Moment troublé [PV Ian ]

Je venais de passer une journée assez mouvementée. Enfin si nous pouvons appeler ça de la sorte. Mon réveil fut le plus rude surement, faut dire que c'était mon premier réveil ici. Je n'ai pas fait grand chose de ma journée, mais aussi qu'avais-je à faire de spéciale dans une prison? En tout cas j'ai bien du m'accrocher avec deux ou trois prisonnié plus ce gardien qui m'avait mi la main au fesse. Enfin ces oment désagréable et à la fois excitants étaient du passé maintenant. Là je me dirige vers la laverie pour justement laver mes premières affaires et pour me retrouver au calme. tant mieu il n'y a personne, c'est justement ce que je voulais. je m'avance vers la première machine à lavé qui me vient et je l'ouvre et place mes sous-vêtements. Je met en route ensuite un lavage qui pourrait durer un peu de temps. Je me relève et m'adosse contre la machine laissant s'échapper un grand soupir.

Je ferme les yeux, ils se font s'alourdir, la machine me berce presque avec ces vibrations et ce bruit qui appaise plus mon esprit qu'autre chose. Mon dos me fait légèrement sourffrir après cette nuit sur ce lit si inconfortable mais après un léger étirement il finit par craquer et laisser place a un soulagement. Sur le coup j'aurai eu envie de m'allonger pratiquement sur cette machine qui me semblait encore plus confortable que mon lit de cellule. Mais alors que je venais d'un petit saut m'assoire dessus, j'entend un bruit. Et mince, je croyais que j'allais pourvoir rester seule un moment mais apparement non, quelqu'un vient d'entrer mais je ne prend pas la peine d'ouvrir mes yeux que j'avais laissé fermés. Je sens juste une présence laissant un parfum que je hûme discrètement...il m'est inconnu.

Ian

Ce matin, quand je me suis levé…j’avais mal partout. Mon dieu que j’avais mal à la tête et au dos. Depuis hier….j’avais des douleurs insupportables. Comprenable…j’étais avec Thorkel et en soirée...Van. Et en plus, j’ai mal dormi à cause qu’il faisait froid dans ma cellule. En me levant, je me rappel qu’Eizan discuter avec Elyan dans ma tête…cela m’a énervé au plus haut point. Je les déteste…

J’avais décidé de prendre une bonne douche. Sauf que, Thorkel m’a suivi. Il ma plaqué contre le mur et il ne puis s’empêcher de profiter de ma nudité pour faire ce qu’il fait d’habitude. Il me suis partout…depuis la première fois qu’il ma vu…mon dieu…que je me rappellerai toujours le moment où qu’il ma attaché et profité de moi. Erh….mais bon…je l’aime pareille. Je suis serré entre Van et Thorkel…deux grandes têtes blondes…qui ne laissent pas leur place.

Après ma ‘’douche’’ j’ai retourné dans ma cellule. Elyan voulais absolument que je lave mes vêtements pleins de sang. À vrai dire, il a raison…mneh…si un gardien voit cela…je suis foutu…Alors j’ai décidé de les prendre dans mon petit sac noir.

Maintenant, je me dirige vers la Laverie. J’avais un air un peux zombie en ouvrant la porte. J’espère que je serais seul. La plupart des prisonniers lavent leurs vêtements le Lundi. Aujourd’hui…nous sommes…euh… Samedi? Bah…tout le monde doit être dans la cours ou bien dans la salle commune.

À mon grand malheur, une femme se tenait là, près d’une machine avec les yeux fermés. Arg! Moi qui voulait être seul pour une fois…je ne peux pas dans cette prison…soit que j’ai Van qui me suis…ou Thorkel qui me prend dans un coin perdu. Arg! Je vais devenir fou à la fin!

Je m’avance doucement, toujours avec un air hautain, mais très fatigué. Je mis mes vêtements dans la machine. Là, je ne sais pas vraiment comme sa marche. AH GALÈRE! Je crois que je devrais lui demander…honte à moi…

- Désolé de te déranger, mais…

Je me retourne vers elle en fronçant un sourcil et une voix neutrement froide.

- Est-ce que tu sais comment cela marche?

IMBÉCILE! Elle doit savoir…elle est proche d’une machine qui marche….pauvre idiot de la dernière pluie!

Les yeux fermés je repense à tout ce qui m'est arrivé depuis que je suis ici, c'est à dire juste depuis quelques jours. Tout d'abord j'ai fai la connaissance de ce jeune garçon avec qui j'ai simpatisé mais sans plus, ensuite dans la soirée ce fut deux personnes étonnante que j'eusse rencontrée. D'abord Baltazar avec qui j'ai passé un moment plein d'émotion et d'intensitée puis Siska avec qui je me suis entie pour une fois utile dans ma vie.

Alors que je faisais le bilan, je sent que l'homme approche. Au début il ne dit rien, ne se présente pas et je ne prend donc pas la peine d'ouvrir les yeux. Mais je pouvais constater que l'un comme l'autre la présence de l'autre était génant. Alors que je pensais rester seule pour une fois et bien voilà que quelqun vient troubler ma solitude, mais j'ai l'impression que je trouble aussi la sienne.

Ma machine allait en avoir pour encore pas mal de temps et c'est maintenant que je me dit que j'ai fait une erreur en choisissant l'option la plus longue. Je pourrai tout arréter et partir, mais je suis tellement bien là assise sur cet électro-ménagé qui sous ses vibration me berce. Je me dit que je n'ai qu'à faire en sorte de ne pas penser à cet personne, lorsqu'il aura fini ce qu'il a à faire il partira et je serais enfin seule. En me disant cela je remarque que tout de même je suis devenue un peu sauvage vis à vis des autres, avant j'était tout de même plus amicale et au lieu de chercher la solitude, je cherchais justement un chaleur humaine.

Le voilà qui me parle, mince j'ouvre donc les yeux et tourne mon regard vers lui. Je constate tout d'abord qu'il porte l'uniforme donc c'est un prisonnier et non un garde. Mais derrière cet uniforme quelconque je distingue de lélégance. Voilà une chose d'inattendu et de rare chez un détenu. Tout de suite son physique me percute, je ne m'imaginais pas que l'homme qui était dans cete laverie détiendrais un tel charme. Bon j'essais de ne pas trop y penser et lui répond, il a besoin d'aide alors autant me rendre utile en l'aidant.

-Biensur, attend je vais te mettre ça en route !

Je lui fit un sourire et descendit de la machine dans un petit saut. Je m'approche de la sienne et après quelques manipulation, la voilà qui vibre à son tour. Je me retourna vers lui et entame la conversation espérant faire passer le temps en essayant de le connaitre mieu. il m'intrigue et je veux en savoir plus de lui.

- Comment t'appels-tu ?

Ian

-Biensur, attend je vais te mettre ça en route !

Un sourire en coin m’apparu. Elle n’est pas si bête, mais pourtant bien sociale. Pour l’instant. Il ne sait jamais quand la bête sauvage va sortir. Dans tout Homme, une bête se cache. Il se tien toujours en garde, toujours avec en fronçant le sourcil et la tête haute.

Elle fait quelque mouvement et pouf! La machine marche. Je suis content, mais j’ai honte. D’habitude, c’est Elyan qui prend ma place et lave mon linge. Mais là, il est fatigué. Eizan, lui, me fait toujours le coup de disparaître dans ma tête. Mina…non! Je ne veux pas qu’elle me fasse honte. Elle va sûrement sauter sur un homme…ou bien me rendre ridicule dans des robes roses. Arg!

- Comment t'appels-tu ?

Je la regarde avec un air incertain. Devrai-je vraiment répondre? Mmm…je vais répondre. On va voir si cette femme n’est pas comme les autres. Je suis toujours à la rechercher d’être pas comme les autres. Bien spéciale et unique.

- Merci pour la machine. Je….je n’ai pas l’habitude avec ce genre de chose. Moi, mon nom est Ian Darklion Veinslayn, dis-je avec un air impériale. Et vous?

Je m’accote sur la machine. Je me sens fatigué, mais je dois tenir le coup. Je vais essayer de dormir seul, sans que Van ou bien Thorkel me voie. Je vais essayé que les autres ne me dérange pas dans mon repos…mon corps est très fatiguer. Je suis blême et j’ai plein de rougeur avec des équimoses. Bah…je sais...j’ai eu une dur semaine.

Je vois qu'il réfléchit avant de me répondre. C'est vrai que dites comme cela, cette question était peut être un peu trop directe et prématurée. Mais enfin de toute façon on allait bien en arrivait là et je ne préfère pas trainer en longueure sur des choses futiles. Ce soir je me sens assez bien, "elle" ne me dérenge pas trop et enfait depusi ma discussion avec siska je commence presque à m'inquiéter lorsqu'elle" ne se montre pas. Bizarre c'est "elle" qui m'a envoyé ici mais je me dit que finalement je ne suis pas plus mal dans un endroit où les personnes sont si particulières. C'est peut être en prison que je finirais ma vie mais c'est en prison que je me sens le plus à l'aise. Je rencontre au fur et à mesure des personne aussi étranges et exceptionnelles les une que les autres et je ne me sens plus à l'écart de la société. Biensur je ne serais plus libre de faire exactement ce que je veux mais peu m'importe si l'on ne me reconnais pas comme il se doit. Je préfère vivre enfermée avec des personnes qui me comprenne plutôt que libre mais rejetée.

- Merci pour la machine. Je….je n’ai pas l’habitude avec ce genre de chose. Moi, mon nom est Ian Darklion Veinslayn. Et vous?

La façon dont il se présente, avec cet air presque impériale me fait sourire. Je ne le regardais à ce moment là pas dans les yeux, mais rien qu'en l'entendant je l'imaginais très bien, le menton relevé fière des paroles qu'il sort. Je trouve cette attitude tout à fait normale, qui devrait avoir honte de son nom ?.... Bon je ne me cite pas biensur car c'est vrai que je n'aime pas mon nom, je ne mérite pas de le porter. De toute façon je ne fait plus partie de cette famille donc à quoi bon me présenté la tête haute ? Je garde mon prénom car il a été par le passé celui d'une femme remarquable, une chasseuse de têtes qui à réussi dans ce métier alors que sa mère la voulais mannequin. Elle était de son côté aussi incomprise mais elle à persévéré et à trouvé des gens comme elle, qui l'acceptaient comme elle était.

Bon aller je vais bien lui dire mon prénom tout de même, il s'est présenté alors à mon tour de le faire. D'ailleur je ne risque pas de retenir son nom vu la difficulté et puis je ne l'ai pas bien compris faut dire. Bon en tout cas son prénom, lui, est maintenant encré dans mon esprit et je ne risque as de l'oublier.

- Je m'appelle Domino..... Et derien pour la machine, je vous avoue que je n'ai appris à m'en servir que très récemment !

Mon sourire se change en un léger petit rire. Oui enfait c'est ce matin même qu'une des détenus ma montré le fonctionnement. Ce n'a jamais été quelquechose de très attirant pour moi, lorsque j'étais en ville j'avais une femme de mén,age qui lavait tout mon linge et autres babioles de ce genre.

Il s'accoude à son tour sur la machine et à l'air aussi fatigué que moi. Le voyant ainsi je ne puis me retenir de laisser un baillement que je retiens de ma main. Mes baillements ont toujours était spéciaux, enfait lorsque ça m'arrive le son qui émane de ma bouche est plus dans les aigues que dans les graves. Et cette fois là, ça n'avait pas loupé. Je déteste bailler ainsi je trouve cela ridicule et limite génant, ne puis-je rien faire comme les autres ? On peu trouver cela mignon ou marrant mais même si on le voit de cette manière, de mon point de vue je ne me rend juste compte que c'est ridicule. Je l'étouffe donc vite et fait fonctionner mon cerveau de façon à trouver un sujet de conversation.

- Tiens tu es fatigué toi aussi ? Dure journée ?

D'un mouvement inatendue et rapide je monte sur la machine à laver et croise mes jambes. Les yeux maintenant rivés sur lui je me retiens de bailler une nouvelle fois et attend qu'un son sorte de sa bouche.