Dossier médical
Nom & prénom- Rurisk Kettricken
Sexe- masculin
Âge- 25 ans
Traits physiques- Plutôt grand mais mince, je ne peut pourtant pas passer pour maigre. J’ai les cheveux noir corbeau (un animal sympa le corbeau) assortis d’yeux rouge sang et d’une peau plutôt pâle ce qui me donne un air légèrement sinistre. On me dit souvent que si j’avais les cheveux pâles je pourrais passer pour un albinos… je me les teindrais peut être un jour pour voir. Mes cheveux sont coupés courts et la plupart du temps en bataille avec une mèche qui obstrue légèrement ma vision car je me soucis bien peu de les coiffer, ils le font naturellement.
Taille- environ 1m95
Poids- 63 kg
Handicap ou maladie physique- aucun
Autres- J'ai un adorable tatouage de sang qui forme un serpent ondulant de ma hanche gauche à mon épaule droite. Ce fut très douloureux à dessiner mais ça en valait la peine je pense.
Dossier psychologique
Qualités- Me voici devant un grave dilemme, ce que je considère comme des qualités est considéré par la majorité bien pensante comme des défauts et inversement donc comment classez. Bon comme c’est un dossier administratif cédons à cette fameuse majorité. Je suis extrêmement efficace, quand je me fixe un objectif je l’atteins en général rapidement. Il m’arrive de laisser attendrir légèrement par une poupée qui me plait particulièrement (rassurez vous c’est une faiblesse bien passagère, j’ai vraiment du mal à le considérer comme une qualité).
Défauts- Je suis cruel et ça m’amuse beaucoup, je suis sadique quoi. Une fois que j’ai trouvé une proie qui me plait je ne lâche pas prise avant d’avoir eu ce que je voulais ce qui laisse le plus souvent la dite proie à l’état de loques sanguinolentes.
Aime- J’aime beaucoup les corbeaux allez savoir pourquoi. Sinon j’aime beaucoup mes poupées à ma façon. J’aime les entendre hurler, supplier, pleurer, lire la peur dans leurs yeux et toutes ses sortes de chose. Au fur et à mesure que le temps passait j’ai affiné mes préférences et me suis découvert une passion pour deux choses. D’abord et avant tout j’ai une attirance déraisonnée vers les couteaux et autres outils tranchants mais principalement les couteaux. Deuxièmement le feu et les brûlures font mon délice (sur les autres bien entendu ne me prenez pas pour un de ces masochistes bons à enfermer !).
N'aime pas- Que mes poupées résistent, en fait si j’aime puisque comme ça je peux les punir de leur insolence après mais il ne faut pas que ça dépasse le raisonnable. Je n’aime pas non plus devenir une proie, enfin jusqu’ici ça ne m’est jamais arrivé et je fais tout pour que ça dure mais je sais que je n’aimerais pas du tout… ou peut être que si finalement. En fait il y a une seule chose que je déteste profondément au-delà de tout changement, comme j’aime les corbeaux au-delà de tout changement, c’est les grenouilles.
Comportement avec les gens- Je suis froid et asocial avec les gens avec lesquels je ne peux pas m’amuser. Je m’amuse avec les autres, ce qui le plus souvent ne les amuses pas du tout. Il existe cependant des personnes particulières qui sortent de ces deux catégories. Quand je sens que quelqu’un me ressemble je suis tout de suite beaucoup plus sociable avec lui, de même avec les gens ayant des choses à m’enseigner sur ma pratique favorite. Et enfin il y a les gens qui pour moi se démarquent d’une façon ou d’une autre comme ça parce qu’ils me plaisent bien, ils peuvent alors soit souffrir bien plus longtemps soit ne pas souffrir du tout et parfois des variantes. Tout dépend principalement de mon humeur du moment car j’ai dans l’ensemble un comportement assez imprévisible.
Valeurs- niet
Tics- Aucuns ou alors je ne m’en rends pas compte mais dans ce cas là je peux difficilement le marquer n’est ce pas ?
Handicap mental- aucun
Passé- Je suis né dans une famille des plus banale et des plus ennuyeuse. Avec une mère femme au foyer qui se rapprochait de la poule tant pour ce qui est de la protection acharnée que pour ce qui est de la ponte puisque j’ai deux grandes sœurs et un grand frère et qu’elle en a pondu encore pas mal après moi et un père honnête travailleur, ouvrier dans une usine rarement présent à la maison puisque poivrot de son état. Je garde peu de souvenir de ma petite enfance à part que mon grand frère cessa définitivement de me taquiner le jour où en représailles je lui plantais profondément ma fourchette dans la main. Il parait également que j’avais l’habitude d’arracher les ailes ou les pattes des insectes mais je ne m’en souviens pas bien, c’est ma mère qui me l’a raconté plus tard en me disant combien elle était soulagée que j’ai cessé. Si elle savait qu’en fait j’avais simplement trouvé des jouets plus intéressants, je lui dirais peut être un jour pour voir si elle fait un infarctus. Mon premier souvenir clair c’et le jour où j’ai trouvé le cadavre de mon père dans une ruelle avant l’aube. Il avait probablement trop bu une fois de trop, sur le moment je me fichais de la cause de sa mort. Je l’avais trouvé le premier, jusqu’à ce que quelqu’un d’autre arrive il était pour moi seul. J’ai donc expérimenté un certain nombre de chose, le corps humain vu de l’intérieur me fascinait. La seule chose qui m’a déçu ce jour là c’est le manque de réaction de ma poupée, j’avais beau tout lui faire il ne réagissait pas… De fait c’était moins amusant.
Je n’ai pas vu le temps passer et j’ai été surpris par une ménagère qui passait par là aux alentours de midi. Fort heureusement pour moi elle me trouve figé dans la contemplation de ma poupée. On en conclut donc qu’un tueur en série particulièrement cruel s’était acharné sur mon père et que de l’avoir trouvé dans cette position m’avait paralysé. J’appris un nouveau mot : cruel. Et surtout une leçon très importante, ce que l’on faisait n’avait pas d’importance du moment que personne ne le savait. J’avais alors environ 10 ans et dès lors des événements étranges se produisirent dans le patelin. D’abord des disparitions d’animaux de compagnies le plus souvent non retrouvés ou retrouvés horriblement charcutés d’après la police. C’était très amusant de jouer avec ces nounours mais d’un autre côté c’est les grandes ou petites poupées que je préférais tout de même. Malheureusement dans un si petit patelin une disparition humaine aurait entraîné de trop vigoureuses recherches, même si pour l’instant presque tous étaient persuadés de la présence d’un esprit malin. Même si la statue qu’ils érigèrent étaient d’une laideur remarquable, elle était source d’un perpétuel amusement pour moi.
Pendant ce temps mon frangin c’était mis à travailler comme mon père puisque c’était l’aîné et que c’était donc lui maintenant l’ « homme de la maison », tandis que ma sœur filait un parfait idylle avec une aiguille puisqu’elle était devenue couturière pour aider elle aussi. Mon autre sœur avait sans doute un minimum de jugeote puisqu’elle préféra se passer d’idylle et se marier avec un gars du coin qui ressemblait d’ailleurs admirablement à une grenouille du coin histoire d’échapper à cet enfer. Tout le village exception faite de son mari connaissait son amant, un jeune homme d’affaire de la ville qui faisait souvent escale dans ce trou paumé pour… affaires. Elle gagna ainsi mon estime. Je résolus d’à son image trouver un moyen de ne pas me retrouver à faire le même geste toute la journée pour le reste de ma vie. Mais n’étant pas une femme je ne pouvais espérer m’en sortir par un mariage je me mis donc sérieusement aux études et mes notes regrimpèrent en flèche. Ce qui eut deux conséquences, une plaisante l’autre bien moins. Le problème venait du fait que ma mère décida de me choyer encore plus qu’avant me faisant crouler sous le poids de ses bonnes intentions au point que j’ai craint l’étouffement par moment. Mais le résultat positif fut là je me tirais deux ans plus tard pour poursuivre mes études à la capitale.
La capitale était un merveilleux endroit rempli de poupées pour lesquelles personnes ne s’inquiétait quand elles disparaissaient, un vrai bonheur. Mes études générale finies je commençais des études de médecine, désireux d’en apprendre davantage sur le corps humain et surtout sur ses nerfs… Un soir où je me promenais paisiblement dans la paix du soir à la recherche d’une proie me permettant de briser cette fameuse paix à l’aide de hurlements, je fus témoin d’un meurtre. Jusque là rien de bien traumatisant me diriez vous et vous auriez raison. Ce qui m’interpella et me fis m’intéresser de plus près à cette affaire fut que lorsqu’une femme apparue au coin de la rue, elle ne se mit pas à crier au meurtre et à rameuter tout le quartier pour arrêter le meurtrier. Bien au contraire sous mes yeux ébahis elle se précipita vers l’assassin pour lui demander si il avait mal quelque part, l’aider et le congratuler. C’est là que je m’aperçus de l’uniforme du dit meurtrier. Le reste de la police arriva ensuite (en retard comme d’habitude, c’est agréable de pouvoir faire confiance aux flics pour être incompétents), et moi j’appris un nouveau mot merveilleux : la légitime défense. Bon bien sûr on peut difficilement torturer quelqu’un et arguer de légitime défense mais c’est mieux que rien.
Je fus donc pris d’une subite vocation pour la police. Ma mère qui me voyait très bien médecin de campagne en fut désolée mais elle reprit bien vite du poil de la bête en me voyant grand défenseur de la justice… un jour il faudra vraiment que je vois si j’arrive à lui faire avoir un infarctus rien qu’en lui parlant... J’abandonnais donc mes études médicales en cour de route pour endosser un joli une uniforme (enfin tout est une question de goût personnellement je le trouve ignoble) qui m’ouvrit d’autres possibilités mais je n’était toujours pas satisfait. A 23 ans je démissionnais au grand désespoir de ma famille pour aller habiter dans un vieux manoir en compagnie d’un vieux fou qui avait beaucoup à m’apprendre sur l’art de faire hurler les poupées. Enfin beaucoup, nul savoir n’est inépuisable et il mourut un jour de mai… j’y étais effectivement peut être allé un peu fort mais bon il était trop vieux aussi impossible de tester tout ce que je voulais sur lui. Je refis alors surface parmi les vivants et hésitait à m’engager dans l’armée pour voir si les rumeurs selon lesquelles les soldats usaient fréquemment de torture étaient vraies. C’est alors que j’entendis parler de Sadismus, un endroit parfait pour poursuivre mon apprentissage. Je postulais alors comme gardien.
Autres- J’ai dans l’esprit l’idée de trouver une poupée parfaite que je pourrais faire souffrir jusqu’à ma mort tout en en ayant d’autres bien sûr. Pour l’instant je n’en ai pas trouvé.
Dossier d'emploi
Matricule- 5655
Rôle dans la prison- Gardien
Chambre no. Rang- sadique versatile
Armes- Ma précieuse collection de couteau bien sûr ! Je ne promène jamais sans en avoir un ou deux. Mon briquet peut-il être considéré comme une arme ?
Personnage sur l'avatar – excellente question
Et voilà je suis de retour tremblez pauvres mortels XD
J'ai pas changé grand chose à ma fiche en fait et j'ai retrouvé mon avatar après de longues recherches