Sadismus Jail
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Sadismus Jail

Venez vivre la vie mouvementée des prisonniers de Sadismus.
 
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 La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.

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Hina Krügger
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Hina Krügger


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MessageSujet: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 2 Nov - 14:42

Ce fût très agréable de rencontrer mes camarades de cellule, mais bon, puisque j’ai l’autorisation d’aller à la bibliothèque je ne vais pas me gêner. J’imagine déjà voir un bouquin sur moi.. Il ne faut pas rêver, il est rare d’afficher les personnes comme moi. Pourquoi? Moi même je me le demande. Après tout j’ai quand même accompli de belles choses… ça m’obsède. J’ai besoin de ce sang sur mes mains. J’ai besoin d’être bercée par leurs cris. En attendant, j’ai besoin de lire.

Le gardien me dépose à l’entrée de la bibliothèque. Évidemment il était impossible de bouger toute seule dans cette prison. C’est en quelque sorte un prestige. Je suis la reine. Je l’ai toujours été. J’ai le contrôle sur tout, c’est une des raisons pour laquelle je m’aime.

« Une heure. Tâche d’être à l’entrée quand j’viendrais te prendre. J’ai autre chose à foutre que de t’attendre, souviens toi de ça. »

Ouais ouais, cause toujours tu m’intéresses. Je serai là dans une heure, si j’ai fini.

« Je serai là naturellement. »

Dis- je de façon désintéressée. Il m’énerve avec ses ordres à deux balles. M’enfin bref, la bibliothèque était presque déserte. Haaa… Une multitude de livres, quel plaisir. Alors par quoi vais-je commencer…Die Vermessung der Welt… Non merci. Il ne me faut pas un roman comme ça… Il me faut quelque chose de fort… Ca.C’est avec fanatisme que j’entreprend de lire à haute voix un passage du livre couleur Sang. Je m'en moquais pas mal de déranger.

« L’odeur pestilentielle envahissait ses narines pourpres. Des résidus de chair parsemaient ses lèvres. Eva caressait lentement le corps de son défunt frère. La mort le rendait beau. Le sang coulait tout au long de ses joues, son regard était vide. Eva avait envie de lui. Elle laissa sa langue se balader sur le corps meurtri du jeune homme. L’excitation semblait au plus haut point. Elle s’empressa de prendre une des mains de son frère et de les poser entre ses cuisses. Elle commença à… »

Hmm. J’irai pas plus loin, ça pourrait me donner des idées... Je m’installai seule a une table un peu à part du reste de la salle. C’est plus fort que moi, je suis obligée de continuer. J’ai envie de moi même. Non, pas ici. N’y pensons pas.

Des pas résonnent derrière moi. Qu’importe, je ne fait pas attention. Ce livre me rend folle. C’est la première fois que des mots me font un effet comme celui là. Comme quoi. Plus j’avance dans la lecture plus je m’imagine à la place d’ Eva. Je n’ai pas de frère. Quelle déception, j’aurais pu m’amuser comme elle le faisait. J’aurais pu m’approprier tout de lui. Au lieu de ça je me suis contentée de tuer. Si c’est pas malheureux… Heureusement mon imagination me permet de faire ce que je veux, avec qui je veux, quand je veux. Et là, c'est moi l'objet de mon fantasme.

Je fermai les yeux. A présent, Eva et son frère, c'est moi.
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Kirof Bloodsun
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 9 Nov - 13:31

Le délais d'emprunt arrivant à son terme je devais leur rendre leurs livres. De toute manière aucun n'étaient réelment interessant. Sur le chemin je vis tournant dans le couloir que j'empruntais mon grand ami n'a qu'un oreille. Il escortais une prisonnière à la bibliothèque apparament. Son oreille ne semblait pas trop lui manquer, il faudrait que j'aille m'en assurer un jour.

La prisonnière quand à elle était plutôt mignone. Morte elle serait un véritable plaisir des yeux, un délice. Mais pour le moment ce que je remarque surtout c'est qu'aucun des deux ne m'a vu. Ils osent enmprunter le même couloir que leur maître, et m'ignorer de la sorte. Je jetterais bien un livre dans la tête de qu'une oreille mais il s'arrête déjà devant la bibliothèque. Il laisse la jeune fille entrer et repart dans le couloir. Ses yeux se lèvent de ses pieds et il me voit enfin. Je vois la colère et la peur traverser son regard. Il a la main sur sa matraque prêt à me frapper, mais il est seul dans ce couloir et la dernière fois qu'il a osé levé la main sur moi je l'ai balafré.
Nous nous croisons donc sans dommage, mais il ne me dit pas un mot. Il devrait au moins me saluer, il doit me dire bonjour. Sale lombric de maton que je le reprenne à trainer dans les couloirs seul.

Je pénètre dans la bibliothèque et la voit absolument vide. Hormis la fille qui me précédait et quelques prisonniers s'occupant de la gestion de la salle nous sommes seuls. Je remarque que je suis de nouveau le plus grand. Je les dominent tous ma perfection est encore présente.
Je passe brièvement rendre les livres. On ose me demander mon matricule. Je me retourne alors vers l'homme le détaille et souris. Ma langue passe sur mes lèvres. Je le domine largement, je n'ai qu'à tendre le bras et je l'attrape. Je le vois blanchir la peur se lit dans ses yeux. Mais j'entend soudain parler.
Je me retourne et voit la fille tenir un livre assez peu banal. Sa lecture me fait envie. Je l'immagine déjà allongée à terre, son sourire radieux son sang coulant légèrement de l'entaille prodiguée. Elle doit avoir bon goût.
Elle va s'asseoir de l'autre côté de la salle et je la perd de vue , derrière des rayonnages.
Mon attention retourne à l'autre vermine qui me manque de respect. Les paroles du livres semblèrent l'avoir choqué. Mais il finit par reprendre ses esprit et se rappeler de moi. Il accepte donc mes livres.

Je fais un tour dans les livres voir s'ils ont quelque choses de nouveau. Rien ne s'attarde à mon regard. Entre les livres je la voit, seule à sa table. J'en fais le tour j'arrive derrière elle. Elle semble ne pas m'avoir entendu. Le ferait elle exprès ?
Je regarde au dessus de son épaule les lignes du textes. Décidément un livre interessant.

Je m'installe devant elle et je la regarde. Je vois maintenant nettement son image. Nue sur le sol même de cette salle. Elle ne bouge plus, elle souri. Je l'ai entendu crier supplier. Finalment elle a finit par accepter. Dans quelques instant à mon paroxysme elle aura le sublime honneur de servir de repas. Mais pour le moment il faut capter son attention.



D'habitude c'est Eva qui est étendue. Son corps n'est pas encore froid, pas encore rigide. Il est souple, magnifique, ses yeux ont un éclat distant et sa poitrine se dresse devant elle.
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Hina Krügger
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 9 Nov - 14:48

Cette lecture faisait de moi un animal en rute. Je vois la scène clairement devant moi. Étant donné le lieu désert où je suis, la tâche est facile. Mes yeux se ferment tout seuls. J’entends de nouveau les pleurs de ma défunte mère. Sa beauté, je dois l’admettre, était exceptionnelle. Une femme triste est nettement plus attirante. Malheureusement, elle est tomber sur meilleure qu’elle. C’est pas de ma faute, si je suis supérieure. Supérieure… ce mot est réellement beau. De là où ma génitrice est, elle doit sûrement m’admirer. Elle a plutôt intérêt, avec ce que j’ai fait pour elle.

De nouveau je me plonge dans le livre qui désormais prend une image de bible. Plus rien autour de moi existe, je suis le centre de mon monde. J’entend de l’agitation derrière, et l’envie de supprimer le pauvre ou là pauvre bibliothécaire me prend soudainement. Je n’aime pas qu ‘on me dérange de cette façon. Personne n’a le droit de gêner Hina. Mon attention ayant était détournée, j’arrive plus à me concentrer. Je me vengerai tôt ou tard. Pour le moment j'ai envie de continuer à fantasmer.


« Elle le regardait. La mort devenait son jeu préféré. Le sexe, sa réussite… »


Je parcoure les lignes avec une nouvelle frénésie. Rien ne m’empêchera de continuer, même pas cet abruti de gardien qui doit repasser me prendre. Je me demande qui a eu l’idée d’écrire ça. Je dois l’avouer, c’est particulièrement excitant, mais j’aurais fait mieux. On ne peux pas rivaliser avec l’horreur, surtout quand je suis dans la partie. Des images se succèdent dans ma tête, et une nouvelle fois je suis totalement déconnectée de la réalité. J'aurais tout fait pour être à leur place. Tuer et mourir. Les deux me vont.


D'habitude c'est Eva qui est étendue. Son corps n'est pas encore froid, pas encore rigide. Il est souple, magnifique, ses yeux ont un éclat distant et sa poitrine se dresse devant elle.

Quoi? Mais… qui me parle là… Je lève simplement mon regard, laissant ma tête baissée en direction du livre, et remarque l’apparition d’un mâle, relativement charmant. Je reste là, sans rien dire à l’observer. Ses cheveux, sa bouche, ses yeux, son nez… Je ne laisse rien échapper. Que veut-il… Moi je suppose. Il veut rentrer dans mon champ d‘action, essayer de devenir important...

Ses paroles montrent qu’il m’a entendu, ou qu’il connaît ce livre. Enfin…. J’ai rien remarqué, d’ailleurs je ne sais même pas depuis combien de temps il est posté là. Le fait de ne pas daigner lever ma tête me donne l’impression de le mépriser. J’aime ça. Il doit comprendre qu’on ne joue pas dans la même cour.


« Mais c‘est pas suffisant…Là, elle a comprit, le vrai plaisir…non? »


Je lève ma tête, histoire de lui porter un peu d’intérêt. Puis j’aime voir à qui mes dires sont destinés. Je dépose le livre sur la table, et pose mes mains à plat dessus. Je continue de le fixer, guettant ses moindres gestes. Il ne peut rien me cacher. Etrangement, je sens qu'il veut être meilleur que moi. Cette idée me fait sourire.
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Kirof Bloodsun
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 9 Nov - 18:40

Elle ne daigne pas me regarder. Tous le temps où je lui tourne autour elle m'ignore. Elle ose m'ignorer. Moi qui suis si ...beau. Que croit elle ? Elle si fade, si commune. Ce n'est qu'un vers, un lombric , une punaise. Elle est comme le reste, une bande de vermine bon qu'à être dominer. Elle est dans ses pensées. Elle n'a pas ouvert une seule fois les yeux.

Elle finit par les rouvrir pour simplement lire une autre ligne. Elle est inspiré par ce livre. Rare sont les vermines qui comprennent la beauté de la mort. Encore une de ces folles qui pensent être la compagne de la faucheuse. Mais ne sait elle pas que la mort est en moi ? Je décide qui doit vivre ou mourir. La plupart du temps, même tous le temps pour mon plaisir personnel. Que croit elle ? Elle en sera, comme toutes les autres. Je l'entendrais crier, elle hurlera de peur.

Mes paroles semblent faire mouche. Elle lève enfin le regard vers moi. Je lis dans ses yeux le mépris. Je déteste son regard. Je jetterais ses yeux. Ils ne sont pas commestibles. Je hai ces yeux, ils se pensent supérieur ? Elle une vermine parmis la lice de l'humanité. Bonne qu'à servir mes intérêt et mon appétit.


« Mais c‘est pas suffisant…Là, elle a comprit, le vrai plaisir…non? »

Je ne lui répond pas tout de suite. Qu'elle attende. Qu'elle mijote la réponse. Je lui rend son regard, sauf que le mein bien sur est parfait. Je la domine partout, ma beauté doit l'aveugler au point qu'elle en perd la raison. Elle sourit même. Se moquerait elle de moi ? Comment peut on oser. On ne peut se moquer de la perfection. Finalement son sourire s'effacera quand elle sera allongée.

Je la fixe encore pendant quelques secondes refusant obstinément de répondre. Qu'elle comprenne que je suis son maître qu'elle se soumette à ma volonter.


Non elle n'a pas compris. Jusqu'au dernier moment elle a crié. Elle a suppliée, et finalement s'est résignée. Immobile elle était radieuse.
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Hina Krügger
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 9 Nov - 20:02

Il semble révolté par mon attitude d’être supérieur. Évidemment il n’a rien compris. Il ne sait pas ce que je suis, il ne sait pas QUI je suis. Je le vois qui me regarde comme énervé , mais je ne vois pas la moindre admiration dans ce regard. Il se croit mieux…comment peut il? Comment ose t-il? Mon sourire s’estompe. Il ne me fait plus sourire. Il me débecte. Le seul moyen serait de s’en débarrasser, et de profiter de son cadavre. Sexuellement, naturellement. Il n’avait qu’à pas tenter d’égaler ma beauté. De mon extrême politesse, je lui ai répondu. Une vraie faveur. La seule chose qu’il trouve à faire est de me laisser patienter. Dieu sait que Hina déteste patienter. Hina le sait. Il se croit important, mais il n’est rien. Il me fait face comme s’il était sûr de m’impressionner. Mais rien n’impressionne Hina. Je perds patience, il ne doit pas jouer comme cela. Oh non, il ne doit pas.

Non elle n'a pas compris. Jusqu'au dernier moment elle a crié. Elle a suppliée, et finalement s'est résignée. Immobile elle était radieuse.

Enfin. De quoi me parle t-il… De ma mère. Comment sait-il? Comment ose t-il parler de moi? De mes actes, de mon œuvre… Je relève mon visage, comme pour montrer mon impassibilité. Radieuse… oui elle l’était. Il sait reconnaître les belles choses. A nous deux on pourrait accomplir un travail formidable, mais il avait eu la folie de me prendre pour la banalité. Il était fou. Voilà donc le psychopathe manquant. C’est un signe. Je veux lui dire, tout lui dire. Mais non. Il ne mérite pas un tel cadeau. Il ne mérite que l’agonie. Agonie… Pourquoi me parle t-il de cela? Il devrait savoir que ça me rend folle. Et je ne suis pas folle. Je sais ce que je fais. J’aime ce que je fais. Il se croit malin. Il se croit fort. Mais sans moi, il n’est rien.

« Elle a agonisé. Ses cris nous ont bercés. Elle n’a pas tout de suite compris qui elle devait admirer. Elle aurait du faire attention. Elle n’aurait pas du laisser. On ne laisse pas Hina. Mais froide, elle était. Mais oui, immobile, elle était radieuse.»

Je lui donne raison pour une partie. Parce que la rigidité rend magnifique. Et il le sait. Mes mains caressent lentement la couverture de l’ouvrage. Je continue de regarder l’être installé devant moi. Cependant mon regard se vide. Je regarde en sa direction, mais ce n’est pas lui que je regarde. C’est la mort d’un être qu’on aime. Et ça, c’est un plaisir ultime. Je domine. Je m’énerve. Non, on ne laisse pas Hina.
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Kirof Bloodsun
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeSam 10 Nov - 12:51

Nos regards sont juste ne fâce. Je peut lire une certaine colère dans ses yeux. Son sourire même s'estompe. Elle doit enfin avoir compris qui je suis. Elle s'abaisse à me servire. Ce n'est qu'une vermine, un simple parasite dans ce tas d'immondice qu'est la prison. Elle n'est rien d'autre qu'une distraction. un objet soumis à ma volonté. Si elle ne reconnait pas d'elle même ma supériorité je lui inculquerais par la force.

« Elle a agonisé. Ses cris nous ont bercés. Elle n’a pas tout de suite compris qui elle devait admirer. Elle aurait du faire attention. Elle n’aurait pas du laisser. On ne laisse pas Hina. Mais froide, elle était. Mais oui, immobile, elle était radieuse.»



De qui me parle telle ?. Je lui fais part de ce qui ce passe et elle me parle d'une hina. Le point véridique c'est qu'elles n'ont pas su qui admirer. Toutes ces femmes , elles ne savaient pas reconnaître leur maître. Même au moment où la vie s'échappent d'elles elle persitent à se voiler la vérité.
Mais après quel goût. Quand elles fondent en bouche.Le liquide carmin coulant sur ma lague. La chair se déchirant entre mes dents. Un plat unique , un met digne d'un seigneur.


"Mais le meilleur est après.Lorsque la peau se détache emportant avec elle son lot de nectar. Les muscles ne sont pas encore tendus, ils se détachent à l'aide dune fine lame. Très vite il ne reste qu'un amas d'os. Le coeur est dans la main gouttant de ce liquide rougeatre agréable. Et lorsqu'il arrive en bouche, l'explosion de saveur. Les yeuxs ont fades, le foie est à déguster cuit, cru il a très peu d'intérêt. Elles ont toutes eu un gout différend. Subtile et délicat."
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeSam 10 Nov - 20:06

"Mais le meilleur est après.Lorsque la peau se détache emportant avec elle son lot de nectar. Les muscles ne sont pas encore tendus, ils se détachent à l'aide dune fine lame. Très vite il ne reste qu'un amas d'os. Le coeur est dans la main gouttant de ce liquide rougeatre agréable. Et lorsqu'il arrive en bouche, l'explosion de saveur. Les yeuxs ont fades, le foie est à déguster cuit, cru il a très peu d'intérêt. Elles ont toutes eu un gout différend. Subtile et délicat."


Il ment. Cet être dénué de tout intérêt mentait. En plus d’incarner l’inutilité totale, il se permet de mentir à Hina. Décidément… Il accumule les erreurs. Je ne peux pas rester là, à le regarder dans le blanc des yeux. Ses cheveux m’attirent. Marrant… J’ai envie de les arracher un par un…Et son regard… Il sera un parfait esclave. Il possède la beauté, la naïveté, la forme… J’aimerai le posséder un jour. Pour le moment il est encore à l’état primitif. Il ne sait rien, se croit mieux. Il me demandera beaucoup de travail, mais le résultat final sera merveilleux. Malheureusement je n’ai pas le temps de le dompter. Je n’ai même pas le temps de jouer avec. Tant pis. Je le retrouverai, et là il comprendra qui je suis. Je me lève de ma chaise et la range. Je le regarde et souris. Je m’appuie doucement sur la table en sa direction, comme si j’allais l’embrasser. Au lieu de ça, d’un geste brusque, je pousse le livre jusqu’à lui. Je le regarde. Sa tête d’innocent me fait sourire.

« Tu le rangeras pour moi. »

Je me recule et me dirige vers lui en faisant le tour de la table. De dos ses cheveux resplendissaient. De dos il était un être de lumière. Pathétique. Ignoble. D’un geste lent, je pause mes mains sur ses épaules et chuchote

« L’odeur pestilentielle envahissait ses narines pourpres. Des résidus de chair parsemaient ses lèvres. Eva caressait lentement le corps de son défunt frère. La mort le rendait beau. Le sang coulait tout au long de ses joues, son regard était vide. Eva avait envie de lui. Elle laissa sa langue se balader sur le corps meurtri du jeune homme. L’excitation semblait au plus haut point. Elle s’empressa de prendre une des mains de son frère et de les poser entre ses cuisses. Elle commença à… »

Mes mains glissent le long de son corps. Il ne pourra rien contre moi. Bientôt il comprendra que le seul être puissant ici bas, c’est moi. Là il se dira que je lui ai accordé un peu de mon temps. Là il se sentira important. Mais il ne se doutera jamais qu’il ne représente qu’une immondice de l’espèce humaine. Il sent la mort.
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Kirof Bloodsun
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeDim 11 Nov - 7:23

Je la regarde, elle ne comprend pas évidement ce que je lui dis. Elle n'est rien. Une simple vermine comme elle ne peut comprendre ce genre de choses. Elle est pitoyable, elle ose se mesurer à moi. Son insolance m'insuporte si elle continue sur cette voie il faudra lui montrer. Elle ne fairait même pas une bonne esclave. Serait elle un bon repas ? Non même pas trop coriace, elle ne merite qu'une mort de mes propres mains. Ce sera un honneur pour sa personne même si elle ne s'en rendra jamais compte. Elle mourra dans l'inconscience de son véritable maître.
Elle s'approche.. elle veut me toucher.


« Tu le rangeras pour moi. »

QUOI !? Pour qui elle ME prend. Je voulais la tuer rapidement. Mais maintenant elle souffrira. Elle comprendra ce que le mot douleur signifie. Elle sentira chaque parcelle de son corps souffrir avant que la vie ne l'abandonne.
Elle ose me toucher maintenant. Mais il est trop tard pour elle. Qu'elle souffre maintenant. Elle me parle mais j'ai arretter d'écouter ses psaumes. Ses mains déscendent le long de mon corps. Je souris maintenant car je sais que sa fin est proche. La mort est toujours agréable , surtout quand on la donne.
J'attrape ses deux poignets que je serre de toute mes forces. Ses bras minces et fragiles seront bientôt réduit en miettes.
Je me lève tranquilement tenant toujours ses bras pour qu'elle ne puisse faire un mouvement. Je sens sa poitrine bougée contre mon dos au gré de sa respiration. Bientôt elle ne bougera plus.
Tenant toujours ses bras je les fais passer au dessus de ma tête et les rabaisse sur le côté de mon corps.
Je me retourne tenant toujours ses bras entre elle et moi. J'affiche un sourire carnassier, car je sais que ma proie va bientôt mourir.


Pauvre larve grouillant parmis les immondices. Tu as voulu t'élever au rang de maître mais maintenant ton ascenssion est terminée, tu vas retomber et mourir. Sois heureuse vermine ce seront mes mains qui t'oteront la vie.

Mais pour que je m'amuse vraiment il faut qu'elle soit libre de ses mouvements qu'elle puisse se "débattre" et essayer de me frapper.
Aussi je lache donc ses bras et la contourne d'un bon pas pour me précipiter vers l'entrée de la bibliothèque trainant une chaise derrière moi.
Deux foulées plus tards j'y étaient bloquant la porte pour toute tentative de sortie. Maintenant j'avais deux proies elle et la vermine s'occupant de la bibliothèque.
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeDim 11 Nov - 12:02

Ses mains agrippent mes poignets. Tellement prévisible. Il n’était rien. Il agit comme le plus simple des hommes. Je sens qu’il serre autant qu’il le peut. Sa peau est douce. Il peut me briser si il le veut, mais il ne le fait pas. Pourquoi? C’est très simple, inconsciemment il sait que je suis ce qu’il y a de mieux en ce monde. Je ne tente pas de me dégager, je ne riposte pas. Je ne veux pas tomber à un niveau rasant terre. Il se lève m’empêchant de bouger. Il devrait savoir que je ne lui ferai rien pour le moment. Je n’ai pas de temps à perdre avec des faibles. Je ne le veux pas. Je n’ai pas besoin de lui. Sa carcasse est aussi vide que son crane. Il est a présent face à moi. Son sourire barbare prouve qu’il n’a pas la moindre intelligence. Il est bestial. Il ne réfléchit jamais avant d’agir. Pourquoi des êtres comme cela empoisonnent mon existence? Je ne prendrai pas la peine de le haïr. Il ne le mérite pas. Il veut me tuer, je le sens. Qu’il fasse. De toute façon, ce n’est pas morte que je perdrai mon rang de divinité. Je suis supérieure morte ou vive. Je reste au dessus de tout, y compris de la mort.

Pauvre larve grouillant parmis les immondices. Tu as voulu t'élever au rang de maître mais maintenant ton ascension est terminée, tu vas retomber et mourir. Sois heureuse vermine ce seront mes mains qui t'ôteront la vie.

Je le regarde. Il me parle comme je lui aurais certainement parlé si j’étais comme eux. Futile homme. Que tu me retires la vie ou non, ça ne dépend pas de moi. Alors je m’en moque d’être tuée par un moins que rien. Il est jaloux de ma grandeur. Il est jaloux de ma perfection. Il envie chaque partie de mon corps. Il prendra un malin plaisir à détruire chaque partie de mon être, mais il n’aura jamais mon esprit, qui vaut une multitude de fois le sien. Il ne connaîtra jamais la puissance. Il restera simplement à son stade primitif. Je peux lui arracher jusqu’à son dernier souffle.
Il s’éloigne en compagnie d’une chaise, me bloquant donc le passage si jamais l’envie de fuir me prenait. Je ne suis pas une lâche. Je n’ai rien a craindre.
Nous voilà donc à trois dans cette source de savoir qu’est la bibliothèque. Le dieu domine. Je le vois près de la porte, comme fier et pressé d’en finir. Il veut commettre l’irréparable. Il veut supprimer l’être donnant un sens à sa vie.
J’avance en leur direction. Le bibliothécaire semble presque affolé derrière son espèce de pupitre. Il a peur. J’aime cette peur. Je m’approche vers lui, je veux qu’il sache qui il doit craindre. Il tente de supporter mon regard. Erreur. D’un geste lent, je passe mon doigt le long de son visage. Il ne bouge pas. Ma main saisit calmement sa gorge. Il serait facile de l’étrangler. Je verrai ses yeux sortir de leurs orbites, comme s’ils venaient vers moi. Son visage rougira et ses joues gonfleront un peu. Il poussera des cris pratiquement inaudibles. Ses mains agripperont la mienne, tentant d’arracher l’étreinte. Peu à peu je sentirai sa vie s’échapper. A ce moment je relâcherai, et il essaiera de la reprendre. Je lui laisserai le temps et je l’achèverai en recommençant.

Je suis dos à l’autre. Il pourrait m’attaquer par derrière. Il pourrait me supprimer. Mais il ne le fera pas. Il voudra certainement me regarder agir. Je retire ma main de la gorge de celui qui désormais sait qu’il doit m’admirer. Je souris et lui offre un clin d’œil qui le laissera croire qu’il va périr. Mais pas maintenant. Hina n’a pas envie.

« Regarde ses yeux. Regarde la peur qui l’envahit. Il pense à sa misérable vie. Mais sa vie ne vaut rien. Il croit avoir réussi, il croit être intouchable. Mais Hina sait. Il n’a pas le droit de regarder Hina face à toi. Non. Il prendrait trop de plaisir. Il doit périr. »

Je me positionne derrière le bibliothécaire et regarde l’autre.


« Tu veux croire que tu vaux mieux que lui? Tu veux me faire croire que tu vaux mieux que moi? Je veux te voir. Je veux voir ce que tu peux offrir à ce monde. Tu me hais, je le sens. Tu veux entendre mes os craquer sous ta force, tu veux que je te supplie. Et immobile je serai radieuse. Mais Hina est toujours radieuse. Le liquide qui s’écoule en moi est divin. Tu peux aisément le posséder. »


D’un geste lent je saisis la chevelure de l’homme posté devant moi. Il a chaud. Il transpire. Je colle ma tête contre son oreille.

« Regarde le. Il se renierai lui même pour garder sa misérable vie. Moi, que tu traites de vermine, je sais autant que toi ce qu’il se passe dans sa tête à ce moment précis. Moi que tu méprises, je sais ce qu’il se passe dans ta tête. Ta haine est inutile ici. Utilise la d’une façon meilleure. »

Je tire la raclure de l’humanité avec moi en direction de celui qui veut m’égaler. Nous ne sommes plus qu’à un trois petits mètres d’écart. Je le pousse violemment. Il est entre nous deux. Pour cette fois , je ferais ce qu’il me dira de faire. Si sa cruauté est égale à la mienne, alors il deviendra peut être quelqu' un.
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Kirof Bloodsun
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeDim 20 Jan - 12:54

[J'ai pas trop d'idée donc je crois que ce ne sera pas immensément long mais au moins le sujet repartira^^.]

Je la regarde jouer semble til avec le bibliothécaire, elle me tourne le dos et je pourrais la tuer desuite sans remord, ce n'est rien, elle n'est rien. Rien n'est aussi important et digne que moi. Mais j'attend, elle semble vouloir s'élever à mon niveau, être aussi parfaite que moi, c'en est presque pitoyable. Elle en finit donc avec son comparse. Ensuite elle mle parle, que croit elle, que je l'écoute ? Non je la vois étendue sur le sol, raide, froide radieuse, immobile et morte. Je la prendrais alors à même le sol, arrachant ses vêtements. L'autre pourra même regarder, il deviendra mon fidèle ou moura. Quand j'en aurais finis avec elle, je planterais mes dents dans sa gorge, je setirais son sang couler. Sa peau se détachera, doucement. Et l'envie me reprendra, en même temps que je la mordrais, dévorant ses seins, sa bouche, son coeur, j'assouvirais ma pulsion d'homme.
Tiré de mes rêveries elle approche vers moi, elle semble avoir fini de parler.

Elle pense savoir ce qui se passe dans ma tête ? La dernière personne à l'avoir dit était une femme elle aussi. Personelment j'ai vraiment su ce qui se passait dans la sienne quand j'ai serrer sa tête entre mes mains et que j'ai découpé le haute de son crâne. Je me souviens encore qu'elle aussi je l'avais dévoré pendant que j'assouvissais cette pulsion. Elle était si belle étendue là.

Elle pousse l'homme dans ma direction, que croit elle m'offrir ? Une offrande ? Elle sacrifie cet homme pour ma clémence, aurait elle enfin compris qui j'étais ?

Je regarde donc l'offrande, elle couine, elle gémit, elle pleure. L'offrande est laide de surcroit. Il implore une quelquonque pitié. Je prend sa tête entre mes mains et regarde au dessus de lui, au dessus d'elle. Je vois un miroir renvoyant la scène vue de dos. Aussi je me vois, mes yeux sont magnifques, ma peau également. Quelques cicatrices sont visibles mais rien de nettement laid. Je suis donc bien parfait.
La victime implore plus fort encore. Mes mains inculquent un torsion à sa tête et un craquement s'entend, le corps s'affale et sa tête heurte le sol. Il est sans vie.

Maintenant ce sera son tour, elle criera comme toutes les autres, elle aura peur, et enfin reconnaîtra ma véritable grandeur. Mais elle apprendra qu'un dieu ne pardonne jamais. Aussi elle mourra.
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Hina Krügger
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeDim 20 Jan - 14:20

[ t'inquiètes pas, c'est parfait ]

Je l’observe. Étrangement il à l’air de faire ce que je lui dit. Lui qui se croit mieux que tout, obéit. Charmante observation. Il n’est donc pas sans failles.
Je ne bouge toujours pas. Ce qui est malheureux, c’est qu’il ne fait rien d’exceptionnel. Je ne sais pas ce qui est mieux, rester sobre mais efficace, ou au contraire jouer un peu, offrir un spectacle des plus somptueux…
Bercée par les cris de l’homme, je me dégage un peu de la réalité et me perds dans mes pensées. Un peu comme si je retraçais le film de ma vie en un temps record. Je crois qu’en réalité je me contrefous de ce que l’autre chien fait.
Tout est tellement prévisible. Il va le tuer, et ensuite va vouloir me tuer. Si il était aussi fort, aussi grand et tout ce qu’il veut, il ne serait pas prévisible, et il ne m’obéirait pas. Deux erreurs en si peu de temps, je commence à avoir pitié de lui, au point d’avoir envie de l’aider. C’est rare.
Le bruit d’un corps lourd qui s’effondre sur le sol me ramène très vite en ce monde. Je reste là, immobile, contemplant un être vide. Bizarrement une certaine jalousie m’envahit. J’aurais du le faire, pas lui. Pourquoi je l’ai laissé faire… Surtout qu’il ne prête pas attention au cadavre. Non. Il ne fait rien d’autre, il lui arrache la vie et voilà. Fin de l’histoire.

Progressivement, mes yeux parcourent des pieds à la tête le corps de mon présumé tueur. Un rictus se dessine sur mon visage. Il n’oserai pas faire de mal à celle qui la dépasse. Je sais qu’il sait. Il n’est pas si ignare, quand même.
Je ne sais même pas pourquoi j’essaie de lui trouver des points positifs. Il est comme chaque êtres ici, mis à part que lui, il veut m’ôter mon pouvoir. Dans le fond il doit être préparé.
A ce moment la puissance doit l’envahir. Il doit se sentir fort, immortel, imbattable. Sa vie est fondée sur le mensonge et cela lui plait. Hina le hait.

Quand il m’aura tuée, il pensera qu’il a un peu de ma puissance. J’espère simplement qu’il ne violera pas ma dépouille et qu’il regrettera d’avoir perdu l’être qui rendait son vie moins futile. Mais je suppose qu’il ne le fera pas juste pour me contredire.
Le mépris est la pire des choses, et pourtant il m’oblige à le haïr. Hina doit l’ignorer…et pourtant, ses yeux, sa bouche, ses cheveux, son attitude…tout ça me débecte.

Je me recentre sur le défunt et me laisse flotter jusqu’à lui. Maintenant il est intéressant. Maintenant je le veux.
Je m’abaisse à son niveau et laisse glisser mes doigts sur son visage, rentrant de temps en temps dans sa bouche, sortant, ouvrant et fermant ses paupières. Je suis presque attendrie par ce calme. Je ne m’en lasserai jamais.
En réalité, il m’a offert un magnifique paysage. Je lève les yeux au ciel, pour but de le regarder. Je souris, encore une fois, avant d’enfin me replonger dans ce corps inerte.

« Splendide… »
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeDim 20 Jan - 18:48

Je ne la regarde même pas. Elle n'en vaut pas la peine. J'ai trouvé la plus belle vision sur cette terre et rien ne pourra m'en détourner. Pourtant je la sens qui s'approche. Elle va voir son comparse sacrifié à ma grandeur. Je pourais la tuer que le couroux divin s'abatte sur elle alors elle aura mal, gémira de douleur et aura peur. Mais mon image que me renvois le miroir est décidément plus attrayante. Je m'occuperais d'elle après. Pour le moment je suis las, je vais me reposer. Après elle viendra en rampant me parler me bassiner avec ses paroles creuses, vides comme elle. Au bout d'un moment elle m'ennuieras et alors je la tuerais. Tout est si prévisible, les cloportes dans son genre agissent selon leur chemin tout tracé. Rien ne peut les détourner de leur voie.
Mais elle ma manquer de respect. Aussi elle doit être punie. Nos regards se croisent elle a de l'envie moi du mépris. Elle rebaisse les yeux vers le cadavre. Il est apetissant , certe mais je préfère le corps des femmes plus subtile et celui là ne me fait rien. Je ne mange que celle ou ceux qui me font quelque chose. Elle parcontre si était étendue sur le sol...
Enfin je fais un pas puis un autre je me dirige vers ce que mon regard vient de nouveau de voir, mon reflet. J'avance donc tranquilement, la croise sans un mot, sans un regard, balançant mon poing dans ce qui devais aproximativement être sa tête. Mais je n'y fais pas attention. Je me vois enfin complètement dans le miroir et je m'observe. Je la domine, je les domine tous. Mais mon reflet m'énerve, certaines nouvelles cicatrices n'ont pas lieu d'être, celà pourrait rompre avec mon image parfaite. Aussi je lui tourne le dos et m'asseois sur un fauteuil proche. Mes yeux retombent enfin sur elle. Et une grande question maintenant me trote dans la tête, quand est ce qu'elle mourra ?
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeVen 25 Jan - 7:16

Sans mots, il avance vers je ne sais où. La douleur vive mais légère que son coup a provoqué ne m’inquiète guère, tellement je suis subjuguée par la splendeur du néant. Elle, si parfaite, elle qui se trouve à une hauteur à laquelle je n’accéderais jamais, me fait comprendre qu’elle est la seule capable de me dominer.
Le plus paradoxal dans cette histoire est que le responsable de ce spectacle n’est autre qu’un être dénué d’intérêt et de sens. Comme quoi.
Je me redresse, les yeux rivés sur le mort, avec en tête une multitude de question à son sujet. Mes yeux se posent sur l’immondice, qui de sa place me fixe. Je me rends alors compte que le tableau précédent pouvait faire penser à un maître scrutant son esclave agenouillé. Cette idée m’insupporte à un point inimaginable. Pour qui se prend il. Il rayonne, calmement installé sur son fauteuil. Son air supérieur empoisonne l’air et pourtant j’en suis presque admirative. Comment un être aussi bas, peut-il créer une atmosphère d’être supérieur aussi puissante? Magnifique tour de magie.
Je l’observe d’un œil intrigué afin de comprendre ce qu’il fait. Ou plutôt comment il fait.
Je m’approche de lui, tout en gardant une distance raisonnable. A présent il n’est plus qu’un animal étrange qu’on regarde par curiosité et dégoût.

Pourquoi ne tente t-il pas de me détruire? Je n’en sais rien. Il est tellement…spécial, contrairement à ceux que j’ai rencontré avant lui. Il devrait se tuer.
Je fais demi tour, lui tournant le dos. Je comprends qu’il n’en vaut pas la peine. J’ai tellement pitié de lui.
Même retournée, je sens son regard qui frappe mon dos, et l’air pollué par sa présence s’engouffre dans mes narines. Je pourrais le tuer, avant lui. Pourtant je ne fais rien. Il ne mérite rien, je ne comprends pas pourquoi je suis resté près de lui ces quelques instants.
J’avance en direction des rayons, m’empare du premier livre que je trouve et retourne m’asseoir. Je ne le vois plus, il ne me voit plus. Mais je le sens encore et toujours. Je pourrais partir, mais ça serait lui accorder une certaine puissance, qu’il est loin d’avoir. Je reste et je lis sans réellement comprendre ce qui est écrit. J’attends. Soit il partira et ne deviendra qu’un vague souvenir, soit il reviendra. Quoiqu’il fasse, il restera méprisable.
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeMar 5 Fév - 14:48

Elle finit par se détourner du cadavre et nos regards se croisent. Je la vois déjà étendue par terre à côté de l'autre. Complètement nue, ellle serait si ravissante. MAis bien vite je reviens à la réalité et vois cette vermine vivante et me regardant. Comment ose-t-elle? Je lui crèverais les yeux alors qu'elle sera encore vivante. Quand son cadavre sera étendue là elle ateindra un niveau que jamais elle aurait pu atteindre de son vivant.
Elle se rapproche de plus en plus. Elle tourne et me regade. Je ne supporte pas ce regard mais je ne fais rien. Je pourrais bondir, je serais plus rapide qu'elle, de toute manière comment être meilleur que moi ? Mais je n'en fais rien je la laisse me tourner autour subjuguer par ma beauté et ma prestance. Elle n'a jamais vu d'être aussi magnifique que moi, aussi il est normal qu'elle me désire.

Elle fait demi tour et me tourne le dos. Je la regarde s'éloigner. Je l'immagine encore une fois complètement nue, mes mains autour de son cou, serrant, serrant encore. Puis j'entendrais ce léger craquement que fais la nuque quand elle cède enfin. Alors elle sera inerte entre mes mains. Je lui arracherais les loques que sont ses vêtements. Alors je caresserais son corps encore chaud.
Mais d'un seul coup mon estomac me rappel à la réalité. Je n'ai pas manger depuis ...trop longtemps.

Je me lève donc, je passe devant le rayon où elle s'est misérablement cachée. Elle a peur de ma puissance et est jalouse de ma beauté, ce qui est normal. Je passe donc près d'elle sans y faire attention pour arriver près du corps de l'ex bibliothéquaire. Je m'accroupi près de lui je penche sa tête sur le côté et plonge mes dents dans son cou. Je sens sa chaire se fendre pour laisser passer le liquide qui lui donnait la vie. Le tout coule lentement dans ma gorge et atténue les fureurs de mon estomac.

Mais je fais attention tout de même attention à la vermine à qui je tourne le dos. Ces créatures là sont imprévisibles.
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeLun 25 Fév - 22:28

Il mange. Il mange un corps inerte. Rire ou pleurer ? telle est la question. J’observe l’animal se délecter du sang certainement encore chaud du cadavre. Et là je me demande comment on peut être aussi idiot pour se nourrir d’un…humain quoi. Surtout quand on prône une supériorité, inexistante au passage.
De mon rayon j’observe la scène, désemparée par l’attitude répugnante du blond décoloré. Bon du blanc en fait. Il doit certainement penser que j’ai peur. Haha, Hina n’a jamais peur. C’est juste qu’ils me dégoutent, lui et son air au dessus.
Je repose mon livre. La couverture est indigeste, tout comme les mots qui la parcourent. L’atmosphère est insoutenable. On dirait une cage où deux prédateurs animés de haine l’un envers l’autre sont enfermés. Du genre qui craquera le premier, qui tuera l’autre etc… Mais je ne suis pas idiote, qu’il vienne vers moi si tel est son souhait.

Je me lève et me dirige vers la chaise qui bloque l’entrée. Il n’existe plus. Plus jamais. Je ne vois pas l’utilité de lui adresser la parole puisqu’il préfère rester muet face au son de ma voix.
Je saisis la chaise et la balance plus loin. Le bruit brise enfin ce silence. Mon regard se porte une dernière fois sur lui, et un sourire en coin se dessine. Les rôles se inversés. Je suis debout, lui accroupi, le maitre et l’esclave. Ahhh quel plaisir de voir les choses se remettent à leur place.
Je le regarde ignorant ma présence et continuant de manger. Je ne sais toujours pas si je dois rire ou pleurer. Autant rien faire, rester sobre. Ma politesse exemplaire me force à lui adresser un dernier mot. Je devrais même le remercier de m’avoir fait comprendre quelque chose. Je suis mieux. Mais sincèrement mieux. Merci blondinet. Ouais, pour moi ça sera blondinet. Hina l’a décidé.
Ca me fend le cœur de ne pas l’avoir étranglé. J’aurais aimé. Parfois la vie est mal faite. Remarque je pourrais le faire là, il est en position de faible, mais rien que l’idée de le touche me donne la gerbe, alors qu’au début je le voyais plutôt comme un plaisir. M’enfin…

« Adieu. »



[ J'sais pas si on s'arrête là ou quoi, j'attends ta réponse, si tu me laisses partir tu pourras le préciser à la fin de ton rp ]
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeSam 26 Avr - 17:32

[on continue, je peut pas te laisser en position de "force".]

Le sang coule entre mes lèvres. Je sens sa chair morte se détacher. Peu à peu je découpe cette partie tendre. La peau où j'ai commencé à mordre est totalement partie. J'attaque le muscle, il est plus dure à trancher que la fine peau mais mes dents ont l'habitude.
Je sens plus que je ne vois l'autre vermine se lever. Je ne lui accorde pas un regard, ce serait trop d'honneur pour elle. Elle ne vaut même pas un simple regard de ma part. Je continue donc de mordre dans ces chairs mortes tout en gardant un oeil dirigé vers sa silhouette pour prévoir toute attaque.
Les cloportes ne peuvent agir de front, la peur qui les tenaillent les obligent à utiliser la fourberie pour attaquer.

Elle balance la chaise qui bloquait l'entrée. Apparemment personne n'a ressenti le besoin de se rendre à la bibliothèque, ou alors la dites personne est allée cherché du renfort. Quoi qu'il en soi je finis par me désintéresser de mon "festin". Je regarde alors dans sa direction, nos regards finissent par se croiser. Je peut lire du dédain dans le sien. Habituellement la vermine est emplie de haine et de jalousie mais elle s'abaisse à un niveau encore pire que la fange d'où elle vient. Elle ose prétendre et penser qu'elle est mieux que moi.

Je ne peut tolérer ce genre de regard et d'action. Aussi je me relève, elle me parle mais je ne l'écoute plus, comme si je l'avais un jour véritablement écoutée. Je ne vois que sa vie qui pourrait s'échapper par mes mains. En un bond je pourrais être au bureau de mon ex proie. Je pourrais attraper un crayon et la planter avec. Dure souvenir que le crayon qui se plante dans sa chair. Elle comprendrait alors son statuts de vermine et de rat et ne pourrait que supplier d'épargner sa pauvre vie. Mais il serait alors trop tard, son âme ne pourrait être que dérobée à son corps par l'intermédiaire de mes mains. Mes si belles mains.

Je suis maintenant debout, j'ai le choix entre lui sauter dessus maintenant ou prendre une arme avant. Le second choix s'avère difficile car elle fuie ma présence. Aussi je me dirige vers elle sans un mot l'attrapant in extrémis par le col et usant de ma force je la tire en arrière pour la ramener dans la bibliothèque pour la jeter au milieu de la pièce
Je referme la porte derrière elle toujours sans un mot.

Maintenant je la regarde, elle n'est même plus vermine rat ou cloporte, elle n'est qu'un tas immonde de ce que la la boue d'où elle provient à pu faire de pire. La seule chose qui me reste donc à faire est de supprimer cette créature pour que la lie comprenne son statut et cesse de vouloir se croire supérieur à leur dieu puissant.
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeLun 5 Mai - 7:27

Imbécile. Monsieur ne veut pas me laisser partir, très bien, mais pas la peine de me balancer par terre comme ça. Qu’est ce qu’il peut être susceptible celui là. Mais bon, on ne va rien dire puisqu’il a l’air particulièrement énervé. C’est peut être son état normal.
Je suis allongée, sans doute avec une mine atroce. Il m’a fait mal ce con, dans le fond. Ce genre de personne, incapable de faire quelque chose de constructif sans user de leur prétendue puissance physique. Il a aucun mérite d’ailleurs, même un gamin pourrait me balancer comme ça.
Mais j’ai mal. J’aurais du sentir le coup venir et tenter de tomber mieux que ça. Bah tant pis. Je suis bien au sol, je suis bien. J’ai mal pour lui, le pauvre. Aussi pitoyable que ça, un jour il comprendra qu’il n’est absolument rien de plus qu’un abruti dégénéré. Comme tout les autres, la dégénérescence, c’est contagieux.
J’suis sûre que je suis tombée parce que je me suis pris les pieds quelque part. En fait, tomber, c’est un peu comme un signe de faiblesse, voila pourquoi ça m’énerve. C’est ça ouais, il ne m’a pas fait tomber, je suis tombé seule et volontairement en plus. N’importe quoi ? Peut être bien. Il m’énerve. Il ne sert à rien, il est naze. Naze ouais. J’aime ce mot.

Je reste allongée, m’installant de façon à regarder le plafond. Très laid ce plafond. Tout est laid d’ailleurs. Il me semble que c’est pas le moment de penser décoration, mais plutôt de penser à ce que je vais faire là. Etrangement, j’en sais rien. Le laisser faire ce qu’il veut, après tout. Rester passive tout en le méprisant grandement, rien de plus. Il ne sait pas lui, il ne sait rien.
Je place mes mains derrière ma tête, et attend. Je ne le regarde même pas, le plafond étant juste un peu moins gerbant que lui, ça me permet de rester tranquille.
Je soupire. Je suis bien là. Manquerait plus qu’un petit fond musical pour être encore mieux. Tout ça, ça me dépasse totalement. J’ai la flemme de mourir. Surtout si l’autre me bouffe après, j’aimerais une mort plus héroïque. Surtout que je suis tombé, non mais ça, je ne m’en remettrais jamais. Hina ne tombe pas, merde. Quel con. J’en deviendrais presque vulgaire. Tout ce qu’il veut, c’est que je fasse un truc surement. Mais j’ai rien à faire là, lui parler c’est même pas la peine, le taper ça serait inutile, partir en courant ça serait faire genre j’ai peur de lui alors que c’est qu’un guignol et que je n’ai aucune, et je dis bien aucune, raison de le craindre. Donc, voila, restons passif.

« Bon… »

Je me redresse, histoire de. Il est là, il me regarde. Et moi j’suis à terre, ça doit lui plaire ce sentiment de surpuissance et autres conneries. Il n’est rien du tout. Il fait le beau, pire qu’un chien. Manquerait plus qu’il remue la queue et ça serait parfait. M’enfin. Je me rallonge, le plafond, lui, il est sobre. Trop peut être. Saleté de pantin. Et l’autre là, immobile. Où j’suis tombée ? J’en sais rien. En même temps je m’en fous, ça fera une histoire à raconter à mes petits enfants. Enfin, déjà, je sortirai jamais d’ici, de deux, je vais peut être mourir, et de trois j’ai pas envie de gosse. Alors oublions les petits enfants. Oublions tout et attendons que l’autre fasse un truc. Je suis bien là, par terre. C’est dur, froid, mais je suis bien. Ca m’apprendra à tomber.
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MessageSujet: Re: La mort est mon métier. Le sexe ma récompense.   La mort est mon métier. Le sexe ma récompense. Icon_minitimeJeu 22 Mai - 13:07

Elle vole presque avant s'affaler sur le dos. Je la regarde passer comme au ralentit je vois la surprise qui s'affiche dans ses yeux pendant une fraction de seconde. Elle porte le même regard que le parasite à un animal dont il s'est fait expulsé.
J'attrape une chaise qui traîne et la bloque sous la poignée de la porte. Comme ça on sera vraiment tranquille. Je pourrais donc à loisirs m'occuper de cette vermine et la supprimer.
Je la regarde allongée sur le sol, je vois la douleur qui traverse ses traits. Elle souffre, pour le moment ce n'est qu'une vague douleur, mais bientôt elle connaîtra la véritable douleur. Elle saura ce que souffrir signifie. Je la torturerais jusqu'à ce qu'elle me supplie de l'épargner. Jusqu'à ce que son arrogance déplacée et inconsciente s'efface pour laisser place aux pleurs, à la peur et aux tremblements. Mais même là je j'arrêterais je continuerais encore et encore jusqu'à ce que sa misérable vie s'écoule doucement entre mes doigts. Elle comprendra trop tard, son statut, celui de vulgaire microbe, de simple parasite qui survit en s'accrochant à la puissance qui vient à sa portée. Elle comprendra enfin qui je suis, la prestance de mon être et la puissance de mon aura.

Elle saura enfin ma véritable nature d'avatar divin. Elle comprendra que mon pouvoir est infini et surpuissant.

La mépriser lui serait faire trop d'honneur, car cela impliquer d'admettre sa présence comme digne d'être ignorée. Sa présence ne mérite que l'annihilation. Ce à qui je vais maintenant m'occuper.

Elle essaye de se redresser mais préfère rester à terre. C'est le signe qu'elle prend enfin compte de mon véritable pouvoir, elle commence à apercevoir l'étendue de mes forces, bientôt elle en apercevra une infime partie. En tant que fange et lie de l'existence elle ne peut apercevoir l'ampleur de mon véritable pouvoir. Elle mourrait sur le coup, ce qui n'est pas mon but.
Maintenant il faut trouver avec quoi sa souffrance sera crée. Je pourrais le faire à main nues mais ce serait trop d'honneur que la touchée.
Je pars donc en recherche d'un outil ou de quoi que ce soit que je pourrais trouver tout en gardant un oeil sur elle.
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