Lavage pour deux (PV Theodore)

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J' étais partie à la laverie pour laver mon linge. Il y avait un moment que je ne l'avais pas fait et je ne me supportais plus dans mes vêtements sales. J' avais donc pris mon linge sous le bras.

Théodore m'avait demandé de lui laver son linge en même temps. Et je ne pouvais rien refuser à Théodore depuis qu'on s'était rencontrés et que le jeune homme m'avait possédée. Je faisais donc toujours tout ce qu'il lme demandait.

J'avais donc lavé le linge et maintenant j'attendais tranquillement que celui-ci sèche avant de le ramener à la cellule. J' étais seule dans la laverie. J'entendis des pas derrière moi. Me retournant j'aperçus Théodore qui arrivait dans la pièce. D'abord surprise, je lui souris.

"Ah! c'est toi! tu m'as fait peur..."

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Après avoir finit de manger, j'avait décidé d'aller voir ce que faisait Emilie, je savait qu'elle était ici, et j'espèrait également qu'elle y serait toujours.

Lorsqu'il arriva et qu'Emilie se retourna pour le regarder apaprament surprise, il lui souria et s'approcha près d'elle et lui dit:

"Désolé si je t'ai fais peur, je ne voulais pas. je viens juste de finir de manger et je voulais te voir un peu. Et puis j'aime pas trop te savoir seul."

Je rigolai tout en lui embrassant la joue, puis je m'asseya sur une chaise à côté, je la regarda en souriant puis lui dit:

"Tu en a encore pour long? viens donc t'asseoir."

Je lui souria à nouveau et attendit une réponse de sa part.

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Je regarde Théodore. Il est toujours souriant. Enfin... pas toujours mais souvent. Et là il me sourit. Il me demande si j'en ai pour longtemps. A vrai dire je ne pense pas que ce soit très long. Mais qu'a-t-il en tête. Avec lui il faut s'attendre à tout. Et puis son humeur est tellement changeante! Mais je m'y suis habituée.

"je ne sais pas dans combien de temps le linge sera sec. Ce ne devrait pas être trop long. Si tu veux je peux venir m'asseoir à côté de toi en attendant... "

Aussitôt dit je viens m'asseoir à ses côtés. Je le regarde puis je pose ma tête sur son épaule. Je suis un peu fatiguée. Il y avait beaucoup de linge à laver et donc à manipuler. Je me détends un peu.

"Ca va? tu as bien mangé? rassasié?"

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Lorsque Emilie posa sa tête sur mon épaule, je prit ses mains dans les miennes puis le répondit à sa question:

"Oui sa va j'ai bien mangé, c'était pas super mais je ne suis pas difficile. Tu as rencontré des gens pendant mon absence?"

Je resta quelques secondes sans parlé puis je reprit:

"Tu sais si tu te trouve la compagnie d'un autre préfèrable à la mienne je ne t'en vouderais pas, tu peus tout me dire t'inquiète pas je ne te ferais aucun mal..."

J'était un peu jaloux à l'idée de l'imaginer avec quelqu'un d'autre que moi et la suprendre ainsi je ne sais pas comment je réagirai, mais je me tracasé souvent à cause d'elle et j'avais besoin de savoir des choses...

Je caressa ses mains en attendant une réponse de sa part.

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J'étais détendue la tête ainsi posée sur son épaule. Je frissonnais légèrement quand il me prit la main dans la sienne. Un peu étonnée qu'il me parle ainsi de ne pas m'en vouloir si je préfères la compagnie d'un autre, je le regarde. Je sais que Théodore est jaloux et ce n'est pas dans ses habitudes de parler ainsi. Qu'est-ce qui le pousse à le faire? Je reste ainsi à réfléchir... un peu méfiante. Veut-il être rassuré? A-t-il un coup de cafard?

"Non Non!... je me sens bien à côté de toi. Je n'ai pas envie de la compagnie d'un autre... Pourquoi tu me dis ça?"

Je l'embrasse et me blottis contre lui. Je pense, à la réflexion, qu'il a envie d'être réconforté. Il a peut-être aussi envie d'un gros calin... Je me cale bien contre lui et j'attends qu'il me dise ou fasse quelque chose...

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Lorsqu'elle me dit qu'elle n'aimait que moi je fut rassuré et j'aimais qu'une femme me disait qu'elle maime. Puis elle se blottit contre moi, mon coeur commence à battre un peu plus vite, je commence à rapproché mon visage et à tendre mes lèvres afin d'embrassé les siennes, avec une main je lui caresse le visage tandis que l'autre est toujours avec les siennes. J’avais besoin d’être en compagnie de quelqu’un que j’aime, Emilie était le genre de compagnie que j’aprécié beaucoups.

Je continuais de l’embrassé en fermant les yeux, parfois je les ouvré rapidement pour observé si il y avait d’autres personnes qui nous regardaient, enfin surtout si quelqu’un regardé Emilie. Ensutiej e caressa ses cuisses avec ma main…

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J'ai senti que Théodore était rassuré. Il me caresse le visage et m'embrasse. C'est le garçon doux et attentionné. Mais je sais que l'homme plus brutal et pervers n'est jamais loin. C'est celui qui a tué sa femme et la maitresse de sa femme. Mais j'ai accepté cette situation qui peut être dangereuse. Je pense que Théodore peut changer et redevenir un homme presque normal. Presque car toute trace de son pass éne disparaitra pas.

Il pose sa main sur ma cuisse. Elle se déplace lentement entre mes cuisses. Il est calme. Ce n'est pas à cet instant l'homme qui m'a attachée au lit dans la cellule... mais je sais qu'il peut le redevenir... et je l'accepte. Je suis aussi là pour satisfaire tous ses fantasmes.

"Je suis bien avec toi Théodore... je me sens en sécurité"

Il n'y a personne dans la laverie. Je m'allonge après avoir retiré mon débardeur, découvrant ma poitrine.

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Continuant de l'embrassé et voyant Emilie retiré son débardeur, je ne put m'empéché de lui embrassé la poitrine, ainsi que lui touché. J’alterné de temps en temps en lui embrassant les seins et sa bouche, je commença d’enlevé mon maillot , puis je dit à Emilie :

« Occupe toi de moi, je t’impose aucune limite fais moi tout ce que tu me veus tant que sa me plaise, et y a intérêt que sa me plaise… »

Je souria et l’embrassa rapidement, attendant qu’elle fasse ce que je venais de lui demander. Je n'était pas très rassuré à l'idée que quelqu'un nous surprennes mais bon, on est en prison, les détenus on bien le droit de s'amusé...

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Théodore m'embrasse et me touche les seins qui sont maintenant nus. Je sais qu'il aime ça et c'est pour ça que je l'ai fait, pour lui faire plaisir et pour lui donner envie de moi. Depuis ce jour où il m'a prise dans les douches je lui appartiens. Quand il en a envie, et je sais bien quand il a en envie, je suis là pour satisfaire ses besoins sexuels. Et j'ai vite compris qu'il avait de gros besoins de ce côté là.

J'ai surtout vite compris qu'il n'aimait pas avoir de limites en la matière. Il vien td'ailleurs de me demander que je "m'occupe de lui" et que je le fasse "sans limite". Je me mets à genoux à ses pieds. Lui est assis. Je commence à ouvrir son pantalon et je me penche sur lui, approchant ma bouche de son sexe. Je sais qu'il aime quand je le suce. C'est toujours ou presque la première étape de nos relations. Je donne quelques coups de langue. Je constate que son sexe est déjà dur. Je m'arrête quelques secondes et le regarde en souriant.

"J'ai l'impression que tu es en forme aujourd'hui... tu dois attendre que je m'occupe de toi avec impatience... "

Puis je viens redonner quelques coups de langue sur son gland avant d'ouvrir tout grand la bouche...

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Mon cœur bat de plus en plus vite tandis que Emilie me suce, la fellation… j’adore vraiment sa, la voire à genou devant moi, me procure une sensation de pouvoir envers elle, j'adore. Lorsqu’elle me regarde avec ses grand yeux me disant que je suis impatient qu’elle s’occupe de moi et que je suis en forme, c’est pas tout à fais tort…

J’attrape ses cheveux avec mes deux mains et appuye fort dessus pour enfilé mon pénis bien loin dans sa gorge,chose que j’adore faire. J’appuye bien fort en relachant de temps en temps, mon sexe devient encore plus dur, et maintenant je lui caresse les seins tandis qu’elle continue.

Soudain je lui relève la tête toujours en l'empoignant par les cheveux et plonge ma langue dans sa bouche. Je la remet ensuite à sa place précédente.

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Je sais que l'excitation gagne Théodore et qu'il va peu à peu devenir incontrolable. Il ne pourra pas s'empecher de me traiter comme une chienne. Je l'accepte d'avance. Je lui suis totalement soumise. Est-ce par la crainte qu'il m'inspire? Est-ce que j'y prends un plaisir pervers. Sans doute un peu des deux.

Il vient de m'attraper par les cheveux. Il le fait avec une certaine brutalité et me force à avaler son sexe au plus profond de ma gorge. Son pénis, dur et bien tendu, m'étouffe à moitié. Je le suce avec beaucoup d'ardeur ainsi qu'il aime. Dans le même temps il me caresse les seins, je dirais plutôt qu'il les pétrit.

Puis Théodore me tire la tête en arrière toujours par les cheveux. Il plaque sa bouche contre la mienne et insère sa langue dans ma bouche. Puis il me remet sur son sexe, toujours en tirant mes cheveux... Je fais tout ce qu'il attend de moi, soumise. Je n'éprouve aucune honte à me comporter ainsi avec lui même si je sais que plus d'une personne dans la prison me considère comme une traînée.

Ma langue tourne autour de son sexe qui emplit ma bouche. Je l'aspire pour faire monter le désir en lui. De temps en temps je m'arrête pour mieux reprendre ma fellation.

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Alors que Emilie continue son travail, de temps en temps je regarde dans la salle pour voir si des regards indiscret nous regardent, rien du tout. D’un coup je la relève brutalement par les mains et l’embrassent en insérant violement ma langue dans sa bouche, tout en lui embrassant le cou. Je lui mordille les seins très fort et lui met des claques sur ses fesses, je m’asseois et lui dit :

« Retire moi tout sa et prépare toi, une fois nue viens t’assoeir sur ma bite et me fais pas attendre, je pourrais devenir violent. »

Je lui souria d’un airméchant, et la attendit les bras croisé, je pense qu’elel allait coopérer comme d’habitude, elle devait avoir l’habitude maintenant.

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Comme à son habitude, Théodore manifeste son attachement à moi et sa satisfaction par quelques claques sur les fesses et en me mordiallnt les seins. Je sais qu'il est satisfait de moi, sa petite chienne. J'en suis contente. Il y a maintenant des semaines que j'appartiens à Théodore et je m'en satisfais. J'ai l'impression de n'avoir connu que ce type de relation, ayant oublié tout ce qui s'est passé avant mon arrivée à la prison.

Il me demande maintenant de me déshabiller complètement et, une fois nue, de venir m'asseoir sur lui ou plus exactement de venir m'empaler sur sa queue. Il se montre d'ailleurs à la fois impatient, autoritaire et presque violent. Cela aussi j'y suis habituée.

"Je me prépare aussi vite que possible Théodore... je ne te ferai pas attendre..."

Je me suis déshabillée aussi rapidement que je l'ai pu. Après avoir jeté par terre mes vêtements je viens m'asseoir sur lui. Je sais qu'il va me prendre pendant de longues minutes avec une violence de moins en moins contenue et qu'il voudra jouir en moi. Et ce sera ensuite quelques moments d'angoisse pour savoir s'il ne m'a pas engrossée car il n'est bien sûr pas question d'une quelconque protection et dès le début Théodore m'a interdit de prendre la pilule... Je le sens qui frotte son sexe contre ma fente...

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Une fois qu'elle fut nue, je m'empressa de lui fourrée ma queue bien loin dans son ptit minou, sans protection bien sûr, de toute façon qu’elle tombe enceinte je m’en fiche. Une fois en place je la pris par les bras et la souleva afin de la faire bougé sur mon pénis, encore elle n’était pas très lourde je n’avais donc pas trop de mal à la soulevé de plus avec ma carrure, c’était simple. Tout en continuant de la pénétrée, je plaquai son corps contre le mien, ses seins s’écrasant contre ma poitrine sentant la chaleur de son corps contre le mien. J’augmenté fortement la cadence, m’adaptant en fonction de ses cris, puis d’un coup je la souleva en entière et la posa au sol. Je m’allongea sur elle et la pénétra de nouveau, en lui mordant violement les tétons. Je continua comme sa pendant plusieurs minutes puis je la prit par les cheveux et lui dit :

« Maintenant tu va te magné de m’enfoncé ma bite dans ton ptit cul ok ? Sinon prépare toi à prendre une sacrée raclée. »

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Une fois complètement nue je me suis donc assise sur lui. Il me pénètre aussitôt avec une vigueur toujours aussi peumaitrisée. Il s'enfonce profondément en moi et me soulève pour mieux m'empaler sur son sexe. Il se déchaine ainsi pendant de longues minutes. Les cris que je ne retiens pas l'excitent au plus haut point. Nos relations sont emplis d'un plaisir presque animal.

Il vient de me soulever de nouveau mais cette fois-ci il m'allonge sur le sol. Il me pénètre de nouveau tout en me mordant les tétons. Mes cris l'encouragent dans cette recherche du plaisir. J'entends ses râles de plus en plus rauques. Je le sens proche de la jouissance. Il me fourre ainsi longuement. Mais, alors qu'il s'apprête à jouir, il se retire et m'attrapant par les cheveux m'ordonne de lui offrir mon peit cul. Sa violence n'est pas du tout contenue...

"Oui... je ferais tout ce que tu me demandes Théodore...mais ... je pensais que tu voulais d'abord te libérer en moi... tu aimes ça... marquer ton territoire..."

Cependant, craintive et soumise, je me retourne et me mets à 4 pattes sur le sol. Je lui offre mes fesses...

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