Prendre l'air

On m'a charger de surveiller la cour pendant le droit de sortie des prisonniers. J'en ai vraiment pas envie mais je peux pas vraiment discuter les ordres. J'ai bien hâte de pouvoir prendre une pose. Et quand ils sont dehors, les prisonniers adorent se chercher des enmerdes...Qu'ils se battent s'ils veulent je ne m'en melerais même pas. Je m'en fou bien et ça donnera un peu de travail aux medecins de la prison. ils doivent s'ennuyer royalement. Je marche dans la cour et je bouscule accidentellement un prisonnier.

Non mais tu pourrais pas faire attention?

Je le regarde. Mais c'est Carl Hyde...Pourquoi je tombe toujours sur ce Carl!
Encore toi?!

Je le foudroit du regard, Ce gardien me cherche et visiblement il finirat par me trouver.

"Calme toi Carl ... Le trou tu te souviens"

Je prend une grande respiration et je dessere les poing que j'avais serré. Simple habitude, il vient de me foncer dedans, je prend un sourire forcé, mais il est loin d'être amical ce sourire.

-Encore toi? Je te retourne la remarque. dis-je d'une voix que je m'évertuais à garder calme. C'était extremement difficile et ma capacitée à me retenir autant physiquement que mentalement avait ces limites, et je les sentais proches ...

Je garde mon sourire et j'ajoute:

-Va donc chercher des enmerdes à quelqu'un d'autre ... Je ne te frapperais pas, donc tu n'auras aucune raison de me mettre au trou.

J'aggrandit mon sourire et j'hausse les sourcils, je parle peut-être un peu trop rapidement, je n'ai pas encore la capacitée de retenir mon poing ...

Hey calme-toi gars...Si je suis ici dans la cour c'est parce que on m'a foutu là...De toute manière c'est plus le genre à Ryan a mettre les prisonniers au trou pour rien tout le temps...La dernière fois je te ferais remarquer que c'est pas moi qui t'as foutu là et que de toute manière tu l'as cherché...

Je souris toujours de mon sourire méprisable.

Mais je serais ravi de te retourner là-bas si tu me cherche...

Je regarde autour, observant la cour. Je souris car j'ai compris pourquoi il est ici et ce n'est certainement pour une simple petite balade juste comme ça...

On profite des grands espaces à ce que je peux constaté?

Je regarde Carl dans les yeux. il semble fou de rage juste à ma vu...Il ne m'aime pas beaucoup...Pauvre de moi...Je déconne

-Arrete de constater ... Tu te fais du mal.

j'avais dit ça sans vraiment réfléchir, c'était sortit tout seul, et je ne l'avais pas dit d'un ton bien amical. Je n'aimais pas que l'ont me parle de ma claustrophobie, et je trouvais que beaucoups trop de personnes commencaient à apprendre que j'avais cette phobie. Je détestait que l'ont en sache trop sur moi et que les gardiens connaissent ma phobie des endroits clos en était déja beaucoup trop.

Je tourne les yeux, je devais éviter de le chercher, mais je n'y pouvais rien, j'aimais avoir le dernier mot, et cet homme était un vrai enmerdeur! Je fis un mince sourire et je dis:

-Alors ... À ce que je vois les gardiens n'ont pas tout les droit ... Mais c'est vrai que Bose ne doit pas aimer les eccars de conduites ... Même venant d'un geolier dans ton genre ...

Je le fixais également dans les yeux, de la provocation, voila ce que c'était, mais il le faisait bien aussi.

On n'a jamais tout les droits...C'est bien pour apprendre cela que les prisonniers sont ici non?

Je souris...

T'as pris rendez-vous avec la psy au fait? Ça te ferais pas de tord...

Peut-être que je devrais aller lui en parler pour qu'elle trouve un trou à son agenda...

Je souris toujours. Ça se voyait que sa phobie le rendait susesptible. Je suis heureux d'avoir trouvé aussi facilement sa corde sensible. C'était trop facile. Et oui je suis un sadique naturel comme tant de prisonniers...et d'employés. Il se retenait pour ne pas me frapper et je le savais...Quand est-ce que la goute fera déborder le vase? J'avou que je serais ravi de le mettre dans le trou...Mais juste le voir en colère me suffit

Je laisse echapper un grognement, plus il parlait plus moin poing me démengeait ... La psycologue, c'était elle qui m,avait acceuillit à mon arrivée, je laisse échapper un petit rire et je dis:

-La psycologue? ... Je doute qu'elle veuille me voir ... Mais les gardiens ... Elle ne doit pas les craindres non? Tu devrais plutot aller la voir ... parle lui de ton égaux ...

Je m'approche un peu plus de lui et je dis plus bas:

-Ne me cherche pas ... J'en viens a trouver qu'un sejour au trou vaudrait la peine si je peux te mettre mon poing sur ta sale gueule d'abruti ...

Je ne bougeais pas et j'étais tout de même assez près de lui, près à me défendre si il décide de me fraper, ou moi même pres a le frapper.

Je ris aux éclats à cette remarque.
Maybeth à peur de son ombre...

Je lui donne un coup de matraque phénomenal au ventre. Il se tord de douleurs.

Un séjour au trou et un autre bras cassé je doute que ça en vaut la peine Hyde...

Je ne souris plus...Je suis maintenant parfaitement sérieux. Je sentais qu'il commencait à me chercher. Je n'aimais pas ça... Il m'a toujours chercher mais la provocation allait selon-moi trop loin. Il commence à montrer de la confiance en lui et ça ne me plait pas du tout. Il ne peut rien contre moi. J'attend sa réaction. C'est une invitation à u cassage de gueule.

J'attrape l'un de ses poings et lui met dans le dos puis je lui tord le bras. Il se tord de douleur un moment. C'était bien pratique d'être gardien... On en savait parfois plus sur les manières de ce défendre qu'un prisonnier trop impulsif. Je lui relache le bras et lui donne un violent coup de pied dans l'estomac. Je lui souris alors qu'il est quelque peu...au sol.

Alors? Il en veut encore notre cher Carl?

Je tiens ma matraque dans une main.

...Ou il en a assez?

J'attend sa réaction. J'aurais bien pu sortir mon revolver et l'envoyer rapidement dans la salle d'isolement mais ça me paraissait mon plaisant en ce moment que de simplement lui peter la gueule. Les coups qu'il m'avait donner ne m'avait pas laissé indemne. Je saigne du nez et du sang coule de ma lèvre. Je souris quand même. J'étais tout simplement content de me defouler et de le voir en colère. Lui aussi saignait d'ailleurs.

-Va te faire foutre ... Je ne te demanderais jamais d'arrêter!

Je me relevais précipitament et je lui sautais dessus, le faisant ainsi de cette façon tomber par terre, et puis, au diable le trou, j'aimais beaucoup trop me battre avec un adversaire de ma taille.

Je lui donnais un bon coup dans le ventre et j'attrapais d'une main sa mattraque, pour qu'il evite de me frapper avec. Je me remis à le ruer de coup dans la figure.

Que je me batte avec un gardien, un prisonnier etc ... C'était la même chose, j'adorais ça. Je ne cherchais pas la bagarre, mais lorsque c'était trop facile, je ne la fuyais pas ...

D'autres gardes arrivent pour arrêter la bagarre. Ils menacent Carl avec leurs fusils. Ils arrivent au bon moment ceux-là! Mais, j'avoue être un peu décue que ce soit déjà finit. Les gardes m'aident à me relever...Je leurs grogne un peu après. Je n'avais pas besoin de leur aide! J'enlève un peu de poussière sur mes habits et je reprend ma matraque. Je regarde Carl un moment avec un regard méprisant. Je me retourne vers les gardes...

Amènez-le au trou...Et qu'il y reste un bon moment...

Moi, je me dirige à l'interieur de la prison. C,est le temps de prendre une pose. On me dit d'aller à l'infirmerie mais j'en ai pas envi. Je me dirige directement à ma chambre.

Je m'arrête lorsque je sens les armes pointées contre moi, je fixe le garde méchament, mais mon expression change totalement lorsqu'il dit de m'envoyer au trou. Je ne vais pas jusqu'à le suplier mais l'ont voit simplement à la gueule que je fais que je n'ai aucune envie d'aller au trou.

Je me laisse entrainer par les gardes sans rien dire, Je saivais que j'irais au trou en me batant contre ce garde, je le savais et j'ai été trop con pour m'arrêter. Je secouais la tête, découragé, je ne m'amuserais pas du tout dans le trou, surtout que j'y passerais plus d'une journée, contrairement à la derniere fois.

Et je m'étais promis de rester calme ... Pas plus de 5 minutes oui ... Bon sang je suis vraiment irrécupérable.

-) suite salle d'isolement