ce ton ironique… Je relevais un regard presque vexé mais toujours aussi délicat vers la demoiselle. Son visage me revint vaguement en mémoire.


« Je n’ai rien fait. »

Je me relève, lui lançant un regard profond. Je ne sais pas ce qu’elle m’inspire mais en tout cas, pas que de la sympathie. Je fronce légèrement mes fins sourcils.

« J’ai comme l’impression que je vous connais… »

Sa voix très légèrement enfantine avait prit cet arrière goût de triomphe lorsqu’une petite fille trouvait la réponse à un jeu.


Dernière édition par Doll le Ven 30 Mai - 3:56, édité 1 fois
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Danyka Mikltov
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Danyka Mikltov


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MessageSujet: Re: Je n'ai rien fait (Libre)   Je n'ai rien fait (Libre) Icon_minitimeJeu 29 Mai - 18:41

Cette jeune femme doit avoir le même âge que moi environ. Je dirais, dix-neuf ans, pas plus. Mais elle parait si jeune. C’était impossible. Quoi que je ne peux pas tellement parler moi. Debout près d’elle, je la regarde, impassible, mais intérieurement, je ne suis pas si impassible, je ne l’ignore pas. Comment l’ignorer ? De toute façon, je ne serais pas venu jusque là si j’aurais voulu m’amuser à l’ignorer. Elle ne semble pas alaise avec des gens. Pourtant je ne veux pas lui faire de mal. Ce n’est pas mon but, elle ne m’a rien fait. Elle semble tellement fragile qu’une pichenette pourrait lui causer une ecchymose. De toute manière je ne veux pas m’attirer de problèmes. Carl m’a fait comprendre que les personnes violentes pouvaient avoir un cœur et je ne veux pas rester dans le noir de cette citation.

Elle s’aperçoit de ma présence et relève la tête. Elle me regarde comme un enfant regarderait son parent qui lui avait retiré son jouet préféré sans raison, c’était presque dérangeant. La demoiselle possède une apparence soigné malgré l’était piteux de ses vêtements sans doute magnifiques à son arrivé ici, rha, Sadismus gâchait la vie de tous. Elle semble me reconnaitre, je le vois dans ses yeux profonds et noirs, des yeux qui rappellent ceux des poupées que je voyais dans les magasins. Elle murmure alors qu’elle n’a rien fait, autrement dit elle acquiesce mes paroles. Je la regarde toujours sans bouger alors que la jeune fille se redresse dans toute sa grandeur.

L’inconnue est plus grande que moi d’environ huit centimètres. Mais je ne suis pas impressionné. La grandeur n’a rien de bien dérangeant pour moi. On peut être impressionnant simplement avec notre caractère. Comme moi. Elle me regarde toujours jusqu’à me dévisager en disant qu’elle avait l’impression de me connaitre. Elle me vouvoyait. Wow, une prisonnière de Sadismus bien éduqué ? Je ne sais quoi penser. Devais-je me croire chanceuse d’avoir une camarade de cellule aussi ponctuée ? Le timbre de sa voix laissait croire qu’elle voulait une réponse affirmative. Oui je te connais. Voilà ce que je dois dire. Je l’ai vu dans le couloir, la veille, une mine dépité, attristé d’être dans un tel trou-à-rat. Je la comprends, tellement.

Qui voudrait être ici ?

Je ne voulais pas être ici au début. Personne ne veut être ici. Une fois entré, on ne sort pas. Elle semble le savoir. Sa mine triste me laisse deviner qu’elle pleurait à l’instant, des larmes coulent encore sur ses joues sans imperfections, comme celles d’une poupée. Un peu plus, et je pourrais croire qu’elle est en porcelaine. Je n’ose pas la frôler, la toucher. Je préfère rester à une distance respectable. Pensait-elle que j’étais une vilaine gardienne venu lui faire comprendre de ne pas sortir ? Nah, c’était stupide. Je ne lui veux pas de mal. Mais en premier lieu, je pense que lui répondre à cette affirmation serait juste. Je la regarde donc, avant de parler d’un ton neutre, un ton dont je suis la seule à connaitre le secret.

- Je te connais moi. Tu es dans la même cellule que moi. La trente. Je suis Danyka. Je t’ai vu hier dans le couloir.

Je ne voyais pas trop quoi dire et ce genre de situation me dépassait. Je ne suis pas très bavarde. Mais je veux lui parler pour rester polie et lui faire comprendre qu’il n’y a pas que des monstres dans cette prison infernale. Je ne suis pas un monstre, je le sais. C’est une grande cage, Sadismus. Une énorme cage dont les oiseaux ne sortaient pas. Nous sommes tous des corbeaux dont les ailes ont été coupées une fois arrivé ici. On ne peut donc pas sortir. C’est injuste. Songer faire des bonnes actions ne servaient à rien puisqu’on ne sortirait pas d’ici. Pas vivant. Le sait-elle ? Craint-elle de ne pas sortir vivante ? Je la sens nerveuse…

Pourquoi tant de nervosité. Sans doute le fait qu’elle soit nouvelle et qu’elle ne connaisse personne. Elle me connaitra moi. Je ne sais pas comment est notre nouveau compagnon de chambre, ce pseudo-Satoru. Il n’a pas l’air commode selon les rumeurs qui courent dans la prison. Je ne vais pas lui en parler maintenant. Elle semble assez incertaine comme ça, pas besoin d’empirer son cas. La demoiselle devant moi a des allures de poupée… Des allures que je trouve d’ailleurs très jolie. Mais elle n’a pas de ruban ni de sourire innocent. Elle semble triste. Une poupée triste. Un visage de cire figé sur une expression de tristesse. Pourquoi, pourquoi, dis-moi ?

Mes pensées restent ainsi figées. Je ne lui poserai pas de question. Mais je veux la connaitre, je veux savoir pourquoi elle pleure, pourquoi elle semble si triste. Est-elle abandonnée ? Peut-être est-elle comme moi, personne ne l’attend à l’extérieur de ces barbelés. Je ne veux pas la blesser moralement, je ne lui parlerais donc pas de ce qui pourrait peut-être l’attendre à l’extérieur. Mais je veux dire autre chose qu’une vague présentation ambigüe. Je décide de tout d’abord la rassurer sur l’hostilité des lieux. C’est dangereux oui, mais il ne faut pas trop se fier aux apparences. Nous ne sommes pas tous comme ça, nous ne tuons pas tous sur un coup d’impulsivité. Et elle doit le savoir. Je prends donc une inspiration, et je parle, nonchalante.

- Tu sais, tu n’as pas à t’en faire. Je ne te sauterais pas à la gorge. Et ce n’est pas tout le monde qui va le faire. Alors, pourquoi es-tu ici ? Tu n’as peut-être rien fait mais tu dois bien savoir pourquoi tu es ici, n’est-ce pas ?

Le ton de ma voix a changé du tout au tout pendant cette phrase. Je suis passé de neutre à concernée…
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