Et encore un! [LIBRE]

Invité

« Alekzander Trak est coupable ! Il ira dans la prison de Sadismus par ses crimes commis ! »

le juge n’a pas franchement été sympa avec moi. Il aurait put être plus doux avec un mineur quand même ! Bon d’accord, j’ai tué, volé et fais des trucs pas terribles mais quand même ! Bref, pour l’instant je suis dans une petite cellule d’un commissariat de quartier. Rien de bien méchant. Je pourrais m’évader si je n’avais pas ces saletés de menottes qui me serrent les poignets. Je suis assis et essaye de défaire mes liens. Avec une épingle à nourrice peut être. Mais non, ça ne sert à rien. De toutes manières, même si je sortais de cette cage, comme m’en aller du commissariat. Elle est bourrée de poulets ! Ah ! On vient me chercher. En effet, un policier en uniforme se dirige vers moi il arrive devant ma cellule et commence à causer.

« Ah ! C’est à ça que ressemble le petit génie ! Bon allez en route le bandit, on t’emmène dans la superbe prison de Sadismus !

-Cool, tu peux pas savoir à quel point ça me fait plaisir…

-Tu sais que tu dois être vachement fort pour pouvoir entrer dans Sadismus qu’à dix-sept ans !

-Ouah, merci du compliment. Bon, on me sort d’ici ou pas ? Je n’ai pas tellement envie de poireauter ici pendant quatre ans.

-Yep ! C’est bon allez sors ! »

Tout de même ! La porte s’ouvre et on m’escorte jusque le parking du bâtiment. Il est noir, pas vraiment frais, bref, un parking comme tout ce qu’il y a de plus normal. Deux policiers me font entrer dans une sorte de fourgon, et me tiennent compagnie derrière. Ils m’attachent relient mes menottent au sol et font de même avec mes pieds. Devant, deux autres policiers montent. Cool, c’est la classe, bon on m’emmène où déjà ? Ah ! Oui c’est vrai, je m’en souviens, à l’aéroport. Un avion m’attend pour l’Allemagne. Après, si je me souviens bien, une camionnette semblable à celle-ci m’escortera jusqu’à la prison. Ca promet d’être long.

Bref, rien que le trajet jusqu’à l’aéroport dure une heure. Bon ça va c’est tranquille. Je discute avec mes gardes. Bah quoi ?! Ils ne me l’ont jamais interdis, et puis, on s’éclate alors franchement je ne vois pas où est le mal. Ah ! On est arrivés. On me fait descendre du fourgon et on m’emmène dans l’avion qui est prévu pour m’emmener en Allemagne. Bon douze heures de vols, je pique un petit somme.

Mmmh ? Quoi ? On est arrivés ? Cool ! Je n’ai fais que roupiller pendant le trajet, j’ai pris du repos et tout ça ! Ca fait du bien. Bon je ne m’étais pas trompé, une camionnette m’attends, mais cette fois, c’est beaucoup moins drôle. Mes escorteurs ont une sale tronche et ne rigole pas. Ils sont froids et pas très sociable, dommage. Et là ! Ce n’est plus les simples menottes, limite, ils me mettent la camisole. Purée ! Je ne suis pas dingo moi ! Juste un simple adolescent qui a fait ce qu’il voulait de sa vie ! Tsss…

Le trajet est beaucoup plus long, enfin, il me semble, mais, même si mes gardes ne me parlent pas, ils se parlent entre eux. Et, ils pensent que je ne suis qu’un sale débile. Ils croient quoi ? Que je ne parle pas Allemand ? Mon père l’est d’origine alors bon, j’ai appris ! Et je comprends parfaitement ce qu’ils disent ! Moi ?! Un sale gosse ?! Tu vas voir ce qu’il te fait le sale gosse. Hein ?! Perturbé mental ?! Mais non ! Pas du tout ! Alala ! Ils sont énervants à la fin !

Dehors, il tombe des cordes, la pluie frappe sur les fenêtres, c’est alors que je m’aperçois que je suis bien loin de mon pays. Bah ! Je vais bien m’y faire un jour. Le fourgon se stoppe, on me traîne dehors sans délicatesse. Un des gardes arrive devant le portail et demande qu’on l’ouvre. Moi, j’observe. De grandes portes métalliques, du barbelé, à première vue, aucune chance de sortir.

J’entends le crissement des portes, elles mettent au moins une ou deux minutes pour s’ouvrir et, à l’intérieur, une personne dont je ne vois que la silhouette, qui cela peut il bien être ?

[C'est moi vient te répondre ! Si tu n'en vois pas d'inconvénients ^^]

"Bip! Bip! Bip! Bip" Le réveil sonna. Ah! Mais c'est quoi ça ? "Paf!" Plus de réveil matin. Silence. Cela faisait une semaine que j'étais ici, privé d'heure de sommeil normal, mon corps n'ayant pas apprécié le changement d'environnement aussi soudain, ne me laisse pas dormir à l'heure voulu. Mais le réveil lui, ne ce gène pas pour me réveiller à l'heure ! Bon ok, je m'emporte, ce n'est rien... Je vais me lever et me prép...

Finalement, je me suis endormie de nouveau. Je me suis réveillé beaucoup plus tard, et pue récupéré quelques heures de sommeils. Là je me préparerait pour de vrai. Vêtue de noir, comme toujours, jupe courte, corset, veste. Tout est parfait pour moi, même pas besoin de me peigner les cheveux, une queue de cheval m'es amplement utile.
je sortie de ma chambre et me dirigea vers mon bureau, l'infirmerie. J'y fis mes mouvements habituels, prendre ma valise, regarder si on m,avais laisser une note et repartie. Mais aujourd'hui, je ne me contenta pas de rester dans la prison. Je décida d'aller faire un tour à ses portes. Peut être qu'un nouveau détenu arrivera ? Ou simplement je pourrais me reposer un peu, de toute façon, je suis facilement trouvable.

j'entamai ma marche vers la sortie. je faisais des pas réguliers, ma valise de premier soin à la main et arriva finalement aux portes. Un garde qui me savait du personnel me dit qu'il y avait un nouveau prisonnier, pour finir, il me donna le dossier de celui-ci que je regarda brièvement. "Meurtres, contrebandes, vols..." Le classique quoi ! Je ne pris pas la peine de regarder son nom que je sortie pour, comment dire "l'accueillir" dans cette horrible prison.

Quoi !? C'est ça le nouveau détenue ? Il semble pas un peu trop jeune ? Surtout pour avoir commis des, meurtres ? "Gloups" Je ne suis pas si sûre que ça finalement si je veux l'accueillir, oh! et puis tant pis, j'ai une arme sur moi, je m'en servirai si j'en ai besoin, j'espère que ça 'arrivera pas.
Je m'approcha à quelques pas de lui, le fixant de la tête aux pieds comme s'il était un produit dans une vitrine. j'amenai une mèche de cheveux derrière mon oreille, puis posa mes yeux sur les policiers. Je pris un moment avant de leurs dire :

Enlevez lui la camisole et ses menottes aux chevilles.

Mon ton de voix laissaient les policiers bouche-bé. je suis petite, svelte et sans défense, et je demande ça ?

Mais...mais, mademoiselle ...?

Ils hésitèrent un bon moment avant de faire ce que je leurs avait ordonné. Mais ils le firent tout de même et l'un d'eux dit avant de partir :

Bonne chance avec lui !

Pas besoin de leur répondre, ils étaient déjà dans leur voiture. Je m'adressa ensuite aux détenu :

Dit, tu te nommes comment ?

Invité

Je suis devant la porte, à attendre. Qui viendra donc me chercher ? Une femme ? Un homme ? Un prisonnier ? Un membre du personnel ? Qui ? J’ai bientôt la réponse, sous la pluie battante, qui plaque mes cheveux sur ma tête. Je sens les policiers qui me poussent par une pulsion dans mon dos. J’avance alors, d’un pas, deux pas, je perçois alors un peu mieux la silhouette. C’est une femme, d’une vingtaine d’années je dirais. Fine, relativement petite, enfin, toujours plus petite que moi.

Elle demande à mes très chers gardes de m’enlever ma camisole. Tout de même ! Merci bien ! J’en avais un peu marre moi de ce fichu habit ! Mes menottes aussi ? Cool ! Ah !, juste ceux des chevilles ? C’est déjà ça. Elle a l’air sans défense, elle a l’air. Mais je me méfie, ne jamais se fier aux apparences. Elle doit être armée, j’en suis pratiquement sur. Les policiers s’en vont, presque précipitamment, ils ont peur de moi ou du bâtiment ? Bonne question. Bref, la fille m’adresse la parole et me demande mon nom.

Quoi ?! Elle n’a pas prit la peine de regarder mon dossier ? Tss, j’vous jure, quel manque de sérieux ! Peut être qu’elle y a jeté un coup d’œil pour voir mes crimes. Ils ne devaient pas être si terribles, je parie que c’est courant ici. Bref, je la regarde, de mes yeux fins, sans vraiment d’expression. Je lui répond d’une voix qui n’est pas celle d’un meurtrier juste celle d’un adolescent, tout ce qu’il y a de plus normal.

« Je m’appelle Alekzander Trak, mais personne ne se donne la peine de dire mon nom en entier. Merci pour la camisole et les menottes au fait. »

J’ai vraiment l’air d’un ado comme ça. Mais j’ai finis l’école depuis plus d’un an. Bref, maintenant que les portes sont ouvertes je regarde la prison. Elle est sobre, pas très accueillante, une prison out ce qu’il y a de plus normal. Mais, si je me rappelle bien, cette prison est réputée pour qu’il y ait tous les malades mentaux, et les criminels de la pire espèce ici. Mais…ça veut dire que j’en suis un aussi ?!

Où est ce que je suis tombé bon sang de bois ? Mais bon, je crois que j’ai mérité de venir ici. De toutes manières je m’en fous, je me suis bien éclaté. Et puis, j’ai mené mes études à termes, et ici, je pourrais toujours réfléchir pour je ne sais quoi. Je secoue un peu ma tête, histoire de sécher un peu mes cheveux et qu’ils ne restent pas plaqués sur mon crâne. C’est que ce n’est pas très agréable.

« Désolé, mais pourriez vous m’expliquer le fonctionnement de la prison ? Je n’aime pas tellement chercher des ennuis, alors je pense que ne pas faire trop de conneries ça m’avancera toujours. Et, je suis obligé de garder ces menottes aux poignets ? »

Je m’avance encore un peu pour ne pas rester trop près des portes, quelqu’un a donner le signal pour qu’elles se referment et je ne tiens pas tellement à être écrabouiller entre les deux. Je suis à présent à quelques mètres de la jeune fille, ni trop près, ni trop loin, pile la limite entre les deux que chacun doit respecter. Je ne veux pas avoir l’air trop oppressant, ou dangereux. Je sais que je le suis, mais je ne suis pas idiot au point de le montrer.

Si je me montre trop énervant envers un membre du personnel, ou même envers un prisonnier, je risque gros. Je ne veux en aucun cas m’attirer des ennuis.

Je continue de le fixer de la tête jusqu'aux pieds. Je n'en reviens toujours pas qu'on puisse enfermé quelqu'un d'aussi jeune dans une prison comme celle-là. Je n'ai pas vraiment l'air stupéfaite physiquement, mais intérieurement, je le suis énormément. Mais avouons-la que c'est pas courant un jeune qui ce fait exporter d'une autre prison pour venir ici. Du moins, il me semble. En faite moi je n'en n'enverrais pas, ils sont jeunes, ils peuvent encore changer. Ok, celui-ci avait fait un meurtre, c'était autre chose, mais je n'ai pas pris le temps de lire le dossier au complet, peut être qu'ils étaient involontaires, de ce côté là, j'en doute.

Je lui esquisse un bref sourire. C'est vrai, il ne semblait pas si dangereux alors pourquoi l'empêcher de marcher avec des menottes aux chevilles et de bouger avec la camisole. Je me retourne et lui envoie un signe de main pour qu'il me suivent. Mes pas n'étaient pas rapide, on pourrait même dire lents. En plus, je n'était pas très prudente de me retourner, il n'avait que des menottes aux poignets, en quelques secondes d'inattention et je pourrait me faire abattre. Et puis, je m'en fiche, je ne trouve pas qu'il à l'ai méchant, je m'en fiche, au pire je me ferais tuer.

Il ce met à parler. C'était une bine bonne idée de ne pas chercher les ennuis, mais il n'était pas un peu trop tard là ? Il fallait y penser avant si ut ne voulais pas d'ennuis ici, car si tu es ici tu en auras forcément...

Je pris le temps d'y réfléchir un moment avant de lui répondre, depuis peu de temps que je suis ici je ne sais pas parcoeur qu'es-ce qu'il faudrait qu'il ne face pas. Mais j'avais quelques idées.

Essayer de ne provoquer personne, surtout qu'ici il y en a des complètement dégenté, s'il fallait qu'ils vous tombent dessus, vous seriez dans le trouble.

Je fit une petite pause pour pensé à ce que je dirais ensuite.

Ne pas faire de conerie aussi vous sauverais quelques ennuis. Le personnel à tout, ou presque tout, les droits sur un prisonnier. Il vous faudra obéir à leurs ordres, sinon vous le regretterez.

Bon, maintenant, es-ce que je lui enlève ses menottes, ça serais bien, peut être pas non plus. Je ne sais pas ce qui pourrais m'arriver. Ôh et puis de ça aussi je m'en fiche !
J'arrête mes pas et me retourne vers lui. Je prend entre mes mains la chaine qui unies les deux menottes et la tire près de mon visage. Je ne suis pas très sûre de savoir comment ça marche, en plus de ne pas avoir les clés. Je regarde un peu comment elles sont faites, c'est un modèle assez simple à enlever. J'ouvre ma valise et en sors une petite lame, un scalpel. Ce n'était pas fait pour ouvrir des menottes, mais devrait suffire. Jusque après je ne pourrais plus m'en servir. Je referme la valiser et reprend les poignet d'Alekzander. Je glisse la lame où devrait être inséré les clés et je réussis facilement à l'ouvrir. Je fait la même chose avec l'autre.
Les menottes tombent parterre, un bruit de métal qui s'entrechoqua ce fit entendre. Le prisonnier avait les mains libres maintenant, à mes risques et périls maudit que j'ai été idiote de faire ça. Je me remis à marcher et je lui parlai en même temps :

Voila t'as plus de menottes aux poignets ! Mais sois quand même sage sinon c'est moi qui aurais des ennuis.

Invité

Ils abusent quand même ! Pourquoi les gens m’ont-ils mit dans une prison aussi…effrayante que Sadismus ! J’ai lu un article de journal dessus, il parlait d’un prisonnier qui n’en pouvait tellement plus qu’il s’était suicidé. Je le plains, mais bon, heureusement que je suis de nature combatif ça ne va pas être les gardiens ou même les autres détenus qui vont me faire flipper. Ah ! Tiens, la fille se retourne et me fait signe pour que je la suive. Je me demande ce qu’elle est dans la prison. Gardienne…non, elle n’en n’a pas l’air, je dirais infirmière à la limite, ouais, ça lui va bien.

En tous cas, elle est bien imprudente, se retourner alors qu’il y a un détenu juste derrière elle, c’est tout sauf prudent. Mais bon, je ne suis pas un bête sauvage, je suis plus branché informatique même si la baston ça me va aussi, je ne dis rien et ne fais que marcher derrière elle. Tiens, c’est vrai qu’en disant que je ne veux pas avoir d’ennuis, il aurait mieux valu que je ne fasse pas ce que j’avais fais. Mais bon, c’est toujours marrant. Et puis, je ne m’attendais pas à ce que la banque nationale soit si facile à pirater ! Franchement ! Ils manquent de rigueur ! Ah ! Elle m’a quand même répondu, en marquant une petite pose entre deux phrases.

Là ! Qu’est ce qu’elle a dit ?! J’espère avoir mal entendu, j’espère, au sinon je vais péter un câble ! Ne provoquer personne, OK, je ne suis pas con à ce point. Ne pas faire de conneries…d’accord, je m’abstiendrais au maximum par contre, obéir aux ordres des gardiens ça ne va pas être possible ! J’ai toujours détester, et je déteste encore l’autorité, quelle qu’elle soit. Je l’ai toujours fuie et je la fuirais toujours. La preuve, les profs qui osaient me donner des ordres, ils ont tous finis en dépression tellement je les avait énervés, les surveillants j’ai dû en envoyer pas mal à l’hosto, je ne compte pas obéir aux gardiens, ça non.

« Presque tous les droits hein ? OK, je m’en souviendrais… »

Qu’est ce que j’ai dis ? Pourquoi s’arrête-t-elle de marcher ? Elle se retourne et marche vers moi. Me prend les menottes et les examines. Que compte-t-elle faire ? Les enlever ? Elle n’a même pas la clé ! Mais si elle le veut vraiment, je peux lui dire comment faire. C’est tout simple, c’est vraiment incroyable comme les forces de polices sont imprudentes d’attacher des criminels avec des jouets pareils. Mais, je ne dis rien, je ne veux pas avoir l’air de vouloir absolument me débarrasser de ces menottes.

La fille sort d’un sac un scalpel. Aucuns doutes maintenant, je suis sur que c’est une infirmière, on ne se trimballe pas avec un scalpel comme ça. Elle glisse la lame dans la serrure et les menottes, s’ouvrent. Chouette ! L’est sympa la fille ! Mais elle a l’air de regretter, bah ! Faut pas, je ne suis pas cinglé à ce point ! Je la rassure un peu car après la phrase qu’elle a dit…

« Ne vous inquiétez pas je ne compte pas vous faire de mal, je n’ai pas d’armes sur moi, et vous avez une superbe valise avec des scalpels et autres, et je suis pratiquement sur que vous avez au moins une arme sur vous, donc je ne suis pas fou au point de vous blesser. Et, je vous l’ai dis, je ne veux pas d’ennuis inutiles tout ce que je vais faire c’est… »

Je mets ma main dans ma poche et sort un objet, il scintille légèrement avec le début de soleil, eh non ! Je vous ai fait peur hein ?! Ce n’est pas une arme, juste un style. Avec mon majeur je fais une petite pression sur le stylo qui fait le tour de mon pouce, de mon autre main, je sors mon carnet. Celui où j’écris tout ce qui pourra me servir. J’y note tout ce que l’infirmière vient de dire, ainsi qu’autre chose. Comme, par exemple, le système d’ouverture et fermeture des portes, les caméras que j’ai repéré…

La chance que j'ai eu de ne pas tomber sur un prisonnier fou furieux ! En me retournant j,aurais pu me faire sauté dessus, mais j'y ai penser seulement après l'avoir fait, je suis pas encore habitué à travailler avec des prisonniers. Ça arrive des erreurs dans un nouveau domaine, quoi que lorsque je me retrouverai moi même à l'hôpital pour m'avoir retourner de nouveau je ne dirais plus ça... J'avais bine un pistolet pour me défendre, mais q=comme je suis, je n'oserais jamais l'utiliser, et ne plus ses bêtes de remettre des armes dans les mains de n'importe qui, comme ça, sans permis de port d'arme, en plus c'est pas fort je sais même pas comment ça marche. Ils croyaient peut être que je me défendrait mieux avec mes scalpels et mes stéthoscope hein ? Les scalpels sa peut marcher, mais pour le reste...

En plus d'enlever ses menottes, j'ai trop tord de me faire avoir par les apparences, mais je ne me ferais pas à l'idée qu'on puisse enfermé des personne aussi jeune dans une prison aussi horrible. Nah mais verrais-tu les parents voir leurs fils de dix-sept ans entré dans une prison dont il ne ressortira jamais ? Si je me mettais à leurs place, je ne sais pas ce que je ferais...

J'ôte ses idées de ma tête, je ne devrais même pas avoir ce genre de pensés, si ça faisait ça à chaque prisonnier ne bas âge ça ne marcherais pas fort fort pour moi. J'aurais peut être dû resté dans mon bureau, j'ai une télé qui ne prend que deux channels, et des matériaux médicaux au cas où quelques chose arriverait. En faite, si je resterais dans mon coin près des machines à soins il n'y aurait jamais rien qui se passerait parce que je suis jamais là lorsqu'on à besoin de moi, j,arrive juste à temps quelques minutes plus tard à chaque fois. Mais entre le poste de nouvelle en allemands d'on je ne comprend rien et le programme où il neige toujours je ne vois pas ce que je ferais de plus à flâner dans mon coin. Alors je décide de sortir faire un tour et c'est toujours à ce moment qu'on me demande, mais je n'ai encore jamais perdu de vie lorsque je soignais quelqu'un... Encore un miracle !

Et en plus, la prison n'est pas très forte non plus, voir la qualité de leurs menottes, je colle une lame dessus et elles se brisent d'elles même, Alekzander aurait très bien pu les ôter en tirant à l'opposé de chacune d'elles facilement.

Ouais bon, si lui me disait comme ça qu'il n'était pas fou et qu'il ne me ferais pas de mal c'est que ça dois être vrai. Peut être pas complètement mais ça semblait la vérité. Mais ne l'espace d'un instant j'en doute, il plonge sa main dans ses poches. Qu'es-ce qu'il va sortir ? une arme ? Quelques chose de pointu ? De dangereux ?
Eh bah non, un stylo, à moins qu'il est un rayon laser au bout sa ne fait pas vraiment mal, ou du moins s'il d'essais pas de me crever les yeux avec. Puis ensuite un calepin ? Qu'es-ce qu'il fait avec ça lui ? J'ai comme l'envie de lui arracher, juste pour voir ce qui s'y cache. La curiosité prend le dessus, d'un geste rapide je lui arrache son carnet. Je risque d'y trouver un peu de tout, je le vois pas resté là toute sa vie alors ce serait surement un plans d'invasion future. Je recule de quelques pas et le feuillette un peu. C'est à lui, mais moi j'ai des droits sur lui alors je regarde si je me permet.

il a noté ce que j'ai dit ? À peu près, le système des portes de la prison, les caméras... Voir ! Il y avait une caméra là ? J'avais même pas remarquer. J,ai pas chercher à les trouver non plus il faut dire...

Je le feuillette un peu avant de lui redonner. Je lui lance pour qu'il le rattrape, en tout cas j'espère qu'il va le rattraper, il me semble que je lance pas si mal que ça et je lui dit sur un ton ironique mais du même coup avec un peu de sérosité :

Lorsque tu te seras échapper, assure toi qu'il n'y es pas un détraquer qui te suivre !

C'était vrai, lui semblait pouvoir reprendre une vie normal si il le pouvait, enfin je pense. Si il amène un malade mentale avec lui, celui-ci causerais juste du trouble plus qu'autre chose. Mais de toute façon, personne ne c'est jamais échapper d'ici à ma connaissance, alors je ne vois pas pourquoi un gamin en serais capable...

De toute façon, sans te décevoir, tu ne réussira pas à sortir d'ici ! Si tu en sors, on te rattrapera sous peu, et qui sais ce qui t'arriveras...

Je pense que c'est le dernier prisonnier que j'accueille. Je me soucis presque de lui, ça ne m'étonne pas puisque je suis une personne plutôt sensible, je n'y peux rien. Le prochain va ce jouer de moi et me tuer, j'en suis sûre, alors vaux mieux que je reste à l'intérieur de la prison. Ça serait mieux pour moi.

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