Tout seul... Vraiment? [PV Lauryka Nox]

Je le sens se détendre un peu, du moins être moins tendu, ses lèvres glissent avec charme jusque dans le creux de mon cou, je me laisse aller un peu plus contre lui. Sa peau n’est pas douce mais pas rude non plus c’est un contact enivrant et particulier. La température ne cesse d’augmenté dans la petite pièce carré.

« Ce ne sont pas des amis, rien que pour avoir osé faire cela. »

"Ce n’est peut-être pas seulement eux, ils ne font peut-être qu’obéir à des ordres. Mais tu sais ce que c’est toi en tant que flic, ce que c’est obéir aux ordres. "

Je sens ma chemise glisser de mon épaule et sa bouche continuer à goutter ma peau, puis il évoque le fait qu’ils ne viennent n’ouvrir la porte que dans un bon moment. Je suis certaine que dès qu’il y aura un cri ou un peu de bagarre, ils vont entrer par dizaine pour le sortir de là. Bien que je ne les porte pas particulièrement dans mon cœur, je sais que ce ne sont pas de parfaits idiot. Je sens ses mains se glissés sur mes hanches, vas-y montre moi ce que tu veux petit animal. Je fini de déboutonner sa chemise d’uniforme, je l’ai déjà dit que je trouvais ça craquant un homme en uniforme? Un torse sans poil, merveilleux, je n’aime pas particulièrement les hommes que l’on peut confondre avec un ours.

« Boarf… C’est pas intéressant hein… »

Il continue son histoire, une histoire avec son amie puis une teinture qui a mal fonctionné, je n’écoute pas vraiment. Je me concentre plutôt sur lui et ses mouvements. Je sens ses mains sur mes fesses puis remonter dans mon dos, sous ma chemise, je fini par me collé complètement à lui, puis ses doigts jouent avec mon soutien-gorge qui est tout ce qu’il y a de plus classique, attache en crochet à l’arrière, noir, je souris doucement descendant mon visage sur le côté du sien puis laissant mes lèvres frôler son oreille. Il continue à se cacher un peu le corps, je retiens gentiment ça main;

"Allons ne soit pas timide, j’en ai vu pleins de petits défauts et cela ne change rien. Est-ce que tu es aussi habile avec les femmes que tu en a l’air?"

J’ai toujours aimé les contacts de peau à peau, je trouve cela humain, réconfortant et plus intime. Il m’embrasse mais ses cheveux retombent devant son visage, j’en profite pour ramasser son képi tombé derrière lui et pour remonter ses cheveux sur sa tête juste avant de lui remettre son couvre-chef que je trouve tellement sexy. Ses mains me donnent un frisson qui me parcourt toute la colonne, je sens ses longs doigts dans le bas de mon dos. J’ouvre sa chemise et l’enlève de sur ses épaules, il ne lui reste plus qu’à enlever ses bras. Je comprends sa pudeur maintenant, des grains de beauté. C’est vrai que ce n’est pas ce qui embelli un corps, mais il y a bien d’autres choses encore pire que ça. Toujours collé à son oreille;

"Tends fait pas, j’ai déjà vu pire et ça te va plutôt bien."

Je glisse le bas de mon visage sur sa mâchoire inférieure et remonte jusqu’à collé mon nez au sien. Les deux mains posées sur le mur derrière lui à la hauteur de sa tête, une de chaque côté.

Oh! Il rougi. Que c’est chou, s’il continue il ressemblera bientôt à un homard. J’avoue qu’il n’est ce genre de gars que l’on voit dans les publicités de mode ou dans les magazines à la vogue, et après! Ils ne sont même pas réel c’est mecs, c’est bien de fantasmé sur des photos crées par ordinateur *ironique*. T’en fait pas je vais en juger dans toute ces facettes. Je sens de nouveau ses mains remonter dans mon dos mais cette fois avec l’intention bien précise de me retirer mes vêtements. J’avoue, il est habile de ses mains. Ses lèvres quittent mon cou et mes épaules pour un lieu plus sensuel, je me laisse faire, ce contact de sa bouche et des mes seins est délicieux, je bascule vers l’arrière me retrouvant dos au sol. Ses mains descendent vers mes hanches mais ne tardent pas à remonter en finissant de dénudé le haut de mon corps. Il commence à chanter, douce complainte menaçante tibétaine, peu de gens non tibétain connaissent cette histoire. Moi c’est quand je m’y étais réfugié quelques semaines pour échapper à l’autorité qu’un vieux moine m’avait conté cette histoire de démone et de singe, j’avais trouvé cela particulier. En réponse à cette menace que je doute est vraiment sérieuse;

"Tu es allé au Tibet ou bien tu ignore les paroles que tu viens de prononcer?"

Je tourne la tête pour retrouver ses yeux cachés sous son képi. Je glisse mes mains dans son dos, d’abord sur les flancs puis vers la colonne, mais là je touche quelque chose de froid, de petites billes métalliques.

"Petit cachetier qu’est-ce que c’est? Une expérience qui a mal tourné? Une erreur de jeunesse? "

Je le sens goûter ma peau au grand complet descendant sa bouche jusqu’à mon nombril puis remonter. Trois mois depuis on dernier contact aussi intime, je me sens fébrile, j’arque un peu le dos appréciant beaucoup tout ce qu’il peu me faire. Je m’abandonne totalement à ses mains, laissant glisser les miennes sur l’extérieur de ses cuisses sur son pantalon. C’était enivrant, presque irréel, s’il n’avait pas ouvert la bouche;

« Veux-tu vraiment que l’on vive ensemble, le temps d’un court instant ? »

Je m’arrête brusquement, le fixant dans les yeux, même dissimuler dans l’ombre de son couvre-chef je les vois ses yeux verts. Je le repousse un peu, juste pour le décoller de moi, mais le laissant me surplomber de son corps.

"Quoi? Qu’est-ce qu’il y a? Je suis plus assez bien pour toi? Tu as peur de quoi? Est-ce qu’il faut que je te fasse une autre injection de nicotine pour qu’arrête de changer d’idée?"

Je ne plaisante pas, rien dans ma voix ne laisse poindre de l’humour. Quand on fixe quelque chose je déteste revenir sur une décision. Sinon comment faire pour avancer dans la vie, si on ne cesse de remettre en question ce qui a été décidé. Il ferait mieux de bien choisir ses mots. Mes mains sont sur sa clavicule de chaque côté de sa tête avant de me retoucher, il devra clarifier quelques petits détails avec moi et avec lui-même.

[Ah! C’est mon tour, c’est un peu court, désolée.]

Son sourire est rassurant, il n’a rien de mal saint de toute façon ce n’est pas une genre de grosse brute. Ses yeux rejoignent les miens, mais je les sens dur, oui j’ai parlé froidement et il me répond sur le même ton, pas surprenant tout le monde ou presque font ça. Je le regarde sans autre expression tout le temps qu’il parle. C’est une attaque personnel je le sens. Pas besoin d’être un géni pour comprendre que je l’ai mené en bateau qu’il n’a pas aimé ça. Je me détends un peu cependant, sentant sa main sur la mienne. Pour être sincère je me foutais un peu de la réponse, je n’y ai même pas porté assez attention pour savoir s’il me mentait ou s’il disait la vérité. Il se redresse et s’assoit sur ses talons, et sans me regarder prenant ma main et la menant à sa bouche.

« Désolé. »

Je n’ai pas cessé de poser mon regard sur lui, sur son visage détourné et son torse dénudé. Je glisse ma main hors de la sienne doucement, jusqu’à l’arrière de son cou, puis m’aidant de son corps je me relève pour me retrouver assise devant lui, les bout de mes doigts de la main rester derrière sa tête jouant délicatement avec le premier piercing du haut de sa colonne. Puis me collant nos deux corps chaud, je dépose mon menton sur son épaule, de façon à pouvoir murmurer à son oreille, d’une voix tout autre que celle j’avais juste avant. Une voix plus sensuelle plus délicate, je ne lui en veux pas vraiment en fait mais qu’il ne refasse pas la même erreur une seconde fois parce que là je ne serais pas aussi tolérante. Je me sens presque coupable d’être à ce point exigeante, mais revenons à ce que je lui murmure à l’oreille;

"Tu n’as pas à être désolé, c’est moi qui t’ai mené en bateau, et il est vrai que certaines femmes sont cruelles. "

Puis mes deux mains glissèrent le long de son dos percé, pour s’arrêter seulement lorsque qu’elles heurtèrent le bord de son pantalon. À ce moment, je déposai mes lèvres dans le creux de son cou, humant l’odeur de sa peau. Mes mains suivirent le bord du vêtement s’avançant vers l’avant de son corps. Puis de façon habile et rapide détachèrent sa ceinture et firent sauté le bouton. Et encore avec la même voix feutrée et douce, que bien des gens ignorent, je suis susurre tout près de l’oreille;

"J’espère au moins qu’elle en valait la peine la fille de ton ex-patron…"

Mais avant qu’il ne puisse répondre quoi que ce soi, je lui couvris la bouche de mes lèvres, glissant le bout des doigts à l’intérieur de son pantalon, pas bien loin juste assez pour alimenté le feu. Oui, je le désir, je désir son corps et ses mains, rien de plus je ne réclame pas ses états d’âmes ou son ‘amour’, na j’en ai rien à faire de ça. Ses lèvres ont bon goût, un goût chaud et toxique. C’est enivrant.

Sa main glisse dans mon dos, et elle s’aide de mon corps pour se relever, se colle à moi. Je gémis, et mes mains vont se placer sur ses hanches, les faisant glisser sur ses cuisses et les fait remonter vers l’intérieur. Oh oui, les femmes sont cruelles et on leur méthodes pour parvenir à leurs fins… une exquise douceur mêlée à une atroce attirance… Ses mains glissent dans mon dos, je l’embrasse, et ôte sa chemise et son soutien gorge avant que je ne puisse le faire, devant décoller ses mains de mon buste pour pouvoir les ôter et les jeter dans un coin, avec mon képi par la même occasion, qui commençait à ma gêner. Ses mains glissent sur mon intimité, sa bouche se colle à mes lèvres avant que je n’ai pu dire quoi que ce soit. Bien sûr, je réagis au quart de tour, pas besoin de me prier pour ça. Je sursaute légèrement. Elle va droit au but, ou alors c’est moi qui vais trop lentement ?Je ne suis pas encore tout à fait sûr de moi. A chaque fois que je me retrouve avec une femme, j’ai l’impression d’être de nouveau un ado encore puceau. Je réapprends tout, et ce n’est pas désagréable toutefois.

Je l’embrasse, la laisse faire, puis glisse ma bouche dans son cou pour aller saisir un de ses seins. Belle poitrine dis donc. Je lève les yeux vers elle, pour observer la moindre de ses réactions, alors que je commence à jouer avec son téton, le suce, l’embrasse, le mordille. Puis je rompt le contact de nos regards, de nouveau l’allonge sur le sol. Mes mains se baladent sur son ventre, glisse sur sa poitrine et l’enserre alors que mon visage remonte vers le sien. Compris, je n’hésiterai plus. Je l’embrasse. Son menton, son petit nez, sa bouche. Je souris et glousse à chacun de ses mouvements osés, un peu (beaucoup) nerveux puis souffle sur son visage pour faire voler quelques mèches de ses longs cheveux, continuant de souffler tout en dévalant sa gorge, passant entre ses seins, la tirant vers moi à mesure que je me lève, basculant en arrière pour qu’elle se retrouve au dessus de moi, l’attirant de sorte à la plaquer sur moi. Je passe un de mes bras dans son dos, emmêle mes jambes aux siennes, glisse mon autre main sous son pantalon, cherche son intimité au travers de sa culotte, la caresse, cherchant à l’exciter plus qu’elle ne l’est déjà, puis je l’embrassai de nouveau, laissant échapper un long gémissement tant j’aime ça.

« Tu as le goût de miel… »

J’avais l’impression d’être entraîné dans un je ne sais quoi qu’il ne contrôlait pas, je me laissai envahir par la luxure et ne cherchait pas à la repousser tant je m’y sentais bien, mais avait peur de ce qui pouvait m’arriver après…

[Je suis un peu flan flan en ce moment désolé :s]

[Tu es pas le seul lol]

Il retire ma chemise et mon soutient, je me laisse faire, sa bouche glisse dans mon cou va se coller à ma poitrine. Je le sens nerveux pas trop sur de lui, mais allons, tu n’as pas à avoir peur je suis peu difficile en frai d’homme pour une seule fois. Je souris à ses caresses douces et sensuelles, je me retrouve de nouveau allonger sur le sol, j’arque encore légèrement le dos, j’adore ses mouvements. Puis un léger souffle me parvient sur le visage faisant voler vers l’arrière quelques mèches de cheveux, puis ce souffle léger descend comme de fait sur mon ventre, puis il me relève et je me retrouve sur lui collé collé, prise là entre ses bras et ses jambes. Puis sa main glisse vers mon entre jambes, je souris malicieusement.

« Tu as le goût de miel… »

"On me l’a souvent dit."

Alors a moi les rênes, je me décolle doucement de son corps faisant glisser mes mains suivit de mes lèvres sur son torse puis son abdomen. Je relève la tête puis laisse mes mains glissé sur son pantalons faisant le tour rapidement de ce qui pourrait ce trouver dans ses poches, en touchant seulement l’extérieur. Puis l’une d’elle fini directement là entre ses jambes.

"Tu es bien armé?"

Ce n’était pas plus une question qu’une affirmation, cela pouvant aussi avoir comme but de voir s’il est réellement armé. Je fais remonter mes mains sur le côté de son corps puis longé ses bras et s’arrêter sur ses poignets, puis j’embrasse doucement sa joue.

"J’espère que tu savoure bien le moment. "

Je redescends vers le bas de son corps puis écarte ses jambes et m’assoit entre elle de façon à pouvoir délacé ses bottes nonchalamment, oui je l’ai déjà dit que je le désirais mais rien n’est plus exquis que l’attente, sentir la tension et le désir monté jusqu’à ne plus pouvoir s’en retenir….

[Si tu as quelques choses sur toi autre que ton couteau dans ta botte fait moi le savoir s’il te plait, soit dans le prochain mess ou par MP. ]

[Pas d'autres armes n__n]

On roule, on arrête pas de se chercher, de se mettre en position de faiblesse chacun notre tour. A peine ai-je prit le dessus qu’elle le reprend, sans que je ne bronche. Elle sourit à mes intentions, et mes mots doux semblent familiers pour elle… Je cherche toujours à flatter, à faire rougir, et j’espère y arriver, sinon ma victoire ne sera que petite… Ma main quitte son intimité, remontant dans son dos alors qu’elle cherche à se séparer de moi alors que ses mains à elle se baladent sur mes jambes, avant de directement aller chercher ce qu’il y a entre elles. Je me braque, me plaît à ce contact, ne répondrai à sa question que par un sourire entendu. Aurait-elle des doutes ? S’attendait-elle à trouver une arme à ma ceinture ou dans mes poches ? Il est bien trop facile pour un agresseur que de prendre l’arme, dans cette position, aussi ma seule et unique arme se trouve toujours dans une de mes bottes.

Avant que je n’aie pu faire le moindre geste, alors que l’envie de lui bondir dessus était de plus en plus forte, ses mains tiennent mes poignets contre le sol alors que ses lèvres effleurent ma joue. Savourer le moment… mes yeux se plissent, mon sourire se fait large.

« Oui, je savoure… Je m’en délecte… »

Rien ne sert de lui retourner la question. Elle fait ce qu’elle veut de moi, n’est ce pas assez, déjà ? La voilà qui se redresse, allant chercher mes pieds pour délasser les chaussures. Armes… Tiens, en parlant d’armes… Arrêt. Mon couteau se trouve dans une de mes chaussures. Je me redresse, mais ne peut atteindre mon pied pour en saisir le couteau qui y loge avant elle. Alors, d’une voix angoissée, je prends la parole.

« Pas de bêtises, hein ? »

Mon regard se fait soucieux, alors qu’une main est tendue vers ma chaussure, cherchant encore à attraper mon arme. Pitié, tout ce qu’elle peut faire avec me traverse l’esprit, bien qu’elle ait dit ne me vouloir aucun mal… Faute de mieux, je caresse doucement ses épaules, du bout des doigts, rêvant d’avoir assez de souplesse pour pouvoir atteindre mes pieds… Moment de stress intense. Si elle ne me menace pas avec la lame, j’aurais ensuite toute confiance en elle. Je ravale difficilement ma salive, mesurant chacun de ses mouvements.

Il se redresse soudainement, et je comprends pourquoi. J’aperçois le couteau adroitement dissimuler dans sa botte, je m’en empare sans réel intention. Et voilà pour une Xième fois le pouvoir change de camp, il était vraiment dans les vaps pour oublier un aussi important détail. Un détail qui pourrait faire la différence entre la vie et la mort. Je me mords doucement la lèvre inférieure jouant adroitement avec l’arme.

« Pas de bêtises, hein ? »

Puis avec ma petite voix faussement innocente;

"Bêtises? Je ne connais pas ce mot… "

Je souris en réponse à son regard soucieux. Puis je jette un petit regard de travers à sa main sur mon épaule. Je l’allonge doucement le recouchant sur le sol, je le sens un peu réticent mais après tout il n’a pas réellement le choix, il n’a aucune idée de ce qui se passe dans ma tête. J’installe mes genoux de chaque côté de ses hanches, puis dépose ma main libre sur son torse la remontant dans son cou puis sur ses lèvres, je m’allonge sur lui, déposant à côté de sa tête sur le sol ma main droite qui continue de tenir l’arme. Puis baisant doucement son oreille, je lui susurre;

"De quoi tu as peur? C’est une très bonne marque, cela ne ferais pas vraiment mal, s’il arrivait quelque chose."

M’amuser oui, et il vient de me donner un très beau jouet, mais pas de sang pas de blessures, je ne suis pas sado. La douleur n’a rien de réellement délicieux, et le sang non plus en fait. Ce que j’aimes c’est l’inquiétude, peut-être même la peur….

Il s’agite un peu, devenant plus nerveux et moins en control. J’essais de rester le plus lucide possible, sans panique, je n’ai pas grand-chose à craindre pour le moment, même s’il réussissait à s’emparer de la lame, je doute qu’il ne s’en serve vraiment. Je soulève légèrement ma tête pour pouvoir le regarder de biais.

« J’t’en prie… Arrête… »

"Arrête?! J’ai rien fait,…"

C’est tout à fait vrai mais bon, physiquement j’ai rien fait. D’un coup la lumière s’éteint, je sursaute légèrement, plus à cause de son cri que de la lumière, il me percute en voulant se lever, puis je me redresse assise sur son bassin. J’essais d’y voir quelque chose. Je calme rapidement ma respiration contrairement à mon copain de salle, dont la nervosité ne fait qu’augmenter visiblement.

« T’ain… T’as dit que tu me ferais pas de mal… »

"Peut-être, en fait je ne sais plus trop ce que j’ai dit… même si cela en fait n’a pas vraiment d’importance pour moi. "

Je sens ses mains me reprocher de lui, je me recouche sur son corps tremblant, allant coller ma joue à la sienne. C’est humide étrangement, je n’ose pas vraiment poser de questions. Et fait il n’y a rien à dire, n’importe quelle personne moindrement équilibré aurait eu ce réflexe. Les pleures sont si réconfortant malgré leur inutilités. Je sens sa main dans mes cheveux, je ferme les yeux restant immobile un instant. Puis doucement prenant le couteau dans ma main la lame vers l’intérieur de mon bras, je lui dépose à plat tranquillement sur le côté de son corps mais la gardant fermement dans ma main, sans mauvaise intention juste pour lui montrer où était rendu l’arme. Puis je la fais glisser sur le sol vers l’autre extrémité de la pièce, pas très grande malgré tout.

"C’est mieux comme ça?"

Dis-je en laissant un petit baiser sur sa joue.